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Roquefort-les-Pins

Roquefort-les-Pins est une commune française située dans le département des Alpes-Maritimes en région Provence-Alpes-Côte d'Azur. Ses habitants sont appelés les Roquefortois.

Roquefort-les-Pins
Roquefort-les-Pins
La place Mougins-Roquefort.
Blason de Roquefort-les-Pins
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
DĂ©partement Alpes-Maritimes
Arrondissement Grasse
Intercommunalité Communauté d'agglomération de Sophia Antipolis
Maire
Mandat
Michel Rossi
2020-2026
Code postal 06330
Code commune 06105
DĂ©mographie
Gentilé Roquefortois
Population
municipale
7 277 hab. (2020 en augmentation de 11,05 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 338 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 43° 39′ 59″ nord, 7° 03′ 05″ est
Altitude Min. 20 m
Max. 362 m
Superficie 21,53 km2
Unité urbaine Nice
(banlieue)
Aire d'attraction Nice
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Villeneuve-Loubet
Législatives Septième circonscription
Localisation
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Roquefort-les-Pins

    GĂ©ographie

    Localisation

    Roquefort-les-Pins est une ville des Alpes-Maritimes se situant Ă  18 km de Cannes, 17 km de l'aĂ©roport de Nice et 13 km de Grasse.

    GĂ©ologie et relief

    Roquefort-les-Pins est globalement situĂ©e dans le moyen pays, sur un plateau calcaire entre 200 et 300 mètres en pente ascendante du sud au nord et ponctuĂ©e de collines. Ce contexte gĂ©ographique explique un relatif micro-climat Ă  l'origine de sa notoriĂ©tĂ© historique. La forĂŞt de pins est prĂ©dominante et fait le charme de la commune. La roche est l'autre Ă©lĂ©ment du paysage.

    Sismicité

    Commune située dans une zone de sismicité modérée[1].

    Hydrographie et les eaux souterraines

    On y trouve quelques rivières dont la Miagne, un affluent du Loup.

    Climat

    Climat classé Csb dans la classification de Köppen et Geiger[2].

    Voies routières

    Le village est coupé au sud, d'est en ouest, par un axe important reliant Grasse à Nice qu'est la départementale M2085.

    Transports en commun

    • Transport en Provence-Alpes-CĂ´te d'Azur

    Transports Ă  la demande : Deux lignes de bus passent par Roquefort-les-Pins pour rejoindre les villes voisines :

    • la ligne 26 (Envibus), rĂ©seau des transports publics de la CommunautĂ© d'agglomĂ©ration de Sophia Antipolis[3]., en direction de Valbonne Sophia-Antipolis qui passe dans 11 arrĂŞts de bus ;
    • la ligne 500 (Lignes d'azur) en direction de Nice et de Grasse qui passe dans 11 arrĂŞts de bus et 2 arrĂŞts uniquement en sens unique.

    Intercommunalité

    Commune membre de la Communauté d'agglomération de Sophia Antipolis.

    Urbanisme

    La commune dispose d'un plan local d'urbanisme[4].

    Roquefort-les-Pins peut être découpée en 4 zones d'importance inégale au fur et à mesure que l'on s'approche du centre, soit le quartier du Plan où se situe la mairie : une zone forestière, une zone faiblement habitée, une zone moyennement habitée et une zone dense. La zone dense regroupe les activités administratives, scolaires et commerciales. L'habitat majoritaire est la maison individuelle de style provençal.

    Roquefort-les-Pins est une commune urbaine[Note 1] - [5]. Elle fait en effet partie des communes denses ou de densitĂ© intermĂ©diaire, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[6] - [7]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Nice, une agglomĂ©ration intra-dĂ©partementale regroupant 51 communes[8] et 942 886 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomĂ©ration de Nice est la septième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence, Lille (partie française), Toulouse et Bordeaux[9] - [10].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nice, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 100 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 Ă  moins de 700 000 habitants[11] - [12].

    Communes limitrophes

    Histoire

    Au XIe siècle, le fief est possĂ©dĂ© par les seigneurs d'Antibes qui le vendent Ă  l'Abbaye de LĂ©rins[13], mais en 1241, l'abbĂ© de LĂ©rins, du fait de l'endettement important que connait alors l'abbaye, est contraint de vendre la seigneurie de Roquefort-les-Pins aux habitants de Saint-Paul-de-Vence pour le prix de 16 000 sols raimondi[14], l'abbaye restant propriĂ©taire de la chapelle de San Peyre.

    En 1547, à la suite des guerres et des épidémies, la communauté de Saint-Paul, pour repeupler le lieu divise le fief de Roquefort en 400 lots qu'elle distribue par tirage au sort à 400 particuliers tenus de payer pendant 9 ans un bail annuel de 9 florins et demi. Ce lotissement durera jusqu'en 1640 date à laquelle la seigneurie de Roquefort est rachetée par les Alziari et les Mougins[13].

    Le , Roquefort qui compte alors 590 habitant est séparé de Saint-Paul-de-Vence et forme une commune indépendante[13].

    Une école de garçons est créée en 1800 et une école de filles en 1865. En 1899, les eaux du Foulon arrivent à Roquefort et en 1928 commence l'électrification de la commune.

    En 1932, Roquefort prend le nom de Roquefort-les-Pins pour Ă©viter la confusion avec des communes homonymes[13].

    Depuis plus d'une dizaine d'années, la commune poursuit une politique de rénovation et d'amélioration de ses infrastructures. Mais également de développement urbain, d'une par pour répondre à la croissance démographique et, d'autre part, satisfaire un certain quota de logements sociaux. Ainsi, de nouveaux quartiers sont apparus, notamment un « centre de village » avec logements et commerces, jusqu'ici inexistant. En revanche, cette politique est depuis quelques années affectée par une baisse des dotations de l'État.

    Une ancienne carrière, dite La Roque, propriété de la SPADA et localisée aux limites communales de Valbonne et de Villeneuve-Loubet, déchaîne les passions après l'intention du Conseil général en 2009 d'y implanter un centre d'enfouissement de déchets inertes. Si les entreprises du bâtiment soutiennent largement le projet, une bonne partie des habitants de Roquefort-les-Pins demeurent, eux, hostiles. Après le scandale environnemental de la décharge de la Glacière sur Villeneuve, un courant de scepticisme sur les bonnes intentions des autorités s'est installé. Pour lutter contre la future décharge de la Roque, une association apolitique s'est formée : l'ADEV06. Malgré ses nombreux recours au Tribunal administratif de Nice, qui ont permis de retarder sa création, la décharge fonctionne désormais depuis 2013 avec l'autorisation préfectorale au titre de « station de transit provisoire ».

    Politique et administration

    La mairie.

    Tendances politiques et résultats

    La commune vote majoritairement à droite autant lors des élections nationales que municipales, comme une bonne partie des Alpes-Maritimes. Michel Rossi, maire depuis 31 ans et sous étiquette UMP depuis 2002, prouve cette tendance au niveau local. Malgré une érosion de son électorat, au profit d'une opposition sans étiquette, Energie pour l'Avenir, il reste populaire. À la suite d'une violente guerre juridique entre majorité et opposition, l'opposant Jean-Hugues Fischer jette l'éponge et ne se représente pas aux élections municipales de 2014, laissant de fait le maire sortant seul candidat en lice.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs Ă  partir de 1908
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1908 1912 Joseph Gazagnaire
    1912 1915 Gustave Civatte SFIO[15]
    1915 1919 Clément Martin
    1919 1925 Honoré Boutonier
    1925 1933 Gustave Civatte SFIO
    1933 1944 Henri Gentilhomme
    1944 1965 Jean Camp
    1965 1973 Jacques Liechty
    1973 1981 Georges Charvet
    1981 1983 Jacques Liechty
    6 mars 1983 En cours Michel Rossi UMP-LR Conseiller général et vice-président du Conseil général jusqu’en 2011
    Suppléant de Jean Leonetti, il a été député entre 2011 et 2012

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[16]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[17].

    En 2020, la commune comptait 7 277 habitants[Note 3], en augmentation de 11,05 % par rapport Ă  2014 (Alpes-Maritimes : +1,3 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    611611710751803771770756812
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    787760719676655628580587558
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    550600529454548569477494687
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    1 1231 5752 5073 4324 7145 2396 0586 1756 222
    2017 2020 - - - - - - -
    6 7627 277-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[18] puis Insee Ă  partir de 2006[19].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 32,4 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (31,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 27,4 % la même année, alors qu'il est de 30,6 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 3 366 hommes pour 3 576 femmes, soit un taux de 51,51 % de femmes, lĂ©gèrement infĂ©rieur au taux dĂ©partemental (52,72 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[20]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0
    90 ou +
    1,5
    7,6
    75-89 ans
    0,0
    17,5
    60-74 ans
    18,1
    24,8
    45-59 ans
    24,5
    14,6
    30-44 ans
    16,4
    14,0
    15-29 ans
    12,2
    20,5
    0-14 ans
    18,2
    Pyramide des âges du département des Alpes-Maritimes en 2018 en pourcentage[21]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    1
    90 ou +
    2,5
    9,2
    75-89 ans
    12
    17,4
    60-74 ans
    18,7
    20,4
    45-59 ans
    19,9
    18,5
    30-44 ans
    17,6
    16,6
    15-29 ans
    14,7
    17
    0-14 ans
    14,6

    Enseignement

    Établissements d'enseignements[22] :

    • Collège, Ă©cole primaire et maternelle, garderie.
    • École privĂ©e religieuse.
    • Collège.
    • LycĂ©es Ă  Valbonne, Vence.

    Santé

    Professionnels et établissements de santé[23] :

    • MĂ©decins Ă  Le Rouret, La Colle-sur-Loup,
    • Parmacies Ă  Le Rouret, La Colle-sur-Loup,
    • Centre mĂ©dical, dentiste, podologue, orthophoniste, infirmières.
    • HĂ´pitaux Ă  Le Rouret, Villeneuve-Loubet.

    Cultes

    Économie et activités

    Agriculture

    Roquefort-les-Pins est une station climatique fort prisée d'où son caractère résidentiel et agricole[25].

    • Élevage d'ovins et de caprins.
    • Élevage de volailles.
    • Reproduction de plantes.

    Tourisme

    • Chambres d'hĂ´tes et gĂ®tes[26].
    • HĂ´tellerie et restauration.
    • Auberge.

    Commerces et services

    • Commerces et services[27] : magasins, Ă©piceries, salons de coiffure, bureautique, pharmacies, tabac-presses, droguerie, pĂ©pinière.
    • Industrie : miroiterie,
    • Services Ă  la personne.
    • Stations essences.
    • Agences immobilières, expert-gĂ©omètre.
    • Cabinet d'avocats.
    • Agence postale (La Poste).
    • Pompiers et gendarmerie.
    • Équipements culturels et sportifs :
      • CinĂ©ma.
      • MĂ©diathèque.
      • Salle polyvalente.
      • Centre hippique.
      • Centre sportif.
      • Associations et clubs.

    Budget et fiscalité 2019

    En 2019, le budget de la commune était constitué ainsi[28] :

    • total des produits de fonctionnement : 9 056 000 â‚¬, soit 1 317 â‚¬ par habitant ;
    • total des charges de fonctionnement : 8 105 000 â‚¬, soit 1 179 â‚¬ par habitant ;
    • total des ressources d'investissement : 974 000 â‚¬, soit 142 â‚¬ par habitant ;
    • total des emplois d'investissement : 2 406 000 â‚¬, soit 350 â‚¬ par habitant ;
    • endettement : 4 224 000 â‚¬, soit 614 â‚¬ par habitant.

    Avec les taux de fiscalité suivants :

    • taxe d'habitation : 15,17 % ;
    • taxe foncière sur les propriĂ©tĂ©s bâties : 13,07 % ;
    • taxe foncière sur les propriĂ©tĂ©s non bâties : 36,02 % ;
    • taxe additionnelle Ă  la taxe foncière sur les propriĂ©tĂ©s non bâties : 0,00 % ;
    • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

    Chiffres clĂ©s Revenus et pauvretĂ© des mĂ©nages en 2017 : mĂ©diane en 2017 du revenu disponible, par unitĂ© de consommation : 31 440 â‚¬[29].

    En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 50 667 €, ce qui plaçait Roquefort-les-Pins au 260e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole et au premier rang du département des Alpes-Maritimes[30]. Elle était la ville la plus riche du département des Alpes-Maritimes au niveau du revenu par habitant et du nombre de ménages soumis à l'IFI.

    Patrimoine et culture locale

    Lieux et monuments

    • Vestiges romains et gallo-romains au quartier du Castellas[31].
    • Ruines du château de Roquefort, tĂ©moin d'une rĂ©sistance acharnĂ©e contre les tenants de Saint-Paul.
    • Sites archĂ©ologiques :
      • Site La Charlotte - La RĂ©serve - La PĂ©guière - Les sept Fonts[32].
      • Site VallĂ©es du Loup, de la Cagne et du Malvan[33].
      • DĂ©pĂ´ts d'armes du VIe siècle av. J.C. (Le dĂ©pĂ´t de la Source du Noyer)[34].
      • Site Grotte PĂ©guière[35].
      • Dolmen des Peyraoutes[36].
      • Grotte du Tram[37].
      • Le Sinodon[38].
    • Ancien viaduc des Sept-fonts (1913) (circuit de tramway qui reliait Cagnes Ă  Grasse)[13].
    • Grotte de la chèvre d'or : sur le chemin de La Colle se trouve la grotte de la Chèvre d’or[39]. Selon une lĂ©gende, lors d’une guerre entre le seigneur de Roquefort et celui de Gap, une chèvre en or avec des yeux de diamant aurait Ă©tĂ© cachĂ©e dans cette grotte[13]. La lĂ©gende de la chèvre d'or est très rĂ©pandue en Provence et dans le DauphinĂ©[40].

    Patrimoine religieux :

    • Église Notre-Dame de Canlache[41] : la chapelle Notre-Dame-de-Canlache est mentionnĂ©e en 1351. L'Ă©glise actuelle qui date de 1690, a Ă©tĂ© agrandie en 1865[42].
    • Église du SacrĂ© CĹ“ur de Roquefort-les-Pins.
    • Église Saint-Arige de RoquestĂ©ron.
    • Église Saint-Étienne de Roubion.
    • Chapelle de la "congrĂ©gation du Rosaire" au cimetière.
    • Grotte chapelle du Colombier[43].
    • Domaine de Maria-Mater, foyer de charitĂ©[44], le petit Montmartre, sanctuaire du SacrĂ©-CĹ“ur de JĂ©sus, avec sa crypte[45].
    • Monument aux morts[46] : Conflits commĂ©morĂ©s : 1870-1871- 1914-1918 - 1939-1945[47].

    HĂ©raldique

    Blason de Roquefort-les-Pins Blason
    D’azur au roc d’argent mouvant de la pointe, surmonté d’une épée renversée du même, accostée de deux pommes de pin d’or[48].
    DĂ©tails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Manifestations

    La commune accueille comme manifestation principale, le Roquefort Auto Moto Rétro, le rendez-vous incontournable de l'auto et de la moto de collection de la Côte d'Azur. Cette manifestation se tient deux fois dans l'année, au printemps et à l'automne.

    Personnalités liées à la commune

    • Le peintre Carlos-Reymond et son Ă©pouse Marthe Lebasque ont vĂ©cu Ă  Roquefort-les-Pins.
    • Le sculpteur CĂ©sar Baldaccini a sĂ©journĂ© un temps Ă  Roquefort-les-Pins. La ville lui a d'ailleurs rendu hommage en baptisant son collège Collège CĂ©sar le .
    • Le chanteur du groupe INXS, Michael Hutchence, y possĂ©dait une propriĂ©tĂ©.
    • Le peintre Roland Chanco vit Ă  Roquefort-les-Pins.
    • Wim Sonneveld, un artiste de cabaret nĂ©erlandais qui acheta la « Bergerie de Notre-Dame » Ă  Roquefort-les-Pins et y rĂ©sida.
    • Juliette Favez-Boutonier, psychologue et universitaire, y est nĂ©e en 1903.

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Didacticiel de la réglementation parasismique
    2. Table climatique
    3. Réseau des transports publics de la Communauté d'agglomération de Sophia Antipolis
    4. PLU
    5. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    7. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Unité urbaine 2020 de Nice », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    9. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    10. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    13. Thierry Jan, Mes coins de paradis, Lulu, (lire en ligne).
    14. Congrès archéologique de France, Volume 168, partie 2010, A. Picard et fils, (lire en ligne), p. 71.
    15. https://maitron.fr/spip.php?article105876, notice CIVATTE Gustave, Antoine , version mise en ligne le 4 novembre 2010, dernière modification le 4 novembre 2010.
    16. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    17. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    18. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    19. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    20. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Roquefort-les-Pins (06105) », (consulté le ).
    21. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département des Alpes-Maritimes (06) », (consulté le ).
    22. Établissements d'enseignements
    23. Professionnels et établissements de santé
    24. Paroisse Saint Pierre du Brusc
    25. Activités agricoles sur la commune
    26. Annuaire
    27. Commerces et services
    28. Les comptes de la commune
    29. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
    30. « Indicateurs de structure et de distribution des revenus en 2010 | Insee », sur www.insee.fr (consulté le )
    31. Henri Broch, La mystérieuse pyramide de Falicon, France-Empire, (lire en ligne), p. 177.
    32. Rapport de diagnostic. FĂ©vrier 2013. Eric Llopis
    33. Rapport de prospection - inventaire. 2007. Laurence Lautier et Cédric Lepère
    34. Le dépôt de la Source du Noyer en Provence orientale
    35. Rapports de campagne de sondage 2010. Antonin Tomasso.
    36. Rapport de fouilles de la campagne de septembre 1961. Jean Courtin et Georges Vindry
    37. Rapport de fouille 1958 du Commandant François-Charles-Ernest Octobon
    38. Rapport de diagnostic. Avril 2015. Corinne Bouttevin
    39. Claude Seignolle, Contes, récits et légendes des pays de France, Provence, Omnibus, (lire en ligne), p. 78.
    40. Patrick Fréchet, La Drôme légendaire & imaginaire, Curandera, (lire en ligne), p. 67.
    41. Notre-Dame de Canlache
    42. Monseigneur Dominique Le Tourneau, Guide des sanctuaires mariaux de France, Artège Editions, 2019, page 47.
    43. Grotte chapelle du Colombier, sur www.chroniques-souterraines.fr/
    44. Foyer de charité
    45. de Maria-Mater, foyer de charité, la crypte , sanctuaire
    46. Monument aux morts
    47. Roquefort-les-Pins - Morts aux guerres
    48. Dominique Cureau, « Communauté d'agglomération Sophia Antipolis 2 : Roquefort-les-Pins », sur vexil.prov.free.fr (consulté le ).

    Voir aussi

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

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