Bacouël
Bacouël est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Bacouëlois et les Bacouëloises.
Bacouël | |||||
La mairie | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Hauts-de-France | ||||
DĂ©partement | Oise | ||||
Arrondissement | Clermont | ||||
Intercommunalité | CC de l'Oise Picarde | ||||
Maire Mandat |
Dominique Cordelle 2023-2026 |
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Code postal | 60120 | ||||
Code commune | 60039 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Bacouëlois, Bacouëloises | ||||
Population municipale |
484 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 88 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 49° 37âČ 10âł nord, 2° 23âČ 12âł est | ||||
Altitude | Min. 81 m Max. 149 m |
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Superficie | 5,48 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Ălections | |||||
Départementales | Canton de Saint-Just-en-Chaussée | ||||
LĂ©gislatives | 1re circonscription de l'Oise | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Oise
GĂ©olocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | http://www.bacouel.fr/ | ||||
GĂ©ographie
Description
Bacouël est une commune rurale picarde du Santerre, situé à 13 km à l'ouest de Montdidier et à 7 km à l'est de Breteuil.
La commune est traversée par la ligne de Paris-Nord à Lille et est l'origine de la courte ligne de Breteuil-Embranchement à Breteuil-Ville Au hameau de Bacouël se trouve la Gare de Breteuil-Embranchement, desservie par des trains TER Hauts-de-France, qui effectuent des missions entre les gares de Paris-Nord et Amiens.
Bacouël se trouve au centre d'une dépression dont le fond argileux était jadis le passage d'une petite riviÚre que Louis Graves, dans son précis statistique sur le canton de Breteuil (Oise), arrondissement de Clermont (Oise)[1], note comme étant la Malvina, et qui rejoignait Rouvroy-les-Merles pour approvisionner la Noye, d'autres sources parlant du ru de Rouvroy (petit cours d'eau de Rouvroy-les-Merles).
Sur les hauteurs, au nord-est, l'on peut voir le bois Robinson oĂč, selon une lĂ©gende locale, des soldats allemands de la PremiĂšre Guerre mondiale auraient Ă©tĂ© enfermĂ©s dans un ancien four Ă chaux.
Ă l'ouest, vers Tartigny, l'on peut apercevoir le bois du Quesnoy.
Bacouël compte de nombreuses mares dont quatre sont encore en fonction.
Communes limitrophes
Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il sâagit dâune zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[6] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[7] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Rouvroy-les-Merles », sur la commune de Rouvroy-les-Merles, mise en service en 1989[8] et qui se trouve Ă 4 km Ă vol d'oiseau[9] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 10,5 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 656,1 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[10]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Beauvais-TillĂ© », sur la commune de TillĂ©, mise en service en 1944 et Ă 26 km[11], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,4 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[12] Ă 10,6 °C pour 1981-2010[13], puis Ă 11,1 °C pour 1991-2020[14].
Urbanisme
Typologie
Bacouël est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [15] - [16] - [17]. La commune est en outre hors attraction des villes[18] - [19].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (84,3 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă celle de 1990 (84,6 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (78,1 %), zones urbanisĂ©es (12,8 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (6,2 %), forĂȘts (2,9 %)[20].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[21].
Lieux-dits, hameaux et Ă©carts
La commune est constituĂ©e par deux hameaux distants d'un kilomĂštre environ, celui de BacouĂ«l et celui de Breteuil-Embranchement oĂč se trouve la gare de Breteuil-Embranchement et qui est desservi par la route dĂ©partementale 930.
Le lieu-dit des Masures a donné son nom à l'une des rues du village et fait maintenant partie intégrante de la commune.
- La gare de Breteuil-Embranchement.
- Rampe sud d'accĂšs au passage Ă niveau Ă Breteuil-Embranchement
Habitat et logement
En 2018, le nombre total de logements dans la commune Ă©tait de 232, alors qu'il Ă©tait de 204 en 2013 et de 210 en 2008[I 1].
Parmi ces logements, 82,8 % étaient des résidences principales, 4,6 % des résidences secondaires et 12,5 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 98,2 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 1,4 % des appartements[I 2].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Bacouël en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entiÚre. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (4,6 %) supérieure à celle du département (2,5 %) et à celle de la France entiÚre (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 82,1 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (80,9 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entiÚre[I 3].
Toponymie
Le lieu s'est appelée Bascoel en 1180[22].
Pour Bacouël deux explications toponymiques sont suggérées :
- soit un nom gaulois Bascos+ialos "la clairiÚre de Bascos" (Bascos prénom celte).
- ou, plus vraisemblablement, du picard basche au sens de creuset ou de dépression dérivée du gaulois "bascauda" bassin[23].
La gentilé des habitants de Bacouël est Bacouëlois et Bacouëloise[22].
Histoire
Ronds funéraires : en 1960, Roger Agache découvrit par Archéologie aériennesur le territoire de Bacouël deux ronds funéraires datant de la période gallo-romaine[24].
Les circonscriptions administratives sous l'Ancien RĂ©gime Ă©taient en 1789 : l'Ă©lection de Montdidier ; la coutume de Montdidier ; le bailliage de Montdidier ; l'Intendance d'Amiens ; le grenier Ă sel d'Amiens ; le Gouvernement de Picardie ; et le Parlement de Paris.
BacouĂ«l a Ă©tĂ© dĂ©tachĂ©e de la commune de Chepoix par une loi du [25]. Ses habitants ont fĂȘtĂ© les 150 annĂ©es de la commune le et un arbre commĂ©moratif a Ă©tĂ© plantĂ©[26].
Politique et administration
Rattachements administratifs
La commune se trouve depuis 1942 dans l'arrondissement de Clermont du département de l'Oise.
Elle faisait partie depuis sa création du canton de Breteuil[27]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Rattachements Ă©lectoraux
Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Saint-Just-en-Chaussée
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la premiÚre circonscription de l'Oise.
Intercommunalité
La commune faisait partie de la communauté de communes des Vallées de la BrÚche et de la Noye créée fin 1992.
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la RĂ©publique (Loi NOTRe) du 7 aoĂ»t 2015, qui prĂ©voit que les Ă©tablissements publics de coopĂ©ration intercommunale (EPCI) Ă fiscalitĂ© propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[28], le prĂ©fet de l'Oise a publiĂ© en octobre 2015 un projet de nouveau schĂ©ma dĂ©partemental de coopĂ©ration intercommunale, qui prĂ©voit la fusion de plusieurs intercommunalitĂ©s[29], et notamment celle de CrĂšvecĆur-le-Grand (CCC) et celle des VallĂ©es de la BrĂšche et de la Noye (CCVBN), soit une intercommunalitĂ© de 61 communes pour une population totale de 27 196 habitants[30].
AprÚs avis favorable de la majorité des conseils communautaires et municipaux concernés[31], cette intercommunalité, dénommée communauté de communes de l'Oise picarde et dont la commune est désormais membre, est créée au [32].
Liste des maires successifs
Ăquipements et services publics
Enseignement
Les enfants de la commune sont scolarisés jusqu'en 2018 au sein du regroupement pédagogique intercommunal qui rassemble les communes de Bacouël, Tartigny, le Mesnil-Saint-Firmin, Rocquencourt, Sérivillers, Broyes et Plainville.
Ce RPI qui comptait quatre classes Ă BacouĂ«l (maternelle moyenne et grande section, CP, CM1, CM2), une classe Ă Broyes (CE2, CM1), une classe Ă Plainville (CE1, CE2) et une classe Ă Tartigny (maternelle petite section) se transforme Ă la rentrĂ©e 2018-2019 en regroupement pĂ©dagogique concentrĂ©, grĂące Ă la construction Ă BacouĂ«l de nouveaux locaux oĂč tous les enfants seront accueillis. Cette Ă©cole, dite « La Malvina[Note 7] » de sept classes comprend Ă©galement une restauration scolaire. Le coĂ»t de cette extension du bĂątiment existant s'est Ă©levĂ© Ă 1,7 million d'euros, dont 1 M⏠financĂ© par l'Etat, 216 000 ⏠de la rĂ©gion et 377 000 ⏠du dĂ©partement. Un ramassage scolaire est assurĂ© matin et soir vers chaque commune. Un accueil pĂ©riscolaire Ă partir de 7 h 30 et jusqu'Ă 18 h 30[40] - [41].
Population et société
Ăvolution dĂ©mographique
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1872. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[42]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[43].
En 2020, la commune comptait 484 habitants[Note 8], en augmentation de 3,86 % par rapport Ă 2014 (Oise : +1,35 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des Ăąges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un Ăąge infĂ©rieur Ă 30 ans s'Ă©lĂšve Ă 36,8 %, soit en dessous de la moyenne dĂ©partementale (37,3 %). Ă l'inverse, le taux de personnes d'Ăąge supĂ©rieur Ă 60 ans est de 20,8 % la mĂȘme annĂ©e, alors qu'il est de 22,8 % au niveau dĂ©partemental.
En 2018, la commune comptait 255 hommes pour 234 femmes, soit un taux de 52,15 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,89 %).
Les pyramides des ùges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Chapelle Saint-Ăloi : Au XVIIe siĂšcle une chapelle Ă la dĂ©dicace de saint Ăloi est Ă©rigĂ©e dans un champ, sur la commune. Lors de la fĂȘte patronale, le 1er dĂ©cembre[47], la tradition voulait que les chevaux des environs fassent trois fois le tour de la chapelle avant d'ĂȘtre bĂ©nits par le prĂȘtre, cela pour leur Ă©viter de tomber malade[48] - [49].
- La chapelle Saint-Ăloi.
- Calvaire situé à l'intersection des rues Yves-Maréchal et du Pont-Papillon.
- Le monument aux morts.
- Plaque Michelin.
- Pont-rail.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- site de la mairie
- « Dossier complet : Commune de Bacouël (60039) », Recensement général de la population de 2019/2020, INSEE, (consulté le ).
- « Bacouël » sur Géoportail.
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[5].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La Malvina est le nom d'une ancienne riviÚre qui coulait à Bacouël
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Site de l'Insee
- « Chiffres clés - Logement en 2018 à Bacouël » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Bacouël - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Bacouël - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans l'Oise » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entiÚre » (consulté le ).
Autres sources
- Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Breteuil, arrondissement de (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, , 152 p...
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
- « Station Météo-France Rouvroy-les-Merles - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Bacouël et Rouvroy-les-Merles », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Rouvroy-les-Merles - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Bacouël et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- « BacouĂ«l », Syndicat Mixte de lâOise Picarde (consultĂ© le ).
- Jacques Chaurand et Maurice LebĂšgue, Noms de lieux de Picardie, Paris, Bonneton, , 223 p. (ISBN 2-86253-265-7), p. 32.
- « L'archéologie aérienne dans la France du Nord : Historique - Les fous volants », sur ministÚre de la Culture (consulté le ).
- « Loi qui Ă©rige en commune la section de Bacouel, distraite de la commune de ChĂ©poix (Oise) », Bulletin des Lois, no 1500,â , p. 761-762 (lire en ligne).
- « Merci Ă l'Empereur : BacouĂ«l, indĂ©pendante depuis 150 ans : BacoĂ«l Ă©tait autrefois un hameau de Chepoix. Le 19 juin 1867, NapolĂ©on III signe le dĂ©cret d'application de la loi votĂ©e quelques mois plus tĂŽt, qui Ă©rige BacouĂ«l en commune indĂ©pendante de plein droit . 150 ans aprĂšs on a fĂȘtĂ© l'Ă©vĂ©nement le 14 juillet », Le Bonhomme picard, Ă©dition de Grandvilliers, no 3455,â , p. 19.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
- « Projet de schéma départemental de coopération intercommunale de l'Oise » [PDF], Préfecture de l'Oise, (consulté le ), p. 13-25.
- « La nouvelle carte intercommunale de l'oise : intercommunalitĂ© Ă fiscalitĂ© propre au », Le Bonhomme picard, Ă©dition de Grandvilliers,â , p. 15.
- R. Th., « La fusion des communautĂ©s de communes est dĂ©finitive », Le Bonhomme picard, Ă©dition de Grandvilliers, no 3417,â , p. 6 « Les 6 projets de fusion de communautĂ©s de communes ou dâagglomĂ©ration ont tous recueilli une majoritĂ© favorable ; ils pourront ainsi tous ĂȘtre conduits Ă leur terme ».
- Sylvie Godin, « Naissance de l'Oise picarde : Jacques Cotel dirige un territoire de 26 500 habitants », Le Bonhomme picard, Ă©dition de Grandvilliers, no 3430,â , p. 17.
- « Les maires de Bacouël », FranceGenWeb (consulté le ).
- Julien Heyligen, « Lâendive de lâOise mise sur la qualitĂ© pour survivre : Il ne reste que cinq exploitations de ce lĂ©gume dans le dĂ©partement. Les Mazand, installĂ©s Ă BacouĂ«l, rĂ©sistent en famille. Ils produisent 60 t de chicon par an », Le Parisien, Ă©dition de l'Oise,â (lire en ligne, consultĂ© le ) « Ă BacouĂ«l, les Mazand sont « endiviers » depuis prĂšs d'un demi-siĂšcle. Le pĂšre, Pascal, 54 ans, a hĂ©ritĂ© de la ferme de son pĂšre, Albert ».
- Lucien Djani, « Dominique Cordelle, maire de BacouĂ«l, ne se reprĂ©sente pas », Le Courrier picard,â (lire en ligne, consultĂ© le ) « Ălu conseiller municipal en 1977, maire depuis 2003, Dominique Cordelle a dĂ©cidĂ© de ne pas se reprĂ©senter ».
- Le maire sortant a été réélu au terme des élections municipales de 2008. Source : Quotidien Le courrier picard - édition Région d'Amiens du 5 avril 2008
- RĂ©Ă©lu pour le mandat 2014-2020 : « Les maires dĂ©jĂ en place », Le Bonhomme picard, Ă©dition de Grandvilliers, no 3283,â , p. 8.
- Répertoire national des maires au 2 décembre 2020, MinistÚre de l'intérieur.
- Maxime Piquet, « Dominique Cordelle est de nouveau maire de BacouĂ«l : Ălu de 2003 Ă 2020, Dominique Cordelle est de retour dans le fauteuil de maire suite Ă la dĂ©mission de Bernard Pelou en janvier. », Le Courrier picard,â (lire en ligne, consultĂ© le ) « Seul candidat, Dominique Cordelle a Ă©tĂ© Ă©lu Ă lâunanimitĂ© du conseil municipal rĂ©uni samedi, aprĂšs deux tours dâĂ©lections municipales partielles pour dĂ©signer deux conseillers en mars ».
- S.G., « BacouĂ«l : les enfants vont dĂ©couvrir leur nouvelle Ă©cole », Le Bonhomme picard, Ă©dition de Grandvilliers, no 3409,â , p. 24.
- « La Malvina a Ă©tĂ© inaugirĂ©e - L'Ă©cole accueille les enfants de six communes : BacouĂ«l : le regroupement pĂ©dagogique concentrĂ© a Ă©tĂ© inaugurĂ© le 9 juin. La nouvelle structure accueille 160 Ă©coliers dans des conditions optimales », Le Bonhomme picard, Ă©dition de Grandvilliers, no 3503,â , p. 20.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Ăvolution et structure de la population en 2018 - Commune de BacouĂ«l (60039) », (consultĂ© le ).
- Insee, « Ăvolution et structure de la population en 2018 - DĂ©partement de l'Oise (60) », (consultĂ© le ).
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- Guide de la Ligne du Nord, de Paris Ă Cologne et de Paris Ă Londres avec tous les embranchements, Paris, Paulin et Le Chevalier, (lire en ligne), p. 21-22.
- Dominique Vermand, « BacouĂ«l, Ă©glise Saint-Eloi : DiocĂšse : Amiens », sur Ăglises de l'Oise - art roman et gothique, (consultĂ© le ).