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Saint-Sulpice-Laurière

Saint-Sulpice-Laurière (Sent Superis en occitan) est une commune française située dans le département de la Haute-Vienne en région Nouvelle-Aquitaine.

Saint-Sulpice-Laurière
Saint-Sulpice-Laurière
L'église du bourg (XIIIe siècle).
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Haute-Vienne
Arrondissement Limoges
Intercommunalité Communauté de communes Élan Limousin Avenir Nature
Maire
Mandat
Jean-Michel Peyrot
2020-2026
Code postal 87370
Code commune 87181
Démographie
Gentilé Saint-Sulpicien Saint-Sulpicienne[1]
Population
municipale
819 hab. (2020 en diminution de 3,08 % par rapport à 2014)
Densité 57 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 03′ 13″ nord, 1° 28′ 18″ est
Altitude Min. 332 m
Max. 623 m
Superficie 14,31 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Limoges
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Ambazac
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Liens
Site web www.saint-sulpice-lauriere.fr/

    Géographie

    Localisation

    Saint-Sulpice-Laurière est située à l'est du département de la Haute-Vienne, elle est arrosée par le Rivalier, affluent de l'Ardour.

    Situation de la commune de Saint-Sulpice-Laurière en Haute-Vienne.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Saint-Sulpice-Laurière[2]
    Bersac-sur-Rivalier Laurière
    Saint-Sulpice-Laurière
    Saint-Léger-la-Montagne Jabreilles-les-Bordes

    Voies de communication et transports

    À la gare de Saint-Sulpice-Laurière s'arrêtent les trains TER Nouvelle-Aquitaine des lignes Limoges-Vierzon et Limoges-Montluçon.

    Le bourg de Saint-Sulpice est contourné par la route départementale 914 qui permet de rejoindre, par le col de la Roche (456 m), l'autoroute A20, en traversant La Jonchère où l'on trouve le seul feu tricolore du canton et en contournant Ambazac.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 11,1 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 4,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4,7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 1 037 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Leger la Montagne_sapc », sur la commune de Saint-Léger-la-Montagne, mise en service en 1998[9] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[10] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,1 °C et la hauteur de précipitations de 1 415,7 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Limoges-Bellegarde », sur la commune de Limoges, mise en service en 1973 et à 28 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour la période 1971-2000[13] à 11,4 °C pour 1981-2010[14], puis à 11,8 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Sulpice-Laurière est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [16] - [17] - [18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Limoges, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 127 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[19] - [20].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (65,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (67,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (65,2 %), prairies (17,4 %), zones agricoles hétérogènes (10,3 %), zones urbanisées (7,1 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Saint-Sulpice-Laurière est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[22]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[23].

    Risques naturels

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Sulpice-Laurière.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[24]. 11,5 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (27 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 8] - [25].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999 et par des mouvements de terrain en 1999[22].

    Risque particulier

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Saint-Sulpice-Laurière est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[26].

    Histoire

    Le bourg de Saint-Sulpice a appartenu jusqu'à la Révolution française aux hospitaliers de la commanderie de Morterolles[27].

    À un kilomètre au nord-ouest du Col de la Roche, Saint-Sulpice-Laurière est situé dans un endroit stratégique et il est au pied du camp gallo-romain du Maillorat (oppidum du Châtelard sur la commune de Jabreilles-les-Bordes).

    Par contre il se trouvait niché dans une cuvette au centre des Monts d'Ambazac et le climat y était rude et peu propice à l'agriculture. Aussi au début du XIXe siècle Saint-Sulpice n'était qu'un petit village en marge de Laurière, qui était deux fois plus peuplé.

    Cette situation changea à partir de 1844 quand les promoteurs du chemin de fer décidèrent d'y établir dans un premier temps la « gare de Laurière » (future Gare de Saint-Sulpice-Laurière), sur le trajet Vierzon-Limoges, c'est-à-dire Paris-Toulouse, puis un nÅ“ud ferroviaire permettant la jonction avec une autre ligne vers Guéret et Montluçon. Cet embranchement nécessita l'établissement d'un important dépôt de machines à vapeur, d'une rotonde et d'une plaque tournante pour que les trains allant de Limoges à Guéret puissent manÅ“uvrer. Ces activités demandèrent une main-d'Å“uvre conséquente et l'on vit, entre 1861 et 1921, la population de Saint-Sulpice presque tripler (passant de 764 à 1 959 habitants).

    Avec le remplacement des locomotives à vapeur par des locomotives et autorails diesels, le Dépôt perdit sa nécessité. À sa place a été installé un parc EMS (Équipement Mobile de Sécurité) mais il réclame beaucoup moins de personnel, d'où un relatif dépeuplement et déclin de Saint-Sulpice.

    Cependant, du fait de ses commerces, du collège et d'une bonne desserte ferroviaire, le village reste le centre d'activités du canton.

    Politique et administration

    Maire

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1919 1941 Eugène Piginier SFIO
    avant 1981 ? Michel Bois PCF
    1989 2001 Jacques Gay-bellile SE Président de communauté de commune
    mars 2001 2014 Gérard Lardy
    mars 2014 En cours Jean-Michel Peyrot[28] DVG Conseiller départemental remplaçant
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[30].

    En 2020, la commune comptait 819 habitants[Note 9], en diminution de 3,08 % par rapport à 2014 (Haute-Vienne : −1,08 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    570599601673668699714750781
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    7687641 0561 0571 3111 3371 4641 4241 502
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 6311 6061 8401 9591 9581 9381 8501 8951 789
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    1 5821 4591 3301 2001 046881941941866
    2015 2020 - - - - - - -
    833819-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Saint-Sulpice : appelée église du bourg, elle date du XIIIe siècle et est classée monument historique depuis le [33]. Elle est adossée à un clocher-donjon du XIe qui avait vraisemblablement un usage militaire défensif.
    • Église Notre-Dame-de-la-Voie : construite au XXe siècle près de la gare de Saint-Sulpice-Laurière grâce à la volonté du père Fredon et la participation financière des paroissiens. Elle fut construite parce que l'église du bourg était trop éloignée de celui-ci et de moins en moins fréquentée. Pour remercier la Vierge Marie d'avoir fait un miracle en sauvant de la mort les ouvriers et le chef de chantier lors de l'éboulement d'un tunnel en 1849, une statue avait déjà été offerte à la Vierge. Cette statue fut d'abord hébergée dans l'église du bourg puis trouva sa place dans la nouvelle église. La première pierre fut posée en 1955 ; le chantier fut interrompu et repris en 1963 pour se terminer le ; elle fut bénie le . On y trouve aussi une bannière des cheminots qui avait été bénie le lors d'une importante cérémonie.
    • La Font-du-Loup : ancienne fontaine-lavoir.
    • Étang de la papeterie sur le Rivalier.
    • Gare de Saint-Sulpice-Laurière et sa plantation de ginkgo biloba.

    Galerie de photos

    • La statue de La Vierge.
      La statue de La Vierge.
    • La bannière des cheminots dans l'église Notre-Dame-de-la-Voie.
      La bannière des cheminots dans l'église Notre-Dame-de-la-Voie.
    • La gare de Saint-Sulpice-Laurière.
      La gare de Saint-Sulpice-Laurière.
    • Les ginkgos de la gare.
      Les ginkgos de la gare.
    • La gare et le Bois des Échelles depuis le Col de la Roche.
      La gare et le Bois des Échelles depuis le Col de la Roche.

    Personnalités liées à la commune

    Blasonnement

    Les armoiries de Saint-Sulpice-Laurière se blasonnent ainsi :

    De sinople à la cotice en barre d'or chargée d'une cotice en barre de gueules surchargée de l'inscription en capitales aussi d'or SAINT SULPICE LAURIERE et accompagnée, en chef, de 3 vaches couchées d'argent, 2 contournées, la troisième plus grosse brochant en partie sous celle de dextre, et, en pointe, de l'église du lieu aussi d'argent ; au chef cousu d'azur chargé de 3 feuilles de ginkgo biloba d'or penchés à dextre.

    Pour approfondir

    Bibliographie

    • Antoine Perrier, Georges Astier. « Saint-Sulpice-Laurière : un avenir incertain », dans Limousin-Magazine no 56, , vol. 50, no 1, Norois, 1966, p. 279–281 (Compte rendu).
    • José Banaudo, Fabrice Lanoue, « St.Sulpice-Laurière », Sur les rails du Limousin, éditions de Borée, 160 pages, 2003 (ISBN 9782844942043), p. 72–73 (extrait)
    • Chronique du Temps Passé à Saint-Sulpice-Laurière de Gérard DUMONT (COPYMEDIA)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
      • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'Å“uvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. http://www.habitants.fr/habitants_departement_haute-vienne_87.html#COMS habitants
    2. Carte IGN sur Géoportail
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Saint-Leger la Montagne_sapc - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Saint-Sulpice-Laurière et Saint-Léger-la-Montagne », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Saint-Leger la Montagne_sapc - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Saint-Sulpice-Laurière et Limoges », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Limoges », sur insee.fr (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    22. « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Sulpice-Laurière », sur Géorisques (consulté le )
    23. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    24. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    25. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le )
    26. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le )
    27. Marie-Claire Pontier, Archives départementales de la Haute-Vienne : Fonds des commanderies de l'ordre de Malte (1195-1791) - Inventaire analytique, Limoges, (lire en ligne), p. 12-29
      39 H 129, arpentement du bourg de Saint-Sulpice-Laurière réalisé en 1746.
      .
    28. Site officiel de la préfecture de Haute-Vienne - liste des maires (doc pdf)
    29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    33. « Eglise de Saint-Sulpice-Laurière », notice no PA00100489, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    34. Dominique Tantin, Michel Thébault, Isabel Val Viga, « COUTY Odette », dans Le Maitron, Maitron/Editions de l'Atelier, (lire en ligne)
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