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Réguiny

Réguiny [ʁegini] est une commune française, située dans le département du Morbihan en région Bretagne.

Réguiny
Réguiny
L'église Saint-Clair.
Blason de Réguiny
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bretagne
Département Morbihan
Arrondissement Pontivy
Intercommunalité Pontivy Communauté
Maire
Mandat
Jean-Luc Le Tarnec
2020-2026
Code postal 56500
Code commune 56190
Démographie
Gentilé Réguinois, Réguinoise
Population
municipale
1 963 hab. (2020 en augmentation de 1,76 % par rapport à 2014)
Densité 70 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 58′ 39″ nord, 2° 44′ 42″ ouest
Altitude 107 m
Min. 61 m
Max. 129 m
Superficie 27,92 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Grand-Champ
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Réguiny
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Réguiny
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Réguiny
Liens
Site web Site officiel de la commune

    Géographie

    Localisation

    Communes limitrophes de Réguiny
    Crédin
    Évellys Réguiny Pleugriffet
    Moréac Radenac

    Le bourg, situé à l'extrémité sud-est du territoire, est à 12 kilomètres de Rohan, à 28 kilomètres de Ploërmel, et à 39 kilomètres de Vannes.

    Paysage et relief

    La commune de Réguiny est faiblement vallonée, le sous-sol étant constitué majoritairement de schistes tendres. Elle appartient à l'unité paysagère du bassin agricole de Pontivy, parfois surnommé la « Petite Beauce », un territoire s'étendant au nord, à l'est et au sud de cette ville et voué à l'agriculture intensive. La plupart des talus et des haies d'arbres typiques du bocage de l'ouest de la France ont disparu pour laisser place à de grandes parcelles de céréales et les espaces boisés sont rares[1]. .

    • voir la légende ci-après
      Carte topographique de la commune de Réguiny.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 11,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,5 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1,7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 12,1 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 918 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Moreac », sur la commune de Moréac, mise en service en 1994[8] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[9] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12 °C et la hauteur de précipitations de 1 004,6 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Vannes-Séné », sur la commune de Séné, mise en service en 1998 et à 40 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 12,3 °C pour 1981-2010[12] à 12,4 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Réguiny est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [14] - [15] - [16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    Le tableau ci-dessous présente l' occupation des sols de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC).

    Occupation des sols en 2018
    Type d’occupation Pourcentage Superficie
    (en hectares)
    Tissu urbain discontinu 5,0 % 140
    Terres arables hors périmètres d'irrigation 63,4 % 1779
    Prairies et autres surfaces toujours en herbe 8,1 % 226
    Systèmes culturaux et parcellaires complexes 19,4 % 544
    Surfaces essentiellement agricoles interrompues par des espaces naturels importants 4,1 % 115
    Source : Corine Land Cover[19]

    Lieux-dits

    la villeneuve ; bel air ; le moulin à vent ; la maison neuve ; la chataigneraie ; ferrand ; le pas du loup ; le pont neuf ; la croix du gal ; bel orient ; le roscoet ; le resto ; kerbellec ; kerveno ; la mi voie ; coëtmeur ; penhoet ; le pont hamon ; bonvallon ; le crano ; kerdrean ; le herbon ; bandou ; chateaurie ; clehabois ; coetdele ; coetdenan ; coëtdrien ; colany ; croix guillard ; fetigneux ; hennebodan ; kerbouris ; kerbourno ; kergars ; kerhounio ; keroyard ; la croix bigot ; la motaine ; lalleman ; lamphy ; lande de porhman ; lande la villeneuve ; le leren ; le perozan ; le pont d'en bas ; le rohallet ; le rongoet ; leshuern ; lispert ; locmalo ; petit colany ; porconian ; porhman ; poulvidan ; rochefontaine ; roscoet fily ; ville au vent.

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Regueni en 1223, Regeni et Regueni en 1280, Regueni en 1387, Regueny en 1432, Regueni en 1516 et Ruguyny en 1554[20].

    Le nom de la commune provient du gallo-romain « Reginea »[21] ou d'un pluriel archaïque du mot breton « regenn » (sillon).

    Redjini en gallo[20].

    Langue

    Dans la quatrième édition de son étude intitulé Langues et littérature bretonne (PUF 1976), le linguiste Francis Gourvil précise que la frontière linguistique entre le français (parler gallo) et le breton (parler vannetais) coupe Réguiny.

    Histoire

    Préhistoire et Antiquité

    Il semble que le territoire reguinois soit peuplé depuis l'ère préhistorique, comme l'attestent des haches de pierre découvertes dans la campagne environnante. L'existence de deux voies romaines et de deux camps romains, ceux de Locmalo et de Villeneuve, confirment un établissement gallo-romain du nom de « Reginea ». C'est sous la domination romaine que saint Clair, évêque de Nantes et apôtre des Vénètes arrive à Réguiny, pour y prêcher la foi chrétienne. Il meurt au lieu-dit Kerbellec le et aurait été inhumé dans une chapelle jouxtant l'ancienne église Saint-Clair de Réguiny (une dalle ornée d'un bas-relief représentant le saint coiffé de sa mitre et muni de sa crosse est son tombeau supposé[22]). En 386, selon Albert Le Grand, les Nantais souhaitaient récupérer la dépouille de leur saint évêque, ce qu'ont refusé les Vannetais, arguant d'un dépôt de la divine providence. Allant à l'encontre de ce refus, les Nantais sont toutefois parvenus à reprendre les reliques convoitées, ne laissant aux paroissiens de Réguiny que le crâne du saint. Celui-ci s'y trouvait encore en 1891, mais le reliquaire les contenant fut vendu en 1901 et les reliques ont disparu depuis[23].

    Moyen-Âge

    Les Bretons, parvenus dans cette zone à compter du VIe siècle y ont implanté leur langue et leurs coutumes. Tous les anciens noms de villages sont encore bretons, tels que Kerbellec, Kerdréan, Le Roscoët, Coëtmeur, Coëtdrien… Du Moyen-Âge à la Révolution, l'histoire ne nous apprend rien de particulier.

    En 1223, Eudon de Réguéni donna à l'abbaye de Bon-Repos une rente d'un quart de froment : ce qui fut ratifié par son seigneur, Olivier, vicomte de Rohan.

    En 1280, un autre Eudon de Réguéni, écuyer, céda à Pierre de Tronchâteau, en échange d'autres biens situés en Cléguérec, une tenue appelée Frézor et des terres situées à Coetmeur, qui les céda à son tour à Geoffroi de Rohan.

    Selon un aveu de 1471, Réguiny était, au sein de la Vicomté de Rohan, une des 46 paroisses ou trèves de la seigneurie proprement dite de Rohan[24].

    Temps modernes

    Le premier registre paroissial tenu par le clergé et les notables remonte à 1575.

    Révolution française

    En 1790, une âpre lutte opposa pendant deux mois Réguiny et Pleugriffet pour savoir laquelle des deux communes nouvellement créées serait désigné comme chef-lieu de canton. Même les recteurs participèrent à la bagarre. Finalement ce sera Réguiny qui aura gain de cause[25].

    Pendant la Révolution, la chouannerie fut très active, comme un peu partout en Bretagne. Il y eut notamment un certain chef Cobigo, rattaché à la division du colonel Guillemot, dit le « roi de Bignan ». À cette époque, Réguiny devint chef-lieu de canton du district de Josselin. En 1801, elle perd ce titre et est intégré au canton de Rohan.

    La Seconde Guerre mondiale

    Lors de la Seconde Guerre mondiale, Réguiny a joué un rôle non négligeable dans la résistance. Un aviateur anglais, le lieutenant-colonel Clifford, y a trouvé la mort, son tombeau se trouve dans le cimetière et une rue porte son nom.

    Blasonnement

    Les armoiries de Réguiny se blasonnent ainsi :

    L'écartelé 1 rappelle que Réguiny appartenait au duché de Rohan avant la Révolution.

    Le 2 évoque l'ével qui traverse la commune, et les trèfles, son activité agricole (ils sont inspirés des armoiries de la famille de Longeaux que l'on voit sur la façade de l'église).

    Le 3 localise Réguiny en Bretagne (Hermines).

    Le 4 reprend le coq, symbole de Réguiny : "première station verte de Bretagne".

    L'écu à la crosse est en rapport direct avec saint Clair, premier évêque de Nantes, dont la tombe orne l'église de Réguiny.

    La devise "de bien en mieux" figure sur la sculpture de l'église, en dessous des blasons des familles de Longeaux, du Verger de Cuy et de Poulmic. Les soutiens figurent l'importance de l'agriculture et du patrimoine naturel de la commune.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1947 mars 1977 Maurice Jarriault UNR Médecin, maire honoraire
    mars 1977 mars 1983 Louis Lamour
    mars 1983 juin 1995 Alain Diverrès DVD Préparateur en pharmacie
    juin 1995 mars 2014 Jean Launay DVD Attaché commercial
    mars 2014[26]
    Réélu en 2020[27]
    En cours Jean-Luc Le Tarnec DVD Responsable technique
    12e vice-président de Pontivy Communauté[28] (2016 → )

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[30].

    En 2020, la commune comptait 1 963 habitants[Note 6], en augmentation de 1,76 % par rapport à 2014 (Morbihan : +3,12 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    9961 1601 0319461 1301 1431 1351 1811 189
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 2101 2101 2661 1951 2231 2951 3281 3451 427
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 4611 5411 5831 4671 5101 6311 6331 5521 521
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    1 5521 6381 7391 6951 4901 5301 6681 6991 792
    2014 2019 2020 - - - - - -
    1 9291 9641 963------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    • Église Saint-Clair et tombeau du saint. L'église a fait l'objet d'une importante campagne de restauration en 2007, commandée par la commune et étudiée par Régis Ribet, architecte du patrimoine.
    • Croix de cimetière et autres croix et calvaires ;
    • Différentes fontaines ;
    • Porhman - le château et sa chapelle - le calvaire ;
    • Le château du Resto.

    Personnalités liées à la commune

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. « Le pays de Pontivy est constitué de 4 unités paysagères » (consulté le )
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Moreac - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Réguiny et Moréac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Moreac - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Réguiny et Séné », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Vannes-Séné - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Vannes-Séné - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « Données statistiques sur les communes de Métropole ; Répartition des superficies en 44 postes d'occupation des sols (métropole) », sur CORINE Land Cover, (consulté le ).
    20. Erwan Vallerie, Diazezoù studi istorel an anvioù-parrez = Traité de toponymie historique de la Bretagne, An Here, (ISBN 2-86843-153-4 et 978-2-86843-153-0, OCLC 63764620), p. 174
    21. Linguistic Society of America, Language Monographs - Numéros 17 à 21 - Page 111.
    22. Bernard Rio, "Voyage dans l'au-delà. Les Bretons et la mort", éditions Ouest-France, 2013, (ISBN 978-2-7373-5809-8).
    23. Pierre-Henri Martin, "L'église de Réguiny. Histoire, description, critique", 1937.
    24. Théodore Derome, « De l'usement de Rohan ou du domaine congéable », Revue critique de législation et de jurisprudence, , p. 257-258 (lire en ligne, consulté le ).
    25. Histoire de la Bretagne et des pays celtiques, tome 4, page 16, édition Skol Vreizh, 1989
    26. « Municipales à Réguiny. Jean-Luc Le Tarnec est élu maire », Ouest-France, (lire en ligne).
    27. « Municipales à Réguiny. Jean-Luc Le Tarnec réélu maire à l’unanimité », sur Ouest-France, (consulté le ).
    28. « Pontivy Communauté. Jean-Luc Le Tarnec, nouveau vice-président », Pontivy Journal, (lire en ligne).
    29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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