Saint-Michel-sur-Meurthe
Saint-Michel-sur-Meurthe est une commune française située dans le département des Vosges en région Grand Est.
Saint-Michel-sur-Meurthe | |
Vue générale. | |
Blason |
|
Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Grand Est |
Département | Vosges |
Arrondissement | Saint-Dié-des-Vosges |
Intercommunalité | Communauté d'agglomération de Saint-Dié-des-Vosges |
Maire Mandat |
William Mathis 2020-2026 |
Code postal | 88470 |
Code commune | 88428 |
Démographie | |
Gentilé | Michellois |
Population municipale |
1 820 hab. (2020 ) |
Densité | 117 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 48° 19′ 06″ nord, 6° 53′ 15″ est |
Altitude | 314 m Min. 301 m Max. 658 m |
Superficie | 15,54 km2 |
Type | Commune rurale |
Unité urbaine | Saint-Dié-des-Vosges (banlieue) |
Aire d'attraction | Saint-Dié-des-Vosges (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Saint-Dié-des-Vosges-1 |
Législatives | Deuxième circonscription |
Localisation | |
Ses habitants sont appelés les Michellois.
Géographie
Localisation
La commune de Saint-Michel occupe la rive gauche de la Meurthe au nord et à l'ouest du massif de la Madeleine et au nord du Haut Jacques. Elle est limitée au sud-ouest par deux collines appelées Les Jumeaux, et est bordée à l'ouest par les communes de La Bourgonce, La Salle et Nompatelize.
Le territoire situé entre le bassin de la Meurthe et la montagne est constitué de collines adoucies présentant des irrégularités de relief.
Voies de communication et transports
Il existe un grand axe traversant la commune du nord-ouest au sud-est appelé Voie Romaine ou voie de Parupt ou Paru (void de Paru). Cet axe reliait la région de Langres à la plaine d'Alsace en passant par Rambervillers, le col du Haut du Bois, le Hoste du Bois (La Salle) et sa carrière de meules (rhyolite), Saint-Michel-sur-Meurthe et Saint-Dié-des-Vosges.
La RN 59, reliant Saint-Dié-des-Vosges à Nancy, borde la commune à l'est. Une zone artisanale a été délimitée à proximité de cette nationale, offrant environ 600 emplois, notamment dans les domaines du plastique. La départementale D32, menant à Épinal (46 km) par le col du Haut du Bois, contourne l'agglomération par le nord.
Hydrographie
La commune est située dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par la Meurthe, le ruisseau de Herbaville, le ruisseau de Sauceray et le ruisseau le Maubret[1] - [Carte 1].
La Meurthe, d'une longueur totale de 160,6 km, prend sa source dans la commune du Valtin et se jette dans la Moselle à Pompey, après avoir traversé 53 communes[2].
Des recherches ont été faites au XIXe siècle par Victor Alphonse Blaise, instituteur (Bulletin de la Société de Géographie de l'Est de 1886) montrant qu'il existe à Saint-Michel-sur-Meurthe des sources d'eau salée dans le fond de la vallée de Sauceray (Saulceray, Saucera) « aux quatre sources salées », de même qu'il existe des sources intermittentes au pied de la Roche des Hauts-Champs [3].
La qualité des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Urbanisme
Typologie
Saint-Michel-sur-Meurthe est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [4] - [5] - [6]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Dié-des-Vosges, une agglomération intra-départementale regroupant 16 communes[7] et 41 161 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[8] - [9].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Dié-des-Vosges dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 47 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[10] - [11].
À l'origine, le village, dépourvu de centre, comme il est de tradition dans les bonnes communautés de la montagne vosgienne, possédait un habitat formé de nombreux hameaux dispersés en constellation : Bréhimont, les Feignes, Sauceray, Herbaville, les Baraques, la Gare, le Closé, les Fourneaux... et enfin la Vacherie (lieu de la pesée et de l'abattage des bêtes) devenue récemment le Centre, à proximité de l'ancienne mairie-école.
L'urbanisation récente l'a de plus en plus bordée de nouvelles habitations reliant ces différents hameaux. L'église, située au centre et sur un sommet dominant la commune, est comme un signal fort rassemblant ces hameaux. La commune est reliée par de nombreux chemins au tracé traditionnel, longeant le parcellaire.
- église de Saint Michel sur le Belmont (drone)
- vue depuis l'église vers les jumeaux (drone)
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (46,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (46,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (46,5 %), prairies (24,3 %), zones agricoles hétérogènes (17,8 %), zones urbanisées (11,3 %)[12].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[13].
Toponymie
Au cours de la Révolution française, la commune porte le nom de Belmont[14].
En 1880, la commune de Saint-Michel devient Saint-Michel-sur-Meurthe[14].
Histoire
Saint-Michel est une communauté du haut ban d'Étival, happée dans l'orbite économique de Saint-Dié très tôt, bien avant le XVe siècle. Elle a dépendu tant en justice qu'en administration de l'abbaye et du chapitre prémontré d'Étival. En 1710, la communauté s'émancipe partiellement en rejoignant le bailliage de Saint-Dié. Un recours est possible à Saint-Dié, mais les habitants sont toujours sujets en première instance d'Étival puisqu'ils forment une communauté du haut ban d'Etival.
L'unité de la commune s'est faite autour d'une chapelle sur une éminence, le Belmont. La petite église de Bréhimont desservie par un vicaire résidant à Nompatelize, a été reconstruite en grande église pour la nouvelle paroisse en 1772. Cet endroit sur une portion de cône ébréché de volcan fut précédemment un lieu de culte dédié au Belenos gaulois puis au Mercure gallo-romain[16].
Alphonse Blaise, instituteur originaire de Saint Michel, publie de 1884 à 1886, de nombreux articles sur l'histoire et la géographie de cette commune dans le Bulletin de la Société philomatique vosgienne et dans le Bulletin de la Société de géographie de l'Est. Ces articles sont complétés par plusieurs croquis et cartes[17].
Cette église fut détruite durant la Première Guerre mondiale[18]. Il existait alors un clocher à bulbe comme celui de l'église de La Bourgonce. À sa reconstruction en 1924, seule la partie centrale du clocher a été conservée.
Le nom de Belmont fut repris pour désigner la commune sous la Révolution. La population en l'an XII se maintient à 1051 habitants, une grande partie de la population autour du maire Michel Antoine Lallemend (1764-1836), maire de Saint-Michel de 1793 à 1830, a maintenu en cachette la foi de leurs ancêtres. Les six kilomètres qui séparent ce groupe dévot de Saint-Dié, enfoncé dans l'irréligion chrétienne, deviennent un chemin de grâce lorsqu'il sauve de la dégradation, en 1797, par son rachat, l'ensemble cloître et surtout la petite église Notre-Dame de Galilée[19]. Celle-ci fut redonnée au clergé le [20]. notice historique du Cercle cartophile Vosgien par Michel Dieudonné [21]
En 1830, la population s'élève à 1266 habitants. Le recensement statistique des Vosges en 1840 relève que 1495 habitants vivent dans 230 maisons. Les 1554 ha du territoire communal se divisent en 545 ha de terres labourables, 420 ha de prés, 505 ha de bois et 15 de jardins et vergers. L'école communale accueille 102 élèves alors une école privée compte 190 élèves. À côté des activités de culture fournissant blé, seigle, orge, avoine, pois, lins, chanvre, sarrasins, pommes de terre, l'élevage traditionnel alimente en partie le commerce de bétail. Cinq moulins à grains et un actif commerce de bois sont présents dans la commune traversée par la route départementale no 3 d'Épinal à Saint-Dié. La carrière de rhyolite à Bréhimont pourvoit les pierres dures nécessaires à la réfection de la chaussée.
Pendant la guerre de 1870, le 5 et , les Prussiens envahissent Saint-Michel, Nompatelize et La Bourgonce venant de Raon-l'Étape et d'Etival. Un important combat a eu lieu depuis Biarville sur la crête des Mollières. Une description de ces combats est faite dans le livre de Erckmann et Chatrian "Contes vosgiens" "le récit du père Jérome" [22]
Au début du XXe siècle, il existait quelques entreprises de type industriel qui généraient une activité autre qu'agricole et qui permettaient un complément de revenu à la population de Saint-Michel. Il y avait une filature Witz-Feltz[23] située près de la gare (bombardée à la guerre de 1914), une entreprise de tissage située à Sauceray, et l'entreprise Blaise-Legras située à Brehimont, qui fabriquait des stores en bois.
Politique et administration
Liste des maires
Finances locales
En 2015, les finances communales était constituées ainsi[24] :
- total des produits de fonctionnement : 1 613 000 €, soit 776 € par habitant ;
- total des charges de fonctionnement : 1 078 000 €, soit 519 € par habitant ;
- total des ressources d’investissement : 897 000 €, soit 432 € par habitant ;
- total des emplois d’investissement : 1 216 000 €, soit 585 € par habitant ;
- endettement : 7 000 €, soit 3 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants :
- taxe d'habitation : 19,53 % ;
- taxe foncière sur le bâti : 11,23 % ;
- taxe foncière sur les propriétés non bâties : 19,60 % ;
- taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 38,75 % ;
- cotisation foncière des entreprises : 18,07 %.
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[26].
En 2020, la commune comptait 1 820 habitants[Note 3], en diminution de 6,14 % par rapport à 2014 (Vosges : −2,99 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Économie
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Église Saint-Michel.
- Monuments commémoratifs[30] :
- Monument aux morts ;
- Plaque commémorative du 140e régiment d'infanterie alpine (R.I.A.) ;
- Plaque commémorative du 140e régiment d'infanterie (140e R.I.) ;
- Tombe collective 1870-1870 ;
- Le calvaire du souvenir 1914-1918[31].
Croix de chemins
De nombreuses croix, en grès des Vosges, situées aux croisées des chemins, marquent le paysage et rappellent l'histoire et la culture du village jusqu'au XIXe siècle[32]. La plupart ont été élevées pour conserver le souvenir d'un fait mémorable ou en signe d'expiation. La croix située sur le chemin Void de Parupt rappelle la mort en 1207 de Mahérus, grand-prévôt de la cathédrale de Saint-Dié, oncle de Thiébaut, duc de Lorraine, assassiné par ce dernier en représailles de l'assassinat par Mahérus, le à La Bourgonce, de Renaud de Senlis, évêque de Toul.
- Croix de Brehimont
- Croix de l'église
- Croix du chemin des dames
- Croix des dames, Bouguémont
- Croix de la Vacherie, centre école
- Croix de la Vacherie, au centre du pont
- Croix Mahérus void de Parupt
- Croix sous la roche des Hauts Champs.
- Croix d'
Herbaville
Personnalités liées à la commune
- Jean-Amand Lamaze, (ou "Jean-Armand" selon les actes) né le 28 mars 1833 à Saint-Michel-sur-Meurthe et mort le 9 septembre 1906 à Maofaga dans l'archipel des îles Tonga, est un missionnaire français qui fut vicaire apostolique de l'Océanie centrale et administrateur apostolique de l'Archipel des Navigateurs.
- Paul Robert, curé de la paroisse pendant presque quarante ans, en particulier pendant l'entre-deux-guerres et le Seconde Guerre mondiale.
Héraldique
Blason | D'azur au saint Michel d'or surmontant une rivière d'argent mouvant de la pointe[33]. |
|
---|---|---|
Détails | Ce blason présentant saint Michel sur la rivière supposée être la Meurthe, décrit le nom de la commune à la manière des armes parlantes mais seul "saint Michel" se fait entendre. N'est pas utilisé par la municipalité, qui affirme ne pas avoir de blason. Peut-être s'agit-il d'une création non officialisée de Nadia Morel. À vérifier. |
Pour approfondir
Articles connexes
Liens externes
- Saint-Michel-sur-Meurthe sur le site de l'Institut géographique national
- Le patrimoine architectural et mobilier de la commune sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la Région Lorraine
- Site de la Direction Régionale de l’Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL) et Carte globale Lorraine CARMEN - DREAL Lorraine
- INSEE, « Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- INPN, « Inventaire du patrimoine naturel de la commune », sur inpn.mnhn.fr (consulté le ).
- Cavités souterraines : ouvrages militaires
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- « Réseau hydrographique de Saint-Michel-sur-Meurthe » sur Géoportail (consulté le 29 juillet 2022).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
Références
- « Fiche communale de Saint-Michel-sur-Meurthe », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consulté le )
- Sandre, « la Meurthe »
- [PDF] Alphonse Blaise, Paul Guyot, chimiste à Dombasle, « Analyse des sources de Saint Michel, rapport », Bulletin de la Société philomatique vosgienne.
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Saint-Dié-des-Vosges », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Saint-Dié-des-Vosges », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- L'église fut détruite durant la guerre de 1914-1918
- Les dieux des Gaulois
- [PDF] Alphonse Blaise, Notice historique sur Saint Michel sur Meurthe.
- La commune a été décorée le de la croix de guerre 1914-1918 (communes décorées de la Croix de guerre 1914-1918 sur memorialdormans.free.fr).
- L'église Notre-Dame de Galilée sur tourisme-saint-die-des-vosges.fr.
- [PDF] Abbé E. L'Hote, Études historiques sur Notre-Dame de Galilée à Saint-Dié, 1886.
- [PDF] Cercle cartophile Vosgien_Michel DIEUDONNE _historique de Notre Dame de Galilée à St Dié_M A LALLEMEND maire de St Michel
- [PDF] guerre de 1870_Erckmann-Chatrian
- Fonds Witz et Feltz, tissage de coton, aux archives départementales (1872-1968).
- « Les comptes de la commune » [archive du ], sur alize2.finances.gouv.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Site Numalliance
- « maisons et fermes du 17e au 19e siécles », notice no IA88000252, base Mérimée, ministère français de la Culture enquête thématique régionale (architecture rurale des Hautes-Vosges)
- Monuments commémoratifs sur memorialgenweb.org.
- Le grand calvaire du souvenir sur petit-patrimoine.com.
- |Croix de chemin sur fr.geneawiki.com.
- https://www.vosgesmatin.fr/culture-loisirs/2021/11/02/apres-un-incendie-en-2019-une-batisse-de-1907-retrouve-sa-splendeur-a-saint-michel-sur-meurthe