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Tamar Ire

Tamar Ire ou Thamar Ire (en gĂ©orgien : თამარი ou თამარ მეჀე (Thamar le roi) ; 1160–) est une reine de GĂ©orgie de la dynastie des Bagration, ayant rĂ©gnĂ© de 1184 Ă  1213. Elle est considĂ©rĂ©e comme la plus illustre des monarques gĂ©orgiens. Elle est appelĂ©e « Tamar le roi », car Ă  cette Ă©poque, on considĂ©rait qu'elle dirigeait le royaume tel un roi.

Tamar Ire
Illustration.
Titre
Reine de GĂ©orgie
–
Prédécesseur Georges III
Successeur Georges IV
Biographie
Dynastie Bagration
Date de naissance
Date de décÚs
PĂšre Georges III
MĂšre Bourdoukhan
Conjoint Georges Bogolioubski
David Soslan
Enfants Georges IV, Rousoudan Ire

Biographie

Fresque médiévale de la reine Thamar au monastÚre de Béthanie.
Les rois Thamar et Georges III, son pĂšre.
Le roi Thamar, fresque de Vardzia.

Enfance, les débuts

Tamar est la fille aßnée du roi Georges III et de son épouse Bourdoukhan, une fille de Khoudan le roi d'Ossétie de cette époque (le mariage entre Georges III et Bourdoukhan, qui eut lieu entre 1150 et 1160, avait pour but de renforcer les liens avec le voisin du nord). Pendant un certain temps, le roi et son épouse ont du mal à avoir une descendance.

Tamar bĂ©nĂ©ficie d'une Ă©ducation privilĂ©giĂ©e pour cette Ă©poque. Elle est particuliĂšrement Ă©levĂ©e par sa tante Rousoudan (fille de DĂ©mĂ©trius Ier et sƓur de Georges III) mariĂ©e Ă  Sanjar Shah, sultan du Khorassan, puis revient en GĂ©orgie. La reine et sa sƓur Rousoudan grandissent auprĂšs de leur tante. Rousoudan est alors un personnage politique et diplomatique, qui participe activement au Conseil de gestion du royaume. Elle accomplit une importante mission diplomatique dans l'accord entre l'Atabeg Eldiguz et Georges III au sujet de la ville d'Ani (vers 1165). Naturellement, Tamar suit attentivement les Ă©vĂ©nements aussi bien Ă  l’intĂ©rieur du royaume qu'Ă  l'extĂ©rieur, afin de s'instruire, pour plus tard diriger le royaume. Elle est dĂšs son plus jeune Ăąge remarquĂ©e pour son intelligence. En 1179 le roi Georges III l’associe au trĂŽne. Les didĂ©bulis (nobles) se prosternent devant Thamar, tandis que le roi leur fait jurer fidĂ©litĂ© vis-Ă -vis de la nouvelle reine, pour le futur.

Au dĂ©cĂšs de Bourdoukhan, la mĂšre de Tamar, la direction du royaume est assurĂ©e conjointement par le pĂšre et sa fille. En 1179, une rĂ©union lĂ©gislative exceptionnelle, prĂ©sidĂ©e par les deux monarques, vise Ă  Ă©radiquer de GĂ©orgie les vols et les braquages, qui commençaient Ă  devenir de plus en plus frĂ©quents. L'issue du conseil laisse place Ă  une loi qui punit les brigands de la peine la plus haute, la pendaison, qui ne diffĂ©rencie ni l’ampleur du dĂ©lit, ni la classe sociale du criminel. Ces mesures radicales portent leurs fruits, car pendant un temps ces crimes disparaissent de GĂ©orgie.

Le le roi Georges III décÚde en Kakhétie. La nouvelle parvient à Tamar, qui se trouve alors dans la forteresse d'Isani, à Tbilissi. Le patriarche et les didébulis partent prévenir Roussoudan, qui se trouve dans la ville fortifiée de Samshvildé, dans l'est de la Géorgie en Basse Kartlie, et la ramÚnent à Tbilissi.

L'Ɠuvre du XIIe siĂšcle : « ისჱორიანი და აზმანი ჹარავანდედთანი » qui pourrait se traduire par : « L'histoire et la gloire des monarques », dĂ©crit avec force dĂ©tails la chambre royale, revĂȘtue d'un tissu noir oĂč Tamar et sa sƓur Rousoudan sont en deuil aux cĂŽtĂ©s du patriarche Michel. Sont aussi prĂ©sents les Ă©piscopos, le vezir Anton, l'amirspasalar Koubasar, et d'autres : [...] Vardan Dadiani, les didebulis, les aznaours, les serviteurs et les esclaves... tous pris d'un immense chagrin. Le corps du roi est dans un premier temps inhumĂ© Ă  Mtskheta, puis transfĂ©rĂ© au monastĂšre de GhĂ©lati.

Georges III avait une grande autorité et influence, aussi bien à l'intérieur qu'à l'extérieur du royaume.

Accession au trĂŽne de Thamar

Les fĂ©odaux nobles furent stigmatisĂ©s. Mais ils ne considĂ©raient pas pour autant la guerre comme perdue, ils attendaient le moment propice pour mettre en Ɠuvre des mouvements contre le gouvernement. Ce moment propice arriva lorsque le roi Georges III dĂ©cĂ©da. Bien que Tamar soit devenue reine du vivant de Georges III (1179), les nobles fĂ©odaux n'ont, semble-t-il, pas trouvĂ© cela suffisant et ont dĂ©cidĂ© de demander un second baptĂȘme en tant que reine. C'Ă©tait, pratiquement, une protestation contre la politique de Georges III, pour mettre en exergue les droits des fĂ©odaux. La reine Ă©tait opposĂ©e Ă  ce projet et imagina, avec sa sƓur Roussoudan, un subterfuge pour Ă©viter de se soumettre aux « ordres » des fĂ©odaux. Sa sƓur feignit d'agrĂ©er aux demandes des nobles mais c'Ă©tait en fait un moyen de ne pas leur donner de grande autoritĂ©. Au lieu d'accepter, Tamar rejeta la demande, puis, consciente de ce que cela entraĂźnerait, elle accepta mais fit croire que c'Ă©tait en fait Roussoudan qui l'avait convaincue, et non la menace.

Jamais l'avĂšnement d'un monarque ne fut tant dĂ©taillĂ© dans les Ă©crits que celui-lĂ , cette particularitĂ© est sĂ»rement due au fait que le monarque Ă©tait une femme, l'historien personnel de Tamar (et de Georges III), nous apprend comment elle fut couronnĂ©e assise sur le trĂŽne familial et souligne le fait qu'elle aussi avait reçu l'Ă©pĂ©e gĂ©nĂ©rationnelle, tel un chef de l'armĂ©e. Les autres couronnements ne furent auparavant jamais dĂ©taillĂ©s Ă  ce point, c'est pour cela que la transmission d'une Ă©pĂ©e royale entre tous les rois ne peut pas ĂȘtre certifiĂ©e, mais la façon dont l'historien anonyme nous dĂ©crit la chose laisse paraĂźtre qu'il en fut ainsi. C'est parce qu'elle Ă©tait une femme que Georges III avait dĂ©cidĂ© de la couronner de son vivant, il savait que la venue d'une femme au pouvoir serait mal vue et que certains nobles qui Ă©taient opposĂ©s Ă  sa politique en profiteraient pour renverser le pouvoir. Les fĂ©odaux ont tout de mĂȘme considĂ©rĂ© ce recouronnement comme une victoire et ce fut Ă  ce moment-lĂ  que commencĂšrent vraiment les protestations. Les nobles qui partageaient le mĂȘme Ă©tat d'esprit (dĂ©jĂ  Ă  l'Ă©poque de Georges III) se rĂ©unirent et se soulevĂšrent contre le fait qu'ils Ă©taient commandĂ©s par des individus nommĂ©s et engagĂ©s par Georges III, qui n'avaient pas un nom aristocratique, et dĂ©clarent qu'ils n'obĂ©iront plus aux ordres de ces derniers. La reine fut en partie contrainte d'accepter et dĂ©cida de les libĂ©rer de leurs fonctions. Ils Ă©taient mĂ©contents car ils ne jouissaient plus de l'autoritĂ© qu'ils avaient et souhaitaient la restituer. Les opposants Ă  la politique du roi ont demandĂ© la destitution de certains et non de la totalitĂ©, et c'est Ă  cette condition que la reine Thamar accepta, les nobles voulaient rĂ©cupĂ©rer d'assez hautes fonctions. Les opposants choisissent naturellement, les personnages les plus fidĂšles de la cour. Furent considĂ©rĂ©s comme tel, l'amirspasalar Kubasar et le Msakhurtukhutsesi Aphridon. Cette dĂ©cision fut dure pour Tamar, tandis que les fĂ©odaux cĂ©lĂ©braient la seconde victoire. Mais la question de la succession posa vite un problĂšme.

Fresque du roi Thamar.

Discours de Qoutlou-Arslan

Le but des féodaux nobles était de renverser le pouvoir, avec la participation et l'aide de Qoutlou Arslan, le metchourtchletoukhoutsessi de Tamar. Le meneur rebellé contre le royaume de Géorgie est grand par ses richesses. Il avait obtenu la distinction de metchourtchletoukhoutsessi pour son mérite.

Il demandait qu'Ă  cĂŽtĂ© de la porte royale une nouvelle institution, le « Karavi Â» (კარავი littĂ©ralement : campement) soit fondĂ©e, qui serait indĂ©pendante du gouvernement. Ce n'Ă©tait certainement pas par hasard que Qoutlou-Arslan demandait que ce karavi demeure dans la vallĂ©e d'Isani, Ă  proximitĂ© du palais royal. Il symbolisait la confrontation entre la royautĂ© et la noblesse, le palais contre les campements. Dans une lettre officielle, nous apprenons le but de ces assemblĂ©es : elles dĂ©fendaient les droits de la noblesse et Ă©taient destinĂ©es Ă  mieux connaĂźtre les affaires du pays et Ă  suivre leur Ă©volution.

La reine de GĂ©orgie, quant Ă  elle, ne devait pas participer et ne devait pas intervenir dans les affaires des Karavis. Cette idĂ©e rĂ©duisait les pouvoirs de la reine et la cour royale Ă©tait furieuse des outrances causĂ©es par Qoutlou-Arslan et ses Tanshephitsulebi-s (comme ils se faisaient appeler), et ce dernier est arrĂȘtĂ©. Ceux qui Ă©taient partisans de ces idĂ©es ont rĂ©agi et sont entrĂ©s dans le palais royal en menaçant d'un ravage, si leur « meneur Â» n'Ă©tait pas relĂąchĂ© sain et sauf.

La reine, devant la tournure que prenaient les événements, décida de régler les choses diplomatiquement. Elle envoya deux ambassadeurs, pour trouver un accord. Ce fut l'eristavi des eristavi (duc des ducs ou gouverneur des gouverneurs) de Kartli, la mÚre de Rati, Khuashab Tsoqali, et la mÚre du féodal noble Samdivar, Kravai Jakeli. Cette démarche a payé, les Tanshephitsulis suivent la reine, ils ont réussi non seulement à trouver un accord, mais obtiennent en plus une garantie de non-nuisance et de fidélité. Qoutlou-Arslan fut relùché et ses ambitions ne parvinrent jamais à se réaliser. Il n'est pas exclu l'hypothÚse que les féodaux rebelles reçoivent des places au sein du "Darbazi" (sorte d'assemblée).

Elle Ă©tablit Ă©galement un lien de charitĂ© entre l'Église et l'État et se soucie des pauvres en Ă©rigeant pour eux des Ă©tablissements d'assistance, leur concĂ©dant ainsi plus du dixiĂšme des revenus du royaume.

Le rÚgne de Tamar est considéré comme l'ùge d'or de la Géorgie. Sa réputation de grand administrateur lui vaut le surnom de « Roi des Rois et Reine des Reines » par ses sujets.

Remaniements

La jeune « femme-roi Â» Tamar, aprĂšs sa montĂ©e au trĂŽne reprend vivement les commandes du royaume. Par son commandement, le titre de Mtzignobartukhutsesi-Tchkondideli (seigneur de tous les secrĂ©taires) et par la mĂȘme occasion le titre de vizir furent attribuĂ©s Ă  Anton. En tant qu'amirspasalar (en), fut nommĂ© Sarguis MkhargrdzĂ©li ; en tant que mandaturtukhutsesi (chef de la police du temps de la GĂ©orgie unie royale), Tchiaberi. Le roi a exigĂ© Kakhaber VardanisdzĂ© comme metchourtchletoukhoutsessi (chef des vaisselles, trĂ©sorier) et Vardan (en) Dadiani comme msakhurtukhutsesi.

Les eristavis Ă  l'Ă©poque de Thamar Ă©taient :

  • Baram Vardanis dze – Eristavi des Svanes,
  • Kakhaber Kakhaberis dze – Eristavi de Ratcha et de Takueri
  • Otaro Sharvashis dze – Eristavi de Tskhumi,
  • Amanelis dze – Eristavi d'aragueti,
  • Bediani – Eristavi d'Odishi,
  • Rati Surameli – Eristavi de Karthli,
  • Bakur-kma Dzaganis dze – Eristavi de KakhĂ©tie,
  • Asat Grigolis dze – Eristavi d'HĂ©rĂ©thie,
  • Botso Djakeli – Eristavi de SamtskhĂ©.

AussitĂŽt aprĂšs l'intronisation de Tamar, le royaume dĂ©cida de faire passer au premier plan, le travail Ă  effectuer au niveau de la sphĂšre religieuse. La reine se fixa pour but d’arranger les affaires ecclĂ©siastiques. Pour cela, elle invita Nicolas Ier Goulaberisdze alors qu'il Ă©tait Ă  JĂ©rusalem, pour tenir une confĂ©rence et en excommunier certains.

AprĂšs avoir dĂ©battu des affaires de l’Église, les hommes d'État furent appelĂ©s pour dĂ©cider ensemble de l’époux de Tamar.

Premier mariage

Tamar épouse vers 1185/1187 le prince russe Georges, fils d'André Ier Bogolioubski, dont elle divorce dÚs 1192. Il tente néanmoins de prendre le pouvoir en Géorgie en 1194, appuyé par un parti de nobles.

Second mariage

En 1193, la reine épouse en secondes noces David Soslan, roi d'Ossétie, co-régent de Géorgie, mort vers 1207/1209. Ils donnÚrent naissance à :

RĂšgne

Reine d'une grande intelligence et d'une grande beautĂ©, elle monte sur le trĂŽne Ă  l'Ăąge de vingt-quatre ans. Elle amĂšne son royaume Ă  son apogĂ©e. Ses gĂ©nĂ©raux, les frĂšres ZakarĂ© et IvanĂ© MkhargrdzĂ©li-Zachariades, le roi consort David Soslan et l'Ă©vĂȘque guerrier Antoine de Tchqondidi effectuent des expĂ©ditions victorieuses contre les Ă©mirs ou atĂąbegs turcs voisins. Elle agrandit son royaume jusqu'Ă  la mer Caspienne (son rĂšgne voit la plupart des pays musulmans voisins devenir vassaux de la GĂ©orgie[1]).

Chronologie du rĂšgne

Le royaume de Géorgie à son apogée : 1184-1225.

Généalogie

Georges II
Roi de GĂ©orgie, 1072–1089
Elene
Kwiriké II
roi de Tachir-Dzoraget 1048—1089
David IV le Reconstructeur
Roi de GĂ©orgie, 1089–1125
Roussoudan
Démétré Ier
Roi de GĂ©orgie, 1125–1154
David V
Roi de GĂ©orgie, 1154–1155
Georges III
Roi de GĂ©orgie, 1155–1184
Bourdoukhan
Fille du roi des Alains, Khuddan
Roussoudan
Diplomate géorgienne,
Préceptrice de Tamar le roi-femme
Demna
Thamar
Roi de GĂ©orgie, 1184–1213
1. Georges Bogoliubski
fils du Premier grand prince de Vladimir-Souzdal,
André Ier Bogolioubski
(Divorcent en 1188)
Roussoudan
Femme du prince byzantin Manuel ComnÚne fils ainé de l'empereur byzantin Andronic Ier ComnÚne,
Imperatrice de Trébizonde
2. David Soslan
représentent de la branche d'Alanie des Bagrations
Georges IV Lasha
Roi de GĂ©orgie, 1213–1223
Rousoudan Ire de GĂ©orgie
Reine de GĂ©orgie, 1223–1245
Ghias ad-din
Shah d'Erzincan
(adopte la religion chrétienne aprÚs le mariage
)
David VII Ulu
Roi de GĂ©orgie, 1247–1270
David VI Narin
Roi de GĂ©orgie, 1245–1293
Thamar (Gurji Khatuni)

Une source d'inspiration pour les poĂštes

Les poÚtes contemporains de la reine la célÚbrent longuement. C'est le cas de Tchakhroukhadzé, qui lui dédie au XIIe siÚcle, vingt-deux odes en forme de panégyrique, réunies dans le recueil Tamariani, et de Ioane Chavteli dans son cycle d'odes Abdoulmessia.

La grande épopée géorgienne d'environ six mille vers, Le Chevalier à la peau de panthÚre (aussi appelé L'Homme à la peau de tigre ou littéralement « Celui à la peau de tigre »), écrit par Chota Roustavéli à la fin du XIIe et au début du XIIIe siÚcle, lui est également dédicacée. Il est considéré comme « le sommet de la littérature géorgienne »[2].

MikhaĂŻl Lermontov Ă©crit en 1841 le poĂšme Tamara qui, tout en n'Ă©tant pas fondĂ© sur des faits historiques, Ă©voquerait la reine Tamar de GĂ©orgie. Le compositeur russe Mili Balakirev a composĂ© Ă  partir de ce poĂšme un poĂšme symphonique intitulĂ© de mĂȘme, Tamara[3].

Culture populaire

Tamar est la dirigeante de la Géorgie dans le jeu vidéo Civilization VI: Rise and Fall.

Notes et références

  1. (en) W.E.D. Allen, A History of the Georgian People, 1932.
  2. Shengelia 2001, p. 105
  3. (en) Antony Eastmond, « Gender and Orientalism in Georgia in the Age of Queen Tamar », dans Liz James, Women, Men and Eunuchs: Gender in Byzantium, Routledge, 1997 (ISBN 0415146860), p. 103-104.

Voir aussi

Article connexe

Bibliographie

  • Marie-FĂ©licitĂ© Brosset, Histoire de la GĂ©orgie depuis l’AntiquitĂ© jusqu’au XIXe siĂšcle, v. 1-7, Saint-PĂ©tersbourg, 1848-58 (lire ce livre avec Google Books : , ), p. 403-480.
  • Marie-FĂ©licitĂ© Brosset, Additions et Ă©claircissements Ă  l'Histoire de la GĂ©orgie, AcadĂ©mie impĂ©riale des sciences, Saint-PĂ©tersbourg, 1851, (lire ce livre avec Google Books : ), Addition XVII « concernant le rĂšgne de Thamar », § 4, « Chronologie du rĂšgne de Thamar », p. 296-297.
  • RenĂ© Grousset, L'Empire du Levant : Histoire de la Question d'Orient, Paris, Payot, coll. « BibliothĂšque historique », (rĂ©impr. 1979), 648 p. (ISBN 978-2-228-12530-7), p. 422-424.
  • Alexandre Manvelichvili, Histoire de la GĂ©orgie, Paris, Nouvelles Éditions de la Toison d'Or, , 476 p., p. 181-198.
  • (en) Kakha Shengelia, History of Georgia, Tbilissi, Caucasus University Publishing House,
  • Cyrille Toumanoff, Les dynasties de la Caucasie chrĂ©tienne de l'AntiquitĂ© jusqu'au XIXe siĂšcle : Tables gĂ©nĂ©alogiques et chronologiques, Rome, , p. 136-137.
  • (en) Cyrille Toumanoff On the Relationship between the Founder of the Empire of Trebizond and the Georgian Queen Thamar, Speculum, Vol. 15, No. 3 (Jul., 1940), p. 299-312.
  • Roman inspirĂ© de la vie de Tamar : Marc Andronikof, Tamar: Roi et Reine, Éditions Apostolia.

Liens externes

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