Sottevast
Sottevast [sɔtva] est une commune française, située dans le département de la Manche en région Normandie, peuplée de 1 433 habitants[Note 1].
Sottevast | |
L'église Saint-Hermeland. | |
Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Normandie |
Département | Manche |
Arrondissement | Cherbourg |
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Cotentin |
Maire Mandat |
Jean-Pierre Tollemer 2020-2026 |
Code postal | 50260 |
Code commune | 50579 |
Démographie | |
Gentilé | Sottevastais |
Population municipale |
1 433 hab. (2020 ) |
Densité | 132 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 49° 31′ 22″ nord, 1° 35′ 40″ ouest |
Altitude | Min. 30 m Max. 147 m |
Superficie | 10,82 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Cherbourg-en-Cotentin (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Bricquebec |
Législatives | Troisième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | www.ville-sottevast.fr |
Géographie
Sottevast se situe dans la Manche à 13,3 kilomètres (à vol d'oiseau) de Cherbourg-Octeville, elle appartient au canton de Bricquebec et à l'arrondissement de Cherbourg.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[4].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
|
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Bricquebec », sur la commune de Bricquebec-en-Cotentin, mise en service en 1969[9] et qui se trouve à 6 km à vol d'oiseau[10] - [Note 5], où la température moyenne annuelle est de 11 °C et la hauteur de précipitations de 1 207,9 mm pour la période 1981-2010[11].
Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 6], « Cherbourg – Maupertus », sur la commune de Cherbourg-en-Cotentin, mise en service en 1935 et à 13 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[13] à 10,7 °C pour 1981-2010[14], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[15].
Urbanisme
Typologie
Sottevast est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7] - [16] - [17] - [18].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cherbourg-en-Cotentin, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 77 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[19] - [20].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (92,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (66,8 %), terres arables (13,9 %), zones agricoles hétérogènes (8,2 %), zones urbanisées (8,1 %), forêts (2,9 %)[21].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[22].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes : Sotenvast (lire Sotewast) en 996 et 1008 ; Sotewast vers 1060 ; Sotevast vers 1135 ; Sotewast au XIIe siècle ; Sottewast / Sottevast fin XIIe siècle ; un Odo de Sotewasto [Eude / Odon de Sotewast] est mentionné en 1204[23].
Le premier élément Sotte- représente l'anthroponyme norrois Sóti ou vieux danois Soti/Sote, relativement fréquent en Normandie, puisqu'on le rencontre dans plusieurs Sotteville[23] - [24] - [25].
L'élément -vast en composition et en postposition est caractéristique du Cotentin (ex. : Martinvast, Chiffrevast, Tollevast et Barnavast), bien qu'il ne soit pas totalement absent ailleurs cf. le Véraval (ou le Ver-à-Val) à Autretot (Seine-Maritime, Warelwast en 1024)[26]. Vast (anciennement wast, [w] ayant évolué en [v] au XIIe siècle en normand septentrional) est une forme septentrionale équivalente au français gast (que l'on retrouve dans la partie méridionale de la Manche dans Saint-Denis-le-Gast) et qui signifie « terre inculte, terre gâtée » de même origine que le verbe français gâter (anciennement gaster)[27]. Il remonte au gallo-roman WASTU, terme issu du croisement entre le bas latin vastu « terre dévastée » et le germanique *wôsti « désert » (allemand Wüste « désert »)[27].
Remarque : le graphe W-/w se maintient dans la toponymie normande en général jusqu'au XIIIe siècle compris, mais sa prononciation a évolué de [w] à [v] dès le XIIe siècle[28], alors qu'en Picardie occidentale, par exemple, elle se maintient jusqu'à aujourd'hui.
Le gentilé est Sottevastais.
Histoire
Dans la première moitié du XIIe siècle, la paroisse relevait de l'honneur de Néhou[29], et au début du XIIIe siècle, comme relaté dans les Scripta de feodis, elle avait basculé dans l'honneur de Bricquebec[30].
La paroisse relevait de l'intendance de Caen, de l'élection de Valognes, et de la sergenterie de Tollevast. On n'a du point de vue laïc que des renseignements peu précis, en tout cas très restreints sur les diverses familles qui se sont succédé à Sottevast, et sur le rôle qu'elles y ont joué. L'Histoire[31] nous conserve le souvenir d'un certain Eudes de Sottevast, seigneur du lieu[Note 9], qui à la fin du XIIe siècle, se fit remarquer par un duel qui eut, malheureusement pour lui, des suites fâcheuses.
On dit, que, suivant la mode du temps, il se battit en duel contre Guillaume de Briqueville, pour dix acres de terre situés à Tourville. Il fut vaincu, et selon la solution de conflits semblables, la terre devint la propriété de Guillaume de Bricqueville. Mais plus tard, la sœur de ce dernier, Anne de Bricqueville, par scrupule sans doute, et après avoir obtenu le consentement de son fils, fit don à l'abbaye de la Luzerne de ces dix acres de terre Decem acras terrae quas Willelmus de Bricqueville, de Eudes de Sottevast per auellium conquisiverat. L'évêque de Coutances, Guillaume de Tournebu, confirma cette donation.
Le baron de Bricquebec, suivant les traces du seigneur de Sottevast, avait fait un don à l'abbaye de Lessay, cette abbaye avait reçu de Raoul de Sottevast l'église même de cette localité Ex dono Radulphi de Sottevast. En 1186, le pape Urbain III ratifia cette donation et celle du seigneur de Bricquebec. Voici d'après ce livre noir, quelle était la distribution des revenus de l'église. L'abbé de Lessay avait deux parts de la dîme et le curé la troisième. D'après le livre blanc les dîmes se divisaient en trois parts, l'une appartenait à l'abbé de Lessay, la seconde au prieur de Vauville, et la troisième au curé. Quant à la dîme des novales, le chapitre de Coutances, et l'abbé de Cerisy intervenaient pour chacun une part.
En 1421, un Guillaume de Sottevast figurait au nombre des chevaliers qui comparurent à la revue de la garnison de Cherbourg le . Pendant les guerres de Religion, Sottevast avait comme châtelaine une dame de Couvert, qui, protestante fanatique, préféra brûler sur le pont Saint-Simon les titres mêmes de sa maison que de les laisser entre les mains de son fils qui s'était converti au catholicisme. C'était probablement une des descendantes de cette châtelaine, que Henri de Chivré, écuyer, épousa en l'année 1660. Cette famille de Chivré habitait d'ailleurs depuis longtemps la contrée, et y avait acquis une certaine influence qui ne fit que grandir et s'affirma surtout pendant le XVIIIe siècle où figure un Henri de Chivré, chevalier. Les de Chivré avaient un château qui subsiste encore, et est en la possession de la famille.
Sottevast offre plus d'intérêt encore au point de vue religieux. Son église est sous le vocable de Saint-Hermeland ou Saint-Herbland et dépendait de l'archidiaconé du Cotentin et du doyenné des Pieux.
Au point de vue de la construction matérielle, elle ne possède aucun cachet, mais à l'intérieur on y remarque et on y admire une magnifique chaire du XVIe. On remarque les motifs de sculptures qui en font l'ornementation.
L'église possède également une garniture d'autel non moins remarquable : ostensoir, ciboire, calice, chandeliers, encensoir, burettes sont en argent massif ciselé des meilleures formes du XVIIe.
Le patronage de l'église en 1665 était devenu laïque, le seigneur le possédait. Il y eut paraît-il, dans la paroisse de Sottevast, une chapelle sous le vocable de Sainte Suzanne. On dit même que cette chapelle devait sa fondation à saint Hermeland lui-même. C'est peut-être le cachet religieux que ces diverses fondations avaient donné à cette paroisse, ou des anciens droits du chapitre de la cathédrale de Coutances, qui portèrent un des évêques de Coutances, monseigneur Dupont à établir en 1819 à Sottevast un petit séminaire sous la direction de l'abbé Le Barbenchon, pour la formation des jeunes clercs. Cet établissement a subsisté pendant un certain nombre d'années, il n'en reste que quelques vestiges.
Si Sottevast est maintenant le point de jonction de la voie ferrée qui, d'une part, se dirige sur Cherbourg, et se rend d'autre part, à Coutances, il possédait autrefois une voie romaine qui venait de Coriallum, et aboutissait à Cosedia. Cette voie traversait l'Ouve à Sottevast, et il existait dans la rivière même, un gué pavé, très solidement établi. En 1819, on découvrit dans un champ appelé l'ancien hameau, une collection de monnaies romaines en argent, renfermées dans un vase en bronze. Ces médailles allaient de Commode à Postume.
Héraldique
Blason | Inconnu. |
|
---|---|---|
Détails | Adopté par délibération municipale du 21 février 2005. |
Politique et administration
Le conseil municipal est composé de quinze membres dont le maire et quatre adjoints[35].
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[37].
En 2020, la commune comptait 1 433 habitants[Note 10], en augmentation de 7,66 % par rapport à 2014 (Manche : −0,97 %, France hors Mayotte : +1,9 %). Sottevast a compté jusqu'à 1 430 habitants en 1821.
Économie
Lieux et monuments
- Église Saint-Hermeland. Ses lambris, sa chaire et plusieurs objets liturgiques sont classés à titre d'objets aux monuments historiques[41].
- Chapelle Sainte-Suzanne de l'Abbaye, du XVe siècle, inscrite au titre des monuments historiques depuis le [42].
- Château de Sottevast, du XVIIe siècle : château qui arbore une grande façade classique avec un pavillon central en légère saillie et un fronton en arrondi assez rare. Il a remplacé une série d'édifices bâtis à cet emplacement depuis le Moyen Âge[43].
- Croix Pinchon, croix de chemin du XVIIe siècle.
Activité et manifestations
Sports
Le Football Club Sottevast-Saint-Joseph fait évoluer deux équipes de football en divisions de district[44].
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Résumé statistique de Sottevast sur le site de l'Insee
Notes et références
Notes
- Population municipale 2020.
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Eudes de Sottevast était seigneur et patron de Sottevast, de Gréville, de Vasteville et d'Hardinvast[29].
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Altitudes, coordonnées, superficie : répertoire géographique des communes 2014 (site de l'IGN, téléchargement du 1er mars 2015)
- « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
- « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Bricquebec - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Sottevast et Bricquebec-en-Cotentin », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Bricquebec - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Sottevast et Cherbourg-en-Cotentin », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Cherbourg – Maupertus - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Cherbourg – Maupertus - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Cherbourg – Maupertus - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique (consulté le ).
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- François de Beaurepaire (préf. Yves Nédélec), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Manche, Paris, A. et J. Picard, , 253 p. (ISBN 2-7084-0299-4, OCLC 15314425), p. 220.
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 662a.
- René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Presses Universitaires de Caen, 1996 (ISBN 2-905461-80-2), p. 249a.
- François de Beaurepaire, op. cit., p. 39.
- gâter sur le site du CNRTL (lire en ligne) .
- René Lepelley, La Normandie dialectale
- Florence Delacampagne, « Seigneurs, fiefs et mottes du Cotentin (Xe – XIIe siècle) : Étude historique et topographique », dans Archéologie médiévale, t. 12, (lire en ligne sur Persée.), p. 184.
- Delacampagne 1982, p. 187.
- Tout ce paragraphe est extrait de : Monographie des Villes et Villages de France, Bricquebec et ses environs de P. Lebreton, éd. Le Livre d'Histoire, réédition du livre de 1902, Sottevast, Sotenvast, Sotovast, Sotevast.
- Jacques Blin, étude sur les maires des communes du canton de Bricquebec à partir des registres d'état civil
- « Françoise Bougis présente sa liste », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
- « Guy Castel, nouveau maire de la commune », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
- « Municipales à Sottevast. Jean-Pierre Tollemer, nouveau maire », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « À Sottevast (50), le bijou industriel des Maîtres laitiers », sur entreprises.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
- « Œuvres mobilières à Sottevast », base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Chapelle Sainte-Suzanne de l'Abbaye », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Norbert Girard et Maurice Lecœur, Trésors du Cotentin : Architecture civile & art religieux, Mayenne, Éditions Isoète, , 296 p. (ISBN 978-2-913920-38-5), p. 271.
- « F. C. Sottevast-St-Joseph », sur Site officiel de la Ligue de Basse-Normandie (consulté le ).