Villuis
Villuis est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France.
Villuis | |||||
La mairie. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | ĂŽle-de-France | ||||
DĂ©partement | Seine-et-Marne | ||||
Arrondissement | Provins | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes de la Bassée - Montois | ||||
Maire Mandat |
Joël Pachot 2020-2026 |
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Code postal | 77480 | ||||
Code commune | 77523 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Villuisiens | ||||
Population municipale |
258 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 28 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
Coordonnées | 48° 24′ 39″ nord, 3° 21′ 20″ est | ||||
Altitude | Min. 62 m Max. 147 m |
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Superficie | 9,26 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Paris (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Provins | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
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GĂ©olocalisation sur la carte : Seine-et-Marne
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GĂ©ographie
Localisation
Villuis est située à 9,5 km à l'est de Bray-sur-Seine[Carte 1].
Communes limitrophes
GĂ©ologie et relief
La commune est située sur le contrefort sud de la plaine alluviale de la Bassée. Son altitude varie de 62 mètres à 147 mètres pour le point le plus haut, le centre du bourg se situant à environ 75 mètres d'altitude (mairie)[1]. Elle est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[2].
RĂ©seau hydrographique
Le réseau hydrographique de la commune se compose de deux cours d'eau référencés :
- le cours d'eau 01 du Moulin Hauts Champs, long de 5,39 km[3], conflue avec un bras de la Seine ;
- le fossé 01 de Champsouchard, long de 3,50 km[4], conflue avec le canal 01 de Mézières.
La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 2,01 km[5].
Gestion des cours d'eau
Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles : le SDAGE, à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE, à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le département de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie[6].
La commune fait partie du SAGE « Bassée Voulzie », en cours d'élaboration en décembre 2020. Le territoire de ce SAGE concerne 144 communes dont 73 en Seine-et-Marne, 50 dans l'Aube, 15 dans la Marne et 6 dans l'Yonne, pour une superficie de 1 710 km2[7]. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par Syndicat Mixte Ouvert de l’eau potable, de l’assainissement collectif, de l’assainissement non collectif, des milieux aquatiques et de la démoustication (SDDEA), qualifié de « structure porteuse »[8].
Climat
Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1971-2000 | |
- Moyenne annuelle de température : 10,9 °C |
La commune bénéficie d’un « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalité des communes de Seine-et-Marne[9].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[10]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[9]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales[11]. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Troyes-Barberey, qui se trouve à 54 km à vol d'oiseau[12], où la température moyenne annuelle évolue de 10,5 °C pour la période 1971-2000[13], à 10,8 °C pour 1981-2010[14], puis à 11,3 °C pour 1991-2020[15].
RĂ©seau Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux ». Ce réseau est constitué de Zones spéciales de conservation (ZSC) et de Zones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États Membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[16].
Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Oiseaux »[17] - [Carte 2] :
- la « Bassée et plaines adjacentes », d'une superficie de 27 643 ha, une vaste plaine alluviale de la Seine bordée par un coteau marqué au nord et par un plateau agricole au sud. Elle abrite une importante diversité de milieux qui conditionnent la présence d’une avifaune très riche[18] - [19].
Urbanisme
Typologie
Villuis est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2] - [20] - [21] - [22].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire regroupe 1 929 communes[23] - [24].
Lieux-dits et Ă©carts
La commune compte 60 lieux-dits administratifs[Note 4] répertoriés consultables ici[25] (source : le fichier Fantoir) dont la vallée de Saint Michel.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (91,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (91,8 %), forêts (4,2 %), zones urbanisées (4 %)[26].
Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[27] - [28] - [Carte 3]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 4].
- Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
- Carte orhophotogrammétrique de la commune.
Planification
La loi SRU du a incité les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle et à un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT Grand Provinois, dont le projet a été arrêté le , porté par le syndicat mixte d’études et de programmation (SMEP) du Grand Provinois, qui regroupe les Communautés de Communes du Provinois et de Bassée-Montois, soit 82 communes[29].
La commune disposait en 2019 d'une carte communale approuvée et un plan local d'urbanisme intercommunal couvrant le territoire de la communauté de communes de la Bassée - Montois était en élaboration[30] - [31].
Logement
En 2014, le nombre total de logements dans la commune Ă©tait de 136 (dont 100 % de maisons).
Parmi ces logements, 79,4 % étaient des résidences principales, 14,7 % des résidences secondaires et 5,9 % des logements vacants.
La part des ménages propriétaires de leur résidence principale s’élevait à 94,4 % contre 2,8 % de locataires[32].
Transports
La commune est desservie par les lignes d’autocars 1, 2, 4 P-A (scolaires) et M1 du Réseau de bus Cars Moreau.
Voies de communication
On accède à la commune par :
- la D 59, de Fontaine-Fourches à l’est à 4 km et Bray-sur-Seine à l’ouest à 10 km ;
- la D 78, de Noyen-sur-Seine au nord Ă 5,8 km.
Toponymie
Du latin villa, « domaine ».
- Formes anciennes : Villedois ou Villebois au XIe siècle, Vileuis en 1191, Vilois vers 1201, Parrochia et leprosi de Villois en 1218, Villoys en 1233, Villehuys vers 1240, Vilehuis en 1249, Villa Louys, Villuis en Champagne en 1327, Villuys en Champagne en 1344[33].
Histoire
Villuis faisait partie de l'élection de Nogent-sur-Seine et de la généralité de Paris en 1789, et suivait la coutume de Troyes.
L'église paroissiale Saint Martin appartenait au diocèse de Sens[33].
Politique et administration
Liste des maires
Équipements et services
Eau et assainissement
L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [36] - [37].
Assainissement des eaux usées
En 2020, la commune de Villuis ne dispose pas d'assainissement collectif[38] - [39].
L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[40]. La communauté de communes de la Bassée - Montois (CCBM) assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[38] - [41].
Eau potable
En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par la commune qui en a délégué la gestion à l'entreprise Suez, dont le contrat expire le [38] - [42] - [43].
Les nappes de Beauce et du Champigny sont classées en zone de répartition des eaux (ZRE), signifiant un déséquilibre entre les besoins en eau et la ressource disponible. Le changement climatique est susceptible d’aggraver ce déséquilibre. Ainsi afin de renforcer la garantie d’une distribution d’une eau de qualité en permanence sur le territoire du département, le troisième Plan départemental de l’eau signé, le , contient un plan d’actions afin d’assurer avec priorisation la sécurisation de l’alimentation en eau potable des Seine-et-Marnais. A cette fin a été préparé et publié en décembre 2020 un schéma départemental d’alimentation en eau potable de secours dans lequel huit secteurs prioritaires sont définis. La commune fait partie du secteur Bassée Montois[44].
Population et société
DĂ©mographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[45]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[46].
En 2020, la commune comptait 258 habitants[Note 5], en diminution de 4,44 % par rapport Ă 2014 (Seine-et-Marne : +3,69 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Économie
Revenus de la population et fiscalité
En 2018, le nombre de ménages fiscaux de la commune était de 112, représentant 263 personnes et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 22 640 euros[49].
Emploi
En 2017 , le nombre total d’emplois dans la zone était de 23, occupant 105 actifs résidants. Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 63,6 % contre un taux de chômage de 5,2 %. Les 32,1 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 11 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 11 % de retraités ou préretraités et 9,1 % pour les autres inactifs[50].
Entreprises et commerces
En 2018, le nombre d'établissements actifs était de 14 dont 1 dans l’industrie manufacturière, industries extractives et autres, 1 dans la construction, 5 dans le commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration, 1 dans les activités immobilières, 3 dans les activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien, 2 dans l’administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale et 1 était relatif aux autres activités de services[51].
En 2019, 5 entreprises ont été créées sur le territoire de la commune, dont 4 individuelles.
Au , la commune ne disposait pas d’hôtel et de terrain de camping[52].
Agriculture
Villuis est dans la petite région agricole dénommée la « Bassée » ou « Basse Seine », au sud-est du département[Carte 5]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 6] de l'agriculture sur la commune est diverses cultures (hors céréales et oléoprotéagineux, fleurs et fruits)[53].
Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[54]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 8 en 1988 à 4 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 92 ha en 1988 à 204 ha en 2010[53]. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Villuis, observées sur une période de 22 ans :
1988 | 2000 | 2010 | |
---|---|---|---|
Dimension Ă©conomique[53] - [Note 7] | |||
Nombre d’exploitations (u) | 8 | 5 | 4 |
Travail (UTA) | 12 | 10 | 6 |
Surface agricole utilisée (ha) | 735 | 822 | 817 |
Cultures[55] | |||
Terres labourables (ha) | 732 | 814 | 816 |
Céréales (ha) | 501 | 510 | 551 |
dont blé tendre (ha) | 350 | s | s |
dont maĂŻs-grain et maĂŻs-semence (ha) | 78 | s | 37 |
Tournesol (ha) | 41 | s | s |
Colza et navette (ha) | 0 | s | 88 |
Élevage[53] | |||
Cheptel (UGBTA[Note 8]) | 2 | 0 | 0 |
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'église Saint-Martin, XIIe siècle[56].
Voir aussi
Bibliographie
- Collectif d’historiens, Le patrimoine des communes de la Seine-et-Marne - tome 1, Paris, Éditions Flohic, , 1507 p. (ISBN 2-84234-100-7), « Villuis », p. 95–96
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Villuis sur le site de la CC Bassée-Montois
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
- L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
- Cartes
- « Localisation de Villuis » sur Géoportail (consulté le 20 mai 2018)..
- « Sites Natura2000 de Villuis » sur Géoportail (consulté le 15 janvier 2021)..
- « Villuis - Occupation simplifiée 2017 », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
- IAU Île-de-France, « Évolution de l'occupation des sols de la commune vue par photo aérienne (1949-2018) », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
- [PDF]« Carte des petites régions agricoles en Seine-et-Marne. », sur driaaf.ile-de-france.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
Références
- « Villuis » sur Géoportail. Carte IGN classique.
- « Plan séisme consulté le 4 avril 2021 ».
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Cours d'eau 01 du Moulin Hauts Champs (F2203000) » (consulté le ).
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Fossé 01 de Champsouchard (F2201500) » (consulté le ).
- Site SIGES – Seine-Normandie (Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consulté le 14 décembre 2018
- « SAGE dans le département de Seine-et-Marne », sur le site de la préfecture de Seine-et-Marne (consulté le ).
- « SAGE Bassée Voulzie - Documents », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le ).
- « Ile SDDEA et sa régie », sur www.sddea.fr, (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le ).
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Orthodromie entre Villuis et Troyes », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Troyes-Barberey - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
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- « Réseau européen Natura 2000 », sur le site du Ministère de la transition écologique et solidaire (consulté le ).
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- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Statistiques officielles de l'Insee, section «Revenus et pauvreté des ménages en 2018», consulté le 23 janvier 2021
- Statistiques officielles de l'Insee, section «Population active, emploi et chômage au sens du recensement en 2017», consultée le 5 avril 2021.
- Statistiques officielles de l'Insee, section «Démographie des entreprises en 2019», consultée le 5 avril 2021.
- Statistiques officielles de l'Insee, section «Tourisme en 2021», consultée le 5 avril 2021.
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Villuis. », sur http://recensement-agricole.agriculture.gouv.fr/ (consulté le ).
- « L'agriculture en Seine-et-Marne », sur www.seine-et-marne.gouv.fr (consulté le ).
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Villuis. », sur le site « Agreste » du service de la statistique et de la prospective (SSP) du ministère de l’Agriculture, de l’Agroalimentaire et de la Forêt. (consulté le ).
- « Le mobilier classé de l'église », base Palissy, ministère français de la Culture.