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Saint-Julien-la-GenĂȘte

Saint-Julien-la-GenĂȘte est une commune française situĂ©e dans le dĂ©partement de la Creuse, en rĂ©gion Nouvelle-Aquitaine.

Saint-Julien-la-GenĂȘte
Saint-Julien-la-GenĂȘte
L'Ă©glise Saint-Julien.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Creuse
Arrondissement Aubusson
Intercommunalité Creuse Confluence
Maire
Mandat
Joël Rougeron
2020-2026
Code postal 23110
Code commune 23203
DĂ©mographie
Population
municipale
219 hab. (2020 en diminution de 9,5 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 18 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 46° 09â€Č 11″ nord, 2° 28â€Č 35″ est
Altitude Min. 415 m
Max. 522 m
Superficie 11,91 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
DĂ©partementales Canton d'Évaux-les-Bains
LĂ©gislatives Circonscription unique
Localisation
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Saint-Julien-la-GenĂȘte

    GĂ©ographie

    Généralités

    Le Chat Cros au lieu-dit le Chat Cros.

    Dans la moitiĂ© orientale du dĂ©partement de la Creuse, la commune de Saint-Julien-la-GenĂȘte s'Ă©tend sur 11,91 km2[1]. Elle est traversĂ©e du sud au nord sur quatre kilomĂštres par le Chat Cros, un affluent de la Tardes.

    L'altitude minimale avec 415 mĂštres[1] se trouve localisĂ©e Ă  l'extrĂȘme nord, lĂ  oĂč le Chat Cros quitte le territoire communal et entre sur celui d'Évaux-les-Bains. L'altitude maximale avec 522 mĂštres[1] est situĂ©e Ă  l'extrĂȘme sud-est, au lieu-dit les Souhaits et les Rondelles, en limite de la commune de FontaniĂšres.

    À 700 mĂštres de la route dĂ©partementale (RD) 996, le bourg de Saint-Julien-la-GenĂȘte est situĂ©, en distances orthodromiques, trois kilomĂštres au sud-sud-ouest d'Évaux-les-Bains, et trente-deux kilomĂštres au nord-est d'Aubusson.

    Le GR 41 fait une incursion de trois kilomÚtres sur le territoire communal, passant à proximité du bourg.

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 9,8 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 4,4 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 4,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,4 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 856 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 11,3 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 7,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[6] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[7] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Chambon Voueize », sur la commune de Chambon-sur-Voueize, mise en service en 1995[8] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[9] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 10,7 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 842,7 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[10]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Clermont-Fd », sur la commune de Clermont-Ferrand, dans le dĂ©partement du Puy-de-DĂŽme, mise en service en 1923 et Ă  62 km[11], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11,2 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[12], Ă  11,6 °C pour 1981-2010[13], puis Ă  12,2 °C pour 1991-2020[14].

    Espaces protégés

    La protection rĂ©glementaire est le mode d’intervention le plus fort pour prĂ©server des espaces naturels remarquables et leur biodiversitĂ© associĂ©e[15] - [16].

    Aucune aire protégée ne concerne le territoire communal.

    RĂ©seau Natura 2000

    Le rĂ©seau Natura 2000 est un rĂ©seau Ă©cologique europĂ©en de sites naturels d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique Ă©laborĂ© Ă  partir des directives habitats et oiseaux, constituĂ© de zones spĂ©ciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spĂ©ciale (ZPS)[Note 5].

    Aucun site Natura 2000 n'a été défini sur la commune[18].

    Zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique

    L'inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire.

    En 2022, deux ZNIEFF sont recensĂ©es sur la commune d’aprĂšs l'INPN[19].

    Le site « bois d'Évaux » est une zone naturelle d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type 1[Note 6] situĂ©e sur quatre communes ; il englobe une partie nord-est de la commune de Saint-Julien-la-GenĂȘte, sur environ un demi-kilomĂštre carrĂ©, vers la Chassagne[20].

    ReprĂ©sentant au total une superficie de 447,75 hectares, cette ZNIEFF prĂ©sente une diversitĂ© biologique importante avec 48 espĂšces animales recensĂ©es dont six espĂšces dĂ©terminantes d'oiseaux, ainsi que 77 espĂšces vĂ©gĂ©tales dont une dĂ©terminante[21].

    Le site « VallĂ©e de la Tardes et du Cher » est une ZNIEFF de type 2[Note 7] dont une minuscule partie d'environ deux hectares concerne le nord du territoire communal, au niveau de la confluence du Chat Cros et de son affluent le ruisseau de Myette, en limite de la commune d'Évaux-les-Bains[22].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Julien-la-GenĂȘte est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trĂšs peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 8] - [23] - [24] - [25]. La commune est en outre hors attraction des villes[26] - [27].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (95,3 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (95,4 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (46,7 %), prairies (30,1 %), terres arables (18,5 %), forĂȘts (4,6 %)[28].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Saint-Julien-la-GenĂȘte est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse) et sĂ©isme (sismicitĂ© faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque particulier : le risque de radon[29]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[30].

    Risques naturels

    Carte des zones d'alĂ©a retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Julien-la-GenĂȘte.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 20,6 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (33,6 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 146 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 1 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 1 %, Ă  comparer aux 25 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[31] - [Carte 2].

    Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[32].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[29].

    Risque particulier

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulĂ© dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du dĂ©partement sont concernĂ©es par le risque radon Ă  un niveau plus ou moins Ă©levĂ©. Selon la classification de 2018, la commune de Saint-Julien-la-GenĂȘte est classĂ©e en zone 3, Ă  savoir zone Ă  potentiel radon significatif[33].

    Toponymie

    Durant la RĂ©volution, la commune dont le nom Ă©tait Ă©galement Ă©crit Saint-Julien-la-Geneste, porte le nom de La Geneste[34].

    Histoire

    Saint-Julien-la-GenĂȘte fait partie des trĂšs nombreuses communes crĂ©Ă©es dans les dĂ©buts de la RĂ©volution française[1].

    Politique et administration

    La mairie en 2022.
    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 mai 2020 Georges Chirade DVD Agriculteur retraité
    mai 2020 En cours Joël Rougeron

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[36].

    En 2020, la commune comptait 219 habitants[Note 9], en diminution de 9,5 % par rapport à 2014 (Creuse : −3,8 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    390454426474503600552620583
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    557578570555551541565575574
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    560562566456468450410334288
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    309262216186211213234240236
    2018 2020 - - - - - - -
    218219-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[1] puis Insee Ă  partir de 2006[37].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'Ă©glise Saint-Julien.
      L'Ă©glise Saint-Julien.
    • Croix Ă  cĂŽtĂ© de l'Ă©glise.
      Croix à cÎté de l'église.
    • La croix principale du cimetiĂšre.
      La croix principale du cimetiĂšre.
    • Le GR 41 Ă  proximitĂ© du bourg.
      Le GR 41 à proximité du bourg.
    • L'oratoire et la source.
      L'oratoire et la source.
    • Le monument aux morts.
      Le monument aux morts.

    Personnalités liées à la commune

    • Étienne Perrichont (1817-1899), entrepreneur de travaux publics et conseiller municipal de Paris, est nĂ© Ă  Saint-Julien-la-GenĂȘte.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent Ă  maintenir dans un Ă©tat de conservation favorable les types d'habitats et d'espĂšces concernĂ©s, par le biais de mesures rĂ©glementaires, administratives ou contractuelles[17].
    6. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence d’espĂšces, d’association d’espĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
    7. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches et peu modifiés, offrant des potentialités biologiques importantes.
    8. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Chambon Voueize - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Saint-Julien-la-GenĂȘte et Chambon-sur-Voueize », sur fr.distance.to (consultĂ© le ).
    10. « Station Météo-France Chambon Voueize - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Saint-Julien-la-GenĂȘte et Clermont-Ferrand », sur fr.distance.to (consultĂ© le ).
    12. « Station météorologique de Clermont-Fd - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Clermont-Fd - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Clermont-Fd - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Les différents espaces protégés. », sur http://www.observatoire-biodiversite-centre.fr/ (consulté le ).
    16. « Liste des espaces protĂ©gĂ©s sur la commune de Saint-Julien-la-GenĂȘte », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consultĂ© le ).
    17. Réseau européen Natura 2000, MinistÚre de la transition écologique et solidaire
    18. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Saint-Julien-la-GenĂȘte », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consultĂ© le ).
    19. « Liste des ZNIEFF de la commune de Saint-Julien-la-GenĂȘte », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consultĂ© le ).
    20. « Carte du bois d'Évaux (en vert foncĂ©) Ă  Saint-Julien-la-GenĂȘte » sur GĂ©oportail., consultĂ© le .
    21. [PDF] Espaces Naturels du Limousin, Guerbaa et Chabrol, Bois d'Évaux - (Identifiant national 740006139), INPN, SPN-MNHN, Paris, consultĂ© le .
    22. « Carte du bois d'Évaux (en vert clair) Ă  Saint-Julien-la-GenĂȘte » sur GĂ©oportail., consultĂ© le .
    23. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    24. « Commune rurale-dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    25. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    26. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    27. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    28. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    29. « Les risques prĂšs de chez moi - commune de Saint-Julien-la-GenĂȘte », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
    30. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
    31. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    32. « Liste des cavitĂ©s souterraines localisĂ©es sur la commune de Saint-Julien-la-GenĂȘte », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consultĂ© le )
    33. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consultĂ© le )
    34. EHESS-Cassini[1] donne Lagenette comme nom de l'an II, La Geneste est avéré en tant que nom révolutionnaire sur Archives départementales de la Creuse, p. 6.
    35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    38. Église Saint-Julien, Observatoire du patrimoine religieux, consultĂ© le .
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