Tramoyes
Tramoyes est une commune française, située dans le département de l'Ain en région Auvergne-Rhône-Alpes. Elle se trouve dans la partie Sud du plateau dombiste, à proximité de l'issue du coteau de la Côtière. La commune appartient à l'aire urbaine de Lyon.
Tramoyes | |||||
La mairie de Tramoyes. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Ain | ||||
Arrondissement | Bourg-en-Bresse | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes de Miribel et du Plateau | ||||
Maire Mandat |
Xavier Deloche 2020-2026 |
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Code postal | 01390 | ||||
Code commune | 01424 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Tramoyens | ||||
Population municipale |
1 823 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 141 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 52′ 42″ nord, 4° 58′ 05″ est | ||||
Altitude | Min. 268 m Max. 307 m |
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Superficie | 12,93 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Lyon (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Miribel | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Ain
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
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Liens | |||||
Site web | tramoyes.fr | ||||
Géographie
Localisation
La commune est située à environ 20 km de Lyon, à 47 kilomètres de Bourg-en-Bresse (préfecture du département de l'Ain) et 73 kilomètres de Mâcon (préfecture du département de Saône-et-Loire).
Communes limitrophes
Géologie et relief
La superficie de la commune est de 1 293 hectares ; l'altitude varie entre 268 et 307 mètres[2]. En effet, l'intégralité du territoire communal est située sur un petit plateau morainique[3] situé sur un plateau plus grand, celui de la Dombes.
Hydrographie
La présence sur le territoire d'un ancien lac, le lac des Échets, est avérée[3]. Le lieu-dit le Port rappelle l'existence passée de ce plan d'eau[3] alors composante du marais des Échets qui occupe une partie du territoire communal.
Tramoyes est également traversée par le ruisseau des Échets[4].
Voies de communication et transports
La commune de Tramoyes est desservie par le réseau Colibri depuis le début de son exploitation en février 2012[5].
Le territoire communal est par ailleurs traversé, au Sud, par l'autoroute A432 ainsi que par la ligne ferroviaire LGV Rhône-Alpes, qui lui est immédiatement parallèle. Un petit pont routier sur la RD 82, permet de franchir ces deux voies de transport et de rallier le bourg de Tramoyes.
Tramoyes n'est desservie par aucune gare. Toutefois, la commune se trouve à proximité de la gare de Saint-Maurice-de-Beynost sur la ligne de Lyon-Perrache à Genève (frontière) ainsi que des gares des Échets et de Mionnay sur la ligne de Lyon-Saint-Clair à Bourg-en-Bresse.
Climat
Le climat y est de type semi-continental avec des influences méditerranéennes : les étés sont chauds et ensoleillés et les hivers rigoureux.
Le tableau suivant donne les moyennes mensuelles de température et de précipitations pour la station de Lyon-Bron recueillies sur la période 1961 - 1990. La station météo de Lyon Bron est située à environ dix-sept kilomètres à « vol d'oiseau » de Tramoyes. Elle est située à une altitude de deux cents mètres.
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | −0,4 | 1 | 2,8 | 5,5 | 9,3 | 12,6 | 15 | 14,4 | 11,7 | 8,2 | 3,4 | 0,4 | 7 |
Température moyenne (°C) | 2,6 | 4,5 | 7,2 | 10,3 | 14,3 | 17,9 | 20,8 | 20 | 17,1 | 12,5 | 6,7 | 3,2 | 11,4 |
Température maximale moyenne (°C) | 5,7 | 8,1 | 11,6 | 15,2 | 19,4 | 23,2 | 26,6 | 25,6 | 22,4 | 16,8 | 10,1 | 5,9 | 15,9 |
Précipitations (mm) | 54,1 | 54,5 | 62,9 | 67,8 | 86 | 76,6 | 60,6 | 76,7 | 75,2 | 79,5 | 71,4 | 59,2 | 824,8 |
Humidité relative (%) | 84 | 80 | 74 | 71 | 72 | 70 | 65 | 70 | 76 | 82 | 84 | 86 | 76 |
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Nombre de jours avec gel | 15,1 | 11,5 | 8,2 | 1,8 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0,5 | 6,6 | 14,5 | 58,3 |
Urbanisme
Typologie
Tramoyes est une commune rurale[Note 1] - [7]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[8] - [9].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lyon, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 398 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[10] - [11].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (81,7 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (80 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (81,7 %), forêts (7,6 %), zones urbanisées (6,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3 %), zones humides intérieures (1 %)[12].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Logement
En 2009, le nombre total de logements dans la commune était de 580, alors qu'il était de 494 en 1999[a 1].
Parmi ces logements, 97,2 % étaient des résidences principales, 1,5 % des résidences secondaires et 1,3 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 90,5 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 9,1 % des appartements[a 2].
La proportion des résidences principales, propriétés de leurs occupants était de 85,6 %, quasiment comme en 1999 (84 %). La part de logements HLM loués vides était de 3,9 % contre 5,6 % en 1999, leur nombre étant passé de 27 à 22[a 3].
Évolution du nombre total de logements à Tramoyes depuis 1968
1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2009 | |
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Nombre de logements | 134 | 187 | 257 | 354 | 494 | 580 |
Pourcentage de résidences principales | 74,6 % | 86,6 % | 91,0 % | 96,0 % | 97,1 % | 97,2 % |
Sources des données : INSEE[a 1] |
Toponymie
Il existe peu de certitudes sur l'origine du toponyme. Néanmoins, Tramoyes tirerait son origine de stramiacum qui représente le château où aurait été réunie l'assemblée des états de Louis le Pieux[13] en 836.
Histoire
Moyen Âge
En 835 ou 836, le château de Tramoyes semble avoir accueilli l'assemblée générale des états de Louis le Pieux[13] - [14]. Le Stramiacum qui aurait accueilli cette réunion était un petit château fortifié situé sur un petit monticule. La poype fait l'objet d'une fiche à l'Inventaire général du patrimoine culturel[15]. Elle remonterait au plus tôt au XIIe ou XIIIe siècle mais n'apparaît dans les textes pour la première fois qu'en 1331. La motte qui mesure environ cent mètres de circonférence et présente une forme sensiblement ovale est située au centre d'un étang de nos jours asséché. Jusqu'au XIXe siècle, une tour alors en ruine la couronnait, et son sous-sol aurait été parcouru de caves et couloirs souterrains, ce qui n'a put être confirmé[16].
Le territoire semble dépendre de la seigneurie de Miribel jusqu'à au moins 1690[13].
Époque contemporaine
En 1934, une station TSF connu sous la dénomination d'« émetteur de Tramoyes » est installée dans la commune[3].
Durant la Seconde Guerre mondiale, un maquis, le camp Didier, est basé entre Mionnay et Tramoyes. Le rond-point du Camp Didier, situé près de la mairie, rend hommage à son action.
Le , à 14 h 19, un Vickers Viscount de la compagnie Air Inter[17] venant de Lille et en approche de l'aéroport de Lyon-Bron où il était prévu d'atterrir à 14 h 25, s'écrase au lieu-dit le Molon, en bordure de la route du Mas Rillier, sur le territoire de la commune de Tramoyes, à dix-huit kilomètres au nord de Lyon-Bron. Des orages extrêmement violents balayent la région entière à ce moment-là . L'avion est touché par la foudre qui endommage la radio et les systèmes de navigation et provoque sans doute une cécité temporaire des pilotes[17]. Sans visibilité aucune, l'avion volant trop bas, heurte la cime d'un chêne, arrache le toit d'une ferme, fauche un pylône électrique et s'écrase dans un champ[17]. Les débris sont éparpillés sur plus de cent mètres. Seule rescapée, une petite fille de cinq ans, blessée grièvement, survivra. Les vingt autres occupants, dont le commandant de bord Georges Valencia et les trois membres d'équipage, ainsi que deux personnes au sol auront péri dans cette catastrophe.
En avril 2014, une plaque commémorative est apposée au 475 rue des Pins au lieu-dit le Mollon[18] - [19].
Politique et administration
Administration municipale
Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 1 500 et 2 499, le nombre de membres du conseil municipal est de 19[20].
Fin 2017, début 2018, la démission de huit membres du conseil municipal implique l'organisation d'une élection municipale anticipée[21].
Liste des maires
Instances judiciaires et administratives
Tramoyes relève du tribunal d'instance de Trévoux, du tribunal de grande instance de Bourg-en-Bresse, de la cour d'appel de Lyon, du tribunal pour enfants de Bourg-en-Bresse, du conseil de prud'hommes de Bourg-en-Bresse, du tribunal de commerce de Bourg-en-Bresse, du tribunal administratif de Lyon et de la cour administrative d'appel de Lyon[24].
Politique environnementale
Même si le territoire communal n'est pas directement concerné par le risque d'inondations dues au ruissellement sur le coteau, Tramoyes est investie au sein de la communauté de communes de Miribel et du Plateau, dans la prévention de ce risque naturel[25] qui consiste en la création de bassins de rétention, la construction de gabions (empierrement) sur le coteau, ou encore en la préparation de plan de secours.
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[28].
En 2020, la commune comptait 1 823 habitants[Note 3], en augmentation de 9,49 % par rapport à 2014 (Ain : +5,07 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Enseignement
Tramoyes est située dans l'académie de Lyon.
Elle administre une école maternelle et une école élémentaire communales regroupant 206 élèves en 2012-2013[31] et 183 élèves en 2015-2016[32].
Le collège de secteur est le collège de la Dombes situé à Saint-André-de-Corcy. Le transport jusqu'à celui-ci est assuré par le conseil départemental de l'Ain.
Santé
Il n'y a ni médecin ni infirmier à Tramoyes. Les plus proches sont situés dans la commune de Mionnay[33].
En 2018, un foyer d'accueil médicalisé spécialisé dans l'accompagnement des personnes épileptiques s'installe à Tramoyes : Les Passerelles de la Dombes[34].
Sports
Une association nommée Sport et culture coordonne les différentes activités sportives et culturelles proposées dans la commune[35].
Un club de football a son siège à Tramoyes où il dispose de certains de ses terrains : le Sporting Club Portes de l'Ain.
Cultes
Le territoire de la commune de Tramoyes dépend du groupement paroissial catholique « Saint-André-de-Corcy », au sein du diocèse de Belley-Ars, le lieu de culte est l'église Notre-Dame[36].
Économie
Revenus de la population et fiscalité
En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 49 729 €, ce qui plaçait Tramoyes au 1 424e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[37]. La proportion de foyers fiscaux imposables était alors de 75,7 %[a 4].
Emploi
En 2009, la population âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 1 131 personnes, parmi lesquelles on comptait 73,0 % d'actifs dont 69,3 % ayant un emploi et 3,8 % de chômeurs[a 5].
On comptait 207 emplois dans la zone d'emploi, contre 205 en 1999. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la zone d'emploi étant de 792, l'indicateur de concentration d'emploi[Note 4] est de 26,1 %, ce qui signifie que la zone d'emploi offre seulement un emploi pour quatre habitants actifs[a 6].
Une agence Pôle emploi pour la recherche d'emploi est localisée à proximité de Tramoyes, sur le territoire de Miribel.
Entreprises et commerces
Au 31 décembre 2010, Tramoyes comptait 100 établissements : 13 dans l’agriculture-sylviculture-pêche, 7 dans l'industrie, 14 dans la construction, 61 dans le commerce-transports-services divers et 5 étaient relatifs au secteur administratif[a 7].
En 2011, 10 entreprises ont été créées à Tramoyes[a 8], dont 5 par des auto-entrepreneurs[a 9].
Culture et patrimoine
Depuis , Tramoyes dispose de sa bibliothèque, intégrée au réseau communautaire de bibliothèques de la communauté de communes de Miribel et du Plateau[38].
Lieux et monuments
Outre la poype du Châtel[15] - [39], devenue par la suite le château de Gleteins (ou Glettin), plusieurs bâtiments sont recensés à l'Inventaire général du patrimoine culturel. Citons par exemple, la mairie-école[40], le tombeau des familles Togni et Simonet[41] ou encore la fontaine de Claircombe[42] - [39].
On peut également citer la ferme de Clairecombe[43] datant des années 1600 et appartenant historiquement, comme la fontaine Daudé, à la famille éponyme[39] ; enfin, une borne fontaine située quartier des Pins[44].
L'église Notre-Dame de Tramoyes compte elle, plusieurs éléments de mobiliers, inscrits comme objets à l'inventaire des monuments historiques ; en particulier, la statue de la Vierge située sur son parvis.
Patrimoine naturel
Outre le marais des Échets, le territoire communal accueille plusieurs étangs (typiques de la Dombes) : on peut citer celui du Colombier et Boiron, le Grand Étang Neuf ou encore l'étang du Gravier[45].
Faune sauvage
C'est chez les amphibiens et les oiseaux que la richesse animale est la plus grande, Ã Tramoyes.
Chez les oiseaux, le héron pourpré et le râle d'eau nichent sur les étangs et lors des périodes de migration, le combattant varié, le vanneau huppé et le chevalier cul-blanc sont souvent observés[46].
On dénombre pas moins de douze[47] espèces d'amphibiens sur la commune à savoir, pour les plus abondantes, la grenouille agile, le crapaud commun, la grenouille de Lessona, la grenouille verte, la grenouille rieuse et le triton palmé. Les espèces plus remarquables que l'on observe sont entre autres la grenouille rousse, le crapaud calamite, le triton alpestre et la rainette verte.
En plus de ces espèces, le triton crêté s'ajoute à la liste. Il s'agit d'une espèce rare et bénéficiant de statuts de protection très élevés. Enfin, le triton ponctué complète la liste. C'est la seule commune de l'Ain dans laquelle l'espèce est actuellement connue, ainsi que l'une des rares en Rhône-Alpes.
Concernant les reptiles, le lézard des murailles, le lézard vert occidental ; la couleuvre verte et jaune, la couleuvre à collier et la vipère aspic sont présentes. La cistude d'Europe a été observée[47] dans le passé et une observation datée de mars 2012 confirme sa présence.
Personnalités liées à la commune
- Juste Guérin (1578-1645), évêque de Genève, est né à Tramoyes[48].
- Martin Dumollard (1810-1862), tueur en série, est né à Tramoyes[48]. Il assassina sa première victime, Marie Baday, en 1855 en forêt de Montaverne à Tramoyes[49].
- Claudius Four (1895-1943), né à Saint-Maurice-de-Beynost, Compagnon de la Libération, était l'instituteur de Tramoyes jusqu'à son incorporation en 1914[50].
Héraldique
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La commune de Tramoyes porte :
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Pour approfondir
Bibliographie
- Henri Barthoux, Richesses touristiques et archéologiques du canton de Reyrieux, , 161 p.
- Jean-François Pasty, Odile Franc, Jean-Michel Treffort, Philippe Alix, Najla Touati, et al. Un site de plein air du Mésolithique ancien à Tramoyes « Sous le Port » (Ain). Revue archéologique de l'Est - suppléments, Paris : CNRS éd. ; Dijon : Revue archéologique de l'Est, 2015, Revue archéologique de l’Est, 64, pp. 5–26. 〈http://journals.openedition.org/rae/8327〉. 〈hal-01708512〉
: document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative à la musique :
- Ressource relative aux organisations :
- Site de la mairie
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Selon le zonage publié en décembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- L'indicateur de concentration d'emploi est égal au nombre d'emplois dans la zone pour 100 actifs ayant un emploi résidant dans la zone, selon la définition de l'Insee.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Insee
- Dossier relatif à la commune, [lire en ligne]
- LOG T1M - Évolution du nombre de logements par catégorie.
- LOG T2 - Catégories et types de logements.
- LOG T7 - Résidences principales selon le statut d'occupation.
- REV T1 - Impôts sur le revenu des foyers fiscaux.
- EMP T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité.
- EMP T5 - Emploi et activité.
- CEN T1 - Établissements actifs par secteur d'activité au 31 décembre 2010.
- DEN T1 - Créations d'entreprises par secteur d'activité en 2011.
- DEN T2 - Créations d'entreprises individuelles par secteur d'activité en 2011.
Autres références
- David Malescourt, « Ain > Tramoyes (01390) », sur le site habitants.fr de la société commerciale Patagos (consulté le ).
- Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
- Barthoux 1987, p. 151.
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Ruisseau des Échets (U4720500) » (consulté le ).
- Communauté de vues, mensuel de la communauté de communes de Miribel et du Plateau, no 15, janvier 2012, p. 9.
- « Lyon-Bron, 200 m - [1961-1990] », sur le site de l'association InfoClimat (consulté le ).
- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Barthoux 1987, p. 153.
- Agricole Charles Nestor comte de Lateyssonnière, Recherches historiques sur le département de l'Ain, vol. I, t. III, Bourg, (lire en ligne), p. 198.
- « Édifice fortifié, dit poype du Châtel », notice no IA01000266, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Sébastien Noël et Luc Stevens, Souterrains et mottes castrales : Émergence et liens entre deux architectures de la France médiévale, Paris, Éditions L'Harmattan, , 422 p. (ISBN 978-2-343-07867-0), p. 318.
- [PDF] Rapport final de la commission d'enquête sur l'accident survenu le 12 août 1963 à Tramoyes, in Journal officiel de la République française, , [lire en ligne].
- « Une plaque commémorative inaugurée en mémoire des victimes du crash aérien », Le Progrès, .
- « 50 ans après, une stèle », Le Progrès, .
- art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
- « Tramoyes: le maire ne désarme pas », Le Progrès,‎ (lire en ligne, consulté le )
- « Hommage à l’ancien maire Albert Geoffray au pied de l’arbre de la liberté », sur leprogres.fr, Le Progrès, .
- « Xavier Deloche est le nouveau maire », sur leprogres.fr, .
- « Liste des juridictions compétentes pour une commune », sur le site du ministère de la Justice et ds libertés (consulté le ).
- « Lutte contre le ruissellement », sur le site de la communauté de communes de Miribel et du Plateau (consulté le ).
- « Atlas français de la coopération décentralisée et des autres actions extérieures », sur le site du ministère des Affaires étrangères (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « Ain (01) > Tramoyes > École », sur le site du ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).
- « Ecole Robert Doisneau : compte-rendu détaillé du conseil d’école du 5 novembre 2015 », sur www.scolasite.net (consulté le ).
- Annuaire Pages jaunes [lire en ligne].
- Benoît Prieur, « Foyer d'accueil médicalisé : premier anniversaire pour les Passerelles de la Dombes », Le Journal de la Côtière, no 1191,‎ , p. 15 (ISSN 1265-5422, OCLC 472956812, BNF 34526782).
- « Sport et culture », sur tramoyes.fr, le site de la commune de Tramoyes, .
- « Accueil du site > La vie de nos paroisses et secteurs > Dombes et Bords de Saône > Saint André de Corcy », sur le site du diocèse de Belley-Ars (consulté le ).
- « Fichier RFDM2010COM : Revenus fiscaux localisés des ménages - Année 2010 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Benoît Prieur, « Tramoyes. La commune se dote d'une bibliothèque », Bugey-Côtière, no 1298,‎ , p. 18 (ISSN 2678-534X, BNF 45751068).
- Barthoux 1987, p. 156-157.
- « Mairie-école », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Tombeau des familles Togni et Simonet », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Fontaine dite fontaine de Claircombe », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Demeure de notable, dite domaine de Clairecombe », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Fontaine-abreuvoir », notice no IA01000278, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Barthoux 1987, p. 154.
- « Inventaire ornithologique de la commune de Tramoyes », sur Herpéto Ain (consulté le ).
- « Page d'accueil », sur le site personnel d'Alexandre Roux (consulté le ).
- Barthoux 1987, p. 158.
- Rémi Cuisinier, Dumollard, L'assassin des bonnes, La Taillanderie, , 223 p. (ISBN 2-876293-89-7), p. 9.
- Frédéric Stévenot, « FOUR Claudius, Florentin. Pseudonymes : Florentin, Berrier Florentin, Florent Berthier, Duc, Kim 3 », sur Le Maitron, .