Rouvres (Calvados)
Rouvres est une commune française, située dans le département du Calvados en région Normandie, peuplée de 223 habitants[Note 1].
Rouvres | |
L'église Notre-Dame. | |
Administration | |
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Pays | France |
Région | Normandie |
Département | Calvados |
Arrondissement | Caen |
Intercommunalité | Communauté de communes du pays de Falaise |
Maire Mandat |
Jean-Louis Amblard 2020-2026 |
Code postal | 14190 |
Code commune | 14546 |
Démographie | |
Population municipale |
223 hab. (2020 ) |
Densité | 25 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 49° 00′ 16″ nord, 0° 10′ 19″ ouest |
Altitude | Min. 54 m Max. 135 m |
Superficie | 8,87 km2 |
Unité urbaine | Commune rurale |
Aire d'attraction | Caen (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Falaise |
Législatives | Troisième circonscription |
Localisation | |
Géographie
La commune de Rouvres est traversée par le Laizon. Long de 39 km, il prend sa source à Saint-Pierre-Canivet et conflue avec la Dives à Cléville. Autrefois, son lit était large et son débit important. Sa traversée ne pouvait se faire que par des gués. Ce n'est que vers 1850 que le pont actuel a été construit à l'emplacement de l'ancien gué (époque de la construction de la route Falaise - Argences)[1]. Autrefois, le Laizon faisait mouvoir de nombreux moulins qui produisaient de l'huile de colza, dont deux à Rouvres (le petit et le grand moulin)[1].
Au cours des bombardements de 1944, le pont du Laizon ayant sauté, les Alliés établirent immédiatement trois ponts de fer. Le premier dans la propriété Charpentier vers le Logis, le second sur l'emplacement de l'ancien et le troisième vers les propriétés Latour et Hervieu. Sur ces ponts passaient chaque jour des milliers de véhicules qui montaient et descendaient du front[1].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Sylvain_sapc », sur la commune de Saint-Sylvain, mise en service en 1997[8] et qui se trouve à 7 km à vol d'oiseau[9] - [Note 5], où la température moyenne annuelle est de 11,4 °C et la hauteur de précipitations de 680,6 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 6], « Caen-Carpiquet », sur la commune de Carpiquet, mise en service en 1945 et à 28 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 10,9 °C pour la période 1971-2000[12] à 11,2 °C pour 1981-2010[13], puis à 11,5 °C pour 1991-2020[14].
Urbanisme
Typologie
Rouvres est une commune rurale[Note 7] - [15]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[16] - [17].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Caen, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 296 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[18] - [19].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (90,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (90,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (86,9 %), forêts (5,9 %), zones urbanisées (3,6 %), prairies (2,9 %), zones agricoles hétérogènes (0,7 %)[20].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Rovres 1086[22] et Rouvres en 1172[22].
Pluriel de l'oïl rouvre, « chênes rouvres »[23].
Histoire
Dans les temps primitifs, le village de Rouvres se composait de quelques huttes ou cabanes en bois et en terre, bâties sur les deux rives du Laizon à proximité du gué permettant le passage de la rivière. Cette petite agglomération était perdue au milieu des bois où dominait le chêne ; c'est sans doute son ancienne situation agreste qui l'a fait dénommer ainsi. À cette époque, les chemins n'existaient pas, à peine quelques sentiers mal frayés permettaient-ils de se rendre d'un lieu à un autre. Les terres arables peu nombreuses et mal cultivées ne produisaient presque rien et les récoltes très médiocres ne suffisaient pas à la nourriture de ses habitants. Cependant l'orge, le blé et l'avoine croissaient presque sans soin, au bord de la rivière, mais nos ancêtres préféraient à toute autre chose la chasse et la pêche et se souciaient fort peu de l'agriculture. Avec la peau des animaux qu'ils avaient tués ils se confectionnaient des couvertures, des vêtements, des chaussures dont ils s'entouraient les pieds et les jambes et qu'ils serraient avec deux bandelettes croisées. Comme religion, ils avaient adopté le culte des druides[1].
De l'an 58 à 50 av. J.-C., Jules César, conquit la Gaule malgré la résistance de Vercingétorix. Dans cette région, les Romains établirent de nombreux camps, celui de Soumont-Saint-Quentin est le plus proche (il était situé près du tombeau de Marie Joly). D'autres camps furent créés à Escures-sur-Favières, à Bissières, à La Hoguette, à Montviette, etc. De nombreuses voies les relièrent et deux au moins passaient par Rouvres. La première reliait le camp de Saint-Quentin à ceux d'Escures-sur-Favières et de Bissières en passant au chevet de l'église de Percy. Une autre traversait la commune sur sa plus grande longueur, il en reste encore aujourd'hui un tronçon qui se dirige en ligne droit sur l'église de Cauvicourt, connue sous le nom de chemin Haussé. C'est même cette voie qui donne son nom à l'église d'Estrées-la-Campagne dont elle traverse le territoire (Strata In Campana, c'est-à-dire « voie stratégique à travers la campagne »)[1].
Puis vint la grande invasion du commencement du Ve siècle, les Francs, les Burgondes, les Wisigoths, chassèrent les Romains de la Gaule et s'y établirent enfin, les premiers en restèrent définitivement maîtres[1].
Au IXe siècle, une autre invasion vint ruiner la contrée. Les hommes du Nord ou Normands arrivèrent par l’embouchure de la Dives jusqu’au cœur du pays qu'ils ravagèrent et mirent à feu et à sang jusqu'au jour où ils s'y établirent définitivement[1].
La paroisse de Rouvres
Sous l'Ancien Régime, Rouvres était une paroisse du diocèse de Séez, faisant partie de l’archidiocèse d'Exmes. La cure de Rouvres se divisait en deux portions jusqu'en 1660, et fut administrée par deux curés. La réunion fut réalisée par François Rouxel de Médavy, évêque de Séez le 10 août 1660, sur la requête de Jacques de Marguerit, écuyer, seigneur et patron de Rouvres, Soignolles et autres terres : « Attendu que les revenus des deux portions n'étaient pas suffisant[s] pour l'entretien des deux curés, mais tout au plus pour un seul, qu'il n'y a qu'un seul presbytère et que le nombre de paroissiens est très médiocre ».
L'histoire de la paroisse peut aider à résoudre l'énigme architecturale posée par l'église de Rouvres, composée en fait de deux églises incomplètes, accolées l'une à l'autre.
Quelques curés de la paroisse :
- l'abbé Lerebourg, qui fut mobilisé pendant la Première Guerre mondiale ;
- l'abbé Duret, enfant de Rouvres et prêtre, était venu se retirer dans sa commune natale pour raisons de santé, et dut desservir la paroisse pendant l'absence de l'abbé Lerebourg ;
- l'abbé Bousso fut arrêté le 2 juin 1944, et fusillé le 6 juin 1944 à la prison de Caen (son corps n'a jamais été retrouvé) ;
- l'abbé Vallée (1942) originaire de Perrières, remplace l'abbé Bousso ;
- l'abbé Douté (décembre 1944) : curé d'Ouilly-le-Tesson, desservant Rouvres. Il était auparavant vicaire de la paroisse Sainte-Trinité de Falaise.
Bataille de Normandie
Souhaitant avancer vers les Américains qui s'approchaient du Mans, l'objectif de Montgomery est d’atteindre Falaise par une puissante poussée en colonnes avec Caen comme tremplin. L'opération porte le nom de Totalize est confiée au jeune (40 ans) lieutenant-général Guy Simonds commandant le IIe Canadien Corps. L'opération fut déclenchée dans la nuit du 7 au 8 août. La 51e DI avançait rapidement vers le sud, et la deuxième DI canadienne dépassa ses objectifs, prit Rocquancourt et Bretteville-sur-Laize au prix de pertes « raisonnables ». Les lignes allemandes étaient alors enfoncées et les deux divisions pouvaient entrer en piste.
Néanmoins, à midi du 8 août, la situation avait évolué très défavorablement. La nuit qui permettait de réduire l'avantage des blindés allemands s'était estompée, offrant les troupes alliées comme sur un plateau aux observateurs ennemis. Sur le front, les DI allemandes sont renforcées par l'arrivée de la Hitlerjugend. L'effort canadien avait essentiellement porté sur le flanc droit, à l'ouest de la route Caen - Falaise, négligeant les hauteurs à l'est, et enfin le bombardement aérien qui devait précéder l'assaut fut très peu réussi occasionnant quelques dizaines de pertes à l’arrière de la division. Aussi, lorsque les chars d'assaut se mirent en marche dans la plaine, ils furent rapidement pris à partie par les canons des chars et des flak allemands.
Souhaitant retrouver l'initiative après cet après-midi décevant du 8 août, Kitching, commandant la 4e DB canadienne, prépara une attaque nocturne. Pour cela, il forma deux groupes : la force Halpenny devait attaquer Bretteville-le-Rabet, la force Worthington] visait la cote 195 (vers Fontaine-le-Pin). Progressant dans l'obscurité, Worthington n'atteignit pas la cote 195 mais la cote 140 (entre Rouvres et Estrées-la-Campagne) en plein milieu des lignes de la Hitlerjugend. Au matin du 9 août, les Canadiens furent encerclés par les Panzer et les Tiger allemands, puis bombardés par erreur par leur propre aviation. Ce n'est qu'au soir qu'une charge du 1er Régiment polonais atteignit les survivants canadiens et leur permit de revenir vers les troupes alliées. Ils laissaient sur la cote 140 : 47 chars et 240 hommes[24]. Une croix érigée à cet endroit rappelle ces durs combats accompagnés de lourdes pertes humaines.
La commune est décorée de la Croix de guerre 1939-1945 par décret du 11 novembre 1948[25].
Sous l'Ancien Régime, Rouvres était une paroisse du diocèse de Séez, faisant partie de l'archidiaconé d'Exmes. La cure de Rouvres se divisait en deux portions et jusqu'en 1660 fut administrée par deux curés. La réunion en fut réalisée par François Rouxel de Médavy, évêque de Sées, le 10 août 1660, sur la requête de Jacques de Marguerit, écuyer, seigneur et patron de Rouvres, Soignolles et autres terres « attendu que le revenu des deux portions n'est pas suffisant pour l'entretien de deux curés, mais tout au plus d'un seul, qu'il n'y a qu'un seul presbytère et que le nombre de paroissiens est très médiocre ».
L'histoire de la paroisse peut aider à résoudre l'énigme architecturale posée par l'église de Rouvres, composée en fait de deux églises incomplètes, accolées, d'ailleurs fort mal, l'une à l'autre.
- L'abbé Lerebourg, qui fut mobilisé pendant la Première Guerre mondiale.
- L'abbé Duret, enfant de Rouvres et prêtre, était venu se retirer dans sa commune natale pour raisons de santé, dut desservir la paroisse en l'absence de l'abbé Lerebourg.
- L'abbé Bousso : fut arrêté le 2 juin 1942 et fusillé le 6 juin 1944 à la prison de Caen (son corps n'a jamais été retrouvé).
- L'abbé Vallée (1942) originaire de Perrières, remplace l'abbé Bousso.
- L'abbé Doute (décembre 1944) : curé d'Ouilly-le-Tesson, desservant Rouvres, Il était auparavant vicaire de la paroisse Sainte-Trinité de Falaise.
Politique et administration
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[31].
En 2020, la commune comptait 223 habitants[Note 9], en augmentation de 9,85 % par rapport à 2014 (Calvados : +0,85 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Lieux et monuments
- Le Chemin Haussé est une voie romaine, appelée également « Chemin du Duc Guillaume », dont le trajet parcourt la commune[34].
- L'ancien château, connu sous le nom du logis de Rouvres (ou la Grande Ferme de Rouvres), est une construction qui remonte à la première moitié du XVIIe siècle. Il forme un carré avec une cour au centre. Deux grandes portes surmontées de pavillons carrés se correspondent aux deux extrémités de la cour. Au-dessous du rez-de-chaussée, des galeries voûtées font le tour du château, l'enceinte était entourée de larges douves[35]. Inscrit MH (1933).
- L'église de l'Assomption-de-Notre-Dame de Rouvres est classée au titre des monuments historiques par arrêté du 7 avril 1879[36]
Voir aussi
Notes et références
Notes
- Population municipale 2020.
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Sources
- Recherches personnelles Jean-François Thuret
- F. Caleron, Statistique de l'arrondissement de Falaise, t. 3, 1829, p. 52-58
- Arcisse de Caumont, Statistiques monumentales du Calvados, t. 2, 1850, p. 304-313
- R. Quenedey, Recueil de documents d'architectures civile, 3e série, Calvados, 1929. pl. 19
- Annuaire association normande (Congrès de Falaise, 1936) p. 170-171
- Lucien Musset, Manoirs et fermes du pays de Falaise, dans Art de Basse Normandie, no 19, 1960, p. 14-19
- J. Esterle, L'Église de Rouvres, dans congrès archéologique, 132e session (1974), P. 215-220, Bessin et Pays d'Auge, 1978
- Itinéraire générale de Normandie par Adolphe Joanne (1866)
- Altitudes, coordonnées, superficie : répertoire géographique des communes 2012 (site de l'IGN, téléchargement du 24 octobre 2013)
Références
- Recherches historiques sur la commune de Rouvres par Émile Robine
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Saint-Sylvain_sapc - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Rouvres et Saint-Sylvain », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Saint-Sylvain_sapc - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Rouvres et Carpiquet », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Caen-Carpiquet - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Caen-Carpiquet - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Caen-Carpiquet - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Célestin Hippeau, Dictionnaire topographique du département du Calvados, Paris, (lire en ligne), p. 244, citant le cartulaire de la Trinité.
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, vol. 2, Librairie Droz, , p. 1258.
- Mémorial de Montormel « La dernière bataille de Normandie, août 1944 »
- « Communes décorées de la croix de guerre 1939-1945 » [PDF], sur Mémorial Dormans (consulté le )
- Rouvres par la Société archéologique de la Manche (1983)
- Archives départementales du Calvados (Délibérations du Conseil municipal de Rouvres).
- « Hommage du conseil municipal à Claudine Ragot », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le )
- « Rouvres (14190) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le )
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Notice no IA00000228.
- Notice no PA00111644.
- « Église », notice no PA00111643.
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
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- Monographie communale et inventaire des archives sur le site des Archives départementales du Calvados