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Négreville

Négreville est une commune française, située dans le département de la Manche en région Normandie, peuplée de 824 habitants[Note 1].

Négreville
Négreville
L'église Saint-Pierre.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Manche
Arrondissement Cherbourg
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Cotentin
Maire
Mandat
Guy Lesénéchal
2020-2026
Code postal 50260
Code commune 50369
Démographie
Gentilé Négrevillais
Population
municipale
824 hab. (2020 en augmentation de 0,86 % par rapport à 2014)
Densité 72 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 29′ 23″ nord, 1° 32′ 50″ ouest
Altitude Min. 14 m
Max. 79 m
Superficie 11,48 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Cherbourg-en-Cotentin
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Bricquebec
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Négreville
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Négreville

    Géographie

    La commune est au centre de la péninsule du Cotentin, au confluent de la Douve et de la Gloire. Son bourg est à km à l'ouest de Valognes et à km à l'est de Bricquebec[1].

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap.
    Carte topographique.

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[5].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[4]

    • Moyenne annuelle de température : 10,8 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 0,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 11,1 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 4] : 1 008 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 14,2 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Bricquebec », sur la commune de Bricquebec-en-Cotentin, mise en service en 1969[10] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[11] - [Note 5], où la température moyenne annuelle est de 11 °C et la hauteur de précipitations de 1 207,9 mm pour la période 1981-2010[12].

    Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 6], « Cherbourg – Maupertus », sur la commune de Cherbourg-en-Cotentin, mise en service en 1935 et à 18 km[13], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[14] à 10,7 °C pour 1981-2010[15], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[16].

    Urbanisme

    Typologie

    Négreville est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7] - [17] - [18] - [19].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cherbourg-en-Cotentin, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 77 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[20] - [21].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (94,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (71,1 %), zones agricoles hétérogènes (11,3 %), terres arables (7,5 %), forêts (7,2 %), zones urbanisées (2,9 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].

    Toponymie

    Le nom de la localité est mentionné sous les formes : Esnegervilla en 1185 / 1189 (Cartulaire des Îles, 311) ; Esnigiervilla en 1198 (Stapelton II, 477) ; Esnegrevilla vers 1210 (Feoda) ; Esnegrevilla vers 1285 (Cartulaire de Coutances, copie Delisle) ; Esnerguevilla en 1285 (Lecacheux, H.D., p.j. CXII) ; Esneigreville en 1286 (d°,f° 217)[24].

    Comme le montrent les plus anciennes formes attestées du toponyme, il n'y a pas de rapport avec le latin nigra « noir » (cf. occitan negre « noir »). En outre, c'est phonétiquement impossible puisque nigra a abouti à neir en normand et noir en français, le [g] devant [r] de la syllabe accentuée latine s'étant régulièrement affaibli en langue d'oïl. Enfin, rares sont les toponymes en -ville (de l'ancien français vile « domaine rural ») combinés avec un adjectif, c'est presque toujours un anthroponyme.

    Les formes anciennes montrent qu'il s'agit probablement d'un nom de personne norrois. François de Beaurepaire propose un hypothétique *Snægeirr[24], basé sur l'élément vieux norrois snær « neige », et qui constitue le premier élément de tous les anthroponymes commençant par Snæ-[25] et geirr « lance », utilisé fréquemment dans les noms de personnes norrois. Ernest Nègre préfère le nom de personne germanique continental Snelgerus[26] (comprendre Snelgar, Snelger) qui présente l'avantage d'être attesté. Cependant, il n'y a pas trace d'un [l] dans les formes anciennes.

    On rencontre sans doute le même anthroponyme dans ad pratum Esnerguier (Anglesqueville-Lestre, 1242) et Montem Esnerguier (1251)[24], peut-être cependant, avec un autre élément Snær- issu de Snærrir, basés sur *snerra « faire du bruit » ou snerra « tournoyer rapidement »[27], ce qui conviendrait mieux dans une association avec geirr « lance », c'est-à-dire *Snærgeirr.

    Remarque : la proposition d'Albert Dauzat, qui croit reconnaître « peut-être » (sic) un nom de personne germanique hypothétique *Nac-hari[28], est abandonnée car elle est incompatible avec la nature des formes anciennes primitives dont il n'a pas eu connaissance. En effet, elles commencent toutes par Esn- et non pas par N-. Esn- résulte de l'épenthèse dans le groupe [s] + consonne en gallo-roman, ici Sn-. Esn- s'est ensuite réduit à N- postérieurement au XIIIe siècle (aphérèse de Es-).

    Le gentilé est Négrevillais[29].

    Histoire

    Domaine appartenant au XIIe siècle à la famille Wac, il leur est confisqué en 1204 lorsqu'elle choisit la fidélité au roi d'Angleterre.

    Une foire annuelle dite de la Saint-Clair se tenait le [30].

    En 1929, Négreville (884 habitants en 1926) cède, ainsi que Brix et Tamerville, une partie au nord-est de son territoire pour la création de la commune de Saint-Joseph (556 habitants en 1931)[31] - [32].

    Politique et administration

    La mairie.
    Liste des maires[33]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1792 1800 Joseph Le Maître Teinturier
    1800 1820 Michel Cosnefroy
    1820 1835 Jacques Louis Dagoury Cultivateur
    1835 1843 François Julien Adam Cultivateur
    1844 1856 Jean Michel Baudry Cultivateur
    1856 1865 Louis François Léonor Adam
    1865 1883 Jean Jacques Bienaimé Dagoury Propriétaire
    1883 1886 Auguste Duval Propriétaire
    1886 1888 Gustave Jules Bitouzé Propriétaire
    1888 1888 Louis Bitouzé Propriétaire
    1888 1925 Louis Adrien Joseph Picquenot
    1925 1944 Robert Bitouzé
    1944 1971 Louis Beaudoin
    1971 1983 Roland Lefebvre
    1983 1994 Patrick Daudon
    1994[34] Yves Langlois SE Agriculteur
    mai 2020[35] En cours Guy Lesénéchal SE Retraité
    Les données manquantes sont à compléter.

    Le conseil municipal est composé de quinze membres dont le maire et trois adjoints[35].

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[37].

    En 2020, la commune comptait 824 habitants[Note 9], en augmentation de 0,86 % par rapport à 2014 (Manche : −0,97 %, France hors Mayotte : +1,9 %). Négreville a compté jusqu'à 1 314 habitants en 1841.

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 2707521 2711 2771 2171 3021 3141 3091 225
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 1921 1731 1871 1271 0551 0661 0221 0131 051
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    940924916870884580559531576
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    561539553523625734813813829
    2015 2020 - - - - - - -
    807824-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[38] puis Insee à partir de 2006[39].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    Le château de Pont-Rilly.
    Moulin à farine.
    Le château de Darnétal.
    • Le menhir dit de la Pierre Dressée, à Rouville, au pied de la colline des Grosses-Roches.
    • Le château de Pont-Rilly du XVIIIe siècle, inscrit aux monuments historiques[40].
    • Le château de Darnétal : petit château classique du XIXe siècle, probablement reconstruit à la place d'un édifice plus ancien, il possède de nombreuses ouvertures[41].
    • Le manoir de Négreville
    • Le manoir de Sébeville (XVIe siècle).
    • Le manoir de Saint-Rémy (XVe siècle).
    • Le moulin de la Ville (XVIIIe siècle), inscrit aux monuments historiques[42].
    • L'église Saint-Pierre du XVIIe siècle. Un maitre-autel du XVIIIe siècle avec gradins et tabernacle est classé à titre d'objet[43].
    • Pont de la Croix (XVe siècle), à l'Hôtel au Cauf, ainsi qu'une croix de six mètres de haut marquant probablement l'emplacement d'un ancien monastère.
    • La vallée de la Douve.
    • La vallée de la Gloire.
    • La vallée de la Claire.
    • Stèle dédiée aux parachutistes américains du 507e régiment de la 82e division aéroportée à l'endroit où leur appareil s'est écrasé, dans la nuit du 6 juin 1944[44], à Rouville.
    • La croix Jacob et la Bonne Vierge.
    • La vieille école.

    Activité et manifestations

    Sports

    L'Association sportive négrevillaise fait évoluer deux équipes masculines de football et une équipe féminine de football à 8 en divisions de district[45].

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2020.
    2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[6].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[7].
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Distances routières les plus courtes selon Viamichelin.fr.
    2. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
    3. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
    4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    5. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
    6. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    7. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    8. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    9. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    10. « Station Météo-France Bricquebec - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    11. « Orthodromie entre Négreville et Bricquebec-en-Cotentin », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station Météo-France Bricquebec - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    13. « Orthodromie entre Négreville et Cherbourg-en-Cotentin », sur fr.distance.to (consulté le ).
    14. « Station météorologique de Cherbourg – Maupertus - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    15. « Station météorologique de Cherbourg – Maupertus - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    16. « Station météorologique de Cherbourg – Maupertus - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    17. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    19. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    20. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
    23. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    24. François de Beaurepaire, Les noms des communes et anciennes paroisses de la Manche, éditions Picard 1986. p. 167.
    25. Site de Nordic Names : étymologie de l'élément SNÆ
    26. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, t. 2 : Formations non romanes ; formations dialectales, Genève, (lire en ligne), p. 954 - n° 17151.
    27. Site de Nordic Names : étymologie de SnærriR
    28. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 491b
    29. « Ouest-france.fr - Mairie de Négreville » (consulté le ).
    30. Comité Gille de Gouberville et al. (préf. Annick Perrot, ill. Kévin Bazot, sous la direction de Julien Deshayes), Voyage en Cotentin avec Gilles de Gouberville, Éditions Heimdal, , 95 p., 30 cm, illustrations couleur (ISBN 978-2-84048-581-0, EAN 9782840485810, BNF 46897276), p. 77.
    31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Négreville », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
    32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Saint-Joseph », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le )..
    33. Jacques Blin, étude sur les maires des communes du canton de Bricquebec d'après les registres d'état civil.
    34. « Yves Langlois : redresser la barre n'a pas été la routine », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    35. « Négreville. Guy Lesénéchal a été élu maire », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    36. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    37. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    38. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    39. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    40. « Domaine du château de Pont-Rilly », notice no PA00110523, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    41. Norbert Girard et Maurice Lecœur, Trésors du Cotentin : Architecture civile & art religieux, Mayenne, Éditions Isoète, , 296 p. (ISBN 978-2-913920-38-5), p. 270.
    42. « Moulin », notice no PA00110524, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    43. « Maître-autel, 2 gradins d'autel, tabernacle à ailes, exposition », notice no PM50000759, base Palissy, ministère français de la Culture.
    44. « 1944, la bataille de Normandie, la mémoire - Négreville en Normandie 1944 » (consulté le ).
    45. « Site officiel de la Ligue Basse-Normandie – AS négrevillaise » (consulté le ).
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