Attilly
Attilly est une commune française située dans le département de l'Aisne en région Hauts-de-France.
Attilly | |||||
La mairie. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Hauts-de-France | ||||
DĂ©partement | Aisne | ||||
Arrondissement | Saint-Quentin | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Pays du Vermandois | ||||
Maire Mandat |
Sylvie BelmĂšre 2020-2026 |
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Code postal | 02490 | ||||
Code commune | 02029 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Attyliens | ||||
Population municipale |
351 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 30 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 49° 51âČ 27âł nord, 3° 10âČ 10âł est | ||||
Altitude | Min. 66 m Max. 141 m |
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Superficie | 11,81 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Saint-Quentin (commune de la couronne) |
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Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Saint-Quentin-1 | ||||
LĂ©gislatives | DeuxiĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Aisne
GĂ©olocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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GĂ©ographie
Situation
Attilly (centre), sa mairie, son Ă©cole (fermĂ©e), sa salle des fĂȘtes (sur le sart), son Ă©glise, sa gare (fermĂ©e), ses 25 cafĂ©s (tous fermĂ©s), son tumulus, ses calvaires et son chĂąteau d'eau.
Attilly est composée de deux hameaux[1] :
- Marteville, au nord, son cimetiÚre anglais, sa gare (fermée), son chùteau (privé) se trouve situé tout contre le village de Vermand ;
- VillevĂšque, Ă l'ouest, rĂ©sidence des Ă©vĂȘques de Noyon, ses Ă©tangs pour la pĂȘche, son moulin (oĂč on apprend Ă nager).
Attilly est entourée pour partie du bois d'Holnon et d'Attilly[2].
L'Omignon traverse la commune d'Attilly, Ă Marteville et VillevĂšque.
Transports en commun routiers
La localité est desservie par les autocars du réseau inter-urbain Trans'80, chaque jour de la semaine, sauf le dimanche et les jours fériés (ligne no 49, Péronne - Roisel - Saint-Quentin)[3].
Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[4]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il sâagit dâune zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[5].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[8] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[9] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Saint-Quentin », sur la commune de Fontaine-lĂšs-Clercs, mise en service en 1933[10] et qui se trouve Ă 7 km Ă vol d'oiseau[11] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[12] Ă 10,3 °C pour 1981-2010[13], puis Ă 10,8 °C pour 1991-2020[14].
Urbanisme
Typologie
Attilly est une commune rurale[Note 5] - [15]. Elle fait en effet partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[16] - [17].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Quentin, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 120 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[18] - [19].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (67,8 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă 1990 (70 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (66,2 %), forĂȘts (28,7 %), zones urbanisĂ©es (2,1 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (1,6 %), eaux continentales[Note 7] (1,3 %)[20].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[21].
Toponymie
Attilly, dont le nom est dĂ©rivĂ© dâun mot traduisible par lâexpression « qui domine lâeau, doit sans doute son nom Ă sa position au sommet d'une butte »[22]. L'origine d'Attilly remonte donc probablement Ă une villa romaine. Cependant, la rĂ©gion est habitĂ©e depuis bien plus longtemps[23].
Histoire
(1851-1906). |
(vers 1750) |
Marteville a pour origine Temple de Mars. Dieux de la guerre pour les Romains, il permettait au légionnaire romain de vénérer leur dieux avant leur arrivée à Vermand.
VillevĂȘque comme Attilly doit son nom Ă une villa romaine : la Villa de Ă©vĂȘque. Au bord de l'Omignon, VillevĂȘque Ă©tait la rĂ©sidence de campagne de saint Eloi, l'Ă©vĂȘque du diocĂšse de Saint Quentin et de Noyon. L'Ă©glise Saint-Quentin du bois d'Holnon, oĂč saint Eloi a retrouvĂ© les reliques de saint Quentin est Ă environ 5 km de VillevĂȘque sur la route de Saint-Quentin. Ăglise malheureusement dĂ©truite durant la PremiĂšre Guerre mondiale.
Ă l'origine, le village principal Ă©tait Marteville, VillevĂȘque un hameau de Marteville et Attilly un hameau d'Holnon. En 1706, par ordonnance le l'Ă©vĂȘque, Ă la suite du pilage de trop de l'Ă©glise dit d'En Haut (Saint-Quentin), lâaccĂšs Ă l'Ă©glise fut interdit, le pĂšlerinage de saint Quentin arrĂȘtĂ© et la commune d'Holnon perdit Attilly au profit de Marteville. Un carrefour de six chemins (dit de l'arbre d'EspĂ©e) se trouvait dans le bois d'Holnon. Il Ă©tait, dit-on, le rendez-vous des sorciers des alentours[24].
AprĂšs les destructions de la PremiĂšre Guerre mondiale, le village est devenu Attilly. Attilly est devenu plus important que Marteville en nombre d'habitants. L'Ă©glise de Marteville fut reconstruite Ă Attilly. Les habitants de Marteville et de VillevĂȘque ont surnommĂ© un temps les habitants d'Attilly : « C'est voleu d'Ă©glise » (C'est voleur dâĂ©glise).
Charles Poette[25] en écrit une histoire au début du XXe siÚcle.
Le village fut rasé pendant la PremiÚre Guerre mondiale : un seul abreuvoir était encore debout au sortir du conflit.
Lors de la PremiÚre Guerre mondiale, le lieutenant-colonel John Dimmer (récipiendaire de la croix de Victoria) y mourut en menant une charge à cheval au cours d'une contre-attaque contre les positions allemandes.
Politique et administration
DĂ©coupage territorial
La commune d'Attilly est membre de la communauté de communes du Pays du Vermandois, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siÚge est à Bellicourt. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[26].
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Saint-Quentin, au département de l'Aisne et à la région Hauts-de-France[27]. Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Saint-Quentin-1 pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[27], et de la deuxiÚme circonscription de l'Aisne pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[28].
Administration municipale
DĂ©mographie
Les habitants d'Attilly s'appellent traditionnellement « les Gens d'Attilly ». Un débat se tient pour les appeler plutÎt les « Attillois » ou les « Attilliens ».
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[35].
En 2020, la commune comptait 351 habitants[Note 8], en diminution de 5,9 % par rapport Ă 2014 (Aisne : â1,93 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Le Moulin Ă eaux de VillevĂȘque
- Ăglise Saint-Martin d'Attilly.
- Monument aux morts, commémorant la guerre de 1914-1918.
- Marteville Communal Cemetery, cimetiĂšre militaire britannique, entretenu par la Commonwealth War Graves Commission.
- Plusieurs calvaires : un calvaire entre Attilly et Marteville, un autre entre Attilly et Holnon, encore un sur la route d'Etreillers, un autre Ă l'entrĂ©e du village en quittant le bois d'Attilly qui se situait face Ă la route de Vermand non loin de l'Ă©glise, et un calvaire sur le chemin de terre en direction d'Ătreillers aprĂšs le chĂąteau d'eau tout en haut du village.
- La tombe sur la route d'Ătreillers.
- Ruine de chapelle au milieu du bois d'Attilly, reste d'un antique hameau abandonné aprÚs la Grande Guerre.
- La place Verte, située sur l'ancienne voie romaine entre Holnon et Vermand.
- La place du Sar oĂč se fĂȘtait le 14-Juillet et oĂč est construite la salle des fĂȘtes.
- Tour-pigeonnier, Ă l'angle de la rue du Prozet.
- L'ancienne halte, située sur la ligne de Vélu-Bertincourt à Saint-Quentin en fonction de 1880 à 1955.
L'ancienne halte d'Attilly.
- Ăglise Saint-Martin.
- Monument aux morts.
- Marteville Communal Cemetery.
- Calvaire à l'entrée d'Attilly.
- Calvaire sur le chemin de Marteville.
- Tour-pigeonnier.
Pour approfondir
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[6].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[7].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage publié en décembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- http://pagesperso-orange.fr/canton-vermand/imagever/cartecanton1.jpg
- « Aux bois d », sur pagesperso-orange.fr (consulté le ).
- « Les horaires des lignes » Lignes du réseau Trans'80 », sur trans80.hautsdefrance.fr).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
- « Station météofrance Saint-Quentin - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Attilly et Fontaine-lÚs-Clercs », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le )
- « Commune urbaine-dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le )
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le )
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur insee.fr, (consulté le )
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- http://histoireaisne.org/memoires_numerises/chapitres/tome_25/Tome_025_page_092.pdf
- Jean-Pierre Fagnart, L'Industrie à Federmesser du bois d'Holnon à Attilly, Aisne, France, dans le contexte du Nord-Ouest européen, 1987
- Jacques de Wailly, Maurice Crampon, Le folklore de Picardie (Somme, Oise, Aisne), Musée de Picardie, , 414 pages (lire en ligne), p. 331
- http://www.culture.gouv.fr/public/mistral/malraux_fr?ACTION=RETROUVER&FIELD_98=LOCA&VALUE_98=%20ARCHEOLOGIE&NUMBER=14&GRP=138&REQ=%28%28ARCHEOLOGIE%29%20%3aLOCA%20%29&USRNAME=nobody&USRPWD=4%24%2534P&SPEC=1&SYN=1&IMLY=&MAX1=1&MAX2=1&MAX3=50&DOM=All
- « communauté de communes du Pays du Vermandois - fiche descriptive au 1er avril 2020 », sur https://www.banatic.interieur.gouv.fr/ (consulté le )
- « Code officiel géographique- Rattachements de la commune d'Attilly », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- « Découpage électoral de l'Aisne (avant et aprÚs la réforme de 2010) », sur http://www.politiquemania.com/ (consulté le ).
- Almanach historique administratif et commercial de la Marne de l'Aisne et des Ardennes, Matot-Braine, Reims, 1877, p214.
- https://www.legifrance.gouv.fr/jo_pdf.do?id=JORFTEXT000000850614
- Préfecture de l'Aisne consulté le 7 juillet 2008
- « Liste des maires de l'Aisne » [xls], Préfecture de l'Aisne, (consulté le )
- « Ă Attilly, Sylvie BelmĂšre lâemporte face Ă Patrice Miannay », L'Aisne nouvelle,â (lire en ligne, consultĂ© le ) « Les deux adjoints se sont prĂ©sentĂ©s pour devenir maire. Patrice Miannay est Ă©lu premier adjoint de Sylvie BelmĂšre ».
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.