Ambrus
Ambrus (Ambruç en gascon[1]) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de Lot-et-Garonne (région Nouvelle-Aquitaine).
Ambrus | |||||
Le château. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Lot-et-Garonne | ||||
Arrondissement | Nérac | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Confluent et des Coteaux de Prayssas | ||||
Maire Mandat |
Christian Lafougere 2020-2026 |
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Code postal | 47160 | ||||
Code commune | 47008 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Ambrusiens | ||||
Population municipale |
108 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 8,7 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 13′ 44″ nord, 0° 14′ 38″ est | ||||
Altitude | Min. 68 m Max. 175 m |
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Superficie | 12,35 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Nérac (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Lavardac | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Lot-et-Garonne
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Géographie
Communes limitrophes
Les communes limitrophes sont Saint-Pierre-de-Buzet, Pompiey, Xaintrailles, Buzet-sur-Baïse, Caubeyres, Damazan et Fargues-sur-Ourbise.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Bruch », sur la commune de Bruch, mise en service en 1971[9] et qui se trouve à 14 km à vol d'oiseau[10] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 13,4 °C et la hauteur de précipitations de 758,1 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Agen-La Garenne », sur la commune d'Estillac, mise en service en 1941 et à 27 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 13,1 °C pour la période 1971-2000[13], à 13,4 °C pour 1981-2010[14], puis à 13,8 °C pour 1991-2020[15].
Urbanisme
Typologie
Ambrus est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [16] - [17] - [18].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nérac, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 17 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[19] - [20].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (78,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (78 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (76,3 %), zones agricoles hétérogènes (21,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,8 %), prairies (0,1 %)[21].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune d'Ambrus est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[22]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[23].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue à débordement lent de cours d'eau. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1988, 1999 et 2009[24] - [22].
Ambrus est exposée au risque de feu de forêt. Depuis le , les départements de la Gironde, des Landes et de Lot-et-Garonne disposent d’un règlement interdépartemental de protection de la forêt contre les incendies. Ce règlement vise à mieux prévenir les incendies de forêt, à faciliter les interventions des services et à limiter les conséquences, que ce soit par le débroussaillement, la limitation de l’apport du feu ou la réglementation des activités en forêt. Il définit en particulier cinq niveaux de vigilance croissants auxquels sont associés différentes mesures[25] - [26].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des tassements différentiels[27]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[28].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[29]. 86,2 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (91,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 7] - [30].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003 et 2005 et par des mouvements de terrain en 1999[22].
Toponymie
L’étymologie du nom de lieu « Ambrus » pourrait provenir du latin Ambrosius[31].
Ambrus étant en Gascogne, la plupart des lieux-dits y sont explicables par le gascon, par exemple Toupiés, la Paloumère, Pélane, L'Hérété, lou Sourbé, Riou Pouyrit, la Hountéte, las Parguères, lou Grésa[32].
Histoire
Selon les historiens, Ambrus serait établie sur un site datant de la proto-histoire. Dès le Ve siècle, il serait fait état d'une source miraculeuse dédiée à la Vierge. En 1259, la seigneurie d'Ambrus est mentionnée sur une liste d'hommage. Selon ce document, un tiers des terres appartenait à Bertrand de Xaintrailles, un autre tiers à Raymond Bertrand de Gelas, un sixième à Raymond Guillaume de Vidalhac et un autre sixième à une personne dont on ignore l’identité[33]. Selon certains auteurs, Saint Vincent de Paul, y aurait dit sa première messe. Selon le cantique religieux, Jean Poton de Xaintrailles, compagnon de Jeanne d'Arc y serait allé prier.
- Habitat très ancien
- Seigneurie des Xaintrailles au XVe siècle, puis des Pardaillan.
Pèlerinage
Ambrus est un lieu de pèlerinage qui se déroule chaque année le . Le cantique officiel du pèlerinage est écrit en gascon[34]:
De Ceou en terro descendudo
La Bierjo ! La Bierjo !
Din nostos lanos es bengudo
La May de Diou !
Naou anjioulets l'accoumpagnabon
Que bien piousomen cantabon
Un li trubaco la rousado
Quoate li hésion la juncado
Un sounabo la campaneto
Dus li troussabon la raoubeto
L'aoute pourtabo sa cheyroto
S’es pel las brucos espinado
Et quand estout touto ensannado
Bengout aou pé de la hounteto
Trempet sous penous din l’aygueto
Et gariscout la malauseto.
Pey din lou ceou s'es entournado
Din la glorio encouronado
Et bous tournats a cado annado
Per li canta tan belo aubado.
(graphie d'origine)
Traduction
Du ciel en terre est descendue
La Vierge ! La Vierge !
Dans nos Landes est venue
La Mère de Dieu
Neuf angelots l'accompagnaient
Qui bien pieusement chantaient
Un faisait tomber la rosée
Quatre lui faisaient la jonchée
Un agitait la sonnette
Deux lui soulevaient sa petite robe
Le dernier portait sa petite chaise
Elle s'accrocha aux épines des fourrés
Et quand elle fut toute ensanglantée
Elle vint à la fontaine
Trempa ses pieds dans l'eau courante
Et guérit la petite maladie
Puis dans le ciel s'en retourna
Dans la gloire, elle fut couronnée
Et vous, revenez chaque année
Pour lui donner une si belle aubade.
Statue de la Vierge
La statue de la Vierge était sculptée en bois de chêne-liège massif polychrome. Elle représente la Vierge tenant l'enfant Jésus sur son bras gauche. Elle est datée du XVIe siècle. Volée en 1981, elle fut retrouvée à Vintimille et replacée dans sa niche. Des pilleurs l'ont volée à nouveau en 1986 [ selon la Dépêche du ]. Depuis, c'est une copie réalisée par un sculpteur de Nérac Guy Zagni qui a pris sa place...
Politique et administration
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[36].
En 2020, la commune comptait 108 habitants[Note 8], en diminution de 0,92 % par rapport à 2014 (Lot-et-Garonne : −0,72 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Lieux et monuments
- Château fort médiéval
- Église Notre-Dame d'Ambrus du XIIe siècle : fenêtre romane, pignon à 3 arcatures, chapelle moderne ; statue de Notre-Dame XVIe siècle en chêne-liège, sculptures gothiques formant retable. Elle est inscrite à l'Inventaire général du patrimoine culturel[39].
- Fontaine de dévotion (pèlerinage)
Personnalités liées à la commune
Voir aussi
Articles connexes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
- au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- Benedicta Boyrie-Fénié et al. Diccionari toponimic occitan d'Òlt e Garona, InÒc Aquità nia, Institut d'Estudis Occitans 47, edicions Cairn, 2013
- Carte IGN sous Géoportail
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Bruch - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Ambrus et Bruch », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Bruch - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Ambrus et Estillac », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique d'Agen-La Garenne - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique d'Agen-La Garenne - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique d'Agen-La Garenne - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- « Les risques près de chez moi - commune d'Ambrus », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur www.lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
- « Règlement interdépartemental de protection de la forêt contre les incendies. », sur www.landes.gouv.fr (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur www.lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
- « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur www.lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune d'Ambrus », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le )
- « Pour Lucien Massip, ce toponyme dériverait du nom Ambrosius. Ambrus aurait donc désigné, primitivement, il y a deux millénaires le fonds d'Ambrosius. » Maurice Luxembourg, Ambrus et son pèlerinage, Les Amis des Côtes de Buzet, 1971
- « Lòcs / Lieux-dits gascons de Ambrus - Gasconha.com », sur www.gasconha.com (consulté le )
- http://visites.aquitaine.fr/ambrus
- http://genealogie-en-47.fr/Eglises/Eglises/Eglises_Ambrus_01.html
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « Église paroissiale Notre-Dame », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )