Accueil🇫🇷Chercher

Urville (Calvados)

Urville est une commune française située dans le département du Calvados en région Normandie, peuplée de 725 habitants[Note 1].

Urville
Urville (Calvados)
Le bourg.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Calvados
Arrondissement Caen
Intercommunalité Communauté de communes Cingal-Suisse Normande
Maire
Mandat
Patrick Morel
2020-2026
Code postal 14190
Code commune 14719
Démographie
Gentilé Urvillais
Population
municipale
725 hab. (2020 en augmentation de 16,37 % par rapport à 2014)
Densité 120 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 01′ 32″ nord, 0° 17′ 50″ ouest
Altitude Min. 66 m
Max. 136 m
Superficie 6,02 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Caen
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Thury-Harcourt
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Urville
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Urville
Géolocalisation sur la carte : Calvados
Voir sur la carte topographique du Calvados
Urville
Géolocalisation sur la carte : Normandie
Voir sur la carte administrative de Normandie
Urville

    Géographie

    La commune d'Urville est située sur l'axe Caen - Falaise à 24 kilomètres de Caen. Le village est voisin de Gouvix, Saint-Germain-le-Vasson, Barbery, Grainville-Langannerie.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 10,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,6 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 12,4 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 4] : 754 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,1 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Sylvain_sapc », sur la commune de Saint-Sylvain, mise en service en 1997[9] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[10] - [Note 5], où la température moyenne annuelle est de 11,4 °C et la hauteur de précipitations de 680,6 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 6], « Caen-Carpiquet », sur la commune de Carpiquet, mise en service en 1945 et à 21 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 10,9 °C pour la période 1971-2000[13] à 11,2 °C pour 1981-2010[14], puis à 11,5 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Urville est une commune rurale[Note 7] - [16]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[17] - [18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Caen, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 296 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[19] - [20].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (71,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (73,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (56,9 %), forêts (15,8 %), prairies (14,7 %), zones urbanisées (9,2 %), mines, décharges et chantiers (3,3 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[22].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Urvillum en 1108[23], Eurvilla en 1248[24] et Urivilla au XIVe siècle[24]. Le toponyme est issu de l'anthroponyme germanique Uro[23] - [24] et de l'ancien français vile dans son sens originel de « domaine rural » issu du latin villa rustica.

    Le gentilé est Urvillais.

    Histoire

    La catastrophe des Aucrais

    Le , lors d'un déchargement d'oxygène liquide d'un camion de la SMN à la carrière des Aucrais, sur le territoire d'Urville[25], une triple explosion provoque la mort de vingt ouvriers locaux[26] - [27].

    La libération d'Urville

    L'opération Totalize est lancée dans la nuit du 7 au par les forces armées canadiennes, britanniques et polonaises le long de la route de Caen à Falaise pour briser le front allemand. Les Alliés gardent l'avantage jusque dans la matinée du 8 août, profitant de leur supériorité aérienne et de la nuit.

    L’effort canadien a porté essentiellement sur le flanc droit, à l’ouest de la route Caen-Falaise, négligeant les hauteurs à l’est, sur le flanc gauche des Polonais. Au matin du 8 août lorsque les chars d’assaut alliés se mettent en marche dans la plaine, ils sont rapidement pris à partie par les canons allemands, qui ont subi peu de pertes lors du bombardement aérien de la RAF. Cramesnil et Cintheaux sont libérés, mais au prix de combats acharnés qui n’ont rien à voir avec la percée escomptée.

    Au soir du 8 août, les Alliés tentent de reprendre l'offensive, deux divisions blindées s’élancent : la 4th Canadian Armoured Division du Major General George Kitching (en) et la 1re division blindée polonaise du géneral Stanisław Maczek. Le 9 août, un détachement blindé canadien se trompe d’itinéraire près d’Estrées-la-Campagne, les Panther et les Tigre du Kampfgruppe Wünsche anéantissent le groupement, quarante-sept chars sur cinquante-deux sont détruits. Au soir du 9 août, la 9th Canadian Infantry Brigade libère Urville, puis Grainville et s’installe au pied de la cote 195, au nord-ouest de Potigny. Un monument à la mémoire des libérateurs canadiens se situe à la sortie du village vers Barbery, place des Glens[28].

    Politique et administration

    Liste des maires
    Période Identité Étiquette Qualité
    ? mars 2001 Bertrand Lidou
    mars 2001[29] mai 2020 Nicole Goubert[30] DVD
    mai 2020[31] En cours Patrick Morel SE Cadre de la SNCF retraité
    Les données manquantes sont à compléter.

    Le conseil municipal est composé de quinze membres dont le maire et quatre adjoints[31].

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[33].

    En 2020, la commune comptait 725 habitants[Note 9], en augmentation de 16,37 % par rapport à 2014 (Calvados : +0,85 %, France hors Mayotte : +1,9 %). Urville a compté jusqu'à 716 habitants en 1836.

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    565517578640680716477494489
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    488456443413390375351333301
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    300280272267305263245327405
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    470484501543519478460457559
    2017 2020 - - - - - - -
    671725-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    • L'église paroissiale Notre-Dame a été fondée en 1604 par Charles de Lalongny, seigneur d'Urville en remplacement de l'ancienne église paroissiale Saint-Vigor, située au bord de la Laize dans la cour du manoir d'Urville[36]. Elle est inscrite au titre des Monuments historiques depuis le [36].
    • Le manoir d'Urville se trouve au fond de la vallée de la Laize, en rive gauche. Du manoir médiéval ne subsiste que le logis du XIVe siècle doté d'une tour d'escalier circulaire, ainsi qu'un cellier avec baie trilobée et frise de quatre-feuilles, et un pressoir. L'ancienne église paroissiale Saint-Vigor fut détruite en 1604, et remplacée par une petite chapelle toujours existante. Enfin une grande grange du XVIIe siècle sur laquelle vient s'appuyer un logis du XIXe siècle complètent l'ensemble[37] - [38]. Le manoir d'Urville est inscrit au titre des Monuments historiques depuis le [39].
    • Les ruines d'un imposant moulin à huile se trouve dans le fond de la vallée de la Laize un peu à l'écart du village. Construit en 1789 par Charles Moisson, qui deviendra maire d'Urville de 1808 à 1816, les différents bâtiments de ce moulin s'ordonnent autour d'une cour fermée.
    • Les bâtiments de la mine de fer de Gouvix-Urville, tous situés dans la vallée de la Laize.
    • Le cimetière militaire polonais de Grainville-Langannerie qui contient 615 tombes de militaires polonais, la plupart appartenant à la 1re division blindée polonaise du général Maczek, tués dans les combats de la libération pendant l'été 1944. C'est la seule nécropole polonaise exclusivement de la Seconde Guerre mondiale en France[40] (le cimetière d'Aubérive accueillant également des soldats du premier conflit mondial).
    • L'église Notre-Dame (1606).
      L'église Notre-Dame (1606).
    • Détail du clocher.
      Détail du clocher.
    • Le cadran canonial.
      Le cadran canonial.
    • La chapelle du manoir.
      La chapelle du manoir.

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2020.
    2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    7. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée »
    2. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée »
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Saint-Sylvain_sapc - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Urville et Saint-Sylvain », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Saint-Sylvain_sapc - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Urville et Carpiquet », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Caen-Carpiquet - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Caen-Carpiquet - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Caen-Carpiquet - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    22. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    23. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Larousse,
    24. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, t. 2 : Formations non romanes ; formations dialectales, Genève, (lire en ligne), p. 950
    25. Le lieu-dit est limitrophe des communes d'Urville, Cauvicourt, Gouvix et Bretteville-le-Rabet ; les décès ont été déclarés à l'état-civil d'Urville : archives départementales du Calvados, tables décennales.
    26. « Effroyable explosion dans une carrière près de Falaise », Le Petit Parisien, no 21787,‎ , p. 1, 4 (lire en ligne, consulté le )
    27. « Effroyable catastrophe dans une carrière du Calvados », L'Ouest-Éclair, no 14595,‎ , p. 1 (lire en ligne, consulté le )
    28. « 1944 la bataille de Normandie, la mémoire | Urville », sur www.normandie44lamemoire.com (consulté le )
    29. « La liste du conseil municipal sortant menée par Nicole Goubert », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le )
    30. Réélection 2014 : « Urville (14190) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le )
    31. « Municipales à Urville. Patrick Morel succède à Nicole Goubert », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le )
    32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    36. « Église », notice no PA00111770, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    37. « Service régional de Basse-Normandie », sur www.culture.gouv.fr (consulté le )
    38. Joseph Decaëns, « Les enceintes d'Urville et de Bretteville-sur-Laize (Calvados). », Annales de Normandie, vol. 18,‎ , p. 311–375 (DOI 10.3406/annor.1968.6396, lire en ligne, consulté le )
    39. « Manoir », notice no PA00111771, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    40. « Cimetière militaire polonais », sur normandiememoire.com, Association Normandie Mémoire (consulté le )

    Liens externes

    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.