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Saint-Geniez-ô-Merle

Saint-Geniez-ô-Merle est une commune française située dans le département de la Corrèze, en région Nouvelle-Aquitaine.

Saint-Geniez-ô-Merle
Saint-Geniez-ô-Merle
Les tours de Merle.
Blason de Saint-Geniez-ô-Merle
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Corrèze
Arrondissement Tulle
Intercommunalité Communauté de communes Xaintrie Val'Dordogne
Maire
Mandat
Lionel Jean
2020-2026
Code postal 19220
Code commune 19205
Démographie
Population
municipale
89 hab. (2020 en diminution de 6,32 % par rapport à 2014)
Densité 5,6 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 05′ 03″ nord, 2° 03′ 54″ est
Altitude Min. 243 m
Max. 563 m
Superficie 15,83 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton d'Argentat-sur-Dordogne
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Saint-Geniez-ô-Merle
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Saint-Geniez-ô-Merle

    Géographie

    Au sud du département de la Corrèze, en Xaintrie, la commune de Saint-Geniez-ô-Merle est bordée au sud par la Maronne (dont quatre kilomètres au niveau du lac de retenue du barrage de Hautefage où la Maronne reçoit son affluent, la Glane d'Ancèze (ou Glane de Malesse).

    L'altitude minimale, 243 mètres, se trouve à l'ouest, au niveau du lac de Feyt, là où la Glane de Servières quitte la commune et entre sur celle de Servières-le-Château. L'altitude maximale avec 563 mètres est localisée au nord-ouest, près du lieu-dit Prend-le-Garde, en limite de la commune de Hautefage.

    Il n'existe pas de bourg de Saint-Geniez-ô-Merle, la mairie et l'église étant implantées au lieu-dit Soult. Celui-ci, traversé par la route départementale (RD) 111 se situe, en distances orthodromiques, dix kilomètres à l'est d'Argentat.

    La commune est également desservie au sud par la RD 13.

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique
    Carte avec les communes environnantes

    Communes limitrophes

    Saint-Geniez-ô-Merle est limitrophe de huit autres communes, dont une dans le département du Cantal. Au sud-est, son territoire communal est distant de moins de 200 mètres de celui de Cros-de-Montvert, dans le Cantal.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 11,1 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 4,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 6,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,5 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 1 355 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Privat », sur la commune de Saint-Privat, mise en service en 1995[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,5 °C et la hauteur de précipitations de 1 330,1 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Aurillac », sur la commune d'Aurillac, dans le département du Cantal, mise en service en 1945 et à 34 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,2 °C pour la période 1971-2000[11], à 10,2 °C pour 1981-2010[12], puis à 10,8 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Geniez-ô-Merle est une commune rurale[Note 5] - [14]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[15] - [16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (68,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (69 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (67,8 %), prairies (20,5 %), zones agricoles hétérogènes (8,5 %), eaux continentales[Note 6] (2,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,7 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Saint-Geniez-ô-Merle est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage, et à un risque particulier : le risque de radon[20]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[21].

    Risques naturels

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Geniez-ô-Merle.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 4,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (26,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 124 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 7 sont en en aléa moyen ou fort, soit 6 %, à comparer aux 36 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[22] - [Carte 2].

    Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[23].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999, 2007 et 2021. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[20].

    Risques technologiques

    La commune est en outre située en aval du barrage d'Enchanet, un ouvrage de classe A[Note 7] situé dans le Cantal et disposant d'une retenue de 92,7 millions de mètres cubes[25]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[26].

    Risque particulier

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Saint-Geniez-ô-Merle est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[27].

    Histoire

    Sous la Révolution française, pour suivre un décret de la Convention, la commune change de nom pour Geniès-las-Costas.

    Politique et administration

    La mairie.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 mars 2008 Jean-Paul Morlé
    mars 2008 2014 Yves Vaur
    avril 2014 juillet 2020 Corinne Boussu DVD
    3 juillet 2020 En cours Lionel Jean Cuisinier
    Représentant Force ouvrière de la Corrèze

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[29].

    En 2020, la commune comptait 89 habitants[Note 8], en diminution de 6,32 % par rapport à 2014 (Corrèze : −0,89 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    504404608666685729650700657
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    674616590559559538548525538
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    527514515464383364310487263
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    241187169180135116103104109
    2014 2019 2020 - - - - - -
    958889------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Les tours de Merle sont les ruines d'un ensemble de châteaux médiévaux, datant au moins du XIVe siècle, construits sur un promontoire, à l'intérieur d'un méandre de la Maronne. Elles sont classées au titre des monuments historiques depuis 1927[32].
    • Au Vieux Bourg se trouvent les ruines de l'ancienne église des XIVe et XVe siècles, classées au titre des monuments historiques depuis 1969[33].
    • Église Saint-Genès-de-Rome de Soult. Une église plus récente a été érigée à Soult.
    • Appelée la « Croix Percée »[34], la croix romane de Rouzeyrol est une croix de chemin inscrite au titre monuments historiques depuis 1927[35].
    • Les tours de Merle.
      Les tours de Merle.
    • Les ruines de l'église du Vieux Bourg.
      Les ruines de l'église du Vieux Bourg.
    • L'église de Soult.
      L'église de Soult.
    • La croix romane de Rouzeyrol.
      La croix romane de Rouzeyrol.
    • Le monument aux morts.
      Le monument aux morts.

    Héraldique

    Blason de Saint-Geniez-ô-Merle Blason
    D'or semé de merlettes de sable, à la tour de gueules maçonnée de sable, ouverte et ajourée du champ brochant sur le tout.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    7. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[24].
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Saint-Privat - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Saint-Geniez-ô-Merle et Saint-Privat », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Saint-Privat - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Saint-Geniez-ô-Merle et Aurillac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique d'Aurillac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique d'Aurillac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique d'Aurillac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Geniez-ô-Merle », sur Géorisques (consulté le )
    21. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    22. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    23. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Saint-Geniez-ô-Merle », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    24. Article R214-112 du code de l’environnement
    25. « barrage d'Enchanet », sur www.barrages-cfbr.eu (consulté le )
    26. « Dossier départemental des risques majeurs de la Corrèze », sur www.correze.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
    27. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le )
    28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    32. « Restes du château de Merle », notice no PA00099859, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 16 juillet 2015.
    33. « Ruines de l'ancienne église », notice no PA00099861, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 16 juillet 2015.
    34. « Croix Percée » sur Géoportail (consulté le 16 juillet 2015)..
    35. « Croix de chemin », notice no PA00099860, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 16 juillet 2015.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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