Accueil🇫🇷Chercher

Salmo trutta

Salmo trutta est une espèce de poissons de la famille des Salmonidés qui correspond à la truite commune européenne. L'espèce est polymorphe. Selon les variétés locales et la situation côtière ou continentale d'un cours d'eau, une proportion très variable des truites qui y naissent peuvent migrer en mer. C'est potentiellement une espèce invasive en Amérique du Nord. Dans la plupart des pays (dont en France, au moins depuis les années 1960[1]), sa pêche est réglementée (permis, dates et lieux de pêche, taille légale, etc.).

Variations de formes ou morphes

Salmo trutta

Depuis ses débuts la taxonomie de l'espèce a connu de nombreux changements parsemés d'erreurs et le consensus actuel reste bordé d'incertitudes ; il est bon de considérer cette taxonomie comme provisoire[2].

Il existe plusieurs formes ou morphes, variant selon l'environnement dans lequel elles vivent :

  • La truite fario ou Salmo trutta forme fario, croissant en rivière,
  • la truite de mer ou Salmo trutta forme trutta, pour les individus ayant migrĂ© en mer,
  • la truite de lac ou Salmo trutta forme lacustris, pour les individus qui croissent dans un lac.

Malgré leurs aspects assez différents, ces groupes ne sont pas des sous-espèces mais forment une seule population dans chaque rivière ou ensemble de cours d'eau voisins où ils se reproduisent[3].

Sous-espèces

Il existe également plusieurs sous-espèces (qui peuvent se croiser) :

Vomer de truite
TĂŞte de truite

Description

La truite fario est un poisson de la famille des salmonidĂ©s. D'une longueur allant de 25 Ă  100 cm[4] chez l'adulte, elle possède un corps Ă©lancĂ© et fusiforme parfaitement adaptĂ© Ă  une nage rapide. La truite fario, comme tous les salmonidĂ©s, a la particularitĂ© de possĂ©der une nageoire adipeuse ; celle-ci est situĂ©e entre les nageoires dorsale et caudale. Sa tĂŞte a un museau pointu et une bouche possĂ©dant de petites dents.

Elle possède une excellente vision.

MĹ“urs

La truite fario est un poisson territorial. Dans une rivière, les truites se partagent l'espace en fonction du potentiel de nourriture qu'il offre. Les plus gros sujets s'attribuent généralement les postes les plus riches en nourriture (fosses, courants), tant que ceux-ci restent à proximité de leur cache.

L'alimentation de la truite est variée et évolue en fonction du type d'habitat, les jeunes truitelles se nourrissent exclusivement d'insectes et d'invertébrés tandis qu'à partir d'une certaine taille, la truite se nourrit aussi de poissonnets (vairons, goujons…). La truite est un poisson plutôt craintif.

Variations selon les habitats

Truite fario

La truite de rivière ou truite fario est la souche des individus ayant grandi uniquement en rivière. Leur couleur est variable selon l'habitat ; elle peut aller d'une robe très sombre sous les roches ou dans les cours d'eau ombragés, à une couleur plus claire pour les truites vivant dans des zones plus ensoleillées. Elle possède un dos sombre allant du brun au gris verdâtre. Ses flancs de teinte dégradée possèdent des points noirs, verts, bleus et rouges. Certains morphes ne possèdent pas de taches colorées.

Salmo trutta

La truite de lac (Salmo trutta morpha lacustris) : la gĂ©nĂ©tique a montrĂ© qu'elle faisait bien partie de la mĂŞme espèce que la truite de rivière, bien que souvent très diffĂ©rente extĂ©rieurement. Très prĂ©sente dans les lacs alpins et notamment dans le lac LĂ©man, ce poisson aux flancs argentĂ©s et Ă  la chair rose ressemble davantage Ă  un saumon qu'Ă  une truite de rivière. Très recherchĂ©e par les pĂŞcheurs pour sa combativitĂ©, elle peut atteindre un poids de 10 Ă  15 kg et une longueur pouvant dĂ©passer m. La truite de lac remonte les affluents du lac pour frayer en rivière lors d'une montaison. Sa robe est particulière aux eaux lacustres, avec un phĂ©nomène de dĂ©pigmentation observĂ© sur les individus lors de leur dĂ©valaison.

La truite de mer est aussi appelée « la blanche », truite saumonée ou truite argentée. L'identification des truites de mer comme espèce ou sous-espèce distincte, remonte à la classification de Linné. Depuis, la génétique a prouvé qu'il n'y avait absolument aucune différence génétique entre une truite de rivière et une truite de mer. Aussi étrange que cela puisse paraître, surtout quand on compare les deux poissons : la truite fario a des rayures et des points de couleur plus ou moins prononcés alors que la truite de mer ressemble à un saumon. Et pourtant il ne s'agit que d'une adaptation au milieu, non d'une espèce différente.
De même le saumoneau qui, petit, ressemble fort à une truite fario, se transforme visuellement en « poisson blanc » au moment de sa dévalaison. Cela s'appelle la smoltification. Il en va de même lors de la dévalaison de certaines truites, qui de fait deviennent des truites de mer, avec un aspect similaire à celui des saumons.

Souches génétiques

Il existe une multitude de souches génétiques bien différentes. Celles-ci sont issues de deux lignées principales correspondant aux deux principaux bassins versants : on distingue ainsi les souches-mères atlantique et méditerranéenne. La souche atlantique, qui se subdivise en une forme moderne et une forme ancestrale (rivières du Pays basque et de Bretagne), se distingue morphologiquement par les indices suivants : liserés souvent colorés sur les nageoires ventrales et anales, nombre limité de points sur l'opercule (inférieur à 15), ligne latérale clairement distincte, ponctuation plus clairsemée faite de points assez gros, souvent nettement cerclés de blanc. La souche méditerranéenne ne possède souvent pas d'ornementations sur les nageoires ventrales et anales, sa ligne latérale est nettement moins visible, sa ponctuation est souvent dense, particulièrement dans la zone operculaire (supérieure à 15 points) et faite de petits points peu ou non cerclés. Sa robe est plus souvent sujette à des zébrures de coloration foncée. Les introductions de truites d'élevage de souche atlantique dans des rivières du bassin versant méditerranéen ont modifié la répartition géographique des souches originelles, et contribué à une diminution de la diversité génétique de salmo trutta fario. On relève également une souche corse : Salmo trutta macrostigma, forme ancestrale méditerranéenne.

Distribution

Truite de mer au réservoir de Westwater, Écosse

Origine

La truite commune est indigène du Paléarctique occidental, dans une zone allant du nord de la Norvège et les tributaires de la mer Blanche dans l'océan arctique en Russie, jusqu'aux montagnes de l'Atlas dans le nord de l'Afrique. À l'ouest elle est présente jusqu'en Islande dans l'Atlantique Nord et à l'est jusque dans les tributaires de la mer d'Aral en Afghanistan et au Pakistan[5].

Introductions

Elle a été introduite dans de nombreux endroits en Amérique du Nord et du Sud, Asie, Australasie, à l'est et au sud de l'Afrique[6].

Introduction en Australie

Les premières introductions se dĂ©roulèrent en Australie en 1864, avec l'apport de 1 500 Ĺ“ufs prĂ©levĂ©s dans le fleuve Itchen dans le comtĂ© du Hampshire, Angleterre. Trois cents Ĺ“ufs survĂ©curent au voyage de quatre mois Ă  bord du voilier Norfolk, depuis Falmouth (Cornouailles) jusqu'Ă  Melbourne. En 1866 il en restait 171 truites dans une Ă©closerie sur la rivière Plenty, affluent du fleuve Derwent en Tasmanie. Trente-huit truites furent relâchĂ©es cette annĂ©e-lĂ  dans la Plenty. En 1868 la rivière abritait une population de truites autonome qui servit de stock pour peupler en truites les rivières d'Australie et de Nouvelle-ZĂ©lande[7].

Introduction en Afrique

Elle a été introduite avec succès dans le Natal en 1890 et dans la province du Cap en 1892. En 1909 elle était établie dans les montagnes de la colonie du Kenya[8].

Introduction en Asie

La première introduction dans l'Himalaya en Inde du Nord eut lieu en 1868. En 1900 la truite était établie dans le Cachemire et à Madras[8].

Introduction aux Amériques

En 1886 eurent lieu les premières introductions en Terre-Neuve au Canada. Elles furent continuées jusqu'en 1933. Les seules régions canadiennes sans truites sont le Yukon et les Territoires du Nord-Ouest.

L'introduction en Amérique du Sud commença en 1904 en Argentine. La truite fario est maintenant établie au Chili, Pérou et dans les Falklands[7].

Dans les années 1950 et 1960, le géologue français Edgar Aubert de la Rüe commença l'introduction de plusieurs espèces de salmonidés dans les îles Kerguelen dans l'ouest de l'Océan Indien. Sur les sept espèces introduites ainsi, seules l'omble de fontaine (Salvelinus fontinalis, le « saumon de fontaine ») et la truite fario survécurent et établirent des populations sauvages[9]. Des truites de mer dépassant 20 kg sont pêchées régulièrement par les pêcheurs locaux.

Map of U.S. ranges of brown trout
Distribution de la truite fario sur le territoire des États-Unis d'Amérique

Les premières introductions aux États-Unis d'Amérique commencèrent en 1883 avec Fred Mather, pisciculteur et pêcheur de New York, qui avec l'agrément de Spencer Baird, commissaire (président) de la United States Fish Commission (en)[Note 1] obtint des œufs de truite fario du baron Lucius von Behr, président de la Société de pêche allemande (de). Les truites de von Behr provenaient de ruisseaux de montagne et de grands lacs de la Forêt-Noire dans la région de Bade-Wurtemberg[5]. Cette première cargaison de von Behr fur distribuée sur trois écloseries : celle de Mather à Cold Spring Harbor sur Long Island dans le comté de Suffolk (état de New York) ; celle de Seth Green, pionnier en pisciculture à Calédonia dans le comté de Livingston (État de New York) ; et une troisième à Northville, état du Michigan.

D'autres cargaisons d'œufs envoyées par von Behr arrivèrent en 1884. En 1885, des œufs de truite du lac de Loch Leven (comté de Kinross en Écosse), arrivèrent à New York et furent distribués dans les mêmes écloseries. Au cours des années qui suivirent, d'autres œufs venant d'Écosse, d'Angleterre et d'Allemagne furent envoyés aux écloseries. Behnke pense que les truites S. t. trutta des États-Unis (anadromes, de rivière ou de lac) proviennent toutes de souches importées qui se sont mélangées pour donner ce qu'il appelle la truite américaine générique[5].

Le , la United States Fish Commission (en)[Note 1] opĂ©ra le premier lâcher de truites aux États-Unis d'AmĂ©rique avec 4 900 jeunes truitelles dans la rivière Baldwin, un affluent du fleuve Père Marquette dans le Michigan[10]. Entre 1884 et 1890, cette truite fut introduite dans des habitats appropriĂ©s Ă  travers les États-Unis[5]. En 1900, 38 Ă©tats et deux territoires en avaient reçu des stocks. L'adaptabilitĂ© de ce poisson amena dans la plupart des cas l'Ă©tablissement de populations sauvages autonomes[7].

Reproduction

Truite de Hunder[Note 2] en train de pondre.
Alevins de truites.

La truite fario ou truite sauvage, peut se reproduire Ă  partir de deux ou trois ans. Elle se reproduit de novembre Ă  janvier dans une eau entre 5 et 12 °C. Dès que les truites ont rejoint leur zone de frayère, les femelles pondent 1 500 Ă  4 000 Ĺ“ufs par kilogramme de leur poids. Le mâle dĂ©pose sa semence et la femelle recouvre les Ĺ“ufs de gravier pour les protĂ©ger. Les truites quittent alors rapidement la frayère.

La durée d'incubation peut varier en fonction de la température. Elle est environ de 400 degrés-jours, soit environ 40 jours dans une eau à 10 °C ou 80 jours dans une eau à 5 °C. À la naissance, l'alevin reste sous les graviers pour se protéger. Il se nourrit de ses réserves vitellines pendant 4 à 6 semaines, puis sort des graviers et tente de se nourrir seul. Ses chances de survie sont assez faibles puisque environ 800 ovocytes donneront un couple géniteur. Les raisons en sont le cannibalisme que les truites pratiquent quand elles n'ont pas suffisamment de nourriture, en mangeant les œufs et les alevins, mais aussi le manque de nourriture des alevins une fois éclos. Les populations sauvages sont donc en régression.

Dispersion des jeunes

Une expérience a été conduite en écotron, visant à étudier la structure temporelle de la dispersion en aval du jeune saumon et de la jeune truite selon quatre vitesses constantes de courant au moment de l'émergence hors du gravier. Il en est ressorti qu'à la suite de l'éclosion, si le courant est faible (env. 8,0 cm/s) l'alevin de saumon a un taux élevé de dispersion jusqu'à ce qu'il atteigne une très faible densité de la population ; alors qu'aux vitesses plus élevées le jeune saumon se disperse moins et la densité de la population finale est alors plus élevée[11]. À l'opposé, plus le courant est rapide, plus l'alevin de truite se disperse rapidement ; la densité finale de population de truites est toutefois restée égale pour toutes les vitesses de courant car le faible taux de dispersion observé à faible courant d'eau a persisté beaucoup plus longtemps qu'aux courants plus élevés[11]. Cette expérience invalide l'idée que les alevins de salmonidés ont une période étroite et définissable de sensibilité aux vélocités de courant, mais elle a confirmé que la dispersion se fait préférentiellement de nuit, quelle que soit la vitesse du courant pour les deux espèces de poissons[11].

Menaces

Furonculose sur des truites
Truite de mer souffrant de nécrose
dermique ulcéreuse[12] à laquelle s'est ajoutée l'infection par Saprolegnia
Truite de mer, déformée
Truite de mer, déformée

Les populations sauvages de truites sont menacées par divers facteurs :

  • la pollution de l'eau vis-Ă -vis de laquelle des truites sont considĂ©rĂ©es comme très sensibles, en particulier lorsqu'elle rĂ©duit la teneur en oxygène dans l'eau ;
  • l'artificialisation des cours d'eau, souvent associĂ©e Ă  la destruction ou dĂ©gradation des zones de frayères et des habitats favorables aux salmonidĂ©s sauvages (embâcles de bois, berges et fonds riches en caches et microhabitats[13], ripisylves, etc.[14]) ;
  • certaines maladies (parasitoses, bactĂ©rioses et viroses[15]) qui peuvent ĂŞtre favorisĂ©es par la pollution de l'eau, et la consanguinitĂ©, sources de dĂ©pression immunitaire ;
  • les obstacles artificiels Ă  la migration des truites (grands barrages et seuils ou autres barrages infranchissables, rejets d'eaux chaudes et/ou d'eaux très pauvres en oxygène, rejets de substances rĂ©pulsives ou toxiques pour les truites) nuisent Ă  leur circulation entre zones de croissance et zones de reproduction, et peuvent empĂŞcher ou freiner la recolonisation naturelle de certains cours d'eau ;
  • la pollution gĂ©nĂ©tique, l'appauvrissement de la variabilitĂ© gĂ©nĂ©tique[16], et certaines hybridations (notamment repĂ©rables par Ă©lectrophorèse[17]), après l'Ă©chappement de sujets de pisciculture ou consĂ©cutivement Ă  des introductions de repeuplement[18]. Cette modification du patrimoine gĂ©nĂ©tique des souches locales est souvent induite par le dĂ©versement de truites de souches provenant de rĂ©gions très diffĂ©rentes (nord de l'Europe par exemple, souche atlantique en rĂ©gion mĂ©diterranĂ©enne). Dans certaines rĂ©gions des prĂ©cautions sont prises, dont dans le lac d'Annecy oĂą depuis environ 30 ans l'AAPPMA du lac a une politique d'isolement du bassin versant ; aucun alevinage de poisson (truite lacustre et omble chevalier) non issu du lac n'y a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© depuis cette date.

Notes et références

Notes

  1. La « United States Fish Commission » fut créée en 1871 pour étudier, promouvoir et préserver les poissons des États-Unis. Elle était divisée en trois unités : la « Division of Inquiry respecting Food-Fishes and Fishing Grounds » (concernant les poissons en tant qu'aliments, et les zones de pêche), la « Division of Fisheries » (concernant les pêcheries), et la « Division of Fish-Culture » (concernant la pisciculture).
    En 1903 elle fut réorganisée sous le nom de « United States Bureau of Fisheries », qui perdura jusqu'au 30 juin 1940 – date à laquelle elle fut remplacée par la « United States Fish and Wildlife Service ».
  2. La truite de Hunder est celle que l'on trouve Ă  la grande chute d'eau de Hunderfossen, sur le fleuve GudbrandsdalslĂĄgen en Norvège. Une centrale Ă©lectrique y a Ă©tĂ© construite, qui a nettement contribuĂ© Ă  empĂŞcher les truites de remonter le fleuve vers leurs aires de reproduction. En compensation, la compagnie d'Ă©lectricitĂ© qui exploite l'installation a fait construire une Ă©chelle Ă  poissons de 170 m de long et produit sur place 20 000 alevins de truite de Hunder par an, qu'elle relâche ensuite dans le fleuve. Elle a Ă©galement fait construire Ă  cĂ´tĂ© de la chute un centre de prĂ©sentation au public de cette truite, qui peut peser jusqu'Ă  15 kg et mesurer environ un mètre.

Références

  1. Cuinat, R. (1960). Croissance et taille légale de la truite fario dans quelques rivières françaises. In Ann. Stn Cent. Hydrobiol., 8, 225-261.
  2. Patrick Berrebi, Zhaojun Shao (2011). Structure génétique populationnelle et gestion des truites méditerranéennes françaises. Contribution au Congrès 2011 de la Société Zoologique de France. Dans Actes du Congrès 2011 de la Société zoologique de France, éditeurs Patrice Francour, Pascaline Bodilis, Arceo Hazel, Université de Nice publ., Nice, 13-16 septembre 2011, 184 p.
  3. Katia Charles, René Guyomard, Björn Hoyheim, Dominique Ombredane et Jean-Luc Baglinière (2005). Absence de différenciation génétique entre les truites anadromes et résidentes coexistant dans une rivière normande (l’Oir). Dans Aquatic Living Resources, Volume 18, N° 1, January-March 2005. Pages 65-69.
  4. Salmo trutta fario Linnaeus, 1758 sur doris.ffessm.fr. Longueur moyenne : 20-35 cm ; maximale : 1 m.
  5. (en) Robert J. Behnke, Ted Williams (2007). About Trout: The Best of Robert J. Behnke, chapitre Brown Trout-Winter 1986. In Trout Magazine, pp. 45–50. Globe Pequot, Guilford, CT (U.S.A.), 2007. (ISBN 978-1-59921-203-6).
  6. (en) Global Invasive Species Database-Salmo trutta-Distribution. Publié par Invasive Species Specialist Group (ISSG) de la Commission pour la survie des espèces (Species Survival Commission) de l'IUCN.
  7. (en) Cecil E. Heacox (1974). The Complete Brown Trout. Éd. Winchester Press, New York, 1974. pp. 7–23. (ISBN 0-87691-129-7).
  8. (en) Newton, Chris (2013). The Trout's Tale - The Fish That Conquered an Empire – chaptitre The Trout in India, pages 79–95. Medlar Press, Ellesmere, Shropshire. (ISBN 978-1-907110-44-3).
  9. (en) Newton, Chris (2013) The Trout's Tale - The Fish That Conquered an Empire – chapitre The Monsters of Kerguelen, pages 161–170. Medlar Press, Ellesmere, Shropshire. (ISBN 978-1-907110-44-3).
  10. (en) Brown Trout sur miseagrant.umich.edu : le Michigan Sea Grant, un programme coopératif entre l'University of Michigan (UM) et la Michigan State University.
  11. Crisp D.T. & Hurley M.A. (1991). Stream channel experiments on downstream movements of recently emerged trout (Salmo trutta L.) and salmon (S. salar L.). 1 - Effects of four different water velocity treatments on dispersal rate. In Journal of Fisheries Biology, 39, 347-361.
  12. Nécrose dermale ulcérante : Ulcerative Dermal Necrosis ou UDN.
  13. Souchon, Y., Trocherie, F., Fragnoud, E., & Lacombe, C. (1989). Les modèles numériques des microhabitats des poissons: application et nouveaux développements. In Revue des Sciences de l'Eau, 2(4), 807-830.
  14. Maridet, L., & Souchon, Y. (1995). Habitat potentiel de la truite fario (Salmo trutta fario, L. 1758) dans trois cours d'eau du Massif Central. Approche méthodologique et premiers résultats sur le rôle de la végétation rivulaire arborée. In Bulletin Français de la Pêche et de la Pisciculture, (336), 1-18.
  15. De Kinkelin, P., Baudouy, A. M., & Le Berre, M. (1977). Réaction de la truite fario (Salmo trutta, L. 1766) et arc-en-ciel (Salmo gairdneri Richardson, 1836) à l’infection par un nouveau rhabdovirus. In Comptes-Rendus Académie des sciences de Paris, 248, 401-414.
  16. Guyomard, R., Grévisse, C., Oury, F. X., & Davaine, P. (1984). Évolution de la variabilité génétique inter et intra-populations de populations de Salmonidés issues de mêmes pools géniques. In Canadian Journal of Fisheries and Aquatic Sciences, 41(7), 1024-1029.
  17. Guyomard, R. (1978). Identification par électrophorèse d'hybrides de Salmonidés In Annales de Génétique et de Sélection Animale, Vol. 10, No. 1, pp. 17-27. EDP Sciences.
  18. Guyomard, R., & Krieg, F. (1986). Mise en évidence d'un flux génique entre populations naturelles de truite fario et souche de repeuplement dans deux rivières de Corse. In Bulletin Français de la Pêche et de la Pisciculture, (303), 134-140.

Voir aussi

Bibliographie

Articles connexes

Autres espèces de truites :

Liens externes

Salmo trutta - squelette - MNHN - Paris
Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.