AccueilđŸ‡«đŸ‡·Chercher

Sainte-Radégonde

Sainte-Radégonde est une commune du Centre-Ouest de la France, située dans le département de la Vienne (région Nouvelle-Aquitaine).

Sainte-Radégonde
Sainte-Radégonde
L'Ă©glise Sainte-Radegonde vue depuis la mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Vienne
Arrondissement Poitiers
Intercommunalité Communauté urbaine du Grand Poitiers
Maire
Mandat
Frédéric Jarry
2020-2026
Code postal 86300
Code commune 86239
DĂ©mographie
Population
municipale
176 hab. (2020 en augmentation de 4,76 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 13 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 46° 38â€Č 08″ nord, 0° 42â€Č 10″ est
Altitude Min. 100 m
Max. 138 m
Superficie 13,18 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Poitiers
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Chauvigny
LĂ©gislatives TroisiĂšme circonscription
Localisation
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Sainte-Radégonde
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Sainte-Radégonde
GĂ©olocalisation sur la carte : Vienne
Voir sur la carte topographique de la Vienne
Sainte-Radégonde
GĂ©olocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Sainte-Radégonde

    GĂ©ographie

    Sainte-Radégonde est une commune rurale.

    Localisation

    Le village est proche du parc naturel régional de la Brenne.

    Communes limitrophes

    La grande ville la plus proche de Sainte-RadĂ©gonde est ChĂątellerault et se trouve Ă  23,68 kilomĂštres au nord-ouest.

    Communes limitrophes de Sainte-Radégonde
    Archigny La Puye
    Sainte-Radégonde
    Chauvigny Lauthiers

    GĂ©ologie et relief

    La commune de Sainte-RadĂ©gonde prĂ©sente un paysage de plaines vallonnĂ©es plus ou moins boisĂ©es et de vallĂ©es. Le terroir se compose de Terres fortes (ce sont des sols composĂ©s d’argilo-calcaires moyennement profonds alternant avec des sols limoneux, riches en cailloux et blocs de meuliĂšres. Ces terres sont Ă  tendance acide et hydromorphe. Ces sols sont communs dans toute cette rĂ©gion du sud du dĂ©partement de la Vienne) et de bornais (ce sont des sols brun clair sur limons, profonds et humides, Ă  tendance siliceuse) pour respectivement 27 % et 73 % situĂ©s sur les plateaux du seuil du Poitou[1].

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[2]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 11,7 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 2,5 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 5,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,7 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 764 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 11,3 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 6,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[6] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[7] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Chauvigny-Mareu », sur la commune de Chauvigny, mise en service en 1949[8] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[9] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 11,9 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 782,8 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[10]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Poitiers-Biard », sur la commune de Biard, mise en service en 1921 et Ă  31 km[11], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11,5 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[12] Ă  11,7 °C pour 1981-2010[13], puis Ă  12,2 °C pour 1991-2020[14].

    Voies de communication et transports

    Les gares les plus proches se trouvent :

    L'aĂ©roport le plus proche est l'aĂ©roport de Poitiers-Biard situĂ© Ă  39 km.

    Urbanisme

    Typologie

    Sainte-Radégonde est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [15] - [16] - [17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Poitiers, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 97 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 Ă  moins de 700 000 habitants[18] - [19].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (90,8 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (90,7 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (62,2 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (28,1 %), forĂȘts (9,1 %), prairies (0,5 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Sainte-RadĂ©gonde est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  deux risques technologiques, le transport de matiĂšres dangereuses et le risque nuclĂ©aire[21]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[22].

    Risques naturels

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Sainte-Radégonde.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements diffĂ©rentiels[23]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[24]. La totalitĂ© de la commune est en alĂ©a moyen ou fort (79,5 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 8] - [25].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1999 et 2010, par la sécheresse en 1995, 2003, 2016, 2018 et 2019 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[21].

    Risque technologique

    La commune Ă©tant situĂ©e dans le pĂ©rimĂštre du plan particulier d'intervention (PPI) de 20 km autour de la centrale nuclĂ©aire de Civaux, elle est exposĂ©e au risque nuclĂ©aire. En cas d'accident nuclĂ©aire, une alerte est donnĂ©e par diffĂ©rents mĂ©dias (sirĂšne, sms, radio, vĂ©hicules). DĂšs l'alerte, les personnes habitant dans le pĂ©rimĂštre de km se mettent Ă  l'abri[Note 9]. Les personnes habitant dans le pĂ©rimĂštre de 20 km peuvent ĂȘtre amenĂ©es, sur ordre du prĂ©fet, Ă  Ă©vacuer et ingĂ©rer des comprimĂ©s d’iode stable[Note 10] - [26] - [27].

    Toponymie

    Le nom du village est celui d'une sainte trÚs vénérée en Poitou.

    Histoire

    Sainte RadĂ©gonde naquit prĂšs du Rhin au VIe siĂšcle. EmmenĂ©e prisonniĂšre par Clotaire, roi de France, elle l'Ă©pouse. Elle se sĂ©pare du roi en 555 et obtient de devenir religieuse Ă  Saix aux confins du Poitou et de la Touraine. Avant de mourir en 561 le roi lui fait construire un monastĂšre Ă  Poitiers (actuel monastĂšre Sainte-Croix) oĂč elle poursuivit sa vie de religieuse. En 587 elle meurt Ă  Poitiers oĂč elle se fait enterrer dans l'actuelle Ă©glise Sainte-RadĂ©gonde.

    Politique et administration

    Sainte-Radégonde dépend de la sous-préfecture de la Vienne à Montmorillon.

    Intercommunalité

    Elle fait partie de la communauté de communes du Pays Chauvinois.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[28]
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    mars 2001 mai 2020 Claude Foucher
    mai 2020 En cours Frédéric Jarry
    Les données manquantes sont à compléter.

    Instances judiciaires et administratives

    La commune relĂšve du tribunal d'instance de Poitiers, du tribunal de grande instance de Poitiers, de la cour d'appel de Poitiers, du tribunal pour enfants de Poitiers, du conseil de prud'hommes de Poitiers, du tribunal de commerce de Poitiers, du tribunal administratif de Poitiers et de la cour administrative d'appel de Bordeaux, du tribunal des pensions de Poitiers, du tribunal des affaires de la SĂ©curitĂ© sociale de la Vienne, de la cour d’assises de la Vienne.

    Service public

    Comme beaucoup de villages ruraux, Sainte-RadĂ©gonde n'a plus de poste. Les bureaux les plus proches se trouvent Ă  La Puye situĂ© Ă  3,9 km ; Ă  Archigny qui se trouve Ă  5,6 km ou Ă  Chauvigny localisĂ© Ă  8,5 km.

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[30].

    En 2020, la commune comptait 176 habitants[Note 11], en augmentation de 4,76 % par rapport Ă  2014 (Vienne : +1,41 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    261259278300328277276323282
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    313265259231251234276280294
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    312302313278291289279280302
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    258229195184168163152146144
    2014 2019 2020 - - - - - -
    168172176------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee Ă  partir de 2006[32].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    En 2008, selon l’INSEE, la densitĂ© de population de la commune Ă©tait de 11 hab./km2, 61 hab./km2 pour le dĂ©partement, 68 hab./km2 pour la rĂ©gion Poitou-Charentes et 115 hab./km2 en France.

    Selon l'INSEE,La répartition de la population par sexe est la suivante :

    • en 1999, le nombre d'hommes Ă©tait de 50,3 % et celui de femmes de 49,7 %.
    • en 2004, le nombre d'hommes Ă©tait de 48,7 % et celui de femmes de 51,3 %.
    • en 2010, le nombre d'hommes Ă©tait de 45,5 % et celui de femmes de 54,5 %.

    En 2004, selon l'INSEE :

    • Le nombre de cĂ©libataires Ă©tait de 26,7 % dans la population.
    • Les couples mariĂ©s reprĂ©sentaient 54,2 % de la population.
    • Les divorcĂ©s reprĂ©sentaient 7,6 %.
    • Le nombre de veuves et veufs Ă©tait de 11,5 %

    Le nombre de naissance et de cédés (INSEE) étaient de :

    • en 2000, de 0 naissance et 0 dĂ©cĂšs.
    • en 2001, de 0 naissance et 2 dĂ©cĂšs.
    • en 2002, de 2 naissances et 3 dĂ©cĂšs.
    • en 2003, de 2 naissances et 1 dĂ©cĂšs.
    • en 2004, de 0 naissance et 1 dĂ©cĂšs.
    • en 2005, de 0 naissance et 1 dĂ©cĂšs.
    • en 2006, de 0 naissance et 1 dĂ©cĂšs.
    • en 2007, de 1 naissance et 2 dĂ©cĂšs.
    • en 2008, de 1 naissance et 3 dĂ©cĂšs.

    Enseignement

    La commune de Sainte-Radégonde dépend de l'académie de Poitiers et les écoles primaires de la commune dépendent de l'inspection académique de la Vienne.

    Économie

    Agriculture

    Selon la direction rĂ©gionale de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la ForĂȘt de Poitou-Charentes[33], il n'y a plus que onze exploitations agricoles en 2010 contre seize en 2000.

    Les surfaces agricoles utilisĂ©es ont diminuĂ© et sont passĂ©es de 1 162 hectares en 2000 Ă  1 046 hectares en 2010. 49 % sont destinĂ©es Ă  la culture des cĂ©rĂ©ales (blĂ© tendre essentiellement mais aussi de l'orge), 21 % pour les olĂ©agineux (colza et tournesol), 14 % pour le fourrage et 5 % restent en herbes. En 2000, 2 hectares (0 en 2010) Ă©taient consacrĂ©s Ă  la vigne[33].

    Cinq exploitations en 2010 comme en 2000 abritent un Ă©levage d'ovins (1 201 tĂȘtes en 2010 contre 1 088 tĂȘtes en 2000). Cette Ă©volution est Ă  l'opposĂ© de la tendance globale du dĂ©partement de la Vienne. En effet, le troupeau d’ovins, exclusivement destinĂ© Ă  la production de viande, a diminuĂ© de 43,7 % de 1990 Ă  2007[34]. En 2011, le nombre de tĂȘtes dans le dĂ©partement de la Vienne Ă©tait de 214 300[35].

    L'Ă©levage de volailles a connu une baisse : 197 tĂȘtes en 2000 rĂ©partis sur huit fermes contre 64 tĂȘtes en 2010 rĂ©partis sur quatre fermes. Les Ă©levages de bovins ont disparu au cours de cette dĂ©cennie[33].

    En 2013, il est possible de visiter un Ă©levage de chĂšvres Angora australiennes. Ces chĂšvres sont Ă©levĂ©es pour la production de mohair. La visite de cet Ă©levage permet de dĂ©couvrir le travail de l’éleveur: dĂ©monstrations de tonte ou de triage. Une exposition-vente vient clore la visite : fabrication et exposition de laine, pelotes, Ă©charpes, couvertures, pulls, de beaux lainages entiĂšrement tricotĂ©s main et autres produits.

    Activité et emploi

    Le taux de chĂŽmage :

    • en 1999 : 12,5 % ;
    • en 2004 : 4,3 %.

    Le nombre de demandeurs d’emploi, selon PĂŽle Emploi, en fin de mois de catĂ©gories A (personnes sans emploi et recherchant activement un emploi), B (personnes recherchant un emploi et ayant exercĂ© une activitĂ© de 78 h ou moins au cours du mois), C (personnes recherchant un emploi et ayant exercĂ© une activitĂ© de plus de 78 h au cours du mois) est de :

    • 13 en 2009 ;
    • 10 en 2010.

    Les retraités et les préretraités représentaient 32,9 % de la population en 2004 et 27 % en 1999.

    Le taux d'activité était de 77,5 % en 2004 et de 69,2 % en 1999.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Voir aussi

    Articles de Wikipédia

    Liens externes

    Sources

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de l’existence du risque RGA ;
      • au maĂźtre d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ɠuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
    9. Le pĂ©rimĂštre de km correspond au pĂ©rimĂštre de mise Ă  l'abri rĂ©flexe. AlertĂ©s par les sirĂšnes et/ou par un appel automatique sur le tĂ©lĂ©phone du domicile, les habitants concernĂ©s doivent se mettre Ă  l’abri dĂšs l’alerte et suivre les consignes.
    10. Les comprimĂ©s d’iode stable protĂšgent efficacement la thyroĂŻde contre les effets des rejets d’iode radioactif qui pourraient survenir en cas d’accident nuclĂ©aire.
    11. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Chambre RĂ©gionale d'agriculture de Poitou-Charente - 2007
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Chauvigny-Mareu - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Sainte-Radégonde et Chauvigny », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Chauvigny-Mareu - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Sainte-Radégonde et Biard », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Poitiers », sur insee.fr (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    21. « Les risques prÚs de chez moi - commune de Sainte-Radégonde », sur Géorisques (consulté le )
    22. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consultĂ© le )
    23. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    24. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    25. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le )
    26. « Plan Particulier d'Intervention du CNPE de Civaux - plaquette de présentation. », sur www.edf.fr (consulté le )
    27. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Risque nucléaire.
    28. Site de la préfecture de la Vienne, consulté le 10 mai 2008
    29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    33. Fiches communales 2000 - 2010 de la Vienne
    34. Agreste – Bulletin n°12 de Mai 2013
    35. Panorama de l’Agriculture en Vienne – Juin 2012 – Chambre d’Agriculture de la Vienne
    36. http://www.parvis.poitierscatholique.fr/st-pierre2/Sainte-Radegonde-en-Gatine.pdf
    37. « Eglise paroissiale Sainte-Radégonde », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplĂ©mentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimĂ©dias.