Accueil🇫🇷Chercher

1622 en santé et médecine

Événements

  • 23 juillet : Gaspare Aselli (v. 1581-1626), chirurgien et anatomiste italien, découvre les chylifères, qu'il nomme « vaisseaux lactés » en raison de l'aspect laiteux qu'ils présentent lors de la digestion des aliments[1], découverte qui sera publiée à titre posthume, en 1627[2], sous le titre de De lactibus sive lacteis venis[3].
  • « Le Parlement de Provence [ne permet plus le] relâchement des navires provenant du Levant que dans les ports de Marseille et de Toulon, qui sont les seuls à être équipés de lazarets », celui de Toulon venant d'ouvrir[4].

Fondations

  • Fondation de l'Œuvre de la Miséricorde par la congrégation laïque des Dames de la Miséricorde de Montpellier[5].
  • L'hôpital de la Charité de Lyon « ouvre ses portes aux premiers pensionnaires[6] ».
  • « Une chaire de chimie, la première en France, [est] créée à la faculté de médecine de Montpellier[7]. »
  • Ouverture du lazaret de Toulon[4].

Publications

  • Vincenzo Alsario della Croce (v. 1576 – apr. 1632), professeur de médecine pratique à la Sapienza, médecin et camérier particulier du pape Grégoire XV, publie son traité De Quaesitis per epistolam in arte medica[8].
  • Marcus Banzer (de) (1592-1664), médecin allemand, fait paraître à Augsbourg son recueil d'ordonnances médicales sous le titre de Fabrica receptarum[9].
  • Gaspard Bauhin (1560-1624), médecin et naturaliste suisse, publie une flore des environs de Bâle qu'il intitule Catalogus plantarum circa Basileam sponte nascentium[10].
  • Anton Günther Billich (1598-1640), « médecin chimiste antiparacelsiste allemand, archiatre du comte d'Oldenbourg[11] », publie en latin sa « réponse aux remarques d'un anonyme sur les « Aphorismes chimiatriques » » de son beau-père, Angelo Sala (1576-1637[12]).
  • Christophe Cachet (1572-1624), écrivain et médecin, conseiller et archiatre de Lorraine, publie ses Épigrammes équestres[13], satire dirigée contre les alchimistes et les charlatans[14].
  • Sous le titre de Musaeum Francisci Calceolarii[15], les médecins Benedetto Ceruti ( ) et Andrea Chiocco ( ) éditent un catalogue « méticuleusement et admirablement illustré » du « musée » du pharmacien et botaniste italien Francesco Calzolari (1522-1609), cabinet de curiosité entretenu et développé par son arrière-petit-fils, également prénommé Francesco[16].
  • Giacomo Ferrari propose ses « réflexions sur l'épidémie […] de fièvre à pétéchies » qui sévit alors dans la région de Mantoue[17].
  • Charles Guillemeau (1588-1656), fils de Jacques Guillemeau, chirurgien comme son père au service du roi Louis XIII, publie son commentaire des Aphorismes d’Hippocrate ( [18]).
  • David Jouyse (fl. 1620-1622) publie sa virulente réponse au livre de Jean de Lampérière (1573-1651) paru en 1620 « sur le sujet de la peste[19] - [20] - [21] ».
  • Sous le titre de L'Ombre de Nécrophore, vivant chartier de l'Hôtel-Dieu[22], Jean de Lampérière (1573-1651) répond violemment aux critiques que David Jouyse vient de lui adresser dans son Examen du livre de Lampérière[21].
  • Gilles de L'Angélique, alchimiste, apothicaire et chirurgien, fait paraître un traité sur La Vraye Pierre philosophale de médecine[23].
  • John Macollo (1576 ? – 1622), professeur de médecine chimique et médecin ordinaire de Jacques Stuart, fait paraitre à Londres un traité sur la syphilis[24].
  • Publication posthume du Liber responsorum et consultationum medicinalium, d'Alessandro Massaria (1510-1598[25]).
  • Benito Matamoros Vasquez Gallego, professeur de médecine à Osuna, commence à publier un « choix de thèses de médecine », dont le premier tome restera unique (Selectarum medicinae disputationum tomus I[26]).
  • Sous le titre de Discours de l'origine, des mœurs, fraudes et impostures des charlatans, paraît chez Denys Langlois à Paris[27] la traduction française des chapitres 1 à 8 du livre 4[28] du De gli errori popolari d'Italia (1603), de Girolamo Mercurio ( [29]).
  • Tommaso Neri (it) (1560 ? – 1622 ?), publie son De Tyburtini aeris salubritate commentarius, « commentaire sur la salubrité de l'air de Tivoli[30] ».
  • Pierre Potier ou de la Poterie (1587-1640), originaire d'Angers, établi à Bologne, fait paraître une «pharmacopée spagyrique » (Pharmacopoea spagirica[31]).
  • Hubert Arnold Rietmakers, médecin brabançon, donne un traité sur la colique néphrétique et les calculs urinaires (Tractatus de nephritico dolore[32]).
  • Francesco Rossi, médecin génois, fait paraître ses Nocturnae exercitationes in medicas historias[33], réflexions en latin sur l'histoire de la médecine[34].
  • Angelo Sala fait suivre sa Chrysologia, traité contre l’or potable, d'Aphorismes chimiques critiqués la même année par un anonyme et aussitôt défendus par Anton Günther Billich (1598-1640), gendre de Sala[35].
  • Édition à titre posthume du traité sur la mélancolie (Dignotio et cura affectuum melancholicorum) du comosgraphe et historien espagnol Alonso de Santa Cruz (1505-1567) par son fils Antonio Ponce de Santa Cruz (en) (1561-1632), professeur à Valladolid et médecin du roi Philippe IV[36].
  • Antonio Ponce de Santa Cruz (en) (1561–1632), professeur à Valladolid et médecin du roi Philippe IV, fait imprimer à Madrid, en un volume in-folio, des Opuscula medica et philosophica dont le dernier consiste dans l’édition du traité sur la mélancolie de son père, Alphonso de Santa Cruz[37].
  • Devant la menace d'un retour de la peste dans le Milanais, et pour faire profiter de l'expérience qu'il a acquise lors de l'épisode de 1576, Ludovico Settala (1550-1633) reprend des écrits de jeunesse[38] sous le titre de De peste et pestiferis affectibus[39].
  • Parution à Bâle d'une dissertation De philtris, d’Hector Zolicoffer, docteur de la faculté de médecine de Montpellier[40] - [41].

Personnalités

  • Fl. Jean Portays, maître chirurgien à Morannes, dans le Maine[42].
  • Fl. René Béhigné, maître apothicaire à La Flèche dans le Maine[42].
  • 1579-1622 : fl. Tannequin Guillaumet « chirurgien paracelsien de Nîmes, qui donne en 1611 un traité de chirurgie pour l’enseignement des nouvelles doctrines[43] - [44] - [45] ».
  • 1620-1622 : fl. David Jouyse, médecin de peste de la ville de Rouen, accusé par son confrère Jean de Lampérière « d'une méprise qui aurait entraîné la contamination de la demeure [d'un] pestiféré[21] - [19] - [46] ».
  • -1622 : fl. Hector Zollicoffer, docteur en médecine de la faculté de Montpellier en , et auteur d'une dissertation De philtris, publiée à Bâle par Jean-Jacques Genastius en 1622[40] - [47].

Naissances

Décès

  • John Macollo (né vers 1576), professeur de médecine chimique et médecin ordinaire de Jacques Stuart, auteur d'un traité sur la syphilis[24].
  • Michel Maier (né en 1569), médecin et alchimiste allemand, conseiller de l'empereur Rodolphe II[55].
  • Jacques de Marque (né en ), chirurgien français[56].
  • Bernardo Vargas Machuca (es) (né en 1557), homme de guerre, naturaliste et vétérinaire espagnol, auteur en d'une Milicia y descripción de las Indias[57], véritable « guide du conquistador » qui traite, entre autres sujets, des connaissances médicales et des remèdes nécessaires en campagne[58].
  • Ercole Zecchi (né à une date inconnue), docteur en médecine de l'université de Bologne[59] ; éditeur, en , d'un traité des urines (De urinis brevis et pulcherrima methodus) rédigé par son oncle Giovanni Zecchi (-[60]).
  • 1622 ? : Thoma de Neris (né vers 1560), auteur d'un « commentaire sur la salubrité de l'air de Tivoli » (De Tyburtini aeris salubritate commentarius) paru en 1622[61].
  • 1622 ou 1624 : Jean Auvray (né en 1580 ou 1590), chirurgien et poète rouennais[62].

Références

  1. Charles Richet, « La Découverte de la circulation du sang », Revue des Deux Mondes, vol. 33, , § V, p. 697 (lire en ligne).
  2. Gilles Percebois, « Le Fonds ancien de la bibliothèque de la faculté de médecine de Nancy », Bulletin de l'académie et de la société lorraine des sciences, (lire en ligne).
  3. Édition de 1640 : (la) Gaspare Aselli, De lactibus, sive lacteis venis, quarto vasorum mesaraicorum genere, novo invento Gasparis Asellii Cremonensis, anatomici Ticinensis, dissertatio, qua sententiae anatomicae multae, vel permeram receptae convelluntur, vel parum perceptae illustrantur, Lugduni Batavorum [à Leyde], ex officina Iohannis Maire [des ateliers de Jean Maire], ciƆ.iƆc.xl [1640] (lire en ligne).
  4. Hugo Stahl, « Le Droit face aux circonstances sanitaires exceptionnelles : La Peste de 1720 en Provence », Revue des droits et libertés fondamentaux, chronique no 26, (lire en ligne).
  5. Charlot Colette, « L'Œuvre de la Miséricorde de Montpellier : Son histoire et celle de son apothicairerie » (actes du XXXIe congrès international d'histoire de la pharmacie (Paris, 25-29 septembre 1995)), Revue d'histoire de la pharmacie, vol. 84, no 312, , p. 121-122 (lire en ligne).
  6. « L'Hôpital de la Charité », dans Patrimoine Lyon, Lyon, Association Historical Cities, s. d. (lire en ligne).
  7. Jean-Claude Dubé, « L'Intérêt d'un médecin de province au XVIIe siècle pour les eaux minérales et les monstres », Bulletin canadien d'histoire de la médecine (CBMH/BCHM), vol. 15, no 2, , p. 341 (lire en ligne).
  8. (la) Vincenzo Alsario della Croce, De quaesitis per epistolam in arte medica centuriae quatuor, ubi varii casus, observationes, consilis, responsa, disputationes atque curationes non sine promiscua doctrina describuntur, Vincentio Alsario Crucio Genvense auctore, Venetiis [à Venise], apud Juntas [chez les [héritiers de Lucantonio] Giunta], m dc xxii [1622], in-folio (lire en ligne).
  9. (la) Marcus Banzer, Fabrica receptarum, id est Methodus brevis, perspicua ac facilis, in qua quae sint remediorum compositorum formae, quae arundem d[i]fferentiae, quae componendi et praescribendi ratio, quae denique utilitas, atq[ue] quis utendi modus, planissime edocetur, conscripta, opera et studio Marci Banzeri Augustani in patria medici, Augustae Vindelicorum [à Augsbourg], ex officina typographica Andreae Apergeri [des presses d'Andrea Aperger], anno m dc xxii [l'an 1622], XXXIII−663 p. et la table, In-8° (lire en ligne).
  10. (la) Gaspard Bauhin, Caspari Bauhini Basil[eae] archiatri Catalogus plantarum circa Basileam sponte nascentium, cume earundem synonymiis et locis in quibus reperiuntur, in usum scholae medicae quae Basileae est, [etc.], Basileae [à Bâle], typis Johan[nis] Jacobi Genathii [sur les presses de Johan Jacob Genath], , 113 p., in-8° (lire en ligne).
  11. Guy Patin et Loïc Capron (éd.), Correspondance complète et autres écrits de Guy Patin, Paris, Bibliothèque interuniversitaire de santé, (lire en ligne), « À Johannes Antonides Vander Linden, le 31 août 1657 », n. 28.
  12. (la) Anton Günther Billich, Ad animadversiones quas anonymus quidam in Angeli Salae Aphorismos chymiatricos conscripsit, Antoni Guntheri Billichii Frisii responsio, Lugduni Batavorum [à Leyde], excudebat Godefridus Basson [imprimé par Gottfried Basson, anno m.dc.xxii [1622], 101 p., in-8° (lire en ligne).
  13. (la) Christophe Cachet, Christophori Cacheti Lotaringi archiatri Exercitationes equestres in epigrammatum centurias sex distinctae, quarum [...] sexta circa res medicas occupatur ; his accesserunt Elegiae duae, prima De Morte Pcassione Christi, altera De Assumptione Deiparae Virginis, Nanceii [à Nancy], typis Anthonii Charlot, sumptibus Claudii Ludovici [imprimé par Antoine Charlot pour Claude Ludovic], m.dc.xxii [1622], in-8° (lire en ligne).
  14. Pierre Labrude et Jean Floquet, « Christophe Cachet, médecin lorrain des XVIe et XVIIe siècles », Les Lettres du musée de Nancy, no 65, (lire en ligne).
  15. (la) Benedetto Ceruti et Andrea Chiocco, Musaeum Franc[isci] Calceolarii Jun[ioris] Veronensis a Benedicto Ceruto medico incaeptum, et ab Andrea Chiocco med[ico] physico excellentiss[imi] collegii luculenter decriptum et perfectum, in quo multa ad naturalem moralemque philosophiam spectantia, non pauca ad rem medicam pertinentia erudite proponuntur et explicantur, non sine magna rerum exoticarum supellectile quae artifici plane manu in aes incisae studiosis exhibentur, Veronae [à Vérone], apud Angelum Tamum [chez Angelo Tami], ciƆ iƆ c xxii [1622], [50]−746 p., fig., in-fol. (lire en ligne).
  16. (it) Giuliano Gliozzi, « Calzolari, Francesco », dans Dizionario biografico degli Italiani, vol. 17, Istituto Treccani, (lire en ligne).
  17. (it) Giacomo Ferrari, Cronologiche e fisiche reflessioni sopra la corrente epidemia, o mali popolari e febri maligne con pettecchie, di Giacomo Ferrari, fisico mantouano [etc.], in Mantova [à Mantoue], appresso Aurelio e Lodovico Osanna fratelli [chez les frères Aurelio et Lodovico Osanna, m.dc.xxii [1622], 22 p., in-4° (lire en ligne).
  18. (fr + la) Hippocrate et Charles Guillemeau (éd.), Aphorismes de chirurgie, tirez d’Hippocrate, avec les commentaires nouvellement mis en lumière par Charles Guillemeau, chirurgien ordinaire du roy, à Paris, chez Abraham Pacard, m.dc.xxii [1620], pièces limin., 462 p., table, errata et privilège, in-12 (lire en ligne).
  19. Jean de Lampérière, Traité de la peste, de ses causes et de sa cure, avec les moyens de s'en preserver et les controverses sur ce sujet, divisé en deux parties, par Jean de Lamperiere, medecin, à Rouen, de l'imprimerie de David du Petit Val, m.dc.xx [1620] (lire en ligne).
  20. David Jouyse, Examen du livre de Lamperiere sur le sujet de la peste, avec un Bref et fidelle discours de la preservation et cure de la maladie, suivy d'un Advertissement adressé à Lamperiere, ouvrage autant enrichi de la Sagesse des cabalistes et philosophes hermetiques [etc.], par David Jouyse, docteur en medecine et cy devant employé à la cure des malades de contagion en la ville de Rouen, à Rouen, chez David Geuffroy, m. dc.xxii [1622], pièces limin., 327 p., in-8° (lire en ligne).
  21. Élisabeth Belmas, « Pouvoir politique et catastrophe sanitaire : La « Publication » des épidémies de peste dans la France moderne », Parlement[s] : Revue d'histoire politique, no 25, , p. 32-54, [§ 6 en ligne] (lire en ligne).
  22. Jean de Lampérière, L'Ombre de Nécrophore vivant chartier de l'hostel Dieu, au sieur Jouyse, medecin deserteur de la peste, sur la sagesse de sa cabale et autres grippes de son exament, à Rouen, chez David Ferrant, m.dc.xxii, pièces limin. et 296 p., in-16 (lire en ligne).
  23. (la) Gilles de L'Angélique, La vraye pierre philosophale de medecine, heureusement trouvée par le moyen de l'alliance des sept planètes dominatrices, conservatrices et protectrices des corps humains, verifiée par les admirables vertus et effects miraculeux de la confection angelique, remede donné du Ciel pour la guarison des maladies rebelles et pour asseuré preservatif contre les ennemis de nostre santé [...], par le sieur de l'Angelique, maistre apoticaire, operateur, oculiste et chirurgien françois, à Paris, chez Louys Boulanger, m.dc.xxii, 8-[15-1 bl.]-400-[16] p., in-12 (lire en ligne).
  24. (la) John Macollo, Iatria chymica, exemplo therapeiae luis venereae illustrata, authore Joanne Macollone, medico regio ordinario, Londini [à Londres], apud Joannem Billium [chez John Bill], m.dc.xxii [1622], pièces limin., 250 p., in-8° (BNF 30854951).
  25. Alessandro Massaria, Alexandri Massariae Vincentini, medici aetatis nostrae clarissimi, Liber responsorum et consultationum medicinalium, nunc primum collectus et in lucem editus [etc], Lugduni [à Lyon], sumptibus Laurentii Durand [chez Laurent Durand], m.dc.xxii [1622], 104 p., in-4° (lire en ligne).
  26. (la) Benito Matamoros Vazquez Gallego, Selectarum medicinae disputationum tomus I, in quo praeter ea quae de febrium theoria, coctione et putredine et aliis ex professo disputantur, plura etiam alia difficillima ad utranque mediciane partem spectantia obiter disquiruntur, authore Benedicto Matamoros Vazquez Callego, medicae doctore et in Ursaonensi Academia olim philosophiae, nunc vero primariae medicinae cathedrae autecessore, Sancta Inquisitionis Hispalensis familari [etc], Ursaonae [à Osuna], apud Joannem Serrano de Vargas [chez Juan Serrano de Vargas], anno 1622 [l'an 1622], pièces limin., 554 p., table, in-fol. (lire en ligne).
  27. Girolamo Mercurio, Discours de l'origine, des mœurs, fraudes et impostures des ciarlatans, avec leur descouverte, dedié à Tabarin et Desiderio de Combes, par I. D. P. M. O. D. R. [« De gli errori popolari d'Italia »], à Paris, chez Denys Langlois, m.dc.xxii [1622], [2]−51 p., in-8° (lire en ligne).
  28. « Mercurio, Girolamo (15..-1615), Discours de l'origine, des moeurs, fraudes et impostures des ciarlatans », BNF 30523927.
  29. (it) Girolamo Mercurio, De gli errori popolari d'Italia libri sette, divisi in due parti [etc.], dell'eccellentissim[o] sig[nor] Scipione Mercurii [Girolamo Mercurio], filosofo, medico et cittadino romano, Venetia [à Venise], appresso Gio[vanni] Battista Ciotti Senese [chez Giovanni Battista Ciotti de Sienne], m.dciii [1603] (lire en ligne).
  30. (la) Tommaso Neri (it), De Tyburtini aeris salubritate commentarius, auctore Thoma de Neris medico, Romae [à Rome], apud Alexandrum Zannettum [chez Alessandro Zannetti], , pièces limin. et 111 p., planche, in-8° (lire en ligne).
  31. Catherine Désos, « Réseau et clientèle au sein du corps médical français de Philippe V », dans José Manuel de Bernardo Ares (dir.) et Juana Salado Santos (dir.), Actes du séméinaire organisé par la faculté de philosophie et de lettre de Cordou Biografías fabricadas con palabras, palabras que hacen Historia, (lire en ligne), p. 17, n. 5.
  32. (la) Hubert Arnold Rietmakers, Tractatus de nephritico dolore, in quo essentia, differentiae, causae, signa et curatio calculi et arenularum explanantur, opera Huberti Arnoldi Rietmakers, medici Thenensis, Lovanii [à Louvain], apud Henricum Hastenium [chez Hendrik van Haestens], ciƆ.iƆc.xxii [1622], 80 p., in-4° (lire en ligne).
  33. (la) Francesco Rossi, Nocturnae exercitationes in medicas historias, quae plurimum conducunt ad artem praedicendi in morbis acutis, auctore Francisco Rubeo medico ac philospho civiq[ue] Genuensi, Genuae [à Gênes], apud Josephum Pavonem [chez Giuseppe Pavoni], mdcxxii [1622] (lire en ligne).
  34. (it) Giovanni Battista Spotorno (it), Storia letteraria della Liguria, t. 3, Gênes, Ponthenier, (lire en ligne), chap. 4 : « Medici, chirurgi, filosofi », p. 229.
  35. (la) Angelo Sala, Angeli Salae Vicentini, Veneti chymiatri celeberrimi, Chrysologia, seu Examen auri chymicum, in quo demonstratur auro nec inesse substantiam aliquam potabilem, nec illud arte spagyrica transmutari posse in substantiam aquosam, oleosam, vel salinam, et quid proprie intelligatur per aurum potabile. adjecti sunt in fine ejusdem Aphorismi chymiatrici recogniti, Hamburgi [à Hambourg], impensis Henr[ici] Carstens [chez Heinrich Carstens], anno m.dc.xxii [l’an 1622], 2 parties en 1 vol. in-8°, titre à encadr. gr. (lire en ligne).
  36. (la) Alonso de Santa Cruz et Antonio Ponce de Santa Cruz (en) (éd.), Dignotio et cura affectuum melancholicorum, autore doctore Alphonso de Sancta-Cruce, Matriti [à Madrid], apud Thomam Juntam [chez Tomás Giunta], anno m.dc.xxii [l'an 1622], 44 p. (lire en ligne).
  37. (la) Antonio Ponce de Santa Cruz (en), Opuscula medica et philosophica [...], autore Antonio Ponce Santacruz olim primario Villisoletano, nunc autem a cubiculo ejusdem Philippi Quarti Regis Catholici, et protomedico generali [etc.], Matriti [à Madrid], apud Thomam Juntam [chez Tomás Giunta], anno m.dc.xxiiii [l'an 1624], 4 parties en 1 vol. ([16]-305-[1 bl.-1-1 bl.], [12]-190, [7-1 bl.]-142-[1-1 bl.], [4]-44 p.) (lire en ligne) (c’est l’ouvrage de 1622 : le premier titre seul a été réimprimé).
  38. (it) Giorgio Giacomo Mellerio, « Settala Ludovico », dans Dizionario biografico degli Italiani, vol. 92, Istituto Treccani, (lire en ligne).
  39. (la) Ludovico Settala, Ludovici Septalii medici Mediolanensis, De peste et pestiferis affectibus libri quinque [suivi de] Erectio magistratus sanitatis cum institutis ei rei consentaneis, Mediolani [à Milan], apud Joannem Baptistam Bidellium [chez Giovanni Battista Bidelli], m.dc.xxii [1622], pièces limin., 343 p. et index, in-4° (lire en ligne).
  40. Jean Astruc et Anne-Charles Lorry (éd.), Mémoires pour servir à l'histoire de la faculté de médecine de Montpellier, Paris, chez Pierre Guillaume Cavelier, (lire en ligne), « Hector Zollicoffer », p. 364.
  41. (la) Hector Zolicoffer, De philtris, Bâle, Jean-Jacques Genastius, , in-4°.
  42. « Carré D4 : La Renardière (château, croix, arbres remarquables) », dans Recensement du patrimoine, Association pour la sauvegarde du patrimoine de Bazouges-Cré et environs, s. d. (lire en ligne).
  43. Evelyne Berriot-Salvadore, « La Littérature médicale en français de 1601 à 1700 », dans Histoire de la santé, bibliothèques de l'université de Paris, (lire en ligne).
  44. Tannequin Guillaumet, Livre xenodocal, c'est-à-dire hospitalier, ou Lieu de pauvre séjour, utile et nécessaire à tous chirurgiens, recueilly selon la doctrine nouvelle et ancienne par T[annequin] Guillaumet, chirurgien du roy, doyen et m[aistre] juré en la cité de Nîmes, Lyon, Pierre Rigaud, (lire en ligne).
  45. Tannequin Guillaumet, Traicté des ouvertures, trous et ulceres spontanees selon la doctrine nouvelle et ancienne, diligemment recueilly de divers autheurs par T[annequin] Guillaumet, chirurgien du roy, doyen et maistre juré en la cité de Nîmes, Lyon, Pierre Rigaud, (lire en ligne).
  46. David Jouyse, Examen du livre de Lamperiere sur le sujet de la peste, avec un Bref et fidelle discours de la preservation et cure de la maladie, suivy d'un Advertissement adressé à Lamperiere, ouvrage autant enrichi de la Sagesse des cabalistes et philosophes hermetiques [etc.], par David Jouyse, docteur en medecine et cy devant employé à la cure des malades de contagion en la ville de Rouen, à Rouen, chez David Geuffroy, m. dc.xxii [1622], pièces limin., 327 p., in-8° (lire en ligne).
  47. Nicolas Éloy, Dictionnaire historique de la médecine ancienne et moderne, t. 4, Mons, H. Hoyois, , 628 p. (lire en ligne), « Zollicoffer (Hector) », p. 619.
  48. Julie Roy, « Marie Pournin », dans Dictionnaire des femmes de l'ancienne France, Société internationale pour l'étude des femmes de l'Ancien Régime, (lire en ligne).
  49. « Haendel, Georg (1622-1697) », BNF 14800170.
  50. Florence Catherine et Simone Mazauric (dir.), La Pratique et les Réseaux savants d’Albrecht von Haller (1708-1777), vecteur du transfert culturel entre les espaces français et germaniques au XVIIIe siècle (thèse pour le doctorat d'histoire présentée et soutenue le 18 septembre 2009), université de Nancy 2, , 634 p. (lire en ligne), p. 101.
  51. François Lebrun, « Médecins et empiriques à la cour de Louis XIV », Histoire, économie et société, vol. 3, no 4 « Santé, médecine et politiques de santé », , p. 564-565 (lire en ligne).
  52. (la) Jean Pecquet, Ioannis Pecqueti Diepaei Experimenta nova anatomica, quibus incognitum hactenus chyli receptaculum, et ab eo per thoracem in ramos usque subclavios vasa lactea deteguntur, ejusdem Dissertati anatomica de circulatione sanguinis et chyli motu [etc.], Parisiis [à Paris], apud Sebastianum Cramoisy et Gabrielem Cramoisy [chez Sébastien Cramoisy et Gabriel Cramoisy], m.dc.li [1651] (lire en ligne).
  53. « Jean Pecquet : Résumé et conclusion de la thèse du docteur Bertrand Lalardrie [référence : Bertrand Lalardrie, Jean Pecquet (1622-1674) (thèse pour le doctorat en médecine), Paris, faculté de médecine Pitié-Salpêtrière, ] », Histoire des sciences médicales, vol. 19, no 3, , p. 219-221 (lire en ligne).
  54. Jean-François Thurloy et Jean-Claude Dupont (dir.), Pourfour du Petit (1664-1741) ou les Prémices de la physiologie expérimentale : Un homme au cœur du renouveau médical au siècle des Lumières (thèse soutenue le 6 juin 2018 en vue d'obtenir le doctorat en philosophie de l'université de Picardie Jules-Verne), Amiens, , 413 p. (lire en ligne).
  55. Ulrich Neumann, « Michel Maier (1569-1622), « philosophe et médecin » », dans Jean-Claude Margolin (dir.) et Sylvain Matton (dir.), Alchimie et philosophie à la Renaissance (actes du colloque international de Tours (4-7 décembre 1991)), Paris, librairie philosophique J. Vrin, coll. « De Pétrarque à Descartes » (no 57), (ISBN 2-7116-1172-8, lire en ligne), p. 307-326 et suiv..
  56. Guy Patin, « Lettre à Johann Georg Wolckamer, le 4 décembre 1664, note 1 », dans Correspondance complète et autres écrits de Guy Patin, édités par Loïc Capron (lire en ligne).
  57. (es) Bernardo Vargas Machuca (es), Milicia y descripcion de las Indias, por el capitan don Bernardo de Vargas Machuca, cavallero Castellano, natural de la villa de Simancas, en Madrid [à Madrid], en casa de Pedro Madrigal [chez Pedro Madrigal], año m. d. xcix [l'an 1599] (lire en ligne).
  58. (es) Felipe Piatoste y Rodriguez, Apuntes para una biblioteca cientifica espanola del siglo XVI, Madrid, Manuel Tello, , 420 p. (lire en ligne), « Vargas Machuca (Bernardo) », p. 324 et 325.
  59. (it) Serafino Mazzetti, Memorie storiche sopra l'universita e l'istituto delle scienze di Bologna, Bologne, tipi di S. Tommaso d'Aquino, , 456 p. (lire en ligne), p. 391.
  60. (la) Giovanni Zecchi et Ercole Zecchi (éd.), Joannis Zecchii, [...] De urinis brevis et pulcherrima methodus, cui De laterali dolore cum febre putrida necnon mali moris tractatus et Consultatio accedunt [...] Herculis Zecchii, ejus nepotis [...] opera et studio in lucem edita, cum indicibus copiosis, Bononiae [à Bologne], haeredes J. Rossii [chez les héritiers de Giovanni Rossi], , pièces limin., 86 p., in-4° (BNF 31683422).
  61. (la) De Tyburtini aeris salubritate commentarius, auctore Thoma de Neris medico, Romae [à Rome], apud Alexandrum Zannettum [chez Alessandro Zannetti], , pièces limin. et 111 p., planche, in-8° (lire en ligne).
  62. « Auvray, Jean (1580?-1624?) », Notices de type « personne », Identifiants et référentiels pour l'enseignement supérieur et la recherche (lire en ligne).
Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.