Savigny-en-Revermont
Savigny-en-Revermont est une commune française située dans le département de Saône-et-Loire, en région Bourgogne-Franche-Comté.
Savigny-en-Revermont | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Bourgogne-Franche-Comté | ||||
Département | Saône-et-Loire | ||||
Arrondissement | Louhans | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Bresse Revermont 71 | ||||
Maire Mandat |
Robert Goyot 2020-2026 |
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Code postal | 71580 | ||||
Code commune | 71506 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Les Revermontais | ||||
Population municipale |
1 132 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 42 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 46° 38′ 06″ nord, 5° 25′ 19″ est | ||||
Altitude | Min. 188 m Max. 223 m |
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Superficie | 27,21 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Lons-le-Saunier (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Pierre-de-Bresse | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Saône-et-Loire
Géolocalisation sur la carte : Bourgogne-Franche-Comté
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Elle fait partie de la communauté des Savigny de France et de Suisse.
Géographie
La commune se situe près de la limite entre les départements du Jura et de Saône-et-Loire.
Communes limitrophes
Le Fay | Beaurepaire-en-Bresse | Courlaoux, Condamine (Jura) |
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N | Trenal (Mallerey) (Jura) | |||
O Savigny-en-Revermont E | ||||
S | ||||
Sagy, Flacey-en-Bresse | Beaufort, Val-Sonnette (Bonnaud) (Jura) |
Urbanisme
Typologie
Savigny-en-Revermont est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [1] - [2] - [3].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lons-le-Saunier, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 139 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[4] - [5].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (72,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (76,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (49,5 %), forêts (19,6 %), terres arables (13,6 %), prairies (9,4 %), zones urbanisées (5,1 %), eaux continentales[Note 3] (1,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1 %)[6].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l'évolution dans le temps de l'occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[7].
Toponymie
Origine : « a Sapinis ».
Histoire
Savigny se situe à mi-chemin de Lons et de Louhans. Or ces deux seigneuries relevaient des comtes de Bourgogne, de Vienne et de Mâcon, les comtes de Mâcon étant largement possessionnés en Bresse chalonnaise. Au début du XIIIe siècle, l'héritière Béatrice de Vienne († 1239 ; fille du comte Guillaume IV) reçoit de nombreux fiefs venus de ses ancêtres de Bourgogne et de Mâcon, dont Lons en partie, Louhans, Sainte-Croix et... Savigny. Elle épouse en 1219 Hugues III de Neublans d'Antigny : c'est l'origine de la Maison de Vienne (voir l'article Etienne). Savigny échoit à leur fils cadet Henri Ier de Neublans d’Antigny, seigneur de Sainte-Croix (voir de nombreuses sources indexées à cet article ; Henri † après 1269, sans doute encore en vie en 1287 car cette année-là meurt son fils Guillaume (Ier) de Sainte-Croix, semble-t-il prédécédé), frère puîné d'Hugues (IV), comte de Vienne (né vers 1220 et † en 1277, il reçut Lons en partie, Pymont (Jura), Montmorot en partie, Pymont (Saône-et-Loire), Mirebel, Pagny, Seurre et Saint-Georges : à Seurre et Jallanges).
Guillaume Ier de Sainte-Croix marie Jeanne de Joigny, dame de Lacour et de Coulanges, fille de Guillaume III, comte de Joigny ; ils enfantent :
- - Henri II d'Antigny-Ste-Croix, marié à Marguerite de Bellevesvre dame de Chay : d'où la suite des sires de Sainte-Croix ; - Simon de Sainte-Croix, † 1338, chanoine-doyen de Saint-Vincent de Mâcon et dernier comte héréditaire de Joigny ; - Guillaume de Sainte-Croix, seigneur de Longe-Pierre, et...
- - Etienne de Sainte-Croix (peut-être né vers 1280/1290), seigneur de Savigny', Lacour et Coulanges, marié à Béatrice de Joinville, fille de Guillaume de Joinville-Gex et veuve d'Eudes de Bellevesvre (qui était le beau-frère d'Henri II d'Antigny). La généalogie des Sainte-Croix de Savigny n'est pas toujours clairement établie (certains auteurs lui attribuent un fils, Étienne II, ce qui introduit une génération supplémentaire) : on donne ici le schéma le plus simple, où Étienne[8] est directement le père de quatre fils, peut-être nés entre 1300 et 1320 :
- Jean de Sainte-Croix[9], chevalier, seigneur de Savigny et de Lacour, époux d'Alarde/Alix/Adélaïde de Verdun, dont au moins deux enfants : - Jean le Jeune († vers 1406/1408 sans postérité ; époux de Catherine Damas de Couzan, fille de Guy IV Damas de Couzan), et - Jeanne de Sainte-Croix, héritière de Savigny, Lacour et Coulanges, mariée à Guillaume de Luyrieux de la Cueille : la succession passe à leur fils Humbert de Luyrieu, ci-dessous
- Hugues de Sainte-Croix, chevalier, (sire de Clémencey à Sens-sur-Seille ?)
- Philippe de Sainte-Croix, évêque de Mâcon en 1360-80, sire de Coulanges
- Etienne de Sainte-Croix, encore vivant en 1362, chanoine de Saint-Vincent de Chalon et de N.-D. de Beaune, sans doute chantre ou écolâtre de Chalon car sa célèbre pierre tombale, gravée en 1350 et placée dans l'église de Sainte-Croix, le représente dirigeant la leçon[10] - [11].
Pour la suzeraineté, en 1289, le comte de Savoie, Amédée V (seigneur de la Bresse par son mariage en 1272 avec Sibylle de Baugé/de Bâgé, fille héritière de Guy, seigneur de Bâgé et de Bresse), cède ses droits éminents sur la ville de Savigny-en-Revermont au duc de Bourgogne, Robert II, aussi comte de Chalon[12].
Humbert de Luyrieu de La Cueille, seigneur de Savigny, Lacour et Coulanges (cette terre est alors cédée à Charles de Savoisy), marié à Jeanne de Sassenage, est suivi par leur fille Alix de Luyrieu, qui épouse en 1425 Pierre de La Baume de Montrevel, seigneur d'Hilan et du Mont-Saint-Sorlin, fils du maréchal Jean.
Mais dans la suite du XVe siècle, on retrouve Savigny et La Cueille aux mains d'une autre branche des Luyrieu, des cousins fort éloignés, les Luyrieu de Prangin, Vellière, Cule et Montvéran (descendants d'Humbert de Savoie et de sa fille Catherine de Gerbaix). Ainsi, Philippe-Françoise de Luyrieu († 1538), fille d'autre Humbert de Luyrieu de La Cueille [et de sa femme Catherine, épousée en 1467, que Guichenon dit fille bâtarde de Charles, duc de Bourgogne, qui l'aurait gratifiée de droits sur Arinthod, Tramelay, Oliferne[13] - [14] et [15](p. 236 et 237)], l'apporte à son mari François (II) Mareschal baron de Meximieux, seigneur de Montaney et Bourg-Saint-Christophe, Grand-chambellan de Savoie,
- puis leur fille Isabeau Mareschal à son époux Charles le Jeune de Seyssel de La Chambre-Sermoyer († en 1565 ; fils cadet de Louis de Seyssel La Chambre (1450-1517) x 2° Anne d'Auvergne, fille de Bertrand VI de La Tour d'Auvergne et de Boulogne ; la 1re femme de Louis de Seyssel était Jeanne de Chalon d'Orange, et sa mère : Marie de Savoie d'Achaïe)[15] - [16].
Un des fils de Charles de Seyssel et d'Isabeau Mareschal, Philibert de Seyssel La Chambre, baron de Ruffey et de Montfort, frère d'Antoine, hérite de Savigny ; de sa femme Anne de Lugny, fille de Philibert de Lugny de Saint-Trivier (cousin issu de germain de Jean de Lugny, le beau-père de François Chabot ; de la succession des Lugny viennent Branges[17], Ruffey, Nanton), il a deux fils : - Claude († 1586) et - Jean de Seyssel La Chambre († ap. 1609) ; ce dernier, comte de Montfort, baron de Ruffey et de Branges, est fait comte de Savigny en 1596, a de sa 2e femme, Claudine de Nanton d'Asnières-les-Bois :
- Pierrette-Edmée/Esmonde de Seyssel La Chambre, qui épouse en 1604 René d'Amoncourt, seigneur de Montigny, d'où : - François d'Amoncourt, comte de Savigny († entre 1634 et 1650), et - Philiberte d'Amoncourt († 1669), baronne de Branges, mariée en 1625 à Antoine (de) Barillon de Morangis (1599-1672), directeur des Finances et conseiller d’État (François et Philiberte d'Amoncourt resteront sans postérité).
La succession passe alors aux Saint-Mauris de Montbarrey, Jean de Seyssel ayant eu de sa 1re épouse, Claudine de Baronnat, deux filles : - Jeanne de La Chambre, qui épouse en 1609 Charles Damas comte de Thianges et de Chalencey, marquis de Dio ; et - Claudine/Claude-Hélène de La Chambre, qui marie en 1620 Léonor de Saint-Mauris, seigneur du Fay († 1635 ; fils d'Alexandre de Saint-Mauris et de Dorothée Bouton du Fay). Les Saint-Mauris furent comtes de Savigny jusqu'à la Révolution, notamment le prince de Montbarrey (1732-1796), arrière-arrière-petit-fils de Léonor et Claudine de Seyssel La Chambre.
Privilèges sur le sel de Salins accordés par Louis XIII en 1616.
Saccagé par les ligueurs, puis par les Comtois.
Jusqu'à la Révolution française, Savigny-en-Revermont, localité du département de Saône-et-Loire relevant depuis 1801 du diocèse d'Autun, dépendit du diocèse de Besançon.
Politique et administration
Élections législatives
Le village de Savigny-en-Revermont faisant partie de la quatrième circonscription de Saône-et-Loire, place en tête lors du 1er tour des élections législatives françaises de 2022, Valérie Deloge (RN) avec 29,51 % des suffrages. Mais lors du second tour, il s'agit de Cécile Untermaier (PS), députée sortante, qui arrive en tête avec 50,27 % des suffrages[18].
Liste des maires de Savigny-en-Revermont
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[19]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[20].
En 2020, la commune comptait 1 132 habitants[Note 4], en diminution de 4,15 % par rapport à 2014 (Saône-et-Loire : −0,85 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Économie
Ressources et productions
Polyculture, bovins, coopératives laitières, fromage, scierie.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Moulins à eau.
- Motte féodale du Bas de Savigny.
- L'église Saint-Vivant, du XIXe siècle, qui a succédé à une église plus ancienne dont le clocher fut renversé par la foudre en 1690[23].
Sites
- Le paysage verdoyant de la Bresse bourguignonne.
- L'étang de Villeron.
- Les rives de la Vallière.
- Les nombreux bois (bois de Ban).
Personnalité liés à la commune
- Évita Muzic (1999-) : cycliste française, née à Lons-le-Saunier, est originaire du village où elle passe son enfance.
Héraldique
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Les armes de la commune se blasonnent ainsi : De gueules à la croix florencée d'argent, au chef cousu d'azur chargé d'une aigle d'or. |
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Pour approfondir
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Savigny-en-Revermont sur le site de l'Institut géographique national
- Savigny-en-Revermont sur le site de l'Insee
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lons-le-Saunier », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « La tombe du chanoine Etienne de Sainte-Croix, p. 339-346, par Etienne-Symphorien Bougenot », sur Bulletin archéologique du Comité des travaux historiques et scientifiques, chez Ernest Leroux, à Paris, 1892
- « Savigny-en-Revermont : de Jean de Ste-Croix au prince de Montbarrey, p. 350-352 », sur Description du duché de Bourgogne, t. III ; la Bresse chalonnaise, par Claude Courtépée, chez Victor Lagier, à Dijon, 1848
- « Le chanoine Etienne de Sainte-Croix », sur Le Journal de Saône-et-Loire, par Matthieu Auclair, juillet 2011
- « Dalle funéraire d'Etienne de Sainte-Croix », sur madamedartagnan
- Alain Kersuzan, Défendre la Bresse et le Bugey - Les châteaux savoyards dans la guerre contre le Dauphiné (1282 - 1355), collection Histoire et Archéologie médiévales no 14, Presses universitaires de Lyon, Lyon, 2005, (ISBN 272970762X), p. 31.
- « Titres de Famille ; Savigny-en-Revermont : des Lureuil/Luyrieu aux Saint-Mauris, p. 113-120 », sur Archives départementales de Saône-et-Loire, Inventaires-Sommaires antérieurs à 1790, Ire partie, éd. par Louis Michon, archiviste, à Mâcon, 1877
- « Luyrieu, p. 389 », sur Armorial historique de Bresse, Bugey, Dombes, Gex, Valromey et Franc-Lyonnais, par Edmond Révérend du Mesnil, chez Aimé Vingtrinier, à Lyon, 1874
- « La Chambre de Sermoyé de Meximieux, p. 240-241 », sur Histoire de Bresse et de Bugey, par Samuel Guichenon, à Lyon, 1650
- « de La Chambre-Seyssel, par Jean Gallian, 2008 », sur jean.gallian
- « Seigneurs de Branges : des St-Trivier aux Lugny, Seyssel, d'Amoncourt et Barillon, p. 16-24, », sur Notice historique sur la commune de Branges, par le Dr Bernard Gaspard, chez Auguste Romand, à Louhans, 1883
- Ministère de l'Intérieur, « Résultats des élections législatives 2022 », sur http://www.interieur.gouv.fr/Elections/Les-resultats/Legislatives/elecresult__legislatives-2022 (consulté le )
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « Calamités climatiques », article d'André Jeannet paru dans la revue « Images de Saône-et-Loire » no 98 de juin 1994 (pages 22 à 24).