Séglien
Séglien [seglijɛ̃] est une commune française, située dans le département du Morbihan en région Bretagne.
Séglien | |
L'église Notre-Dame-de-Lorette. | |
Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Bretagne |
Département | Morbihan |
Arrondissement | Pontivy |
Intercommunalité | Pontivy Communauté |
Maire Mandat |
Laurent Ganivet 2020-2026 |
Code postal | 56160 |
Code commune | 56242 |
Démographie | |
Gentilé | Ségliennais, Ségliennaise |
Population municipale |
645 hab. (2020 ) |
Densité | 17 hab./km2 |
Population agglomération |
42 209 hab. |
Géographie | |
Coordonnées | 48° 06′ 28″ nord, 3° 09′ 30″ ouest |
Altitude | 223 m Min. 123 m Max. 248 m |
Superficie | 38,36 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes |
Élections | |
Départementales | Canton de Gourin |
Législatives | Sixième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | Site officiel de la commune |
En 2004, la commune a obtenu le Label "Communes du Patrimoine Rural de Bretagne" pour la richesse de son patrimoine architectural et paysager.
Géographie
Localisation
La commune de Séglien est une commune rurale appartenant par ses traditions au Pays Pourlet et à la Basse Bretagne et sur le plan administratif à la communauté de communes de Pontivy communauté. La commune appartenait au canton de Cléguérec. Elle appartient désormais à celui de Gourin. La commune se trouve à vol d'oiseau à 14 km à l'ouest de Pontivy, à 43 km au nord de Lorient, à 54 km au sud-ouest de Saint-Brieuc, à 58 km au nord-ouest de Vannes et à 71 km à l'est de Quimper.
Relief et hydrographie
La commune, avec une superficie de 38,36 km2, est relativement étendue. Le territoire de la commune de Séglien est vallonné et s'étage entre 123 mètres et 248 mètres. Le bourg est situé sur une colline qui culmine à une altitude de 223 mètres, ce qui en fait un des bourgs les plus hauts de Bretagne. La commune est traversée par le cours d'eau de la Sarre, un affluent du Blavet. Depuis 2006, la commune accueille une ferme de 6 éoliennes de 9 MW chacune au sud-est près du hameau de Trescoët[1].
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Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Pontivy », sur la commune de Pontivy, mise en service en 1968[8] et qui se trouve à 14 km à vol d'oiseau[9] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,4 °C et la hauteur de précipitations de 968,4 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Lorient-Lann Bihoue », sur la commune de Quéven, mise en service en 1952 et à 40 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 11,6 °C pour la période 1971-2000[12], à 12 °C pour 1981-2010[13], puis à 12,2 °C pour 1991-2020[14].
Urbanisme
Typologie
Séglien est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [15] - [16] - [17]. La commune est en outre hors attraction des villes[18] - [19].
Occupation des sols
Le tableau ci-dessous présente l'occupation des sols de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC).
Type d’occupation | Pourcentage | Superficie (en hectares) |
---|---|---|
Tissu urbain discontinu | 0,8 % | 30 |
Terres arables hors périmètres d'irrigation | 54,6 % | 2091 |
Prairies et autres surfaces toujours en herbe | 5,0 % | 192 |
Systèmes culturaux et parcellaires complexes | 30,9 % | 1182 |
Surfaces essentiellement agricoles interrompues par des espaces naturels importants | 0,7 % | 26 |
Forêts de feuillus | 5,0 % | 191 |
Forêts de conifères | 2,2 % | 85 |
Forêts mélangées | 0,1 % | 5 |
Forêts et végétation arbustive en mutation | 0,8 % | 29 |
Source : Corine Land Cover[20] |
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Seguelian en 1330[21], Seglian en 1387[22], Seglean au XIVe siècle, Seguelien en 1418[23], Seguillian en 1427, Seguelian en 1447 et en 1477, Seguelien en 1448, en 1481 et en 1513, Seguehen en 1464, Treffve de Leshernyn en Seguelien en 1514, Seguelen en 1536[21], Siglien en 1630[23].
Seglian, est le toponyme attesté dans les parchemins du chapitre de Vannes en 1387, dans une forme identique à la forme bretonne contemporaine. L'administration française en a fait Séglien.
Le nom de la commune est Seglian en breton.
Ce toponyme est un emprunt à l'ancien occitan segle, issu du latin secale (Seigle), parce que son sol ingrat ne se prête qu'à la culture du seigle[24] - [25].
Histoire
Antiquité
La voie romaine reliant les cités antiques de Vorgium et Darioritum traversait le territoire actuel de la commune. Le tronçon encore existant de l'ancienne voie est appelé localement « Hent Meur », c'est-à -dire le « Grand Chemin » et passe dans les villages de Quenecalec et Mané-Guégan. Une borne, située au bord de l'ancienne voie romaine, pourrait correspondre à une borne milliaire, à moins qu'il ne s'agisse d'une stèle gauloise. L'absence d'inscription gravée sur la borne ne permet pas d'exclure la seconde hypothèse.
Mentionnée dès le XIIe siècle, Séglien semble avoir une origine plus ancienne. Elle pourrait être issue d'un démembrement de l'ancienne paroisse primitive gallo-romaine de Silfiac[21] (mentionnée en 871).
Moyen-Âge
Selon un aveu de 1471, Séglien était au sein de la Vicomté de Rohan, une des 46 paroisses ou trèves de la seigneurie proprement dite de Rohan[26].
Séglien fit partie, à partir du XVe siècle, de la seigneurie de Coët-an-Fao (Coëtanfao)[27], dont les seigneurs s'allièrent aux puissantes familles de la région tels les Kerhoent et les Kergournadech.
Le XIXe siècle
Vers 1855, le comte Charles de La Monneraye achète les vestiges et les terres du château de Coët-an-Fao, édifié au XVIIIe siècle, à l’emplacement d’un ancien château construit en 1549 et d'un manoir mentionné dès le XIIIe siècle.
Lors des élections législatives de 1876 « de nombreux témoins ont déposé qu'à Pluméliau, à Cléguérec, à Moustoir-Ac, à Baud, à Séglien, à Locuon, à Naizin, à Noyal-Pontivy, et dans un grand nombre d'autres communes, les curés et les vicaires se tenaient, le jour du scrutin, à la porte des sections de vote, surveillaient les bulletins, déchiraient ceux de M. Cadoret, forçaient les électeurs à prendre ceux de M. de Mun, et les conduisaient voter »[28].
La Seconde Guerre mondiale
Georges Tilly, originaire de Perros-Guirec, membre du Bezenn Perrot, infiltra un groupe de maquisards qu'il dénonça ensuite : trois d'entre eux dont Joseph Le Botlan[29], qui tenait une auberge à Pont-du-Logeo en Séglien[30], assassiné en juillet 1944 dans la forêt de L'Hermitage-Lorge[31], et Joachim Gueveneu, lequel mourut en déportation[32]. Georges Tilly fut condamné à mort et exécuté lors de la Libération[33].
L'abbé Joseph Hervé[34], recteur de Séglien, fut un prêtre patriote et résistant.
Joseph Le Gallo (de son vrai nom Joseph Éon), qui habitait à Kergann-Meur, a écrit une gwerz pour les patriotes de Coët-Rivalain.
L'après Seconde Guerre mondiale
Le remembrement a été effectué à Séglien entre 1960 et 1963.
Politique et administration
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[37].
En 2020, la commune comptait 645 habitants[Note 6], en diminution de 7,33 % par rapport à 2014 (Morbihan : +3,12 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Lieux et monuments
Séglien possède un patrimoine ancien[40] important. On y trouve quatre monuments historiques inscrits :
- la chapelle Saint-Germain (début XVIe siècle), restaurée en 1893. Monument inscrit depuis 2008[41] - [42] ;
- la croix de Saint-Zénon, croix en granit du XIIe[43] ;
- la chapelle Saint-Jean (fin XVIe siècle)[44] ;
- la chapelle Notre-Dame de Locmaria (XVe et XVIe siècles)[45].
On y trouve aussi 28 monuments inventoriés :
- le château de Coët-an-Fao ou Coëtanfao (XVIIIe siècle), édifié à l’emplacement d’un ancien château construit en 1549 et d'un manoir mentionné dès le XIIIe siècle[46] ;
- l'église Notre-Dame-de-Lorette (XVIIe et XIXe siècles), datant de 1640 et remplaçant une église plus ancienne, du XIIe siècle, reconstruite au XVe siècle[47] ;
- le presbytère (1738 ; 1742 ; 1891)[48] ;
- l'oratoire du Clandy (1614)[49] ;
- la chapelle Saint-Zénon, reconstruite à la fin du XVIIe siècle par Sébastien de Kerhoent et Marie de Kergoët[50] ;
- le monument aux morts[51] ;
- le manoir de Kergohan (1651)[52] ;
- la maison de Treuzar Bihan (1764) ;
- la maison de Treuzar Bras (1650) ;
- la maison de Saint-Germain (XVIe siècle) ;
- le moulin à Trescoët (Moulin - cadastre 1836 ; Maison de Meunier 1857)[53] ;
- etc.
On trouve aussi huit moulins dont les moulins à vent de Mané-Guégan et de Trescoat, et les moulins à eau de Pont-ar-Houard, de Sarre, de Trescat, de Trescoet et de Sylvestre.
À noter la présence d'une ferme de six éoliennes, atteignant 115 m de haut.
La fontaine préhistorique de Kermore[54] - Séglien. La particularité de Kermore consiste principalement en ce que, pendant le néolithique, une source avait été entourée de mégalithes. Il ne s’agit pas là d’un simple parement, mais de plusieurs blocs de pierre massifs qui avaient été imbriqués les uns dans les autres avec une grande précision, formant ainsi trois bassins dans lesquels s’accumule l'eau[55].
Le chêne de Kermore a plus de 300 ans[56].
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Séglien sur le site France, le trésor des régions, Roger Brunet
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Pontivy - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Séglien et Pontivy », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Pontivy - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Séglien et Quéven », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Lorient-Lann Bihoue - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Lorient-Lann Bihoue - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Données statistiques sur les communes de Métropole ; Répartition des superficies en 44 postes d'occupation des sols (métropole) », sur CORINE Land Cover, (consulté le ).
- Voir Étymologie et histoire de Séglien, sur le site « Infobretagne ».
- Dans les parchemins du chapitre de Vannes.
- Hervé Abalain - 2000 - Noms de lieux bretons - Page 113.
- François-marie Le Lay , Le paysan et sa terre sous la seigneurie de Coetanfao, paroisse de Séglien au XVIIIe siècle, page 17.
- Edouard Peiffer - 1877 - Légende territoriale de la France pour servir à la lecture des cartes - Page 87.
- Théodore Derome, « De l'usement de Rohan ou du domaine congéable », Revue critique de législation et de jurisprudence,‎ , p. 257-258 (lire en ligne, consulté le ).
- « Les Coëtanfao », sur monsite.com (consulté le ).
- Auguste Vacquerie, « L'enquête sur l'élection de Mun », Journal Le Rappel,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- Joseph Le Botlan, né le à Malguénac (Morbihan).
- http://cerp22.free.fr/Lieuxdememoire22/Ploeuc-sur-Lie/Hermitage-Lorge%20Joseph%20Le%20Botlan/2.html
- Kristian Hamon, "Le Bezenn Perrot", édition Yoran Embanner, 2004.
- http://www.memorialgenweb.org/memorial3/html/fr/resultcommune.php?act=view&insee=56242&pays=France&dpt=56&idsource=3973&table=bp&lettre=&fusxx=&debut=0
- Joseph Oliviero, Christioazn Perron et Yanick Perron, "Résistances et maquis en centre Bretagne", Liv'éditions, 1997, (ISBN 2-910781-56-9).
- Abbé Joseph Hervé, né le , décédé le .
- « Municipales à Séglien. Laurent Ganivet endosse un deuxième mandat », sur Ouest-France, (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Pour plus de détails sur les divers monuments, voir Patrimoine de Séglien, sur le site « Infobretagne »
- Notice no PA56000068, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no IA00009981, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no PA00091738, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no PA00091737, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no PA00091736, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no IA00009970, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no IA00009961, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no IA00009962, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no IA00009969, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no IA00009984, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no IA00009963, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no IA00009975, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no IA00009985, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- (de) « La fontaine préhistorique de Kermore á Séglien », sur forum.modern-art.net (consulté le ).
- Description et photos
- « Chêne a Kermore », sur morbihan.vive-la-france.info (consulté le ).
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Site de la mairie de Séglien
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