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Bacouël

Bacouël est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Bacouëlois et les Bacouëloises.

Bacouël
Bacouël
La mairie
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Hauts-de-France
DĂ©partement Oise
Arrondissement Clermont
Intercommunalité CC de l'Oise Picarde
Maire
Mandat
Dominique Cordelle
2023-2026
Code postal 60120
Code commune 60039
DĂ©mographie
Gentilé Bacouëlois, Bacouëloises
Population
municipale
484 hab. (2020 en augmentation de 3,86 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 88 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 49° 37â€Č 10″ nord, 2° 23â€Č 12″ est
Altitude Min. 81 m
Max. 149 m
Superficie 5,48 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Saint-Just-en-Chaussée
LĂ©gislatives 1re circonscription de l'Oise
Localisation
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Bacouël
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Bacouël
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Bacouël
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Bacouël
Liens
Site web http://www.bacouel.fr/

    GĂ©ographie

    Description

    Vue aérienne de la commune et de lma gare de Breteuil-Embranchement

    BacouĂ«l est une commune rurale picarde du Santerre, situĂ© Ă  13 km Ă  l'ouest de Montdidier et Ă  km Ă  l'est de Breteuil.

    La commune est traversée par la ligne de Paris-Nord à Lille et est l'origine de la courte ligne de Breteuil-Embranchement à Breteuil-Ville Au hameau de Bacouël se trouve la Gare de Breteuil-Embranchement, desservie par des trains TER Hauts-de-France, qui effectuent des missions entre les gares de Paris-Nord et Amiens.

    Bacouël se trouve au centre d'une dépression dont le fond argileux était jadis le passage d'une petite riviÚre que Louis Graves, dans son précis statistique sur le canton de Breteuil (Oise), arrondissement de Clermont (Oise)[1], note comme étant la Malvina, et qui rejoignait Rouvroy-les-Merles pour approvisionner la Noye, d'autres sources parlant du ru de Rouvroy (petit cours d'eau de Rouvroy-les-Merles).

    Sur les hauteurs, au nord-est, l'on peut voir le bois Robinson oĂč, selon une lĂ©gende locale, des soldats allemands de la PremiĂšre Guerre mondiale auraient Ă©tĂ© enfermĂ©s dans un ancien four Ă  chaux.

    À l'ouest, vers Tartigny, l'on peut apercevoir le bois du Quesnoy.

    Bacouël compte de nombreuses mares dont quatre sont encore en fonction.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Bacouël
    Tartigny
    Bacouël Le Mesnil-Saint-Firmin
    Chepoix
    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 10,3 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 3,3 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 2,7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,1 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 690 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 11,4 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 8,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[6] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[7] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Rouvroy-les-Merles », sur la commune de Rouvroy-les-Merles, mise en service en 1989[8] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[9] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 10,5 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 656,1 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[10]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Beauvais-TillĂ© », sur la commune de TillĂ©, mise en service en 1944 et Ă  26 km[11], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,4 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[12] Ă  10,6 °C pour 1981-2010[13], puis Ă  11,1 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Bacouël est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [15] - [16] - [17]. La commune est en outre hors attraction des villes[18] - [19].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (84,3 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă  celle de 1990 (84,6 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (78,1 %), zones urbanisĂ©es (12,8 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (6,2 %), forĂȘts (2,9 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[21].

    Lieux-dits, hameaux et Ă©carts

    La commune est constituĂ©e par deux hameaux distants d'un kilomĂštre environ, celui de BacouĂ«l et celui de Breteuil-Embranchement oĂč se trouve la gare de Breteuil-Embranchement et qui est desservi par la route dĂ©partementale 930.

    Le lieu-dit des Masures a donné son nom à l'une des rues du village et fait maintenant partie intégrante de la commune.

    • La gare de Breteuil-Embranchement.
      La gare de Breteuil-Embranchement.
    • Rampe sud d'accĂšs au passage Ă  niveau Ă  Breteuil-Embranchement
      Rampe sud d'accĂšs au passage Ă  niveau Ă  Breteuil-Embranchement

    Habitat et logement

    En 2018, le nombre total de logements dans la commune Ă©tait de 232, alors qu'il Ă©tait de 204 en 2013 et de 210 en 2008[I 1].

    Parmi ces logements, 82,8 % étaient des résidences principales, 4,6 % des résidences secondaires et 12,5 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 98,2 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 1,4 % des appartements[I 2].

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Bacouël en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entiÚre. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (4,6 %) supérieure à celle du département (2,5 %) et à celle de la France entiÚre (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 82,1 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (80,9 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entiÚre[I 3].

    Le logement à Bacouël en 2018.
    Typologie Bacouël[I 1] Oise[I 4] France entiÚre[I 5]
    RĂ©sidences principales (en %) 82,8 90,4 82,1
    RĂ©sidences secondaires et logements occasionnels (en %) 4,6 2,5 9,7
    Logements vacants (en %) 12,5 7,1 8,2

    Toponymie

    Le lieu s'est appelée Bascoel en 1180[22].

    Pour Bacouël deux explications toponymiques sont suggérées :

    • soit un nom gaulois Bascos+ialos "la clairiĂšre de Bascos" (Bascos prĂ©nom celte).
    • ou, plus vraisemblablement, du picard basche au sens de creuset ou de dĂ©pression dĂ©rivĂ©e du gaulois "bascauda" bassin[23].

    La gentilé des habitants de Bacouël est Bacouëlois et Bacouëloise[22].

    Histoire

    Ronds funéraires : en 1960, Roger Agache découvrit par Archéologie aériennesur le territoire de Bacouël deux ronds funéraires datant de la période gallo-romaine[24].

    Les circonscriptions administratives sous l'Ancien RĂ©gime Ă©taient en 1789 : l'Ă©lection de Montdidier ; la coutume de Montdidier ; le bailliage de Montdidier ; l'Intendance d'Amiens ; le grenier Ă  sel d'Amiens ; le Gouvernement de Picardie ; et le Parlement de Paris.

    BacouĂ«l a Ă©tĂ© dĂ©tachĂ©e de la commune de Chepoix par une loi du [25]. Ses habitants ont fĂȘtĂ© les 150 annĂ©es de la commune le et un arbre commĂ©moratif a Ă©tĂ© plantĂ©[26].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    La commune se trouve depuis 1942 dans l'arrondissement de Clermont du département de l'Oise.

    Elle faisait partie depuis sa création du canton de Breteuil[27]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

    Rattachements Ă©lectoraux

    Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Saint-Just-en-Chaussée

    Pour l'élection des députés, elle fait partie de la premiÚre circonscription de l'Oise.

    Intercommunalité

    La commune faisait partie de la communauté de communes des Vallées de la BrÚche et de la Noye créée fin 1992.

    Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la RĂ©publique (Loi NOTRe) du 7 aoĂ»t 2015, qui prĂ©voit que les Ă©tablissements publics de coopĂ©ration intercommunale (EPCI) Ă  fiscalitĂ© propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[28], le prĂ©fet de l'Oise a publiĂ© en octobre 2015 un projet de nouveau schĂ©ma dĂ©partemental de coopĂ©ration intercommunale, qui prĂ©voit la fusion de plusieurs intercommunalitĂ©s[29], et notamment celle de CrĂšvecƓur-le-Grand (CCC) et celle des VallĂ©es de la BrĂšche et de la Noye (CCVBN), soit une intercommunalitĂ© de 61 communes pour une population totale de 27 196 habitants[30].

    AprÚs avis favorable de la majorité des conseils communautaires et municipaux concernés[31], cette intercommunalité, dénommée communauté de communes de l'Oise picarde et dont la commune est désormais membre, est créée au [32].

    Liste des maires successifs

    Liste des maires successifs[33]
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 mai 2003 Albert Mazand Endivier[34]
    mai 2003 mai 2020[35] M. Dominique Cordelle[36] - [37] Employé de banque
    mai 2020[38] janvier 2023 Bernard Pelou Cadre retraité
    DĂ©missionnaire
    avril 2023[39] En cours
    (au 2 avril 2023)
    M. Dominique Cordelle Employé retraité

    Équipements et services publics

    Enseignement

    Les enfants de la commune sont scolarisés jusqu'en 2018 au sein du regroupement pédagogique intercommunal qui rassemble les communes de Bacouël, Tartigny, le Mesnil-Saint-Firmin, Rocquencourt, Sérivillers, Broyes et Plainville.

    Ce RPI qui comptait quatre classes Ă  BacouĂ«l (maternelle moyenne et grande section, CP, CM1, CM2), une classe Ă  Broyes (CE2, CM1), une classe Ă  Plainville (CE1, CE2) et une classe Ă  Tartigny (maternelle petite section) se transforme Ă  la rentrĂ©e 2018-2019 en regroupement pĂ©dagogique concentrĂ©, grĂące Ă  la construction Ă  BacouĂ«l de nouveaux locaux oĂč tous les enfants seront accueillis. Cette Ă©cole, dite « La Malvina[Note 7] » de sept classes comprend Ă©galement une restauration scolaire. Le coĂ»t de cette extension du bĂątiment existant s'est Ă©levĂ© Ă  1,7 million d'euros, dont 1 M€ financĂ© par l'Etat, 216 000 â‚Ź de la rĂ©gion et 377 000 â‚Ź du dĂ©partement. Un ramassage scolaire est assurĂ© matin et soir vers chaque commune. Un accueil pĂ©riscolaire Ă  partir de 7 h 30 et jusqu'Ă  18 h 30[40] - [41].

    Population et société

    Évolution dĂ©mographique

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1872. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[42]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[43].

    En 2020, la commune comptait 484 habitants[Note 8], en augmentation de 3,86 % par rapport Ă  2014 (Oise : +1,35 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911
    460444390430417409397416427
    1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
    391440408393369392427456351
    1982 1990 1999 2005 2006 2010 2015 2020 -
    323359387445454466468484-
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee Ă  partir de 2006[44].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des Ăąges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un Ăąge infĂ©rieur Ă  30 ans s'Ă©lĂšve Ă  36,8 %, soit en dessous de la moyenne dĂ©partementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'Ăąge supĂ©rieur Ă  60 ans est de 20,8 % la mĂȘme annĂ©e, alors qu'il est de 22,8 % au niveau dĂ©partemental.

    En 2018, la commune comptait 255 hommes pour 234 femmes, soit un taux de 52,15 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,89 %).

    Les pyramides des ùges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des Ăąges de la commune en 2018 en pourcentage[45]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    0,4
    90 ou +
    1,7
    6,3
    75-89 ans
    6,9
    13,1
    60-74 ans
    13,4
    19,8
    45-59 ans
    22,4
    19,4
    30-44 ans
    23,3
    15,5
    15-29 ans
    12,9
    25,4
    0-14 ans
    19,4
    Pyramide des ùges du département de l'Oise en 2018 en pourcentage[46]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,3
    5,3
    75-89 ans
    7,5
    15,1
    60-74 ans
    15,8
    20,9
    45-59 ans
    20,1
    19,5
    30-44 ans
    19,4
    17,9
    15-29 ans
    16,5
    20,8
    0-14 ans
    19,4

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Chapelle Saint-Éloi : Au XVIIe siĂšcle une chapelle Ă  la dĂ©dicace de saint Éloi est Ă©rigĂ©e dans un champ, sur la commune. Lors de la fĂȘte patronale, le 1er dĂ©cembre[47], la tradition voulait que les chevaux des environs fassent trois fois le tour de la chapelle avant d'ĂȘtre bĂ©nits par le prĂȘtre, cela pour leur Ă©viter de tomber malade[48] - [49].
    • La chapelle Saint-Éloi.
      La chapelle Saint-Éloi.
    • Calvaire situĂ© Ă  l'intersection des rues Yves-MarĂ©chal et du Pont-Papillon.
      Calvaire situé à l'intersection des rues Yves-Maréchal et du Pont-Papillon.
    • Le monument aux morts.
      Le monument aux morts.
    • Plaque Michelin.
      Plaque Michelin.
    • Pont-rail.
      Pont-rail.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

      Notes et références

      Notes

      1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[4].
      2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
      3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[5].
      4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
      5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
      6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
      7. La Malvina est le nom d'une ancienne riviÚre qui coulait à Bacouël
      8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

      Site de l'Insee

      Autres sources

      1. Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Breteuil, arrondissement de (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, , 152 p...
      2. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
      3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
      4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
      5. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
      6. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
      7. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
      8. « Station Météo-France Rouvroy-les-Merles - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
      9. « Orthodromie entre Bacouël et Rouvroy-les-Merles », sur fr.distance.to (consulté le ).
      10. « Station Météo-France Rouvroy-les-Merles - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
      11. « Orthodromie entre Bacouël et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
      12. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
      13. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
      14. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
      15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
      16. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
      17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
      18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
      19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
      20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
      21. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
      22. « BacouĂ«l », Syndicat Mixte de l’Oise Picarde (consultĂ© le ).
      23. Jacques Chaurand et Maurice LebĂšgue, Noms de lieux de Picardie, Paris, Bonneton, , 223 p. (ISBN 2-86253-265-7), p. 32.
      24. « L'archéologie aérienne dans la France du Nord : Historique - Les fous volants », sur ministÚre de la Culture (consulté le ).
      25. « Loi qui Ă©rige en commune la section de Bacouel, distraite de la commune de ChĂ©poix (Oise) », Bulletin des Lois, no 1500,‎ , p. 761-762 (lire en ligne).
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