L'École nationale supérieure Louis-Lumière (ou ENS Louis-Lumière) est une école de cinéma, de photographie et de son française, fondée en 1926 et installée depuis 2012 à la Cité du cinéma à Saint-Denis.
Fondation |
1926 (comme École technique de photographie et de cinéma (ETPC)) |
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Type |
Établissement public d'enseignement supérieur Établissement public à caractère administratif (EPA) |
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144 |
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Elle est historiquement la deuxième école de cinéma au monde après la VGIK (Moscou, Russie) et la plus ancienne des six écoles de l'enseignement supérieur public français où sont enseignés les métiers du cinéma (avec la FEMIS à Paris, la CinéFabrique à Lyon, Image & Son à Brest, le SATIS à Aubagne, l'Institut européen du cinéma et de l'audiovisuel (IECA) à Nancy et l'École nationale supérieure de l'audiovisuel (ENSAV) à Toulouse.
L'ENS Louis-Lumière est membre de l'Université Paris-Lumières (UPL), communauté d'universités et établissements créée par l'université Paris 8 Vincennes - Saint-Denis et l'université Paris Nanterre[2]. Elle est également impliquée dans l'École universitaire de recherche ArTeC, depuis sa création en 2018 par l'UPL[3].
Sommaire
Historique
Créée en 1926[4] sous l'impulsion de personnalités comme Louis Lumière ou Léon Gaumont, initialement sous le nom d'« École technique de photographie et de cinéma » (ETPC)[5] puis devenue l'« École nationale de photographie et cinématographie » (ENPC)[6], cette école professionnelle de grande renommée fut installée au 85, rue de Vaugirard à Paris pour sa première rentrée des élèves en , jusqu'en 1973, d'où son surnom de « Vaugirard »[7],[8]. En 1967 il est prévu que l'école s'installe à Saint-Germain-en-Laye, finalement elle ira s'installer rue Rollin, dans le 5e arrondissement[6] jusqu'en 1989.
L'école a occupé de 1989 à un ensemble de 8 000 m2 situé à Noisy-le-Grand (Seine-Saint-Denis), au sein d'un dispositif économique et universitaire qui comprenait entre autres, l'université Paris-Est Marne-la-Vallée et l'Institut national de l'audiovisuel (INA).
Les études sont sanctionnées par le CAP en section photographie depuis 1945 jusqu'en 1963, où l'examen du Brevet de maîtrise a du être annulé et reporté à 1966 en même temps que le BTS.
Le , la ComUE Université Paris-Lumières et l'ENS Louis-Lumière annoncent la création de l'École universitaire de recherche ArTeC, pour Arts, Technologie et Création, faisant suite à l'obtention d'un financement de 10 ans par le programme d’investissements d'avenir (PIA) du Ministère de l'Enseignement supérieur, de la Recherche et de l'Innovation pour la fondation d’une « École Universitaire de Recherche »[9],[10].
Formation Initiale
Établissement public placé sous la tutelle du ministère de l'Enseignement supérieur, de la Recherche et de l'Innovation, l'ENS Louis-Lumière délivre trois Masters (cinéma, photographie et son), à vocation professionnalisante, alliant théorique et pratique, technique et artistique. L'école recrute à bac+2 et après trois années d’enseignement, délivre un diplôme de niveau bac+5 valant grade de Master[11].
Masters
Cinéma
Le premier semestre est consacré à construire le socle de connaissances artistiques, techniques et scientifiques susceptibles d'être mobilisées tout au long du cursus. Les étudiants devront également assimiler des savoirs fondamentaux sur les images et leur processus de création dans la perspective du passage à la pratique.
Le semestre 2 est orienté vers la prise en main de l'outil de travail et vers l'initiation aux savoir-faire de base des métiers du cinéma. Il est constitué en grande partie d'exercices de tournage consacrés aux bases de la grammaire cinématographique en fiction et documentaire.
Les semestres 3 et 4 sont destinés à approfondir l'intention technique et artistique avec des exercices plus spécifiquement liés à l'image et des projets de courts métrages de plus en plus conséquents.
Ils se caractérisent également par des cours théoriques plus poussés, orientés vers les problématiques de la profession et une initiation au travail de recherche.
Le semestre 5 s'articule autour d'options qui varient selon les années, et peuvent devenir un débouché professionnel. C'est également un semestre propice aux échanges européens et internationaux. La relation avec le monde professionnel reste très présente.
Options (2019/2020) :
- Image, sous la direction de Éric Guichard ;
- Documentaire, sous la direction de Vincent Dieutre ;
- ENSAD, en partenariat avec l'ENSAD.
Le semestre 6 est entièrement consacré à la réalisation du mémoire composé d'une partie écrite et d'une partie pratique. Il donne la possibilité aux étudiants de faire un travail documenté avec pour objectif de développer, approfondir et théoriser une problématique liée au son, aux concepts qui président à la création ou à ceux qui mettent en œuvre les processus de fabrication. Cette démarche, encadrée par des professionnels et des enseignants, favorise l'insertion professionnelle aussi bien que la poursuite des études doctorales.
Son
Les deux premiers semestres consistent en l'acquisition de connaissances dans les domaines scientifiques et techniques, artistiques et culturels. Lors de travaux pratiques dirigés, dont certains sont communs à ceux de la spécialité Cinéma, sont enseignées les bases de la prise de son et de la post-production pour l'image, la musique et la radio.
Ces fondamentaux se prolongent aux semestres 3 et 4 qui sont consacrés à l'approfondissement des notions théoriques et au perfectionnement des savoir-faire par de nombreux exercices pratiques et des mises en situation professionnelle (tournages, enregistrements musicaux, post-productions, documentaires radiophoniques…).
Chaque étudiant doit effectuer un stage en fin de semestre 4. Immergé dans le milieu professionnel, il prolonge ainsi sa formation dans un secteur spécifique de son choix qui le conduit naturellement à une réflexion sur son projet personnel et professionnel.
Le semestre 5 s'articule autour d'options qui varient selon les années, et peuvent devenir un débouché professionnel. C'est également un semestre propice aux échanges européens et internationaux. La relation avec le monde professionnel reste très présente.
Options (2018/2019) :
- Son pour le cinéma et la TVHD ;
- Scénographie sonore ;
- Sonorisation.
Ces options ont pour objectif l'approfondissement des connaissances et des savoir-faire dans un domaine professionnel spécifique avec ses contraintes de production.
Le semestre 6 est entièrement consacré à la réalisation du mémoire composé d'une partie écrite et d'une partie pratique. Il donne la possibilité aux étudiants de faire un travail documenté avec pour objectif de développer, approfondir et théoriser une problématique liée au son, aux concepts qui président à la création ou à ceux qui mettent en œuvre les processus de fabrication. Cette démarche, encadrée par des professionnels et des enseignants, favorise l'insertion professionnelle aussi bien que la poursuite des études doctorales[12].
Photographie
Le recrutement de l'école, ouvert à tous types de formation, implique une première année de mise à niveau : celle-ci assure et homogénéise les connaissances fondamentales de chaque étudiant admis (bases techniques et esthétiques). Elle met en valeur la polyvalence des savoirs et savoir-faire, conçue comme une plateforme en vue d'une grande adaptabilité.
Le seconde année est constituée majoritairement par des ateliers (projet de commande, workshops en studio et extérieur) qui incitent l'étudiant à autonomiser sa pratique (prise de vue et post-production, ainsi qu'une réflexion de fond sur son projet professionnel).
La dernière année est consacrée, pour son premier semestre, à une spécialisation appliquée à un projet professionnalisant (option). C'est également un semestre propice aux échanges européens et internationaux.
Options (2018-2019) :
- Dispositifs éditoriaux transmedia ;
- Nouvelles écritures audiovisuelles.
Le cursus, sur les trois ans, implique un projet professionnel personnalisé qui se matérialise notamment par deux stages obligatoires en fin de première et de seconde année.
Le semestre 6 est entièrement consacré à la réalisation du mémoire composé d'une partie écrite et d'une partie pratique. Il donne la possibilité aux étudiants de faire un travail documenté avec pour objectif de développer, approfondir et théoriser une problématique liée à la photohraphie, aux concepts qui président à la création ou à ceux qui mettent en œuvre les processus de fabrication. Cette démarche, encadrée par des professionnels et des enseignants, favorise l'insertion professionnelle aussi bien que la poursuite des études doctorales[13].
Carrières et débouchés
La vocation de l’ENS Louis-Lumière est de former des professionnels de l’image et du son à haut niveau (bac+ 5). Depuis , l'établissement confère le grade de master. De son côté, le service de la formation professionnelle continue propose des stages courts dans les domaines du cinéma, du son et de la photographie. L'ENS Louis-Lumière participe également à des activités de recherche appliquée, dans le domaine des technologies de l’image et du son.
L'enseignement « cinéma » prépare aux métiers de l'image comme directeur de la photographie, cadreur ou assistant opérateur et prépare également au métiers de la post-production (industries techniques, effets spéciaux) du cinéma et de l'audiovisuel.
L'enseignement « son » forme aux métiers techniques et artistiques du son tels que preneur de son, monteur son, mixeur ou ingénieur du son, en rapport étroit avec les secteurs de l'image mais aussi avec le monde musical, le spectacle vivant et la radio.
L'enseignement « photographie » couvre un nombre significatif de pratiques professionnelles. Parmi ces orientations, on peut citer les métiers de la prise de vue (photographe pour la presse, l'édition, l'industrie, les institutions…), de la post-production (traitement physique ou chimique des images), de la gestion des systèmes (contrôle de la qualité, organisation des flux, réalisation de bases de données, mise en ligne des images…), du support technique ou commercial (industrie, distribution), du journalisme spécialisé (presse professionnelle), de la formation et de la recherche.
L'école accompagne l'insertion professionnelle de ses jeunes diplômés par la mise en réseau des anciens élèves et encourage une politique de compagnonnage grâce à l'association des anciens élèves, ALL[14].
Directeurs
- Paul Montel de 1927 à 1946.
- Robert Mauge (1927-2014), de 1947 à 1962.
- Gérard Delaisement (1920-2013), de 1962 à 1964.
- Pierre Philibert, à partir de 1965.
- Adrien Touboul, de 1965 à 1987.
- Helios Privat, de 1987 à 1990.
- Henri Frizet, de 1991 à 1996.
- Georges Dadoune, de 1996 à 2001.
- Jacques Arlandis, de 2002 à 2007.
- Francine Lévy, de 2007 à 2017.
- Vincent Lowy, depuis septembre 2017.
Anciens élèves notoires
De nombreux professionnels de renom sont sortis de cette école, parmi lesquels :
- Philippe Agostini (chef opérateur)
- Yves Angelo (chef opérateur et réalisateur)
- Tran Anh Hung (réalisateur)
- Jean-Jacques Annaud (réalisateur)
- Claire Atherton (monteuse)
- Bernard Aubouy (ingénieur du son)
- Pierre Bachelet (chanteur)
- Yves Barsacq (comédien, acteur)
- Pierre Berdoy (photographe)
- Charles Bitsch (chef opérateur et réalisateur)
- Noëlle Boisson (monteuse)
- Jean Boffety (chef opérateur)
- Hugo Boris (écrivain)
- René Bouillot (journaliste et auteur)
- Marc Boulet (écrivain)
- Léon Bouzerand (photographe, Photo, promotion 1932)
- Cheick Fantamady Camara (réalisateur)
- Ghislain Cloquet (chef opérateur)
- Philippe Cousteau (chef opérateur et réalisateur)
- Philippe de Broca (réalisateur)
- Remy Chevrin (chef opérateur)
- Henri Decaë (chef opérateur)
- Jacques Demy (réalisateur)
- Bertrand Desprez (photographe, Photo, promotion 1988)
- Jean-Claude Diamant-Berger (poète)
- Jaco van Dormael (réalisateur)
- Jean-Yves Escoffier (chef opérateur)
- Louis Fattal + (Portraitiste, promotion 1952)
- Stéphane Fontaine (chef opérateur)
- Louis de Funès (acteur)
- Pierre Gamet (ingénieur du son)
- Éric Gautier (chef opérateur)
- Hervé Gloaguen (photographe), en 1958
- Bernard Guiraud (écrivain)
- Henri Helman (réalisateur, scénariste)
- Dominique Hennequin (mixeur)
- Nicolas Herdt (réalisateur, chef opérateur)
- Julien Hirsch (chef opérateur)
- Jacques Hoden (photographe)
- Michel Houellebecq (écrivain)
- Parviz Kimiavi (réalisateur)
- Gérard Lamps (ingénieur du son)
- Jeanne Lapoirie (cheffe opératrice)
- Jos Le Doaré (1904-1976), (photographe, éditeur), entré à l'école en 1927
- Pierre Lhomme (chef opérateur)
- William Lubtchansky (chef opérateur)
- Yvon Marciano (chef opérateur, réalisateur)
- Alain Maury (astronome) (astronome et photographe)
- Henri Moline (réalisateur, ingénieur du son)
- Bernard Musson (acteur, photo 1946)
- Gaspar Noé (réalisateur)
- Euzhan Palcy (réalisatrice)
- Antonin Peretjatko (réalisateur)
- Hugues Poulain (chef opérateur)
- Philippe Rousselot (chef opérateur)
- Françoise Saur (photographe, prix Niépce 1979)
- Paul Savatier (romancier, comédien, scénariste)
- Albert Schimel (directeur de la photographie)
- Franck Schneider (producteur et réalisateur)
- Eduardo Serra (chef opérateur)
- Bob Swaim (réalisateur)
- Marianne Tardieu (réalisatrice et cheffe opératrice)
- Pierre Tchernia (réalisateur et animateur de télévision)
- Claude Zidi (réalisateur)
- Fred Zinnemann (réalisateur)
- Bernard Zitzermann (chef opérateur)
- France Keyser (photographe)
Depuis la création de l'Académie des arts et techniques du cinéma (Académie des César) en 1975, d'anciens élèves sont nommés ou récompensés chaque année pour la photographie, le son, le montage ou la réalisation.
Parmi les lauréats :
- Yves Angelo (Ciné, promotion 1975), César de l'image 1990 pour Nocturne indien ; César de l'image 1992 pour Tous les matins du monde ; César de l'image 1994 pour Germinal ;
- François Groult (Son, promotion 1975), César du son 2000 pour Jeanne d'Arc de Luc Besson ;
- Gérard Lamps (Son, promotion 1968), César du son 2006 pour La Marche de l'empereur de Luc Jacquet ; César 2004 pour Pas sur la bouche d'Alain Resnais ; César du son 2001 pour Harry, un ami qui vous veut du bien de Dominik Moll ;
- Nicolas Cantin (Son, promotion 1994), Nicolas Naegelen (Son, promo.1983) et Daniel Sobrino (Son, promo.1994), César du son 2005 pour Les Choristes de Christophe Barratier ;
- Noëlle Boisson (Ciné, promotion 1966), César du montage 2005 pour Deux frères de Jean-Jacques Annaud ;
- Julien Hirsch (Ciné,promotion 1988), César de l'image 2007 pour Lady Chatterley de Pascale Ferran ;
- Éric Gautier (Ciné, promotion 1982), César de l'image 2009 pour Un conte de Noël d'Arnaud Desplechin ; César 1999 pour Ceux qui m'aiment prendront le train de Patrice Chéreau ;
- Pierre Pinaud (Ciné, promotion 1992), César 2009 du court-métrage Les Miettes de Pierre Pinaud ;
- Hervé Buirette (Son, promotion 1979) et Jean Minondo, César 2009 pour la saga Jacques Mesrine de Jean-François Richet ;
- Stéphane Fontaine (Ciné, promotion 1985), César de l'image 2010 pour Un prophète de Jacques Audiard ; César 2006 pour De battre mon cœur s'est arrêté de Jacques Audiard ;
- Selim Azzazi (Son, promotion 1999), César 2010 pour Le concert de Radu Mihaileanu ;
- Daniel Sobrino (Son, promotion 1994), César du son 2011 pour Gainsbourg, vie héroïque de Joann Sfar ;
- Claire Mathon (Cinéma, promotion 1998), César de l'image 2020 pour Portrait de la jeune fille en feu de Céline Sciamma.
En 1938, l'Association amicale des anciens élèves de l'école technique de photographie et de cinématographie a été créée par des jeunes gens fraîchement sortis de l'école. Elle a depuis été renommée Anciens élèves de Vaugirard Louis-Lumière (AEVLL)[14]. Cette association, qui édite l'annuaire des anciens élèves, est un réseau qui maintient les contacts à travers la profession et aide les jeunes sortant à démarrer dans les métiers, notamment par un parrainage des étudiants.
Ce sont des étudiants de Louis-Lumière qui réalisent chaque année la photographie officielle du déjeuner des nommés aux César, pour les catégories de la meilleure image, du meilleur son, du meilleur montage, des meilleurs décors et des meilleurs costumes[15].
Notes et références
- Vincent Lowy nommé directeur de l'ENS Louis-Lumière - Site officiel, 1er septembre 2017
- « Nos associés », sur UPL (consulté le )
- « Ecoles et universités », sur www.ens-louis-lumiere.fr (consulté le )
- La création de l'école a été précédée, en 1923, de la création d'une société d'études en participation ayant pour but la création d'une école d'enseignement professionnelle de la photographie, à l'initiative de l'éditeur Paul Montel, spécialisé dans l'édition photographique, et de H. Bauchet, Émile Boespflug (1869-1951) (associé de René Guilleminot son beau-frère, fabricants de papiers photographiques), Louis-Philippe Clerc (1875-1959), Crumière de Geninville, Jules Demaria, Gabriel Félix, Émile Grieshaber, Paul Guillaume, Louis Lumière, Poulenc et Laurent Vizzavona. La première réunion de cette société se tient dans les locaux du siège de la Chambre syndicale des fabricants et négociants de la photographie.
- Michel Marie, Guide des études cinématographiques et audiovisuelles, Paris, Armand Colin, 2006, p. 17 ; et Philippe Boudier, Éducation et formation par le cinéma…, édition Publibook, 2017, p. 41.
- Histoire de l'École Nationale Supérieure Louis Lumière, sur le site de l'association des anciens élèves, 14 avril 2007.
- Bien que l'entrée soit au 6, rue Littré.
- Françoise Denoyelle, « Lumières sur les archives de l'ENS Louis-Lumière », Cahiers Louis-Lumière, 2015, p. 104.
- Aline Benchemhoun, Université Paris Lumières (UPL), « Lancement de l’Ecole Universitaire de Recherche (EUR) ArTeC », sur u-plum.fr, (consulté le )
- « Ecoles universitaires de recherche », sur Ministère de l'Enseignement supérieur, de la Recherche et de l'Innovation (consulté le )
- « Formation initiale », Site officiel (consulté le ).
- « Spécialité Son », Site officiel (consulté le ).
- « Spécialité Photographie », Site officiel (consulté le ).
- Site de l'AEVLL.
- Gros plan sur les Nommés - Site officiel des César du cinéma.
Annexes
Article connexe
Liens externes
- Ressources relatives aux organisations :
- Ressource relative à la vie publique :
- Site officiel.