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Site des Rivières et Gorges du Loup

Le site des Rivières et Gorges du Loup, situé dans le département des Alpes-Maritimes, est une zone intégrée à l’initiative européenne Natura 2000 de protection de la biodiversité. Sa faune et sa flore riche en font l’un des lieux centraux de la préservation de l’écosystème azuréen.

Vue depuis les falaises calcaires du parc départemental des Rives du Loup
Vue depuis les falaises calcaires du parc départemental des Rives du Loup.

Territoire et géographie

Le site des Rives et Gorges du Loup s’étend sur une surface d’environ 4 444 hectares, pour une longueur totale de 48 kilomètres entre sa source, situĂ©e Ă  1 240 m d’altitude Ă  Andon, et son embouchure maritime, entre Villeneuve-Loubet et Cagnes-sur-Mer. Il traverse 13 communes des Alpes-Maritimes : Andon, GrĂ©olières, Cipières, Coursegoules, Courmes, Gourdon, Le Bar-sur-Loup, Le Rouret, Roquefort-les-Pins, Tourrettes-sur-Loup, La Colle-sur-Loup, Villeneuve-Loubet et Cagnes-sur-Mer[1].

Du fait de son positionnement entre mer et montagne, le site présente une diversité topographique rare. Entre Andon et Gréolières, le cours supérieur du Loup suit une partie du synclinal du Haut-Loup, en contrebas des massifs de l’Audibergue et du Cheiron. Il traverse ensuite les plateaux de Calern, du Gros Pounch, de Cavillore, de Caussols et de Saint-Barnabé, jusqu’au lieu-dit du Saut-du-Loup où il débouche sur la cascade de Courmes, d’une quarantaine de mètres de hauteur. Le Loup plonge alors entre des falaises calcaires dans lesquelles il a creusé des gorges de plusieurs dizaines de mètres de profondeur. Il débouche ensuite sur une zone plus ouverte, bordée de versants boisés, qui s’étend jusqu’à La Colle-sur-Loup et s’arrête aux portes de l’agglomération de Villeneuve-Loubet.

Gestion

Le parc des Rivières et Gorges du Loup a Ă©tĂ© reconnu « Site d’IntĂ©rĂŞt communautaire » (SIC) et intĂ©grĂ© au rĂ©seau Natura 2000 le [1]. Cette initiative europĂ©enne permet de rassembler les sites naturels ou semi-naturels qui prĂ©sentent une biodiversitĂ© particulièrement riche. Son statut de point chaud de biodiversitĂ© a Ă©tĂ© confirmĂ© le lorsqu’il a Ă©tĂ© dĂ©fini comme une « Zone spĂ©ciale de conservation » (ZSC) (site FR 9301571). Sa forte concentration en espèces primordiales pour l’écosystème mĂ©diterranĂ©en est depuis protĂ©gĂ©e par arrĂŞtĂ© du ministère chargĂ© de l’Écologie. Un document rĂ©capitulant les espèces sensibles et les objectifs liĂ©s Ă  leurs conservations a ainsi Ă©tĂ© rendu public.  

Le site est géré par la Direction Régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL) Provence Alpes Côte d’Azur, en collaboration avec le ministère chargé de l’écologie. Une portion située sur la partie basse du fleuve, entre Villeneuve-Loubet et La Colle-sur-Loup, a été transformée en parc départemental et est directement animée par le Conseil Départemental des Alpes-Maritimes. Cet espace a vocation à informer, sensibiliser et éduquer le grand public à la richesse du patrimoine naturel local. Des sentiers « découverte » sur le thème de l’eau, des chemins de randonnée pédestre et des sites d’escalades ont été créés ou réhabilités à cet effet.

Faune et flore

De nombreuses espèces de faune et de flore se partagent le site des Rivières et Gorges du Loup. Depuis l’intégration de la zone au réseau Natura 2000 en 2006, de nombreuses études visent à identifier, étudier et protéger les espèces les plus vulnérables présentes sur place.

La zone est réputée pour être l’un des derniers lieux d’observation de la loutre d'Europe jusqu’à son extinction présumée avec l’abattage du dernier spécimen, en 1939, à proximité de la station de pompage du Lauron. La relative stabilité du débit du Loup, la présence de nombreuses espèces piscicoles prisées des loutres et les bons indicateurs relatifs à la qualité de l’eau en font un lieu compatible avec les politiques de réintroduction de l’espèce envisagées sur le territoire national[2].

MalgrĂ© la disparition de cette espèce, le lieu reste l’une des zones les plus denses et riches en termes de biodiversitĂ© Ă  l’échelle des Alpes Maritimes. Au total, 63 espèces rĂ©pertoriĂ©es sur la zone sont visĂ©es par des directives europĂ©ennes de conservation plus ou moins strictes (Annexes I, II, IV et IV de la Directive Habitats 92/43/CEE ; Annexe I de la Directive Oiseaux 2009/147/CE)

Oiseaux

Le bassin méditerranéen est connu comme étant un haut lieu de l’avifaune française du fait de sa position unique entre mer et montagne. La région tout entière est particulièrement propice à la nidification des oiseaux de mer et de basse ou moyenne altitude. Le climat clément en fait un lieu de reproduction et d’hivernage privilégié pour certaines espèces allochtones. La richesse de cette diversité aviaire conduit à un partenariat particulièrement étroit entre les entités gouvernementales chargées de la gestion des espaces et la Ligue de Protection des Oiseaux (LPO).

Sur le site des Rivières et Gorges du Loup, 137 espèces d’oiseaux ont Ă©tĂ© recensĂ©s dont une majoritĂ© d’espèces sĂ©dentaires ou saisonnières. 27 espèces sont prĂ©sentes dans l’Annexe I de la Directive Oiseaux (directive 2009/147/CE) et donc particulièrement surveillĂ©es. 13 d’entre elles se reproduisent rĂ©gulièrement sur le site et font l’objet d’études et de projets de conservation spĂ©cifiques :

L’aigle de Bonelli, dont douze couples ont été repérés dans des zones avoisinantes, sont aussi sous surveillance sur le site[3].

Chauves-souris

Les chauves-souris sont elles aussi cœur de l’écosystème du site. Ce groupe taxonomique concentre les espèces parmi les plus rares repérées aux alentours du Loup. La grande vulnérabilité de ces espèces et leur rôle primordial dans la biodiversité locale ont largement contribué à classer le site dans le réseau Natura 2000.

Au total, 15 espèces de chiroptĂ©rofaune ont Ă©tĂ© comptabilisĂ©es dont quatre sont inscrites Ă  la fois dans les annexes II et IV de la Directive « Habitats » :

  • le grand rhinolophe (Rhinolophus ferrumequinum) et le petit rhinolophe (Rhinolophus hipposideros) sont des espèces menacĂ©es de chauves-souris particulièrement visĂ©es par des politiques de conservation. Les Gorges du Loup s’avèrent ĂŞtre des zones de reproduction et d’hibernation pour ces espèces. Cette population de chauves-souris reste toutefois difficile Ă  prĂ©server du fait de l’intensification de l’activitĂ© humaine et de la prĂ©sence de prĂ©dateurs naturels tels que la genette commune (Genetta genetta) [4] - [5].
  • Le minioptère de Schreibers (Miniopterus schreibersi), est une espèce emblĂ©matique du bassin mĂ©diterranĂ©en. Cavernicole, cette petite chauve-souris au front bombĂ© a Ă©lu domicile dans une fraction des grottes de la rĂ©gion.
  • La barbastelle d’Europe (Barbastella barbastellus), espèce fragile, mais peu connue car nidifiant dans des habitations de montagne abandonnĂ©es, a Ă©tĂ© repĂ©rĂ©e Ă  de rares occasions sur le site.

Espèces piscicoles

Le loup sur la commune de la Colle-sur-Loup

Le site tout entier est articulé autour du Loup, devenu élément central de la biodiversité locale. Le cours d’eau a d’ailleurs été classé en première catégorie piscicole du fait de son ichtyofaune très riche et variée.

Trois espèces aquatiques mentionnées dans les annexes II et V de la directive « Habitats » ont ainsi pu être observées :

  • le barbeau mĂ©ridional (Barbus meridionalis) est prĂ©sent en grand nombre sur toute la longueur du Loup et particulièrement sur la portion en aval du lieu-dit du Saut-du-Loup. Ce poisson très peu pĂŞchĂ© est une composante essentielle de l’écosystème aquatique, puisqu’il contribue Ă  la survie d’autres espèces comme la truite fario (Salmo trutta fario).
  • le blageon (Leuciscus souffia) est particulièrement prĂ©sent dans les zones boisĂ©es de faible altitude. Sa population est en constante diminution sur l’ensemble des Alpes-Maritimes du fait de la diminution du dĂ©bit des cours d’eau.
  • l’écrevisse Ă  pieds blancs (Austropotamobius pallipes) est prĂ©sente dans de petites portions du Loup Ă  Cipières et GrĂ©olières et dans quelques-uns des affluents du cours d’eau. Cette espèce est particulièrement menacĂ©e par l’introduction d’espèces nuisibles comme l’écrevisse amĂ©ricaine (Orconectes limosus) et ses parasites (Aphanomyces astacii). L’espèce Ă  pieds blancs est un excellent indicateur biologique de la santĂ© du milieu car particulièrement sensible aux variations dans son habitat.

La présence d’Alose feintes (Alosa fallax), a également été confirmée ces dernières années dans la partie basse du Loup.

Reptiles et amphibiens

L’herpĂ©tofaune du site est relativement dĂ©veloppĂ©e avec 15 espèces d’amphibiens et de reptiles confirmĂ©es formellement sur le site et 5 autres repĂ©rĂ©s Ă  plusieurs reprises.

Parmi elles, cinq espèces sont inscrites à l’annexe IV de la Directive « Habitats »

  • Le lĂ©zard vert (Lacerta bilinetea) et le lĂ©zard des murailles (Podarcis muralis muralis) prĂ©sents en grand nombre sur l’ensemble du site ;
  • La couleuvre verte et jaune (Coluber viridiflavus viridiflavus) sur la moitiĂ© nord de la zone ;
  • La couleuvre d’Esculape (Elaphe longissima) prĂ©sente au nord de Courmes, dans les zones les plus boisĂ©es et difficiles d’accès ;
  • La rainette mĂ©ridionale (Hyla meridionalis) qui prolifère du fait de la multiplication des points d’eau artificiels (piscines, bassins, fontaines, rigoles, etc.).

Dix autres espèces sont sous protection nationale car identifiées comme vulnérables.

Flore

Le bassin mĂ©diterranĂ©en est connu pour ĂŞtre un point chaud de la flore mondiale et le site ne fait pas exception [6]. Il prĂ©sente une diversitĂ© accrue du fait notamment de la diffĂ©rence de climat entre sa partie haute, Ă  Andon, et son embouchure maritime. Au total, il compte 76 espèces de plantes protĂ©gĂ©es ou prĂ©sentant un intĂ©rĂŞt Ă©cosystĂ©mique (espèces endĂ©miques ou rares). Seulement deux d’entre elles font l’objet d’une directive europĂ©enne (« Habitats », Annexe II) :

  • L’ancolie de Bertoloni (Aquilegia bertolonii) est une petite fleur violette qui plante ses racines dans les Ă©boulis calcaires ombragĂ©s. L’espèce est caractĂ©ristique de la rĂ©gion mais reste rare. On compte une dizaine d’individus sur le site environ.
  • La buxbaumie verte (Buxbaumia viridis) est une mousse annuelle qui pousse dans les bois de conifères morts. Elle est en parfaite santĂ© sur le site du fait des sapinières et pinèdes qui se situent Ă  la source du Loup, entre Caille et Andon.  

Bien que peu d’espèces sur le site soient visées par des politiques de conservation, les Rivières et Gorges du Loup restent un lieu de richesse florale unique. La présence d’espèces centrales de la flore méditerranéenne, comme le pin sylvestre (pinus sylvestris) garantit la survie d’autres taxons plus rares. La pinède de la portion montagneuse du Loup, limitrophe avec le site des préalpes de Grasse, est à ce titre assez riche en espèces rares (Orchis spitzelii, Corallorrhiza trifida, Paeonia officinalis subsp. huthii)[7].

L’élargissement des pĂ©riphĂ©ries urbaines est un enjeu clĂ© pour la prĂ©servation de la flore locale. Au total, 82 plantes cĂ´tières sont menacĂ©es sur l’ensemble du bassin mĂ©diterranĂ©en directement par l’Homme. Deux tiers de la diversitĂ© florale de la RĂ©gion Provence-Alpes-CĂ´te d’Azur pourraient ĂŞtre concernĂ©s[8]. La hausse dĂ©mographique et la croissance de la frĂ©quentation estivale contribuent Ă©galement Ă  augmenter le risque d’incendie. Le site, comme toute la rĂ©gion, est rĂ©gulièrement menacĂ©, justement dans sa partie de moyenne montagne, sur la commune de Tourrettes-sur-Loup.

Menaces sur l'écosystème

Espèces envahissantes

Les changements de climats et l’introduction d’espèces allochtones sont une réalité pour la majorité des espaces méditerranéens. Le site des Rivières et des Gorges du Loup ne fait pas exception.

La partie mĂ©ridionale du site, Ă  proximitĂ© de l’agglomĂ©ration de Villeneuve-Loubet, est directement concernĂ©e par l’invasion de l’écureuil Ă  ventre rouge, Callosciurus erythraeus. L’animal, surnommĂ© le « rat de CorĂ©e » dans les Alpes Maritimes a vu son territoire grandir de 10 km2 entre les annĂ©es 1990 et 2008. Cette espèce asiatique, introduite dans les annĂ©es 1960 Ă  proximitĂ© du Cap d’Antibes, menace aujourd’hui l’espèce autochtone d’écureuil roux (Sciurus vulgaris) et fait l’objet d’un plan de lutte nationale[9].

Activité humaine

Comme sur tout le pourtour méditerranéen, l’activité humaine grandissante représente une menace pour les espèces présentes sur le site des Rivières et Gorges du Loup. Les infrastructures électriques de moyenne et basse tension qui traversent le site sont par exemple une cause majeure de collision avec l’avifaune, menaçant les zones de reproduction et de nidification de certains oiseaux. Les réseaux routiers et leur entretien occasionnent de fortes nuisances sonores pour la faune locale et ont morcelé, si ce n’est détruit complètement, l’habitat des espèces les plus fragiles.

Malgré le classement du site dans la liste du patrimoine naturel européen, de nombreuses activités sportives et touristiques se sont développées autour du Loup, menaçant l’écosystème local.

La zone montagneuse est particulièrement prisĂ©e des randonneurs semi-professionnels et des spĂ©lĂ©ologues. Au total, 118 cavitĂ©s ont Ă©tĂ© recensĂ©es dans le pĂ©rimètre du site  dont une partie accueille des espèces de chauves-souris particulièrement vulnĂ©rables Ă  la perturbation de leurs habitats : le grand rhinolophe (Rhinolophus ferrumequinum) et le petit rhinolophe (Rhinolophus hipposideros), la barbastelle d’Europe (Barbastella barbastellus) et le minioptère de Schreibers (Miniopterus schreibersii). Bien qu’une minoritĂ© de ces grottes soient accessibles au public, certains sites comme celui de la Chèvre d’Or (Roquefort-les-Pins) sont dĂ©jĂ  dĂ©gradĂ©s par l’activitĂ© humaine.

La portion du parc située sur la commune de la Colle-sur-Loup est un lieu de promenades privilégié depuis les années 1990. Les parois rocheuses, lieu de nidification et de refuge pour un certain nombre d’espèces d’oiseaux et d’insectes, ont été creusées pour accueillir des parcours d’escalade hautement prisés des amateurs locaux et des groupes scolaires. Certains parcours ont même une réputation internationale et entraînent une fréquentation constante tout au long de l’année.

Depuis cette Ă©poque, les zones de basse et moyenne montagne ont multipliĂ© leurs offres de sport en plein air (canoĂ«-kayak, rafting, accrobranche, etc.). Les diffĂ©rents centres sportifs privĂ©s installĂ©s dans le secteur des Gorges du Loup peuvent attirer jusqu’à 300 personnes par jour durant l’étĂ©, avec un impact majeur sur la faune du site.

À cette affluence de passionnés de sports en tout genre s’ajoute une hausse des baignades non contrôlées générée par le développement du tourisme nature. La fréquentation estivale du site a également dramatiquement augmenté ces dernières années, générant une hausse de la pollution du site : circulation et stationnement anarchique, accélération de l’érosion naturelle, piétinement du lit du cours d’eau, etc. La multiplication des déchets de tout type causés par les campings sauvages et autres activités de loisirs se fait sentir sur les portions du parc les plus proches des axes routiers et des petites villes.

Sur les zones les plus proches de la mer, ce sont l’étalement urbain et l’aménagement côtier qui pourraient menacer durablement l’écosystème du Loup. Sur la portion traversant Cagnes-sur-Mer par exemple, l’implantation du complexe commercial Polygone Riviera représente déjà une menace pour l’équilibre du cours d’eau. La diminution du débit de la rivière perturbe les cycles de reproduction des poissons présents dans la zone en plus d’une perte d’une dizaine d’hectares autrefois boisés. Cette bétonisation de l’embouchure, désormais transformée en goulet d’étranglement, amplifie les dégâts occasionnés par les épisodes de pluies intenses que connaît la région. Les inondations d’octobre 2015 illustrent parfaitement ce phénomène. Certaines zones entre Cagnes-sur-Mer et La Colle-sur-Loup étaient restées impraticables pendant plusieurs semaines du fait de la non-absorption des eaux par le sol.

Notes et références

Invertébrés

Mammifères

Références

  1. Museum national d'Histoire naturelle, « INPN - FSD Natura 2000 - FR9301571 - Rivière et gorges du Loup - Description », sur inpn.mnhn.fr (consulté le )
  2. Audrey Savouré-Soubelet, Isabelle Witté, Laura Flamme, Guillaume Grech et Patrick Haffner, « Détermination du potentiel d’accueil de la Loutre d’Europe (Lutra lutra) par secteur géographique en France métropolitaine. », Revue d’Ecologie (Terre et Vie),‎ , p. 293-313 (lire en ligne)
  3. Jean Boutin, L'action du Conservation régional en Provence-Côte d'Azur, , 2 p. (lire en ligne)
  4. Vincent Kulesza et al., Mémento de la Faune protégée des Alpes Maritimes, (lire en ligne)
  5. Christian Riols et Renaud Nadal, « Noteworthy predation on bats by the Common Genet (Genetta genetta) in southern France. », Journal of Bat Research & Conservafion Volume,‎ , p. 6 (lire en ligne)
  6. Frédéric Médail et Pierre Quézel, « Hot-Spots Analysis for Conservation of Plant Biodiversity in the Mediterranean Basin », Annals of the Missouri Botanical Garden,‎ , p. 112-127 (lire en ligne)
  7. Frédéric Médail, Biogéographie, écologie et valeur patrimoniale des forêts de pin sylvestre (Pinus sylvestris L.) en région méditerranéenne, (lire en ligne)
  8. Aggeliki Doxa, Cécile Albert, Agathe Leriche et Arne Saatkamp, « Prioritizing conservation areas for coastal plant diversity under increasing urbanization », Journal of Environmental Management,‎ , p. 425-434 (lire en ligne)
  9. Olivier Gerriet, « Répartition de l'Écureuil à ventre rouge Callosciurus eryhtraeus (Pallas, 1779) (Rodentia, Sciuridae) dans les Alpes-Maritimes (France). », Biocosme mésogéen,‎ (lire en ligne)

Autres ressources utilisées

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