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Bretteville-le-Rabet

Bretteville-le-Rabet est une commune française, située dans le département du Calvados en région Normandie, peuplée de 303 habitants[Note 1].

Bretteville-le-Rabet
Bretteville-le-Rabet
L'église Saint-Lô.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Calvados
Arrondissement Caen
Intercommunalité Communauté de communes Cingal-Suisse Normande
Maire
Mandat
Robert Brard
2020-2026
Code postal 14190
Code commune 14097
Démographie
Gentilé Rabellois
Population
municipale
303 hab. (2020 en augmentation de 4,84 % par rapport à 2014)
Densité 67 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 01′ 33″ nord, 0° 15′ 29″ ouest
Altitude Min. 75 m
Max. 125 m
Superficie 4,53 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Caen
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Thury-Harcourt
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Bretteville-le-Rabet
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Bretteville-le-Rabet

    Géographie

    Localisation

    La commune est bordée au nord par Cauvicourt, à l’est par Soignolles, au sud par Estrées-la-Campagne et Grainville-Langannerie, à l’ouest par Urville.

    Il y a deux routes départementales, dont l’une, la D 43, conduit de Langannerie à Saint-Sylvain. La D 239 part de Bretteville et mène à Soignolles. Une voie romaine, dite le « Chemin Haussé », passant par la campagne, fait la jonction avec Renémesnil (ancienne commune absorbée par Cauvicourt). La commune est aussi bordée par la route nationale 158 qui relie Caen à Falaise, et passe à fort peu de distance du village, du côté de Langannerie.

    Hydrographie

    Jadis, un fort ruisseau coulait dans la commune, connu sous le nom de Muance. Sa source est à Grainville et il ne coule à Bretteville que par intervalles. Sa largeur est d’un demi-mètre et suffisante pour son volume. Se perdant dans le sol sablonneux et calcaire de la plaine, il se retrouve à km de là, vers le nord, au hameau de Saint-Martin-des-Bois à Saint-Sylvain.

    Géologie

    Le sol de la commune se compose de terrains appartenant à la formation oolithique (calcaire de Caen) et s’unit aux grandes plaines du nord du département.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,8 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 12,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 4] : 728 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,9 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Sylvain_sapc », sur la commune de Saint-Sylvain, mise en service en 1997[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8] - [Note 5], où la température moyenne annuelle est de 11,4 °C et la hauteur de précipitations de 680,6 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 6], « Caen-Carpiquet », sur la commune de Carpiquet, mise en service en 1945 et à 22 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,9 °C pour la période 1971-2000[11] à 11,2 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,5 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Bretteville-le-Rabet est une commune rurale[Note 7] - [14]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[15] - [16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Caen, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 296 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (83,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (86,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (83,1 %), mines, décharges et chantiers (10,9 %), zones urbanisées (6 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Britavilla depuis 1168 [21], Breteville Larabel en 1250, Bretevilla dicta Larabella en 1260, Bretainvilla la Rabel en 1266, Bretevilla la Rabel au XIIIe siècle (charte de Saint-André-en-Gouffern, n° 65), Bresteville la Rabelle en 1373, Britavilla la Rabet au XIVe siècle (livre pelut de Bayeux), Bretheville l’Arrabel en 1453 (arch. nat. P. 271, n° 186), Berteville Rabet au XIVe siècle (Cassini)[22].

    Le nom Bretteville est issu de l'ancien français bret(e) qui signifie « breton(ne) » dans son acception ancienne, c'est-à-dire « originaire de l'actuelle Grande-Bretagne »[23], tandis que Rabet vient de Rabel, « la (paroisse du seigneur) Rabel ».

    Le nom du seigneur, attesté d'abord sous la forme Rabel est restée très longtemps en usage (en tout cas jusqu'à la fin du Moyen Âge) et l'aspect moderne Rabet n'est apparu que tardivement.

    Le gentilé est Rabellois [24].

    Histoire

    Préhistoire

    Des datations au carbone 14 révèlent la présence de l’homme à la Fordelle, à l’est de Bretteville-le-Rabet, au Néolithique (-4885 à -3910 av. J-C). La minière de la Fordelle est composée d’une quinzaine de cavités d’extraction constituées de puits communicants creusés en cloche très près les uns des autres. Chaque puits comporte une cheminée d’accès cylindrique ouvrant sur une chambre de 3 à 5 m dont le fond se situe à 2,6 m de profondeur. Chacun de ces puits a produit entre 2,5 et 6,5 m3 de silex. Le façonnage des silex était sans doute réalisé ailleurs[25].

    Du Moyen Âge au Ier Empire

    • Rabel était un vaillant chef sous le duc Robert, père de Guillaume, qui lui donna une partie de sa flotte pour aller dévaster les côtes bretonnes. Ce Rabel, fils de Guillaume de Tancarville, avait fondé à cet endroit au XIIe siècle, une vaste commanderie de templiers.
    • Plus tard, un Rabel qui participa à la conquête de l’Angleterre, reçut des fiefs de Guillaume[26].
    • Un troisième Rabel, chambellan, périt avec Guillaume Adelin sur la Blanche-Nef en 1120[27].
    • Enfin, un quatrième Rabel, seigneur de Mézidon, se révolta contre le roi Étienne en 1137[28]
    • On trouve dans l’adjudication de plusieurs héritages faite aux plaids de Brétheville et Tournebu en 1488 un Jean Le Normand, écuyer, seigneur de Bretteville-le-Rabet. En 1636, Jacques Le Normand bailla par contrat la seigneurie de Bretteville-le-Rabet à Charles de Baize et la lui céda définitivement en 1679[29]. Charles de Baize, neveu du précédent, fit de Jean Jacques Langlois, son neveu, son héritier en 1748. En 1793, Jean Louis Joseph Langlois légua le manoir de Bretteville à son gendre, Jean Baptiste Jacques Étienne du Bisson, ancien président au bailliage et siège présidial de Caen et trésorier de France. Ce dernier, à son tour, le légua en 1806 à son gendre, Jean Jacques Luc Edmond de Foucault, chevalier de Saint-Louis, ancien garde du corps de Louis XVI et capitaine de cavalerie.

    Les Templiers et les Hospitaliers

    La commanderie de Bretteville [30] est fondée par Rabel de Tancarville à la fin du XIIe siècle (1148), voulant imiter les seigneurs de Gouvix, alors suzerains de Bretteville. Lors de la destruction de l’ordre du Temple en 1307, il y avait trois templiers à Bretteville, un commandeur, Martin Renaud, et deux frères.

    La commanderie qui dépendait du bailliage de Caen fut donnée aux Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem qui la réunirent en 1325 à celle de Voismer et en jouirent jusqu’à la Révolution.

    Sur l’emplacement de l’ancienne commanderie, on peut y voir une belle ferme qui porte le nom de l’Hôpital. Il reste encore quelques salles voûtées qui datent du XIIIe siècle ; elles étaient divisées en deux nefs par un rang de colonne supportant les arceaux de voûte, disposition constante à cette époque dans les pièces du rez-de-chaussée[31].

    Libération de Bretteville-le-Rabet en août 1944

    Lancée le 7 août 1944, l’opération « Totalize » est une offensive mécanisée canadienne ayant pour objectif d’ouvrir la voie aux Alliés sur l’axe Caen-Falaise. Elle a débuté à 23h par le déversement de 3 462 tonnes de bombes par 492 Lancaster entre les Aucrais et Potigny. Le 8 août, 650 chars polonais et canadiens s’élancent depuis Tilly-La-Campagne sur un front de 7 km. Ce jour-là, 60 chars canadiens et polonais sont détruits au nord et à l’est de Bretteville-le-Rabet. L’assaut sur Bretteville est lancé le 9 août à 3h30 par 3 escadrons du Canadian Grenadier Guards et les compagnies mécanisées du Lake Superior. Face à la résistance acharnée de 200 Landser (grenadiers) de la 89 Infanterie-Division, Bretteville-le-Rabet n’est libérée qu’à 15h30. Le même jour, l’offensive sur la cote 140 et le bois du Quesnay conduit à la perte de 83 Sherman polonais et canadiens. Plus de 1270 Allemands seront fait prisonniers entre le 8 et le 10 août 1944[32].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires
    Période Identité Étiquette Qualité
    1800 1812 Hubert Bocage SE Nommé par le sous-préfet de l'arrondissement de Falaise
    1812 1869 Pierre Saint-Jean SE Nommé par le préfet du Calvados en 1812, conseiller général, président de la société d'agriculture de Falaise
    1869 1887 Jean Louis Saint-Jean SE
    1887 1900 Louis Giffard SE
    1900 1927 Octave Biré SE Avocat, conseiller général
    1929 1931 Robert de Foucault SE
    1931 1935 Henri Guesnon SE
    1935 1941 Fernand Guesnon SE
    1941 1945 M. de Foulques SE
    1945 1953 Henri Guesnon SE
    1953 1959 Louis Desloges SE
    1959 2001 Paul Énouf SE Agriculteur, plus jeune maire de France lors de sa 1re élection[24]
    2001 2014 Odile Lagrange PS Contrôleur du travail
    mars 2014[33] mai 2014[34] Dominique Leboucher SE Commercial en assurance ; assassiné quelques semaines après son élection
    2014[35] 2020 Odile Hamon-Énouf SE Gérante de société, fille de Paul Énouf
    Les données manquantes sont à compléter.

    Intercommunalité

    La commune fait partie de la communauté de communes du Cingal.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[37].

    En 2020, la commune comptait 303 habitants[Note 9], en augmentation de 4,84 % par rapport à 2014 (Calvados : +0,85 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    189275203210220198234199190
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    220211220191181167167165158
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    14214413810111194105112136
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    115116118133175193248257305
    2020 - - - - - - - -
    303--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[38] puis Insee à partir de 2006[39].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture et patrimoine

    Le manoir seigneurial

    Le manoir seigneurial, situé en face de l’église paroissiale, subsiste de nos jours. La disposition actuelle du manoir et des autres bâtiments, de la haute et de la basse-cour ainsi que du potager et de son pavillon est semblable à celle dessinée en 1755 par Trudaine[Note 10]. Dans la partie la plus élevée est le manoir qui parait du XVIIIe siècle ; des caves voûtées existent dans ce manoir qui a la forme et les dimensions de beaucoup d’autres maisons féodales de la plaine de Caen. Entouré d’écuries, d’étable, remise, grange, pressoir et four à pain, il a conservé sa vocation agricole jusqu’au milieu du XXe siècle. Un parc, fermé de murs et traversé par un vallon sous lequel coule par intervalles un petit ruisseau connu sous le nom de Muance, y est annexé. La propriété, transmise de génération en génération, appartient à la famille de Foucault.

    L'église Saint-Lô

    Inscrite Logo monument historique Inscrit MH au titre des Monuments historiques depuis le 19 septembre 1928[40], l'église dépendait du diocèse de Bayeux. Entre 1135 et 1142, Robert de Bretteville l'offrit en patronage à l'abbaye du Plessis-Grimoult. L'édifice date du début du XIIe siècle, mais les baies du chœur sont du XVe siècle et la nef du XVIIIe siècle (date 1785 sur la porte occidentale). Elle contient trois cloches en bronze installées et baptisées en 1821 qui sont répertoriées à l'inventaire général du patrimoine culturel [41].

    Le Chemin Haussé

    Le Chemin Haussé est une voie romaine appelée également « Chemin du Duc Guillaume » qui longe la commune [42] et qui fait l'objet d'un recensement à l'inventaire général du patrimoine culturel[43]. Il joua un rôle stratégique à partir du IIIe siècle av. J.-C. pour acheminer les troupes vers la zone côtière qui subissait les incursions des saxons. Il tire son nom d'un mode de construction typique des voies antiques : la fondation est constituée d'une épaisse accumulation de pierres et de sable qui surélève le chemin par rapport aux terrains environnants. Un important fossé courait à une vingtaine de mètres de chaque côté de la chaussée. La largeur globale de la structure était de 32 mètres. Ces fossés avait une fonction de drainage et servaient à délimiter l'espace aliénable du domaine public.

    Personnalités liées

    Héraldique

    Blason à dessiner Blason
    Écartelé: au 1er d'argent à croix pattée et alésée de gueules, au 2 de gueules à deux léopard d'or armés et lampassés d'azur, l'un au-dessus de l'autre, au 3e d'azur à la gerbe de blé d'or, au 4e d'argent au silex taillé au naturel, posé en pal la pointe en bas; au filet d'azur, ondé de deux pièces, brochant e fasce sur la partition; à la vergette d'argent brochant sur le tout du tout[44].
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Articles connexes

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2020.
    2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    7. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    10. Atlas de Trudaine, p. 24.

    Références

    • Altitudes, superficie : répertoire géographique des communes[45].
    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Saint-Sylvain_sapc - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Bretteville-le-Rabet et Saint-Sylvain », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Saint-Sylvain_sapc - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Bretteville-le-Rabet et Carpiquet », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Caen-Carpiquet - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Caen-Carpiquet - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Caen-Carpiquet - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. Archives du Calvados, H 6577
    22. Célestin Hippeau, Dictionnaire topographique du Calvados : comprenant les noms de lieu anciens et moderne, Impr. nationale (Paris, (lire en ligne), p. 41.
    23. René Lepelley, Noms de lieux de Normandie et des îles Anglo-Normandes, Paris, Bonneton, , 223 p. (ISBN 2-86253-247-9), p. 116.
    24. « Paul Enouf a été le plus jeune maire de France en 1959 », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    25. Verron G. Basse Normandie. In: Gallia préhistoire, tome 29, fascicule 2, 1986. p. 391-412.
    26. Duschesne, p. 266.
    27. Duschesne, p. 868.
    28. Duschesne, p. 909.
    29. Dictionnaire universel de la noblesse, par M de Courcelles, p. 238.
    30. Notice no IA00000282, base Mérimée, ministère français de la Culture
    31. Arcisse de Caumont, Statistique monumentale du Calvados, t. 2, Caen, Hardel, (lire en ligne), p. 261-262.
    32. « Totalize ou la difficulté de convertir un succès tactique en une exploitation victorieuse » par Nicolas Aubin.
    33. « Bretteville-le-Rabet (14190) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le )
    34. « Calvados : le maire d'une petite commune émasculé et tué par un mari jaloux », Le Figaro, 23 mai 2014.
    35. « Odile Hamon-Enouf est la nouvelle maire », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le )
    36. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    37. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    38. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    39. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    40. « Église Saint-Lô », notice no PA00111115, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    41. « 3 cloches », notice no IM14001000, base Palissy, ministère français de la Culture.
    42. Le Chemin haussé sur Panoramio.
    43. Ministère de la Culture, Notice no IA00000228.
    44. « Blason… », sur armorialdefrance.fr.
    45. Site de l'IGN.

    Liens externes

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