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Rimons

Rimons (graphie identique en gascon) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde (région Nouvelle-Aquitaine).

Rimons
Rimons
La mairie (mai 2012).
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Gironde
Arrondissement Langon
Intercommunalité Communauté des communes rurales de l'Entre-Deux-Mers
Maire
Mandat
René Boudigue
2020-2026
Code postal 33580
Code commune 33353
Démographie
Population
municipale
197 hab. (2020 en diminution de 0,51 % par rapport à 2014)
Densité 14 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 40′ 22″ nord, 0° 00′ 25″ est
Altitude Min. 29 m
Max. 106 m
Superficie 14,38 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Réolais et des Bastides
Législatives Douzième circonscription
Localisation
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Rimons
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Rimons

    Géographie

    Cartographies de la commune
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    1 : carte dynamique ; 2 : carte OpenStreetMap ; 3 : carte topographique ; 4 : avec les communes environnantes

    La commune se trouve dans l'Entre-deux-Mers, à 58 km à l'est-sud-est de Bordeaux, chef-lieu du département, à 29 km au nord-est de Langon, chef-lieu d'arrondissement et à km à l'ouest-nord-ouest de Monségur, chef-lieu de canton[1].

    Les communes limitrophes en sont Saint-Ferme au nord-est, Coutures au sud-est, Neuffons au sud, Mesterrieux au sud-sud-ouest, Landerrouet-sur-Ségur au sud-ouest, Saint-Martin-du-Puy à l'ouest, Castelmoron-d'Albret à l'ouest-nord-ouest, Caumont au nord-ouest et Cazaugitat au nord.

    La principale voie de communication routière est la route départementale D230 qui traverse le bourg et mène, au nord-ouest, à Castelmoron-d'Albret et Sauveterre-de-Guyenne et au sud-est, à Monségur. L'ouest du territoire communal est traversé par la route départementale D21 qui mène, au sud, à Landerrouet-sur-Ségur et au-delà à La Réole et au nord, à Castelmoron-d'Albret et à Cazaugitat. La route départementale D138 qui commence à l'ouest de la commune, sur la D230, mène vers le nord-est à Saint-Ferme.
    L'accès le plus proche à l'autoroute A62 (Bordeaux-Toulouse) est celui de Sortie 4 La Réole distant de 22 km par la route vers le sud.
    L'accès Sortie 1 Bazas à l'autoroute A65 (Langon-Pau) se situe à 40 km vers le sud-sud-ouest.
    L'accès le plus proche à l'autoroute A89 (Bordeaux-Lyon) est celui de l'échangeur autoroutier avec la route nationale 89 qui se situe à 38 km vers le nord-ouest.

    La gare SNCF la plus proche est celle, distante de 14 km par la route vers le sud, de La Réole sur la ligne Bordeaux-Sète du TER Aquitaine.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 12,9 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 8,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,2 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 828 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,9 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Sauveterre-de-Guyenne », sur la commune de Sauveterre-de-Guyenne, mise en service en 1978[8] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[9] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 13,3 °C et la hauteur de précipitations de 809,1 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, dans le département de la Dordogne, mise en service en 1988 et à 43 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[12], à 13,1 °C pour 1981-2010[13], puis à 13,3 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Rimons est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [15] - [16] - [17]. La commune est en outre hors attraction des villes[18] - [19]. En 2021, La commune de Rimons n'est toujours pas couverte par un document d'urbanisme, ce qui suppose l'application du Règlement National d'Urbanisme.

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (76,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (76,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (36,8 %), forêts (23,7 %), prairies (16,3 %), zones agricoles hétérogènes (15,5 %), terres arables (7,6 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Rimons est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible)[21]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[22].

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[23].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Rimons.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 119 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 119 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 84 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[24] - [Carte 2].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1999 et 2009. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 2003 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999[21].

    Toponymie

    Le nom de Rimons est composé de deux mots, Ri et Mons. Quand on s'intéresse à la physionomie de la commune, on peut noter que le centre du bourg est composé de deux collines cernant un ruisseau (la Gourrande). Le mot riu désigne un ruisseau en gascon[25], tandis que le mot mont fait référence aux collines. Probablement écrit Rimonts dans un premier temps, la suppression du "t" est sans doute dû à la francisation du nom. On retrouve par ailleurs ce mot dans le nom de la commune voisine de Monségur soit le mont sûr.

    Histoire

    À la Révolution, la paroisse Saint-Hilaire de Rimons forme la commune de Rimons[26].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 2001 En cours René Boudigue[27] PS Viticulteur
    Les données manquantes sont à compléter.

    Communauté de communes

    Le , la communauté de communes du Monségurais ayant été supprimée, la commune de Rimons s'est retrouvée intégrée à la communauté de communes du Sauveterrois siégeant à Sauveterre-de-Guyenne.

    Elle intègre ensuite la communauté des communes rurales de l'Entre-Deux-Mers le .

    Politique environnementale

    Dans son palmarès 2022, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué une fleur à la commune[28].

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[30].

    En 2020, la commune comptait 197 habitants[Note 6], en diminution de 0,51 % par rapport à 2014 (Gironde : +7,23 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    700670638613588563579548562
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    582575580551554510419426405
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    408412424378410347355378360
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    336246194181188190195205190
    2020 - - - - - - - -
    197--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    • Église Saint-Hilaire : monument d'origine romane érigé au XIIe siècle qui a été inscrit au titre des monuments historiques en 1925 en totalité[33].
      Au XVIe siècle la nef est abandonnée. Le chevet est conservé et se voit adjoint une nef gothique à deux travées. Cette modification entraîne un changement d'orientation du chœur qui est à ce jour à l'ouest. Durant les guerres de Religion, une échauguette a été ajoutée au sommet du contrefort nord-est de l'édifice. Celle-ci présente la particularité d'être partiellement bâtie à l'aide d'une pierre tombale marquée d'une croix.
    • Château Ouvrard : manoir du XVIe siècle, propriété privée.
    • Château de Belle Assise : édifice du XVIIIe siècle, propriété privée.
    • Tour pigeonnier restaurée et modifiée en 1999 pour en faire un gite rural.
    • Façade sud de l'église Saint-Hilaire (mai 2012)
      Façade sud de l'église Saint-Hilaire (mai 2012)
    • Façade est de l'église (mai 2012)
      Façade est de l'église (mai 2012)
    • Façade nord de l'église (mai 2012)
      Façade nord de l'église (mai 2012)
    • Le pigeonnier restauré (mai 2012)
      Le pigeonnier restauré (mai 2012)
    • Le monument aux morts dans le cimetière de l'église (mai 2012)
      Le monument aux morts dans le cimetière de l'église (mai 2012)

    Économie

    Au XIXe siècle et durant la première moitié du XXe, les exploitations agricoles étaient tournées vers la polyculture : production viticole, élevage, céréales et pruniculture.

    En guise de témoignage de cette exploitation agricole, la commune garde les vestiges de cabanes dites de vigne, petites constructions en pierre ou en bois permettant aux exploitants de partir travailler pour la journée lorsque les parcelles étaient éloignées de leur domicile. Ils pouvaient alors déjeuner à l'abri, stocker outils et piquets de vigne. L'utilité de ces constructions s'est réduit après la Seconde Guerre mondiale sous la pression de la mécanisation et à la suite des remembrements.

    De nombreux corps de fermes sont dotés de fours à prunes en pierre à l'intérieur desquels étaient installés des wagons sur rail permettant de déposer les prunes sur des claies en bois. Le séchage de ces prunes d'ente permettait la fabrication du pruneau d'Agen. Lors des rénovations des fermes, certains d'entre eux ont été conservés en guise de témoignage.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Distances les plus courtes par la route - Les distances orthodromiques sont respectivement de 49,5 km pour Bordeaux, 24,3 km pour Langon et 6,3 km pour Monségur. Données fournies par Lion1906.com, consulté le 12 mai 2012.
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Sauveterre-de-Guyenne - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Rimons et Sauveterre-de-Guyenne », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Sauveterre-de-Guyenne - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Rimons et Bergerac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. « Les risques près de chez moi - commune de Rimons », sur Géorisques (consulté le )
    22. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    23. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    24. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    25. Toponymie occitane
    26. Historique des communes, p. 44, sur GAEL (Gironde Archives en ligne) des Archives départementales de la Gironde, consulté le 28 mars 2013.
    27. Commune de Rimons sur le site de l'AMF, Association des Maires de France, consulté le 12 mai 2012.
    28. Les communes labellisées, Site des villes et villages fleuris consulté le .
    29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    33. « Inscription MH de l'église Saint-Hilaire », notice no PA00083700, base Mérimée, ministère français de la Culture, consulté le 12 mai 2012.
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