Valdoie
Valdoie est une commune française située dans le département du Territoire de Belfort, en région Bourgogne-Franche-Comté.
Valdoie | |||||
Photo du pont traversant la Savoureuse et du clocher gris de l'église, visible au fond à droite. | |||||
Blason |
|||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
Région | Bourgogne-Franche-Comté | ||||
Département | Territoire de Belfort | ||||
Arrondissement | Belfort | ||||
Intercommunalité | Grand Belfort | ||||
Maire Mandat |
Marie-France Céfis 2020-2026 |
||||
Code postal | 90300 | ||||
Code commune | 90099 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Valdoyens | ||||
Population municipale |
5 251 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 1 127 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 47° 40′ 02″ nord, 6° 50′ 33″ est | ||||
Altitude | Min. 360 m Max. 429 m |
||||
Superficie | 4,66 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Belfort (banlieue) |
||||
Aire d'attraction | Belfort (commune du pôle principal) |
||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Valdoie (bureau centralisateur) |
||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Territoire de Belfort
Géolocalisation sur la carte : Bourgogne-Franche-Comté
| |||||
Liens | |||||
Site web | ville-de-valdoie.fr | ||||
Chef-lieu du canton de Valdoie, elle appartient à l'agglomération belfortaine. Ses habitants sont appelés les Valdoyens[1].
Géographie
Localisation
Proche des frontières suisse et allemande, à la sortie nord de Belfort, sur la route de Giromagny et du Ballon d'Alsace.
Géologie et relief
La commune, au centre du couloir, la “Trouée de Belfort”, est entourée de deux massifs boisés, la forêt du Salbert à l’ouest et la forêt de l’Arsot à l’est.
Le bassin houiller stéphanien sous-vosgien s’étend sur le territoire communal et aux alentours, entre Bouhans-lès-Lure, Ronchamp, Lomont à l'ouest et Rougemont-le-Château, Romagny à l'est.
Sismicité
- Commune située dans une zone de sismicité modérée[2].
Hydrographie et les eaux souterraines
- La ville est le point de confluence de la Savoureuse avec son affluent, la Rosemontoise.
Climat
Climat classé Cfb dans la classification de Köppen et Geiger[3].
Voies routières
La commune est traversée par plusieurs routes départementales : RD 5, RD 13, RD 23, RD 24, RD 465.
La RD 5 relie Offemont à Sermamagny.
La RD 13 relie Auxelles-Bas à la frontière suisse, via Valdoie, Vézelois, Vellescot et Réchésy.
La RD 23 relie Grosmagny à Valdoie, via Éloie.
La RD 24 relie Riervescemont à Valdoie, via Rougegoutte, Sermamagny et Évette-Salbert
La RD 465 relie Belfort à Saint-Maurice-sur-Moselle. Il s'agit de l'ancienne RN 465, classée dans la voirie nationale dans les années 1930[4] ; elle a été déclassée et reclassée dans la voirie départementale en [5].
Transports en commun
- Gare des Trois-Chênes sur la commune de Belfort.
- Réseau Optymo[6].
Communes limitrophes
Sermamagny | Éloie | |||
Évette-Salbert Belfort |
N | Offemont | ||
O Valdoie E | ||||
S | ||||
Belfort |
Intercommunalité
- Commune membre de la Communauté d'agglomération Grand Belfort.
Urbanisme
Typologie
Valdoie est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [7] - [8] - [9]. Elle appartient à l'unité urbaine de Belfort, une agglomération inter-départementale regroupant 16 communes[10] et 80 035 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[11] - [12].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Belfort, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 91 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[13] - [14].
- La commune dispose d'un plan local d'urbanisme[15].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (48,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (52,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (48,8 %), zones urbanisées (40,5 %), zones agricoles hétérogènes (9,7 %), eaux continentales[Note 3] (1,1 %)[16].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[17].
Toponymie
Wedo (1350), Vaydhoye (1617), Vaidoye / Vaidhoye / Vaidhoy / Vauldoye / Vaudoye (1621-1655), Valdoye (1793).
Histoire
Faits historiques
Le nom de Valdoie (Val d'Oye, Wedaw, Waido, Vaydoie...) viendrait, selon J. Liblin, du latin vadum (guè, endroit guéable) et du celtique Oye (eau, rivière) qui aurait alors désigné la rivière la Savoureuse. Ce gué permettait à la voie romaine secondaire de Mandeure à Auxelles-Bas de franchir la rivière, du moins en période d'étiage. Valdoie n'est citée dans les écrits qu'à partir de 1350. Le village était partie de la seigneurie du Rosemont à ses origines et a été rattaché aux domaines autrichiens comme le comté de Ferrette de 1347 à la fin de la guerre de Trente Ans en 1648. Fin décembre 1674, Turenne a bivouaqué à Valdoie avant d'aller en Alsace remporter la victoire de Turckheim.
La ville a été rattachée à la paroisse de Belfort jusqu'en 1778. Après avoir été pendant quelques années dépendante de Belfort, Valdoie est devenue une paroisse autonome en 1780. À la fin du XVIIIe siècle, les villages de Cravanche et de Salbert lui ont été rattachés. L'église Saint-Joseph du début du XXe siècle a été construite à l'emplacement d'un premier bâtiment érigé en 1780.
La première fois que l'on trouve le nom de Valdoie dans les écrits, c'est sous la forme « We Doh », ce qui signifie « malheur ici » en vieil allemand. En effet, la région étant de sismicité moyenne et le terrain marécageux, des tremblements de terre et inondations y ont été relevés à proximité de Valdoie[18].
Politique et administration
Liste des maires
Population et société
Évolution démographique
En 1999, les Valdoyens étaient 4 843, soit 20 fois plus qu'en 1803. L'évolution a été importante entre 1872 et 1901 avec l'arrivée nombreuse d'Alsaciens optant pour la nationalité française ; la population a été multipliée par cinq en moins de trente ans passant de 523 à 2 575 habitants. L'industrie s'est fortement développée avec cette main-d'œuvre qualifiée : construction mécanique (Page, 1852) et industrie textile (Dollfus et Noack, 1898).
En 2010, elle était la troisième commune du département en nombre d'habitants, loin derrière Belfort et ses 50 078 habitants, un peu moins loin de Delle avec 5 916 habitants et tout juste devant Beaucourt et ses 5 060 habitants.
En 2014, elle compte 5 900 habitants.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[22].
En 2020, la commune comptait 5 251 habitants[Note 4], en diminution de 2,6 % par rapport à 2014 (Territoire de Belfort : −2,92 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Écoles primaires
- École élémentaire André-Chenier ;
- École élémentaire Paul-Kiffel ;
- École élémentaire Victor-Frahier.
Collège
- Collège René-Goscinny (collège public).
Lycée
- Lycée professionnel agricole Lucien-Quelet (lycée public ; Centre de Formation Agricole pour Adultes ; Centre de Formation Agricole pour Apprentis).
Cultes
- Culte catholique, Paroisse Saint Marc Belfort-Montbéliard[25], Diocèse de Belfort.
Santé
Professionnels et établissements de santé[26] :
- Médecins,
- Pharmacies,
- Centre hospitalier de Belfort-Montbéliard.
Personnalités liées à la commune
- André Maschinot (1903-1963), footballeur né à Valdoie.
- Jean Berger, néphrologue, professeur de médecine, né à Valdoie en 1930
- Rose Lorraine (1909-2003), actrice née à Valdoie.
- Yves Ackermann, ancien maire de Valdoie et président du conseil général du Territoire de Belfort.
- Michel Zumkeller, député UDI du Territoire de Belfort.
- Jean-Charles Ablitzer, organiste
Économie
Agriculture
- Exploitation lycée agricole Lucien Quelet[27].
Tourisme
- Restaurant[28].
- Hôtels à Belfort.
Commerces et services
- Commerces et services de proximité[29].
- Filature de laine peignée Schwartz et Cie, puis usine de teinturerie Achtnich, actuellement magasin de commerce[30].
- Usine de transformation des métaux Charpentier, puis Charpentier-Vogt, puis usine de construction électrique (usine d'isolants électriques) Samica, actuellement Von-Roll Isola[31].
- Moulin à farine, puis tissage de coton Meyer, puis Alexandre, puis Couleru et Chatel, puis Schmerber, puis Schwob, puis de la Cotonnière d'Héricourt, actuellement magasin de commerce[32].
- Usine de feutre Dollfus-Noack, actuellement centre commercial[33].
- Usine de passementerie de la Société industrielle de Rubans, puis usine de peintures et vernis Gauthier, puis des Industries des Peintures Associés, actuellement Sigma Coatings[34].
- Usine de matériel d'équipement industriel Page, puis Chaudel-Page, puis Socolest, actuellement usine de mécanique de précision Crelier[35].
- Usine de construction métallique et usine de menuiserie A. Lutringer et Cie, actuellement magasin de commerce et atelier[36].
- Usine de teinturerie des Ets Georges Koechlin, puis usine de bonneterie et usine de confection Lama, actuellement usine d'articles en matière plastique Danplast[37].
Lieux et monuments
Patrimoine religieux
- L'église Saint-Joseph[38].
- Monuments commémoratifs :
- Monument aux morts[39] : Conflits commémorés : 1914-1918 - 1939-1945 - AFN-Algérie (1954-1962).
- Plaque commémorative 1914-1918 dans l'église.
- Vitrail commémoratif dans l'église.
- Plaques commémoratives Forces françaises de l'intérieur (F.F.I).
- Plaque commémorative de l'ancienne gare.
- Stèle commémorative Afrique française du Nord (A.F.N.)
Patrimoine naturel
- La forêt de Valdoie est composée de deux massifs boisés, la forêt du Salbert à l'ouest et la forêt de l'Arsot à l'est.
Patrimoine militaire
- Le fort de Valdoie[40].
Construit entre 1889 et 1891, et aussi connu sous le nom de fort du Monceau. Il s'agit d'une ancienne caserne militaire.
Aujourd'hui, la forêt a repris ses droits sur cet édifice.Il reste en bon état malgré les quelques tags qui recouvrent certains murs. Un projet prévoyait de le restaurer pour l’ouvrir au public, mais il est resté sans suite. Il appartient à la commune depuis 2010.
Héraldique
|
Les armes peuvent se blasonner ainsi : d'argent à la bande ondée d'azur, accompagnée de deux fleurs de lys de gueules. |
---|
Pour approfondir
Bibliographie
- Patrimoine horloger et les cloches de Valdoie
- Arrondissement des Travaux du Génie de Belfort : photocopies de dossier relatif au Fort de Monceau à Valdoie, conservé au service historique de l'armée de terre à Vincennes
- L’ouvrage du Monceau
- Le fort du Monceau, sur youtube
- Le secteur de Roppe : Abri de combat Est de Valdoie
- Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet
- Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Site de la mairie
- (fr) Le patrimoine architectural et mobilier de la commune sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général
- (fr) Site de la Direction Régionale de l’Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Gentilé, Territoire de Belfort, habitants.fr
- Didacticiel de la règlementation parasismique
- Table climatique
- Circulaire du 8 septembre 1933 modifiant la nomenclature des routes nationales, Journal officiel de la République française, 14 septembre 1933, p. 9702
- Arrêté du 15 septembre 1972, Journal officiel de la République française, 17 septembre 1972, p. 9927
- Réseau Optymo
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Belfort », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Belfort », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- Plan local d'urbanisme
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Tremblements de terre près de Valdoie
- https://maitron.fr/spip.php?article121741, notice MERCKLE, version mise en ligne le 30 novembre 2010, dernière modification le 30 novembre 2010.
- https://maitron.fr/spip.php?article168249, notice GULDEMANN Charles, version mise en ligne le 7 décembre 2014, dernière modification le 7 décembre 2014.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Paroisse Saint Marc Belfort-Montbéliard
- Professionnels et établissements de santé
- Exploitation lycée agricole Lucien Quelet
- Restaurant du Pont
- Commerces et services de proximité
- « Filature de laine peignée Schwartz et Cie, puis usine de teinturerie Achtnich, actuellement magasin de commerce », notice no IA90000107, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « usine de transformation des métaux Charpentier, puis Charpentier-Vogt, puis usine de construction électrique (usine d'isolants électriques) Samica, actuellement Von-Roll Isola », notice no IA90000105, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « moulin à farine, puis tissage de coton Meyer, puis Alexandre, puis Couleru et Chatel, puis Schmerber, puis Schwob, puis de la Cotonnière d'Héricourt, actuellement magasin de commerce », notice no IA90000109, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « usine de feutre Dollfus-Noack, actuellement centre commercial », notice no IA90000108, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Usine de passementerie de la Société industrielle de Rubans, puis usine de peintures et vernis Gauthier, puis des Industries des Peintures Associés, actuellement Sigma Coatings », notice no IA90000106, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « usine de matériel d'équipement industriel Page, puis Chaudel-Page, puis Socolest, actuellement usine de mécanique de précision Crelier », notice no IA90000104, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « usine de construction métallique et usine de menuiserie A. Lutringer et Cie, actuellement magasin de commerce et atelier », notice no IA90000111, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « usine de teinturerie des Ets Georges Koechlin, puis usine de bonneterie et usine de confection Lama, actuellement usine d'articles en matière plastique Danplast », notice no IA90000110, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- L'église Saint-Joseph sur le site de l'Observatoire du patrimoine religieux
- Monument aux morts
- L'ouvrage du Monceau