Villefavard
Villefavard (Vile Favart en occitan) est une commune française située dans le département de la Haute-Vienne en région Nouvelle-Aquitaine. Elle a été le premier foyer du protestantisme en Basse-Marche depuis 1844.
Villefavard | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Haute-Vienne | ||||
Arrondissement | Bellac | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Haut Limousin en Marche | ||||
Maire Mandat |
Pascal Combecau 2020-2026 |
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Code postal | 87190 | ||||
Code commune | 87206 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
162 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 18 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 46° 10′ 08″ nord, 1° 12′ 33″ est | ||||
Altitude | Min. 215 m Max. 335 m |
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Superficie | 9,22 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Bellac (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Châteauponsac | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Haute-Vienne
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Outre le bourg, la commune comprend plusieurs lieux-dits et hameaux, tels que la Solitude, les Clops, le Menieux.
Géographie
Localisation
Géologie et relief
La superficie de la commune est de 922 hectares ; son altitude varie entre 215 et 335 mètres[1].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Magnac-Laval », sur la commune de Magnac-Laval, mise en service en 1995[8] et qui se trouve à 6 km à vol d'oiseau[9] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,8 °C et la hauteur de précipitations de 892,3 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Limoges-Bellegarde », sur la commune de Limoges, mise en service en 1973 et à 36 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour la période 1971-2000[12] à 11,4 °C pour 1981-2010[13], puis à 11,8 °C pour 1991-2020[14].
Urbanisme
Typologie
Villefavard est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [15] - [16] - [17].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bellac, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 11 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[18] - [19].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (75,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (75,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (56,2 %), forêts (21,8 %), zones agricoles hétérogènes (19,3 %), zones urbanisées (2,8 %)[20].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Voies
58 odonymes recensés à Villefavard au | |||||||||||||||
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Allée | Avenue | Bld | Chemin | Cours | Impasse | Montée | Passage | Place | Quai | Carrefour | Route | Rue | Ruelle | Autres | Total |
0 | 0 | 0 | 2 | 0 | 4 | 0 | 0 | 0 | 0 | 1 [N 1] | 0 | 12 | 0 | 39 [N 2] | 58 |
Notes « N » |
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Sources : rue-ville.info & annuaire-mairie.fr & OpenStreetMap | |||||||||||||||
Logement
En 2009, le nombre total de logements dans la commune était de 152, alors qu'il était de 143 en 1999[Insee 1].
Parmi ces logements, 53,9 % étaient des résidences principales, 44,1 % des résidences secondaires et 2,0 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 96,7 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 2,0 % des appartements[Insee 2].
La proportion des résidences principales, propriétés de leurs occupants était de 79,3 %, quasi constant par rapport à 1999 (78,0 %)[Insee 3].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Villefavard est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[21]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[22].
Risques naturels
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[23]. 20,4 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (27 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 8] - [24].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999 et par des mouvements de terrain en 1999[21].
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Villefavard est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[25].
Toponymie
La première mention connue du village de Villefavard semble remonter à 1180 et se trouve dans le cartulaire d’Aureil sous la forme Villa Flavart (domaine de Flavard)[26]. L'un des témoins de la donation s'appelle Petrus Flavart. Dès 1315, la forme Villa Favardi (sans l) est attestée[27].
Au XVIIe siècle, Villefavard s’écrivait encore en deux mots « Ville-Favard ». La graphie « Ville-Favart » se rencontre également en 1831.
Au domaine dit « le Château » se dressait une forteresse. Elle était habitée par le sieur du Mosnard, écuyer de Villefavard. La famille de Rancon a sans doute bâti et possédé le château de Villefavard.
Le moulin de la mort dépendait du domaine seigneurial. Sur le nom, personne ne peut apporter de réponse, cependant, la légende dit qu’il aurait été habité par un meunier du nom de Lamort. Outre le moulin du Peyrat, celui de Villefavard était de loin le plus important.
Histoire
Origine du village
L’origine gallo-romaine du village est prouvée par la découverte d’un domaine de cette époque, sous forme de vestiges, découverte que l’on doit à MM. René Baubérot et Adrien Pommier. Ces restes ont été localisés à environ 150 mètres du temple, vers le bourg. Les restes de deux autres villas ont également été repérés près des hameaux de Trédevent et de Vérines.
La présence de tels vestiges gallo-romains fait supposer l’existence d’un domaine, non loin d’une ancienne voie romaine. Or à cette époque, et dès avant l’ère chrétienne, il était fréquent qu’un tel domaine soit connu sous le nom de son propriétaire ; on pourrait envisager que le nom de Flavard dérive du gentilice romain (nom de famille) Flavius, plutôt que de Flavinius, ce dernier nom ayant donné Flavignac. Cependant, pour Marcel Villoutreix, le type même du toponyme (composé villa + anthroponyme) date du Moyen Âge, après l'époque franque[27].
Vie religieuse
Avant la Révolution, Villefavard était une cure.
Pour avoir refusé de prêter serment à la constitution civile du clergé, décrété par l’assemblée constituante le , le curé est emprisonné à Limoges et décède dans sa cellule.
Cette constitution fut condamnée par le pape Pie VI, et, du coup, de nombreux prêtres se mettent à rompre leur serment. Conseillé par des collègues, le curé de Villefavard réunit ses paroissiens, fidèles aux républicains, pour annoncer son reniement au serment. Les républicains, furieux, prennent d’assaut sa chambre et la tradition rapporte que les représentants de l’église doivent s’enfuir par la fenêtre[28]. Les relations entre Villefavard et l’église romaine ont toujours été complexes. D'autre part, Villefavard avait été rattachée à la commune de Droux de 1816 à 1827[28].
Après le Concordat, le village se trouve privé de curé. Le maire, M. Vaugelade, nommé le , exprime l’espoir au curé de Droux d’obtenir un prêtre pour sa commune. Celui-ci réplique que jamais Villefavard n’aurait de prêtre à demeure… Cette réaction suscite la colère des villageois.
Sur le plan religieux, la commune sollicite une certaine autonomie. En 1831, arrive l’abbé Jean-Laurent Reb, membre de l'Église catholique française. Originaire de Strasbourg, il est assisté un mois après par le vicaire Vinot. Le 21 décembre de la même année, deux prêtres, dont un se prétendant vicaire général, se présentent chez le maire pour lui demander de renvoyer Reb. Le maire refuse.
En 1833 épuisé par son travail, Reb tombe malade. La commune s’investit pour lui trouver un remplaçant. Désigné par l’église catholique française, l’abbé Lhôte officie à Villefavard. En arrivant, il trouve un nouveau presbytère, construit à « la Solitude ». Persécuté par le clergé romain, après avoir reçu et lu l'Abrégé des controverses du pasteur Drelincourt, il embrasse le protestantisme et entraîne avec lui tout le village. La première réunion est présidée le 31 mars 1844, dimanche des Rameaux, par le pasteur Napoléon Roussel, et quelques mois plus tard les villageois transforment l'église en temple[29]. En 1844, Villefavard était ainsi la capitale du protestantisme en Haute-Vienne.
De 1854 à 1856, le temple de Villefavard est fermé par les autorités, et les réunions protestantes interdites, comme dans le reste de la Basse-Marche. Les assemblées se tiennent au Désert. Les écoles protestantes ne rouvrent qu'en 1861, et seulement pour les enfants de protestants[30].
Édouard Maury, né à Lyon (Ve) le 1er décembre 1858, pasteur suisse s'installe à Villefavard dans les années 1880[31]. Son épouse Sophie Élisabeth Monnerat (1863-1919), issue d’un milieu aisé, quitte son confort pour le rejoindre. En 1885, alors qu’elle attend son premier enfant, elle commence un journal qu’elle tiendra jusqu’en 1918, un an avant son décès. Il sera publié en 1989 sous le titre "Du Léman au Limousin : journal de Sophie Maury-Monnerat, femme de pasteur entre 1888 et 1919". Dans cet ouvrage, on découvre de nombreuses anecdotes sur leur vie, sur le village et sur la construction du temple. La vie est facile ; l’environnement, familial et chaleureux. Edouard Maury fit construire un temple, une résidence d'été ( La villa Solitude, pour y accueillir des artistes et des musiciens), et une ferme modèle, exemple de rationalisation de l'exploitation agricole[31].
En 1886, Édouard accepte le poste de pasteur de l’église française à Saint-Gall. Les retrouvailles avec Villefavard auront lieu à Pâques 1900. Le père de Sophie, Jules Monnerat, lègue sa fortune à Sophie et ses descendants. Une grande part de l’héritage est investie dans la commune notamment le temple, le château et la ferme.
En 1960, les pasteurs de Villefavard ont en charge toute la Basse-Marche, à la suite de la suppression des postes pastoraux de Balledent, Châteauponsac et Thiat. Le poste de Villefavard est supprimé à son tour en 1976, mais des pasteurs y résident à temps partiel[32].
Politique et administration
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[35].
En 2020, la commune comptait 162 habitants[Note 9], en augmentation de 3,18 % par rapport à 2014 (Haute-Vienne : −1,08 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Économie
Revenus de la population et fiscalité
En 2011, le revenu fiscal médian par ménage était de 20 225 €, ce qui plaçait Villefavard au 30 782e rang parmi les 31 886 communes de plus de 49 ménages en métropole[38].
En 2009, 57,7 % des foyers fiscaux n'étaient pas imposables[Insee 4].
Emploi
En 2009, la population âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 90 personnes, parmi lesquelles on comptait 70,0 % d'actifs dont 63,3 % ayant un emploi et 6,7 % de chômeurs[Insee 5].
On comptait 22 emplois dans la zone d'emploi, contre 29 en 1999. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la zone d'emploi étant de 59, l'indicateur de concentration d'emploi[Note 10] est de 37,3 %, ce qui signifie que la zone d'emploi n'offre qu'un emploi pour trois habitants actifs[Insee 6].
Entreprises et commerces
Au , Villefavard comptait 24 établissements : 14 dans l’agriculture-sylviculture-pêche, aucun dans l'industrie, un dans la construction, huit dans le commerce-transports-services divers et un était relatif au secteur administratif[Insee 7].
En 2011, une entreprise a été créée à Villefavard[Insee 8].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
La commune ne compte aucun monument répertorié à l'inventaire des monuments historiques[39] ni à l'inventaire général du patrimoine culturel[40] ; par ailleurs, elle compte deux objets classés à l'inventaire des monuments historiques[41] : l'orgue de salon du temple réalisé par Cavaillé-Coll, et sa partie instrumentale.
On peut toutefois mentionner :
- le temple protestant (et son orgue classé) ;
- l'église catholique Saint-Julien-et-Saint-Martial de Villefavard ;
- le chalet où vivaient les pasteurs, au hameau de la Solitude ;
- la ferme de Villefavard, ancienne ferme modèle transformée en centre de rencontres artistiques (artistes et en particulier des musiciens classiques connus internationalement comme Yehudi Menuhin, Aldo Ciccolini, Michel Corboz, Julie Fuchs[31]...
Sites
- Itinéraire à travers le village, balisé de photos anciennes
- Les rives de la Semme et ses environs, zone protégée
Héraldique
Blason | Mi-parti : au 1er d'argent à trois pals de sable, à la barre de sable brochant sur le tout, au 2e d'argent à la fasce de gueules accompagnée de trois aigles d'azur. |
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Détails |
Pour approfondir
Bibliographie
- Gérard Lanfranchi, Villefavard en Limousin, édition René Dessagne
- Gérard Lanfranchi, 150 années de protestantisme en Basse-Marche, 1995.
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
- au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- L'indicateur de concentration d'emploi est égal au nombre d'emplois dans la zone pour 100 actifs ayant un emploi résidant dans la zone, selon la définition de l'Insee.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Insee
- Dossier relatif à la commune, [lire en ligne]
- LOG T1M - Évolution du nombre de logements par catégorie.
- LOG T2 - Catégories et types de logements.
- LOG T7 - Résidences principales selon le statut d'occupation.
- REV T1 - Impôts sur le revenu des foyers fiscaux.
- EMP T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité.
- EMP T5 - Emploi et activité.
- CEN T1 - Établissements actifs par secteur d'activité au 31 décembre 2010.
- DEN T1 - Créations d'entreprises par secteur d'activité en 2011.
Autres sources
- Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Magnac-Laval - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Villefavard et Magnac-Laval », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Magnac-Laval - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
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- « Les risques près de chez moi - commune de Villefavard », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le )
- « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le )
- Yves Lavalade, Dictionnaire toponymique de la Haute-Vienne, Lucien Souny, (ISBN 2-911551-40-0), p. 609.
- Marcel Villoutreix, Les noms de lieux du Limousin, Limoges, Supplément n° 6 à la revue Travaux d'Archéologie Limousine, (ISSN 0750-1099), p. 122.
- Gérard Lanfranchi, 150 années de protestantisme en Basse-Marche, 1995, p. 7.
- Gérard Lanfranchi, 150 années de protestantisme en Basse-Marche, , p. 21-22.
- Gérard Lanfranchi, 150 années de protestantisme en Basse-Marche, , p. 39, 41, 47.
- muriel Mingau, « l étonnante histoire de la ferme de Villefavard », le populaire du centre,‎ , p. 6
- Gérard Lanfranchi, 150 années de protestantisme en Basse-Marche, , p. 65-67.
- Site officiel de la préfecture de Haute-Vienne - liste des maires (doc pdf)
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « Fichier RFDM2011COM : Revenus fiscaux localisés des ménages - Année 2011 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- « Liste des monuments historiques de la commune de Villefavard », base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Liste des lieux et monuments de la commune de Villefavard à l'inventaire général du patrimoine culturel », base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Liste des objets historiques de la commune de Villefavard », base Palissy, ministère français de la Culture.