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Saint-Perdon

Saint-Perdon est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département des Landes (région Nouvelle-Aquitaine).

Saint-Perdon
Saint-Perdon
L'église Saint-Perdon, à Saint-Perdon.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Landes
Arrondissement Mont-de-Marsan
Intercommunalité Le Marsan agglomération
Maire
Mandat
Jean-Louis Darrieutort
2020-2026
Code postal 40090
Code commune 40280
Démographie
Gentilé Saint-Perdonnais
Population
municipale
1 722 hab. (2020 en augmentation de 3,36 % par rapport à 2014)
Densité 56 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 52′ 10″ nord, 0° 35′ 27″ ouest
Altitude 83 m
Min. 20 m
Max. 94 m
Superficie 30,62 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Mont-de-Marsan
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Mont-de-Marsan-2
Législatives Première circonscription
Localisation
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Saint-Perdon
Liens
Site web site officiel de la commune

    Ses habitants sont appelés les Saint-Perdonnais.

    Géographie

    Localisation

    Commune située dans le Pays de Marsan, au sud-ouest de Mont-de-Marsan, aux confins de la forêt des Landes et de la région agricole de la Chalosse.

    Communes limitrophes

    Les communes limitrophes sont Campagne, Campet-et-Lamolère, Haut-Mauco, Saint-Martin-d'Oney et Saint-Pierre-du-Mont.

    La commune de Mont-de-Marsan n'est qu'à 200 m au nord-est du territoire communal[1].

    Hydrographie

    Le Batanès, affluent gauche de la Midouze, traverse les terres de la commune.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 13 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,9 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 7,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,1 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 1 064 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Mont-de-Marsan », sur la commune de Mont-de-Marsan, mise en service en 1945[8] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[9] - [Note 4], où la température moyenne annuelle évolue de 13,1 °C pour la période 1971-2000[10], à 13,5 °C pour 1981-2010[11], puis à 13,9 °C pour 1991-2020[12].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Perdon est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [13] - [14] - [15].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Mont-de-Marsan, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 101 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[16] - [17].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (60,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (74,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (46,1 %), terres arables (21,9 %), forêts (14,2 %), zones agricoles hétérogènes (13 %), zones urbanisées (4,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,3 %)[18].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Saint-Perdon est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[19]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[20].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le ruisseau de Lacrauste, la Midouze, le ruisseau de l'Estrigon et le ruisseau de Batanès. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1983, 1999, 2009 et 2020[21] - [19].

    Saint-Perdon est exposée au risque de feu de forêt. Depuis le , les départements de la Gironde, des Landes et de Lot-et-Garonne disposent d’un règlement interdépartemental de protection de la forêt contre les incendies. Ce règlement vise à mieux prévenir les incendies de forêt, à faciliter les interventions des services et à limiter les conséquences, que ce soit par le débroussaillement, la limitation de l’apport du feu ou la réglementation des activités en forêt. Il définit en particulier cinq niveaux de vigilance croissants auxquels sont associés différentes mesures[22] - [23].

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[24].

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. Aucune partie du territoire de la commune n'est en aléa moyen ou fort (19,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 650 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, aucun n'est en aléa moyen ou fort, à comparer aux 17 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[25] - [Carte 2].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1983 et 1999[19].

    Risques technologiques

    Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une ou des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[26].

    Histoire

    Ne cherchez pas saint Perdon dans l’annuaire des saints du paradis, vous ne le trouverez pas !

    Par contre vous y verrez saint Pardoux (Sant Perdos en occitan) qui a donné son nom à notre village. Il a vécu au VIIe siècle dans la région de Guéret où il a fondé une abbaye et a vaillamment résisté à l’invasion des Sarrasins.

    C’est l’abbaye de Pontaut, située au sud de notre département, à l’emplacement actuel du village de Mant, qui possédait de nombreux domaines et qui a nommé Saint Perdon et St Orens probablement au XIIIe ou XIVe siècle.

    Les guerres de Religion du XVIe siècle ont ravagé toutes les églises de la région mais on retrouve Saint Perdon et Saint Orens dans l’inventaire des biens de l’abbaye de Pontaut en 1790 en vue de la vente des biens de l’église.

    La commune gardera son nom à sa création en 1812 et Saint Orens la rejoindra en 1814.

    Elle a toujours conservé sa vocation agricole et a bénéficié du développement de la forêt de pin au XIXe siècle ; et c’est grâce à la forêt qu’elle possède aujourd’hui sur son sol une des scieries les plus modernes de la région.

    Le développement de sa population en fait aujourd’hui la troisième commune de l’agglomération du Marsan et le dynamisme dont elle fait preuve n’est pas près de s’éteindre.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    ? 1940 Honoré Castaignède Révoqué par le Gouvernement de Vichy[27]
    mars 1989 octobre 1999 René Bernède PCF
    novembre 1999 mars 2014 Pol Rio Cadre supérieur retraité
    mars 2014 En cours Jean-Louis Darrieutort DVG Technicien agricole spécialisé
    Les données manquantes sont à compléter.

    Politique environnementale

    Dans son palmarès 2022, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué une fleur à la commune[28].

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[30]. En 2020, la commune comptait 1 722 habitants[Note 7], en augmentation de 3,36 % par rapport à 2014 (Landes : +4,41 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    510372390602846756788925920
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    942946971917915844891857814
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    832802806721708686684649646
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    6236406107489389841 2541 2931 609
    2017 2020 - - - - - - -
    1 7261 722-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    Aquarelle de l'église Saint-Orens.

    Galerie

    • Château de Bertheuil, détruit en août 2011.
      Château de Bertheuil, détruit en .
    • Rafael Cañada à la cape dans les arènes de Saint-Perdon, aujourd'hui disparues.
      Rafael Cañada à la cape dans les arènes de Saint-Perdon, aujourd'hui disparues.
    • Fronton de Saint-Perdon.
      Fronton de Saint-Perdon.
    • Église Saint-Orens.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station météofrance Mont-de-Marsan - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Saint-Perdon et Mont-de-Marsan », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station météorologique de Mont-de-Marsan - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    11. « Station météorologique de Mont-de-Marsan - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Mont-de-Marsan - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    14. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    15. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    19. « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Perdon », sur Géorisques (consulté le )
    20. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    21. « Dossier départemental des risques majeurs des Landes », sur www.landes.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
    22. « Règlement interdépartemental de protection de la forêt contre les incendies. », sur www.landes.gouv.fr (consulté le )
    23. « Dossier départemental des risques majeurs des Landes », sur www.landes.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
    24. « Dossier départemental des risques majeurs des Landes », sur www.landes.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    25. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    26. « Dossier départemental des risques majeurs des Landes », sur www.landes.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
    27. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k9610790c/f8.image.r=r%C3%A9voqu%C3%A9?rk=64378;0#
    28. Les communes labellisées, Site des villes et villages fleuris consulté le .
    29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    33. « Dreal Aquitaine »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?). Consulté le 12 novembre 2011
    34. Elisa Artigue-Cazcarra, « Les arènes de Saint-Perdon détruites par les flammes », Sud Ouest,‎ (lire en ligne).
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