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Sautron

Sautron est une commune de l'Ouest de la France, située dans l'agglomération nantaise, dans le département de la Loire-Atlantique, en région Pays de la Loire.

Sautron
Sautron
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Loire-Atlantique
Arrondissement Nantes
Intercommunalité Nantes Métropole
Maire
Mandat
Marie-Cécile Gessant
2020-2026
Code postal 44880
Code commune 44194
Démographie
Gentilé Sautronnais, Sautronnaise(s)
Population
municipale
8 473 hab. (2020 en augmentation de 15,28 % par rapport à 2014)
Densité 490 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 15′ 52″ nord, 1° 40′ 00″ ouest
Altitude Min. 25 m
Max. 80 m
Superficie 17,28 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Nantes
(banlieue)
Aire d'attraction Nantes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Herblain-1
Législatives Première circonscription
Localisation
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Sautron
Liens
Site web sautron.fr

    Géographie

    Situation

    Les communes limitrophes sont Vigneux-de-Bretagne, Orvault, Saint-Herblain et Couëron.

    Selon le classement établi par l'Insee, Sautron est une commune urbaine, une des 24 communes de banlieue de l'unité urbaine de Nantes ; elle fait donc partie de l'aire urbaine de Nantes et de l'espace urbain de Nantes-Saint-Nazaire (cf. Liste des communes de la Loire-Atlantique).

    La ville s’étend sur un peu plus de 17 km2.

    Transports

    La ville de Sautron est desservie par la ligne 69 du réseau TAN[1] et par la ligne 320 du réseau régional Aléop[2].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[5]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 11,9 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 13,5 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 806 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,4 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,4 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Nantes-Bouguenais », sur la commune de Bouguenais, mise en service en 1945[9] et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[10] - [Note 3], où la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[11], à 12,5 °C pour 1981-2010[12], puis à 12,7 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Sautron est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4] - [14] - [15] - [16]. Elle appartient à l'unité urbaine de Nantes, une agglomération intra-départementale regroupant 22 communes[17] et 645 324 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Nantes est la huitième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence, Lille (partie française), Toulouse, Bordeaux et Nice[18] - [19].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nantes dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 116 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[20] - [21].

    Le territoire communal s'articule autour de l'ancienne route nationale reliant Nantes à Vannes, devenue route départementale 965. Le centre-ville s'est développé autour de cet axe avec de nombreux commerces, la Halle de la Linière, la Gendarmerie, les services municipaux et toutes les infrastructures communales (deux écoles publiques, une école privée et de nombreux équipements sportifs, associatifs et culturels).

    Au Nord et au Sud de cet axe, l'urbanisme est en grande majorité pavillonnaire et résidentiel, parsemé de grands espaces verts. Le Nord du territoire est rural. La vallée du Cens accueille encore sept exploitations agricoles, et plusieurs sentiers de randonnée ont été aménagés, offrant ainsi de nombreuses possibilités de balades à pied et à vélo.

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (68,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (72,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (51,2 %), zones urbanisées (22,2 %), prairies (16,2 %), forêts (5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,3 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (2 %), terres arables (1,1 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].

    Histoire

    Sautron n'est cité, par les historiens, qu'en 1025, au sujet de sa forêt[24].

    Au XIe siècle, le comte Budic et son épouse Adois donnèrent le domaine de Bois-Garand à un monastère de femmes, afin d'y construire un prieuré pour disposer d'un service religieux convenable lors de ses parties de chasse à courre.

    François II aurait fait édifier en 1464 à Bongarant une chapelle en granit, entourée d'un cimetière, qu'il dédia à la Vierge en raison d'une guérison miraculeuse, à la suite d'un grave accident de chasse[24].

    Vincent Charron, un membre du clergé de la cathédrale de Nantes, écrit dans son livre (publié vers 1637), que : « François, second du nom, Duc de Bretagne, fit bâtir, auprès de la forêt de Sautron, qui est à deux lieues de Nantes, une très belle chapelle en l'honneur de la Sainte Vierge, Mère de Dieu, à laquelle il était fort dévôt afin d'y entendre toujours la Sainte Messe lorsqu'il allait à la chasse de ce côté-là »[25].

    Le de l'an 1464 (ou 1474, d'après le recteur Domallain), le Coadjuteur de Rennes, portant le titre d'évêque de Sinople, inaugura la chapelle: car le Duc François II était en désaccord avec l'évêque de Nantes.

    Au début, le prieuré se nommait « Boyas-Garand ». Puis, au fil des siècles, son nom s'est transformé en « Boisgondran », « Bois-Garand » puis enfin « Bongarant ».

    Parmi les pèlerins venus à Bongarant, on peut citer Charles, duc de Berry, frère de Louis XI, qui y passa en et Anne de Bretagne, fille de François II[24].

    Autour de la chapelle naîtra un village, et, tout près, le Bois-Thoreau (ou « Boistaureau »), qui restera propriété du duc de Bretagne jusqu'en 1492.

    La forêt de Sautron a commencé alors à reculer, mais Jean V le Sage, François Ier, Pierre II, Arthur III et François II y auront sans doute chassé.

    À la mort de la duchesse Anne de Bretagne au château de Blois, le , la Bretagne indépendante disparut et Sautron devient alors un diocèse, car la paroisse appartenait à l'évêque de Nantes. En réalité, c'est depuis 1275 déjà et jusqu'en 1790, que Sautron appartient à l'évêque[24].

    Toponymie

    La localité est attestée sous la forme Sul Traon au Xe siècle et sous sa forme latinisée Salteronam[26] et Salterona dès 1123, puis sous celle de Sautron en 1277, et Saultron en 1486[27].

    La forme bretonne proposée par l'Office public de la langue bretonne est Saotron[27].

    Politique et administration

    Situation administrative

    Sautron appartient au canton de Saint-Herblain-1 formé des communes de Couëron (issue de l'ancien canton de Saint-Étienne-de-Montluc) et de Sautron (issue de l'ancien canton d'Orvault), ainsi que de l'ancien canton de Saint-Herblain-Ouest-Indre (formée des communes d'Indre et de l'ouest de celle de Saint-Herblain). Il est entièrement inclus dans l'arrondissement de Nantes. Le bureau centralisateur est situé à Saint-Herblain. Depuis , Hervé Corouge et Carole Grelaud sont les conseillers départementaux.

    La commune est rattachée à l'arrondissement de Nantes et à la 1re circonscription de la Loire-Atlantique, dont le député est François de Rugy depuis 2007.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1790 1792 Thomas Bernard
    1792 1793 Joseph Mayet instituteur
    1793 1796 Hilaire Caille instituteur
    1796 1797 Jacques Mégraud chirurgien
    1797 1798 Jean-Baptiste Bernard
    1798 1804 M. de Lisle du Fief propriétaire
    1804 1807 Jacques Mégraud
    1807 1809 Joseph Mabit notaire
    1809 1830 Charles Gesbert médecin
    1830 1833 Louis Phélippes-Beaulieux avocat
    1833 1835 Joseph Cormerais négociant
    1835 1841 Jean Moreau cultivateur
    1841 1847 Guillaume Mabilais
    1847 1865 Robert Poullain des Dodières
    1865 1870 Jean Chatelier
    1870 1881 Paul Thibaud
    1881 1908 Adolphe Naux père
    1908 1910 Adolphe Naux fils
    1910 1929 René Naux
    1929 1935 Henri Brochard
    1935 1944 René Naux
    1944 1945 Charles Borien
    1945 1945 Henri Brochard
    1945 1964 Léonce de Gibon père
    1964 1965 Léonce de Gibon fils
    1965 1995 François Baudry DVD
    1995 2008 Claude Brétécher[Note 6] UDF puis DVD Inspecteur d'assurance
    2008 En cours Marie-Cécile Gessant[Note 7] DVC Cadre infirmier
    Conseillère régionale des Pays-de-la-Loire (2015-2021)
    Les données manquantes sont à compléter.

    [28]

    Intercommunalité

    La commune est membre de la métropole Nantes Métropole. Elle dépend du pôle Erdre-et-Cens qui administre un territoire bordé par le Cens au sud et l'Erdre au nord-ouest, et qui couvre les communes de La Chapelle-sur-Erdre, Orvault, Sautron, et le quartier Nantes Nord.

    Jumelage

    La commune est jumelé avec Machen, Pays de Galles, Royaume-Uni.

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[30].

    En 2020, la commune comptait 8 473 habitants[Note 8], en augmentation de 15,28 % par rapport à 2014 (Loire-Atlantique : +7,32 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    9198359778679309539251 0031 035
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 0251 0181 0629929999901 1271 0671 061
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 0081 0169969119168858789441 022
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    1 2161 3332 8494 6926 0266 8186 8096 8066 989
    2017 2020 - - - - - - -
    8 1928 473-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,0 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 31,2 % la même année, alors qu'il est de 23,8 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 4 102 hommes pour 4 349 femmes, soit un taux de 51,46 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,42 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[33]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,7
    90 ou +
    1,8
    9,2
    75-89 ans
    10,2
    20,0
    60-74 ans
    20,3
    19,4
    45-59 ans
    20,4
    15,5
    30-44 ans
    16,2
    16,7
    15-29 ans
    14,8
    18,6
    0-14 ans
    16,2
    Pyramide des âges du département de la Loire-Atlantique en 2018 en pourcentage[34]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,6
    90 ou +
    1,7
    5,8
    75-89 ans
    8,6
    14,7
    60-74 ans
    16
    19,6
    45-59 ans
    18,9
    20,1
    30-44 ans
    19,2
    19,2
    15-29 ans
    17,5
    20
    0-14 ans
    18

    Lieux et monuments

    • L'église Saint-Jacques et Saint-Philippe (XVe siècle, 1840) ;
    • Le château des croix (XIXe siècle) ;
    • La chapelle de Bongarant (XVe siècle) ;
    • La gendarmerie de Sautron ;
    • La maison des pèlerins (XVe siècle) ;
    • Le logis de la Linière (XVIIe siècle-XVIIIe siècle) ;
    • L'ancien manoir de Boistaureau ;
    • L'ancien manoir de la Thomasière...
    • L'église Saint-Jacques et Saint-Philippe de Sautron.
      L'église Saint-Jacques et Saint-Philippe de Sautron.
    • Le château des Croix.
      Le château des Croix.
    • La chapelle de Bongarant.
    • Gendarmerie de Sautron.
      Gendarmerie de Sautron.

    Personnalités liées à la commune

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Réélu en 2001.
    7. Réélue en 2014.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Carte interactive du réseau TAN
    2. Carte interactive du réseau Aléop
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station météofrance Nantes-Bouguenais - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Sautron et Bouguenais », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Unité urbaine 2020 de Nantes », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    18. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    19. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    20. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    23. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    24. « Sautron », infoBRETAGNE.com (consulté le ).
    25. Vincent Charron, « Kalendrier Historial » de la Glorieuse Vierge Marie, Mère de Dieu, , p. 374.
    26. Jean-Pierre Brunterc’h, « Puissance temporelle et pouvoir diocésain des évêques de Nantes entre 936 et 1049 », Mémoires de la Société Historique et Archéologique de Bretagne, t.LXI, 1984, p. 35.
    27. Office Public de la Langue Bretonne, « Kerofis ».
    28. Notes rétrospectives et supplémentaires concernant l'essai historique et statistique en 1832 sur la commune de Sautron, , 42 p. (lire en ligne), pages 6.
    29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    33. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Sautron (44194) », (consulté le ).
    34. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de la Loire-Atlantique (44) », (consulté le ).
    35. « L'AS Sautron football souhaite renforcer ses effectifs », Ouest-France, .
    36. « Sautron On est allé faire un tour chez Maxime Bossis, ex-pilier du FC Nantes », Presseocéan.fr, .

    Annexes

    Articles connexes

    Liens externes

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