AccueilđŸ‡«đŸ‡·Chercher

Avensan

Avensan est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le Médoc, dans le département de la Gironde (région Nouvelle-Aquitaine).

Avensan
Avensan
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Gironde
Arrondissement Lesparre-MĂ©doc
Intercommunalité Communauté de communes Médullienne
Maire
Mandat
Laurent Pascual
2023-2026
Code postal 33480
Code commune 33022
DĂ©mographie
Gentilé Avensanais
Population
municipale
3 049 hab. (2020 en augmentation de 10,31 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 58 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 45° 02â€Č 08″ nord, 0° 45â€Č 24″ ouest
Altitude Min. 4 m
Max. 51 m
Superficie 52,24 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Avensan
(ville isolée)
Aire d'attraction Bordeaux
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton du Sud-MĂ©doc
LĂ©gislatives CinquiĂšme circonscription
Localisation
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Avensan
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Avensan
GĂ©olocalisation sur la carte : Gironde
Voir sur la carte topographique de la Gironde
Avensan
GĂ©olocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Avensan
Liens
Site web www.mairie-avensan.fr

    GĂ©ographie

    La commune d'Avensan, traversĂ©e par le 45e parallĂšle nord, est de ce fait situĂ©e Ă  Ă©gale distance du pĂŽle Nord et de l'Ă©quateur terrestre (environ 5 000 km).

    Avensan est une commune de l'aire d'attraction de Bordeaux située dans le Médoc entre Castelnau-de-Médoc et Margaux.

    Le village est implanté sur une proéminence dominant la rive droite de la Jalle de Tiquetorte[1]. Avensan était situé sur le tracé de la Lébade, l'ancien grand chemin qui reliait le nord du Médoc à Bordeaux.

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[2]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 12,9 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,9 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 6,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,4 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 933 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,3 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 6,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[6] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[7] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Salaunes », sur la commune de Salaunes, mise en service en 1984[8] et qui se trouve Ă  12 km Ă  vol d'oiseau[9] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 993,4 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[10]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Bordeaux-MĂ©rignac », sur la commune de MĂ©rignac, mise en service en 1920 et Ă  23 km[11], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,3 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[12], Ă  13,8 °C pour 1981-2010[13], puis Ă  14,2 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Avensan est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trĂšs peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 5] - [15] - [16] - [17]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine d'Avensan, une unitĂ© urbaine monocommunale[18] de 3 049 habitants en 2020, constituant une ville isolĂ©e[19] - [20].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bordeaux, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 275 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[21] - [22].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (81,6 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (86,2 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (51,8 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (29,8 %), cultures permanentes (4,5 %), zones urbanisĂ©es (3,3 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (3,3 %), terres arables (3 %), eaux continentales[Note 7] (2,1 %), prairies (1,5 %), mines, dĂ©charges et chantiers (0,6 %)[23].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune d'Avensan est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible)[24]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[25].

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment la Jalle de Castelnau, le ruisseau de la Cabaleyre, la Louise et le ruisseau de Laurina. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1993, 1999, 2009 et 2020[26] - [24].

    Avensan est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. Un incendie important s'est notamment produit en 2021. Depuis le , les dĂ©partements de la Gironde, des Landes et de Lot-et-Garonne disposent d’un rĂšglement interdĂ©partemental de protection de la forĂȘt contre les incendies. Ce rĂšglement vise Ă  mieux prĂ©venir les incendies de forĂȘt, Ă  faciliter les interventions des services et Ă  limiter les consĂ©quences, que ce soit par le dĂ©broussaillement, la limitation de l’apport du feu ou la rĂ©glementation des activitĂ©s en forĂȘt[27]. Il dĂ©finit en particulier cinq niveaux de vigilance croissants auxquels sont associĂ©s diffĂ©rentes mesures[28] - [29].

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[30].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Avensan.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 99,9 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (67,4 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 172 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 1 155 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 99 %, Ă  comparer aux 84 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[31] - [Carte 2].

    Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[32].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989 et 2003 et par des mouvements de terrain en 1999[24].

    Toponymie

    Avensan est une formation romane en -anum basĂ©e sur un nom de personne qui peut ĂȘtre Aventius, Avencius ou Aventinus[33].

    Avensan Ă©tant en MĂ©doc, pays gascon, la plupart des lieux-dits anciens y sont explicables par le gascon, par exemple RichenĂšde, Haurot, la Herreyre, Villeranque, Haussemagne (Hossemagne), BrĂ©dĂ©ra, le Garriga, le CastĂ©ra, Todinat, Treytinat, le Mata, le Landat, le Sargat, le Sablonat, Branas, l’Escouley, la Cabaleyre, la Herreyre, Poutchey, Puy Bacquey, le Piney, le Sourbey, le Fraguey, la Lagune merdouze[34]...

    Histoire

    Avensan était autrefois desservi par la lébade, le grand chemin de Bordeaux à Soulac, qui passait par la croix de Villeranque puis rejoignait le lieu-dit « les Ormes » (probablement Barrau). L'actuelle route, construite par Tourny en 1747, a préféré desservir Castelnau, qui était une place médiévale importante.

    Le 27 octobre 1791, Louis Marie de Salgues, marquis de Lescure, qui deviendra célÚbre deux ans plus tard en s'illustrant en tant que général vendéen lors de la premiÚre guerre de Vendée épouse à Avensan Melle Marie Louise Victoire de Donissan dont la famille possédait le chùteau Citran et qui passera elle aussi à la postérité en laissant ses célÚbres "mémoires de la Marquise de la Rochejaquelein", riche témoignage de l'épopée vendéenne.

    À la RĂ©volution, les paroisses Saint-GenĂšs de Meyre[35] et Saint-Pierre d'Avensan[36] forment la commune d'Avensan[37].

    Avensan a été desservi par la ligne de chemin de fer de Margaux à Sainte-HélÚne de 1884 à 1933.

    • La LĂ©bade Ă  Villeranque.
      La LĂ©bade Ă  Villeranque.
    • Croix de Villeranque.
      Croix de Villeranque.
    • L'ancienne gare d'Avensan.
      L'ancienne gare d'Avensan.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    1945 1947 Jean Castaing
    1947 1949 Maurice Castaing
    1949 Marcel Eyquem
    Claude Blanc DVD Maire honoraire
    Michel Travers[38] - [39]
    (1948-2016)
    DVD
    Patrick Baudin DVD Médecin généraliste retraité, ancien 1er adjoint
    [40] En cours Laurent Pascual DVD ChargĂ© d'affaires, adjoint au maire (2020 → 2023)

    Jumelages

    Drapeau de l'Espagne Castrillo de Murcia (Espagne) depuis 1992[41]

    DĂ©mographie

    Les habitants sont nommés les Avensanais[42].

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[43]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[44].

    En 2020, la commune comptait 3 049 habitants[Note 8], en augmentation de 10,31 % par rapport Ă  2014 (Gironde : +7,23 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 3008598829881 0051 0331 0391 0851 097
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 1411 1091 1721 2401 2831 3551 3421 4041 367
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 3701 2701 1951 004936865785727833
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    8339621 0621 5921 6201 7532 0522 1382 639
    2018 2020 - - - - - - -
    3 0033 049-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[45] puis Insee Ă  partir de 2006[46].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Entrée du bourg.

    Économie

    Viticulture : Bordeaux (AOC) Médoc (AOC) Haut-médoc Moulis-en-médoc (AOC)

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Il existait, au Xe siĂšcle, plusieurs chĂąteaux : un Ă  Romefort et un autre Ă  Saint-GenĂšs dont il reste encore quelques ruines.

    La commune est réputée pour ses vignobles et ses domaines viticoles, comme le chùteau Citran.

    Patrimoine naturel

    • ChĂąteau de Villegeorge.
      ChĂąteau de Villegeorge.
    • l'Ă©glise Saint-Pierre.
      l'Ă©glise Saint-Pierre.
    • Le portail d'entrĂ©e.
      Le portail d'entrée.
    • ChĂąteau l'Escouley.
      ChĂąteau l'Escouley.
    • Étang des Jaugas
      Étang des Jaugas
    • Le lavoir.
      Le lavoir.
    • Le moulin de Tiquetorte.
      Le moulin de Tiquetorte.
    • Salle communale.
      Salle communale.
    • Maison rurale.
      Maison rurale.
    • Charpente de l'auvent (chapelle de Saint-RaphaĂ«l).
      Charpente de l'auvent (chapelle de Saint-Raphaël).
    • Chapelle de Saint-RaphaĂ«l.
      Chapelle de Saint-Raphaël.

    Personnalités liées à la commune

    • Pey Berland, archevĂȘque de Bordeaux au XVe siĂšcle, est nĂ© Ă  Avensan.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Présentation de la Commune d'Avensan.
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Salaunes - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Avensan et Salaunes », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Salaunes - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Avensan et Mérignac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Unité urbaine 2020 d'Avensan », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    19. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    20. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unitĂ©s urbaines », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    21. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    22. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    23. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    24. « Les risques prÚs de chez moi - commune d'Avensan », sur Géorisques (consulté le )
    25. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
    26. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
    27. « Le risque feux de forĂȘts. », sur www.gironde.gouv.fr (consultĂ© le )
    28. « RĂšglement interdĂ©partemental de protection de la forĂȘt contre les incendies. », sur www.gironde.gouv.fr (consultĂ© le )
    29. « Dossier dĂ©partemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consultĂ© le ), chapitre Feux de forĂȘts.
    30. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    31. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    32. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune d'Avensan », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    33. BĂ©nĂ©dicte Boyrie-FĂ©niĂ©, Institut occitan, Dictionnaire toponymique des communes de Gironde, Pau, Éditions Cairn, , 402 p. (ISBN 978-2-35068-012-5)..
    34. « LĂČcs / Lieux-dits gascons de Avensan - Gasconha.com », sur www.gasconha.com (consultĂ© le ).
    35. Jacques Baurein, Variétés Bordeloises, t. 2, Bordeaux, , 2e éd. (1re éd. 1786) (lire en ligne), livre 3 article 5 pages 37-39.
    36. Jacques Baurein, Variétés Bordeloises, t. 2, Bordeaux, , 2e éd. (1re éd. 1786) (lire en ligne), livre 3 article 16 pages 78-83.
    37. Historique des communes, p. 3, sur GAEL (Gironde Archives en ligne) des Archives départementales de la Gironde, consulté le 12 avril 2013.
    38. Commune d'Avensan sur le site de l'AMF, Association des Maires de France (consulté le 12 avril 2013).
    39. « L'ancien maire Michel Travers est dĂ©cĂ©dĂ© », Sud Ouest,‎ (lire en ligne AccĂšs payant).
    40. « Avensan : Ă©lection du nouveau maire et de ses adjoints », Sud Ouest,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    41. « Jumelage(s) de Avensan », sur l'atlas français de la coopération décentralisée et des autres actions extérieures du MinistÚre des Affaires étrangÚres (consulté le ).
    42. Nom des habitants de la commune sur habitants.fr, consulté le 12 avril 2013.
    43. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    44. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    45. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    46. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    47. « L'Ă©glise Saint-Pierre sur le site patrimoinedumedoc.com »(Archive.org ‱ Wikiwix ‱ Archive.is ‱ Google ‱ Que faire ?).
    48. « Eglise Saint-Pierre », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
    49. Mairie d'Avensan : Chapelle de Saint-Raphaël.
    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplĂ©mentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimĂ©dias.