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Meximieux

Meximieux est une commune française située dans le département de l'Ain, en région Auvergne-Rhône-Alpes et appartient à l'aire urbaine de Lyon. C’est une commune urbaine de 7 923 habitants en 2019.

Meximieux
Meximieux
Le centre-ville et l'ancien hĂ´tel de ville (Ă  droite).
Blason de Meximieux
Blason
Meximieux
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Auvergne-RhĂ´ne-Alpes
DĂ©partement Ain
Arrondissement Belley
Intercommunalité Communauté de communes de la Plaine de l'Ain
Maire
Mandat
Jean-Luc Ramel
2020-2026
Code postal 01800
Code commune 01244
DĂ©mographie
Gentilé Meximiards
Population
municipale
7 998 hab. (2020 en augmentation de 6,09 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 582 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 45° 54′ 19″ nord, 5° 11′ 43″ est
Altitude Min. 206 m
Max. 310 m
Superficie 13,75 km2
Unité urbaine Meximieux
(ville-centre)
Aire d'attraction Lyon
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Meximieux
(bureau centralisateur)
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Meximieux
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Meximieux
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Meximieux
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Meximieux
Liens
Site web ville-meximieux.fr

    Ses habitants sont appelés les Meximiards et les Meximiardes[1].

    GĂ©ographie

    Situation

    Ă€ environ 35 km au nord-est de Lyon, 36 km au sud-ouest de Bourg-en-Bresse, 1,7 km de PĂ©rouges (classĂ©e parmi les Plus Beaux Villages de France) et Ă  15 km au sud-ouest d'AmbĂ©rieu-en-Bugey. Meximieux se situe aux portes de Lyon sur le relief de la cĂ´tière qui marque la fin du plateau de la Dombes, au contact avec la plaine de l'Ain. C’est une ville de la rĂ©gion lyonnaise. Sa situation lui a longtemps confĂ©rĂ© un rĂ´le de relais sur les routes allant de Lyon vers Genève (Suisse) ainsi que les frontières italienne ou allemande. Meximieux est Ă©galement situĂ©e Ă  13 km de Montluel et Ă  15 km de Lagnieu. La localitĂ© est traversĂ©e par le Longevent.

    Climat

    Le climat y est de type semi-continental avec des influences méditerranéennes : les étés sont chauds et ensoleillés, avec des hivers parfois froids.

    Voies de communication et transports

    Plusieurs routes permettent l'accès à la commune. La départementale 1084 en est la principale. Elle provient du sud-ouest depuis Rillieux-la-Pape, puis part en direction du nord-est vers Neuville-sur-Ain. La départementale D22A arrive du nord depuis Bourg-en-Bresse, la départementale D4 de l'ouest, et la départementale D65 du sud. L'autoroute A42 traverse le territoire communal (la sortie la plus proche est la sortie no 7 de Pérouges) et relie Lyon en 35 minutes.

    La gare de Meximieux - Pérouges sur la ligne de Lyon-Perrache à Genève (frontière), permet de rallier la gare de Lyon-Part-Dieu en une vingtaine de minutes.

    La ligne de bus A32 dessert les villes entre Lyon et Bourg-en-Bresse[2] ; la ligne de bus A11 dessert le PIPA (Parc industriel de la Plaine de l'Ain)[3].

    Meximieux est située à 29 kilomètres (30 minutes) de L'aéroport de Lyon-Saint-Exupéry et de la Gare de Lyon-Saint-Exupéry TGV.

    L'aérodrome de Pérouges - Meximieux est à proximité.

    Urbanisme

    Typologie

    Meximieux fait partie des communes denses ou de densitĂ© intermĂ©diaire, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[4] - [5]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Meximieux, une agglomĂ©ration intra-dĂ©partementale regroupant 3 communes[6] et 10 653 habitants en 2019, dont elle est ville-centre[7] - [8].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lyon, dont elle est une commune de la couronne[Note 1]. Cette aire, qui regroupe 398 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[9] - [10].

    Meximieux, dont la population a été multipliée par trois en trente ans, est une ville en pleine expansion : de nombreux travaux ont été réalisés ces dernières années avec notamment de nouveaux parkings, la rénovation de la salle des fêtes, la construction d’une médiathèque et l’aménagement des voies routières.

    Il existe plusieurs espaces verts sur le territoire de la commune : la Coulée verte qui traverse la moitié de la ville en longueur et l'étendue autour de l'étang de L’Aubépin qui permet de rejoindre Pérouges à pied.

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (61,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (69,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (41,6 %), zones urbanisées (20,5 %), zones agricoles hétérogènes (18,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (9,1 %), forêts (8,7 %), prairies (1,3 %), eaux continentales[Note 2] (0,2 %)[11].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Quartiers et lieux-dits

    • La Citadelle
    • Le ruisseau
    • La Bovagne
    • Le clos St-Jean
    • Le Fouilloux
    • Les Galamières (citĂ© EDF)
    • La CĂ´te
    • Chavagneux
    • Bressy
    • Le Palais
    • Les portes de la dombes
    • Pivarel
    • Les Combières
    • Les Murgères
    • Le Menel
    • L'Aubepin
    • Les Ollières
    • Les Carronières

    Communes limitrophes

    Histoire

    Moyen Ă‚ge

    Au Moyen Âge, le bourg de Meximieux s'abrite derrière une courtine à flanquements circulaires, dont il subsiste des débris.

    Le bourg de Meximieux était possession de l'archevêque de Lyon de 1072 à 1270, date à laquelle Meximieux passe entre les mains du seigneure de Beaujeu puis du Dauphiné en 1327, enfin Meximieux fait partie de la Savoie à partir 1353, situation qui perdura plusieurs siècles. Pendant cette période prospère, elle acquiert une position de ville frontalière avec Pérouges. François (II) Mareschal, seigneur de Méximieux, obtient du duc de Savoie Charles III par lettres patentes du d'ériger Méximieux en baronnie[12] - [13]. Ambassadeur pour le duc en Italie, il profite de son statut pour obtenir du pape Léon X « l'érection de l'église de Saint-Apollinaire en collégiale, ainsi que la création d'un chapitre de chanoines à Meximieux (1515). »[13]

    À la fin du Moyen Âge, la ville est sur une zone de marche entre Dauphiné, France et Savoie. Cependant, les luttes entre souverains de France et de Savoie, conduisent à un accord en 1601 qui changea la destinée de la ville désormais française. C'est pendant cette période que naît Vaugelas. Sa vie entre Savoie et France est à l'image de sa ville natale.

    Renaissance

    D'un point de vue historique, Meximieux appartenait à l'ancienne province de Bresse. Le traité de Lyon proposait d'échanger des territoires. La France cédait Châteaudauphin en Piémont à la Savoie. La Savoie cédait ses provinces occidentales de Bresse et du Bugey, difficiles à tenir en cas de conflit. Chacun s'assurant ainsi un territoire plus cohérent.

    Révolution française

    Meximieux devint chef-lieu du canton éponyme. L'arrivée du chemin de fer en 1858 facilite les liaisons avec les autres points de la région.

    Bataille de Meximieux

    Lors de la Seconde Guerre mondiale, fin août-début , Meximieux est le théâtre d'une bataille à la suite d'une contre-offensive allemande. À ce titre, la commune de Meximieux est l'une des rares collectivités territoriales de France, elles seront 17 au total, à recevoir la médaille de la Résistance, attribuée le . Le lieutenant-colonel Davison à la tête des troupes alliées, devint citoyen d'honneur de la ville.

    Époque contemporaine

    Dans les années 1970, la ville connait un accroissement de population avec l'implantation de la centrale nucléaire du Bugey à Saint-Vulbas. Les cadres et techniciens d'EDF sont logés dans deux cités construites au-dessus du quartier du Fouilloux, aux Galamières à Meximieux. Dans les années 1980, la population continue de progresser. Le Cinéma l’Horloge accolé au Beffroi en plein coeur de Meximieux dispose d’une salle de 160 places depuis 1985, il est géré par une association. Le développement du transport ferroviaire et la mise en service définitivement de l'autoroute A42 en 1987 facilitent l'accès à Lyon.

    Toponymie

    Meximieux tire son nom du propriétaire d'une ferme gallo-romaine : « Maximiacus »[14] - [15].

    La dernière consonne est rarement prononcée. Pour les noms multisyllabiques, « x » indique l’accentuation sur la dernière syllabe le différenciant avec le z final qui sert à marquer le paroxytonisme et ne devrait pas être prononcé dans sa langue d'origine.

    Politique et administration

    Administration territoriale

    Meximieux est le chef-lieu du canton homonyme dans l'arrondissement de Bourg-en-Bresse.

    Administration municipale

    Voici ci-dessous le partage des sièges au sein du conseil municipal de la commune :

    GroupePrésidentEffectifStatut
    25majorité
    4opposition

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1er février 1790 ? Claude-François Mazoyer avocat, député du Tiers-État à l'assemblée générale des trois ordres à Bourg-en-Bresse
    1820 1832 Philibert VĂ©zu
    1848 1865 Claude-Joseph Perrin
    1886 1904 Claude COMTE
    1919 1929 Fernand Berthier
    1950 1959 Victor Fol DVD Médecin - conseiller général (1951-1964)
    1959 1971 Jean-Claude Ronge SE Négociant en vins - conseiller général (1964-1970)
    1971 1977 Marcel Bouchard[16]
    1977 1984 Robert Goglu[Note 3] DVG
    1984 1995 Alain Cavet PS
    juin 1995 mai 2020 Christian Bussy RPR puis UMP puis LR Retraité fonction publique
    mai 2020 En cours Jean-Luc Ramel DVD

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[17]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[18].

    En 2020, la commune comptait 7 998 habitants[Note 4], en augmentation de 6,09 % par rapport Ă  2014 (Ain : +5,07 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 5651 6911 8051 7651 9972 0652 0862 2862 473
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 4392 5522 5592 3872 3632 2762 2502 1372 138
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 3402 1041 8581 7961 8952 0372 0442 0892 132
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    2 3922 6693 4574 2536 2306 8407 2177 3847 268
    2015 2020 - - - - - - -
    7 6557 998-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[19] puis Insee Ă  partir de 2006[20].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 37,5 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (35,9 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 23,3 % la même année, alors qu'il est de 23,4 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 3 747 hommes pour 4 101 femmes, soit un taux de 52,26 % de femmes, lĂ©gèrement supĂ©rieur au taux dĂ©partemental (50,67 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[21]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,7
    90 ou +
    1,7
    5,7
    75-89 ans
    8,9
    14,2
    60-74 ans
    15,1
    18,6
    45-59 ans
    18,8
    20,5
    30-44 ans
    20,4
    17,4
    15-29 ans
    15,9
    22,9
    0-14 ans
    19,1
    Pyramide des âges du département de l'Ain en 2018 en pourcentage[22]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,6
    90 ou +
    1,6
    5,9
    75-89 ans
    7,9
    15,1
    60-74 ans
    15,7
    21,1
    45-59 ans
    20,5
    19,9
    30-44 ans
    19,8
    16,6
    15-29 ans
    15,3
    20,8
    0-14 ans
    19,1

    Jumelages

    La commune a développé une association de jumelage avec :

    Enseignement

    • École primaire de la Bovagne
    • École primaire du Menel
    • École primaire du Champ de foire
    • École Saint-Jean-Bosco
    • École Sainte-Blandine
    • Collège Claude-Favre-de-Vaugelas
    • LycĂ©e (construction programmĂ©e dĂ©but 2024, pour une ouverture prĂ©vue pour la rentrĂ©e 2025)

    Santé

    • HĂ´pital J.-C. Ruivet.
    • Maison de retraite de la Rose d'or.

    Sports

    Il existe divers clubs notamment en football, rugby, tennis, handball, judo, basket-ball ou encore pétanque, escrime. La ville possède 3 terrains de football, 2 terrains de rugby, 2 gymnases, 2 courts de tennis couverts, 4 cours découverts, 1 city stade, 1 salle de fitness, 2 terrains de beach-volley, 1 boulodrome…

    Économie

    Données 2018 Meximieux % de la population active de 15-64 ans Moyenne des villes
    Actifs en emploi 3 430 90,2 % 89,4 %
    ChĂ´meurs 375 9,9 % 10,6 %
    Inactifs 1 017 12,7 % 13,9 %

    Culture et patrimoine

    Lieux et monuments

    Un lavoir, place Chantabeau.

    Espaces verts et fleurissement

    En 2014, la commune obtient le niveau « deux fleurs » au concours des villes et villages fleuris[25].

    étang de l'Aubépine
    L'étang de l'Aubépin.

    L’ étang de l'Aubépin est situé sur la rive gauche du Longevent, qui sépare Meximieux de Pérouges, il a une superficie de 8 000 m². Destiné à la pêche, c'est un but de promenade, au cœur d'un espace vert. Circuit des poissons jalonné de panneaux sur les habitants de l'étang.

    Personnalités liées à la commune

    • Vincent Baron (1820-1892), sculpteur et comĂ©dien.
    • Alphonse Bernoud (1820-1889), photographe, nĂ© dans la commune.
    • Pierre Bertrand (1927-2018), joueur international de rugby Ă  XV, nĂ© dans la commune.
    • Claude Favre de Vaugelas (1585-1650), grammairien, nĂ© dans la commune.
    • Paul Masson (cyclisme), cycliste, spĂ©cialiste de la piste. Triple champion olympique en 1896. Originaire de la ville. Sa femme, fille du maire de la ville y est inhumĂ©e.

    HĂ©raldique

    Armes de Meximieux

    La commune de Meximieux porte :

    D'or à la bande de gueules accompagnées de six coquilles du même posées en orle[26].

    Le blason est celui de la famille Mareschal, dont une branche a porté le titre de seigneur de Meximieux.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    2. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    3. Réélu en 1983, il cède sa place l'année suivante à la suite de sa mutation professionnelle à Fos-sur-Mer, à Alain Cavet, premier adjoint.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Gentilé de la commune, sur habitants.fr
    2. philibert-transport, « Lyon - Bourg en Bresse (la ligne 132 devient A32) », sur philibert-transport.fr (consulté le ).
    3. ville de meximieux, « LIGNE DE BUS MEXIMIEUX-PIPA », sur ville-meximieux.fr (consulté le )
    4. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le )
    5. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le )
    6. « Unité urbaine 2020 de Meximieux », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    7. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    8. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur insee.fr, (consulté le )
    10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    12. Comte Amédée de Foras, Armorial et nobiliaire de l'ancien duché de Savoie (vol. 3), Grenoble, Allier Frères, (lire en ligne), p. 342.
    13. Page, 1903, p. 18.
    14. Ouvrage collectif, Richesses touristiques et archéologiques du canton de Meximieux : Meximieux, Bourg-Saint-Christophe, Charnoz, Faramans, Joyeux, Le Montellier, Pérouges, Rignieux-le-Franc, Saint-Éloi, Saint-Jean-de-Niost, Saint-Maurice-de-Gourdans, Villieu-Loyes-Mollon, Société d'histoire et d'archéologie de la Plaine de l'Ain, , 306 p. (ISBN 978-2907656320), p. 25.
    15. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, vol. 1, Librairie Droz, , 704 p. (ISBN 978-2-600-02883-7, lire en ligne), p. 532.
    16. « Marcel Bouchard, ancien maire de 1971 à 1977 », Journal de la Côtière, no 891,‎ , p. 10.
    17. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    18. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    19. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    20. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    21. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Meximieux (01244) », (consulté le ).
    22. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de l'Ain (01) », (consulté le ).
    23. Annuaire des communes jumelées.
    24. Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et des fortifications du Moyen Âge en France, Strasbourg, Éditions Publitotal, , 28e éd. (1re éd. 1979), 1304 p. (ISBN 2-86535-070-3, OCLC 1078727877), p. 751.
    25. « Les villes et villages fleuris », sur le site officiel du « Concours des villes et villages fleuris » (consulté le ).
    26. « Armes de Meximieux »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur labanquedublason2.com.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Ouvrage collectif, Richesses touristiques et archĂ©ologiques du canton de Meximieux : Meximieux, Bourg-Saint-Christophe, Charnoz, Faramans, Joyeux, Le Montellier, PĂ©rouges, Rignieux-le-Franc, Saint-Éloi, Saint-Jean-de-Niost, Saint-Maurice-de-Gourdans, Villieu-Loyes-Mollon, SociĂ©tĂ© d'histoire et d'archĂ©ologie de la Plaine de l'Ain, , 306 p. (ISBN 978-2907656320)
    • Pierre Chaudet, Patrick Dalmaz, Pascal Garapon et Patrick Lemasson, Le canton de Meximieux, Saint-Cyr-sur-Loire, Alan Sutton, coll. « MĂ©moire en images »,
    • Guy Brunet, Paul Percevaux et Louis Trenard, Histoire des communes de l'Ain : La Dombes, Horvath, , p. 199-205
    • AbbĂ© François Page, Meximieux, une commune pendant la rĂ©volution, Belley, , 309 p.
      curé de Mizérieux

    Article connexe

    Liens externes

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