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Saint-Marc-à-Loubaud

Saint-Marc-à-Loubaud est une commune française située dans le département de la Creuse, en région Nouvelle-Aquitaine.

Saint-Marc-à-Loubaud
Saint-Marc-à-Loubaud
L'église Saint-Marc-Sainte-Agathe et le monument aux morts.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Creuse
Arrondissement Aubusson
Intercommunalité Communauté de communes Creuse Grand Sud
Maire
Mandat
Roger Fougeron
2020-2026
Code postal 23460
Code commune 23212
Démographie
Population
municipale
125 hab. (2020 en diminution de 10,71 % par rapport à 2014)
Densité 6,8 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 50′ 58″ nord, 1° 59′ 50″ est
Altitude Min. 626 m
Max. 774 m
Superficie 18,42 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Felletin
Législatives Circonscription unique
Localisation
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Saint-Marc-à-Loubaud
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Saint-Marc-à-Loubaud
Liens
Site web http://saint-marc-a-loubaud.pagesperso-orange.fr

    Commune du parc naturel régional de Millevaches en Limousin.

    Géographie

    Généralités

    Le lac de Lavaud-Gelade à l'aire des Pondauds.

    Dans la moitié sud du département de la Creuse, dans le parc naturel régional de Millevaches en Limousin, la commune de Saint-Marc-à-Loubaud s'étend sur 18,42 km2. Elle est arrosée par le Thaurion — dont le h disparait en arrivant en Haute-Vienne — qui forme le lac de Lavaud-Gelade dont la partie orientale appartient au territoire communal, l'autre rive correspondant à la commune de Royère-de-Vassivière. Ce lac est situé dans un site inscrit depuis le [1] et la commune met à disposition deux aires naturelles sur ses bords : les Pondauds et Pelletanges.

    L'altitude minimale 626 mètres se trouve localisée à l'extrême nord, près du lieu-dit Pourcheyroux, là où le ruisseau du Pont Gros, un sous-affluent de la Banize, quitte la commune et entre sur celle de Saint-Yrieix-la-Montagne. L'altitude maximale avec 774 mètres est située 600 mètres au nord-ouest du bourg[2].

    Traversé par la route départementale (RD) 16 (Gentioux/Vallière) et la RD 59 (La Nouaille/Royère-de-Vassivière), le bourg de Saint-Marc-à-Loubaud est situé, en distances orthodromiques, dix-huit kilomètres au sud-ouest d'Aubusson.

    Communes limitrophes

    Carte de Saint-Marc-à-Loubaud et des communes avoisinantes.

    Saint-Marc-à-Loubaud est limitrophe de quatre autres communes.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat de montagne », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 9,1 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 5,6 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 1 321 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 14,2 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Vallières », sur la commune de Vallière, mise en service en 1999[9] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[10] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 9,9 °C et la hauteur de précipitations de 1 205,7 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Limoges-Bellegarde », sur la commune de Limoges, dans le département de la Haute-Vienne, mise en service en 1973 et à 58 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour la période 1971-2000[13], à 11,4 °C pour 1981-2010[14], puis à 11,8 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Marc-à-Loubaud est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [16] - [17] - [18]. La commune est en outre hors attraction des villes[19] - [20].

    Liste des lieux-dits :

    • Bouffanges ; anciennement Bouffangeas / Bouffengeas, village de la paroisse de Saint-Marc qui a appartenu à la commanderie de Gentioux[21] et dont la haute justice relevait de la baronnie de La Farge (Vallière)[22].
    • Cessinas
    • Chertrain
    • Georges
    • Lapléoux
    • Lavaud-Gelade
    • Le Patural
    • Neypoux
    • Pelletanges
    • Pondauds
    • Poumeraud
    • Pourcheyroux
    • Puyredon
    • Train

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (64,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (64,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (52,8 %), prairies (25,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (11,4 %), eaux continentales[Note 6] (5,7 %), zones agricoles hétérogènes (4,4 %)[23].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Saint-Marc-à-Loubaud est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage, et à un risque particulier : le risque de radon[24]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[25].

    Risques naturels

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Marc-à-Loubaud.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 33,3 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (33,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 137 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 30 sont en en aléa moyen ou fort, soit 22 %, à comparer aux 25 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[26] - [Carte 2].

    Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[27].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[24].

    Risques technologiques

    La commune est en outre située en aval du barrage de Lavaud-Gelade, un ouvrage sur le Taurion de classe A[Note 7] soumis à PPI, disposant d'une retenue de 17,4 millions de mètres cubes[29]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[30].

    Risque particulier

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Saint-Marc-à-Loubaud est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[31].

    Toponymie

    Panneau d'entrée du bourg en français et en occitan.

    En occitan, la commune porte le nom de Sent Marc a Lobaud.

    Histoire

    Au XVIIe siècle, les registres paroissiaux portent « Saint Marc - Aloubaud » ou « Saint Marcaloubaud » (nom du bourg chef-lieu) mais aussi « Lavaud de Gelée », puis « Lavaud de Gelade » comme orthographe pour le village voisin du lac actuel. On trouve même « La Voute gelée » en 1688.

    Au début du XVIIe siècle, vers 1620, Saint-Marc devait avoir environ 500 habitants (d'après un nombre de baptêmes annuels de 22 en moyenne). Un demi-siècle plus tard, cette population pouvait être de 650, soit une augmentation importante due à une natalité élevée, mais très irrégulière (le nombre de baptêmes peut passer de 20 à 35 d'une année à l'autre). Cette période est également marquée par des crises démographiques aiguës, où la population diminue (plus de décès que de naissances).

    Le maximum démographique est atteint en 1821 (709 habitants), et le déclin est rapide du fait de l'exode provisoire, puis définitif des « maçons creusois ». Depuis, la population a été divisée par cinq.

    Politique et administration

    Liste des maires

    La mairie en 2018.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 1983 1995 Madeleine Bitran
    1995 2001
    mars 2001 2014 Jacques Farges
    mars 2014 mai 2020 Jean-Luc Léger PS Professeur au lycée Pierre Bourdan (Guéret)
    Conseiller général du canton de Gentioux-Pigerolles (2005-2015)
    Conseiller départemental du canton de Felletin (depuis 2015)
    Président de la communauté de communes Creuse Grand Sud (2016-2020)
    mai 2020 En cours Roger Fougeron[32]

    Équipements municipaux

    La commune dispose d'une salle polyvalente.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[34].

    En 2020, la commune comptait 125 habitants[Note 8], en diminution de 10,71 % par rapport à 2014 (Creuse : −3,8 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    637643689709623640598610570
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    587572551497493478548574602
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    597542524415510500441270228
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    20216613410791122131133137
    2015 2020 - - - - - - -
    140125-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[36].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Le lac de Lavaud-Gelade à l'aire de Pelletanges.
      Le lac de Lavaud-Gelade à l'aire de Pelletanges.
    • La nef de l'église.
      La nef de l'église.
    • Son chÅ“ur.
      Son chœur.
    • Le monument aux morts.
      Le monument aux morts.
    • Carte postale de la place du village vers 1920.
      Carte postale de la place du village vers 1920.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    7. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[28].
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. [[PDF] [http://www.nouvelle-aquitaine.developpement-durable.gouv.fr/IMG/pdf/6_Fiche_lac_lavaud_gelade_gentioux_23_cle22ff6e-1.pdf Le lac de Lavaud-Gelade], DREAL Nouvelle-Aquitaine, consulté le 9 août 2018.
    2. « 774 » sur Géoportail (consulté le 9 août 2018)..
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Vallières - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Saint-Marc-à-Loubaud et Vallière », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Vallières - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Saint-Marc-à-Loubaud et Limoges », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. Marie-Claire Pontier, Archives départementales de la Haute-Vienne : Fonds des commanderies de l'ordre de Malte (1195-1791) - Inventaire analytique, Limoges, (lire en ligne), p. 11
      39 H 6: Reconnaissance des habitants de Bouffangeas en 1733. La directe sur ce village a appartenu ensuite au marquisat de Gimel puis en 1757, fut vendue à Jacques Goumy, huissier royal, cf. Toumieux 1902, p. 55, lire en ligne sur Gallica
      .
    22. Zénon Toumieux, « La Baronnie de La Farge », Mémoires de la Société des sciences naturelles et archéologiques de la Creuse, vol. XII,‎ , p. 654,662, lire en ligne sur Gallica ; Zénon Toumieux, « La Baronnie de La Farge (suite) », Mémoires de la Société des sciences naturelles et archéologiques de la Creuse, vol. XIII,‎ , p. 28,55,56, lire en ligne sur Gallica
      Bouffangeas est mentionné en 1535 dans le dénombrement de la justice de la baronnie de La Farge.
      .
    23. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    24. « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Marc-à-Loubaud », sur Géorisques (consulté le )
    25. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    26. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    27. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Saint-Marc-à-Loubaud », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    28. Article R214-112 du code de l’environnement
    29. « barrage de Vassiviere », sur www.barrages-cfbr.eu (consulté le )
    30. « Dossier départemental des risques majeurs de la Creuse », sur www.creuse.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
    31. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le )
    32. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
    33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    37. Église Saint-Marc, Observatoire du patrimoine religieux, consulté le 9 août 2018.
    38. Inventaire général du patrimoine culturel, « Église Saint-Marc-Sainte-Agathe », notice no IA00030881, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 9 août 2018.
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