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Queyrac

Queyrac est une commune du Sud-Ouest de la France située dans le département de la Gironde (région Nouvelle-Aquitaine).

Queyrac
Queyrac
Queyrac vue d'avion
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Gironde
Arrondissement Lesparre-MĂ©doc
Intercommunalité Communauté de communes Médoc Atlantique
Maire
Mandat
VĂ©ronique Chambaud-Berran
2020-2026
Code postal 33340
Code commune 33348
DĂ©mographie
Gentilé Queyracais
Population
municipale
1 360 hab. (2020 en diminution de 0,73 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 44 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 45° 21â€Č 47″ nord, 0° 58â€Č 37″ ouest
Altitude Min. 3 m
Max. 13 m
Superficie 30,73 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Lesparre-MĂ©doc
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton du Nord-MĂ©doc
LĂ©gislatives CinquiĂšme circonscription
Localisation
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Queyrac
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Queyrac
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Queyrac

    Ses habitants sont appelés les Queyracais et les Queyracaises.

    GĂ©ographie

    Localisation

    Cartographies interactive et OpenStreetMap
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    1. Carte dynamique
    2. Carte Openstreetmap
    3. Carte topographique
    4. Carte avec les communes environnantes

    SituĂ©e dans le dĂ©partement de la Gironde (rĂ©gion de Nouvelle-Aquitaine), Queyrac est une commune du MĂ©doc en plein cƓur des vignes. La commune s'Ă©tend sur 30,7 km2, dont environ 180 hectares de vignes[1], et compte 1379 habitants en 2009. Queyrac est situĂ© Ă  30 km au sud-est de Royan, la plus grande ville des environs. SituĂ© Ă  10 mĂštres d'altitude, le ruisseau des Douze Pieds est le principal cours d'eau qui traverse la commune.

    Entrée de la commune.

    Communes limitrophes

    GĂ©ologie

    Les sols présentent vers l'Est et le Nord un plateau élevé sablo-graveleux et une plaine basse trÚs fertile composée de marais desséchés ; vers l'Ouest, des terrains sablonneux, noirùtres assez fertiles. Le sous-sol est varié : sable, graves, alios et argile vers le Nord ; calcaire au Sud du cÎté de Lescapon[1].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[3].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 13 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,5 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 5,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13,9 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 898 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,4 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 6,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[6] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[7] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Vensac David », sur la commune de Vensac, mise en service en 1984[8] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[9] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13,2 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 902 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[10]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Le Temple », sur la commune du Temple, mise en service en 1984 et Ă  54 km[11], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de pour 1981-2010[12] Ă  pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Queyrac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [14] - [15] - [16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lesparre-MĂ©doc, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 12 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de moins de 50 000 habitants[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (52 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (61,8 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (36,8 %), prairies (31 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (13,4 %), cultures permanentes (7,6 %), zones urbanisĂ©es (6,2 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (2,4 %), zones humides cĂŽtiĂšres (1,9 %), mines, dĂ©charges et chantiers (0,7 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Queyrac est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible)[20]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[21].

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment le Petit chenal de Guy. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1999 et 2009[22] - [20].

    Queyrac est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. Depuis le , les dĂ©partements de la Gironde, des Landes et de Lot-et-Garonne disposent d’un rĂšglement interdĂ©partemental de protection de la forĂȘt contre les incendies. Ce rĂšglement vise Ă  mieux prĂ©venir les incendies de forĂȘt, Ă  faciliter les interventions des services et Ă  limiter les consĂ©quences, que ce soit par le dĂ©broussaillement, la limitation de l’apport du feu ou la rĂ©glementation des activitĂ©s en forĂȘt[23]. Il dĂ©finit en particulier cinq niveaux de vigilance croissants auxquels sont associĂ©s diffĂ©rentes mesures[24] - [25].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Queyrac.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. La totalitĂ© de la commune est en alĂ©a moyen ou fort (67,4 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 858 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 858 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 100 %, Ă  comparer aux 84 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[26] - [Carte 2].

    Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[27].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2005, 2010 et 2012 et par des mouvements de terrain en 1999[20].

    Toponymie

    Le nom de la localité remonte à un type toponymique *CARIACU, issu du gaulois *Cariacon, nom de domaine en -acon, suffixe précédé du nom du propriétaire Carios (ou Carius), anthroponyme gaulois[28].

    Homonymie avec Cayrac, etc[29].

    Histoire

    L'origine de la commune semble fort ancienne. Non seulement des documents du XIIIe siĂšcle attestent son existence; mais encore des sarcophages du VIe siĂšcle ont Ă©tĂ© dĂ©couverts sur la place du bourg. On rapporte que dans l'ancienne Ă©glise, aujourd'hui disparue, s'Ă©levait une statue de Charlemagne. Au XVIIe siĂšcle, des Flamands entreprennent l'assĂšchement du marais de Queyrac. Jusqu'alors, l'atmosphĂšre de ces terres marĂ©cageuses Ă©tait pestilentielle et les habitants souffraient d'une maladie fort rĂ©pandue dans la rĂ©gion, la « MĂ©doquine » (sans doute une sorte de malaria). Son Ă©glise de construction rĂ©cente, fin XIXe siĂšcle, est venue remplacer une construction romane datant du XIIe siĂšcle qui fut dĂ©molie et dont les pierres ont servi en partie Ă  la reconstruction de celle que nous voyons aujourd'hui, sous la direction de l'architecte Bonnore, commencĂ©e en 1896, elle fut inaugurĂ©e en . Sa silhouette caractĂ©ristique domine les vignobles environnants oĂč mĂ»rissent les cĂ©pages nobles du MĂ©doc.

    Politique et administration

    La mairie.
    Le monument aux morts.
    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    avant 1988 Yves Anglade
    2014 En cours VĂ©ronique Chambaud-Berran Vivre, agir ensemble
    SE
    Agricultrice - Maire
    Les données manquantes sont à compléter.

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[31].

    En 2020, la commune comptait 1 360 habitants[Note 7], en diminution de 0,73 % par rapport Ă  2014 (Gironde : +7,23 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    2 0881 6901 9892 1062 0121 9901 9711 9411 906
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 8771 9281 7931 7791 8161 8801 8681 6981 576
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 6241 5531 4081 3331 2341 1621 1581 1061 111
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    1 1091 0991 0301 1271 1291 1641 3231 3181 388
    2015 2020 - - - - - - -
    1 3631 360-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee Ă  partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    Église Saint-Hilaire

    L'Ă©glise Saint-Hilaire

    L'Ă©glise paroissiale Saint-Hilaire a Ă©tĂ© construite de 1896 Ă  1901 par l'architecte Édouard Bonnore[34]. L'ancienne Ă©glise de Queyrac, dont le dessin a Ă©tĂ© prĂ©sentĂ© Ă  la SociĂ©tĂ© le dernier, est aujourd'hui presque entiĂšrement dĂ©molie. La tradition du pays en attribue la fondation Ă  Charlemagne, lorsqu'il allait combattre les Sarrasins. L'abside qui datait du XIIIe siĂšcle, contemporaine du clocher, fut dĂ©truite au dĂ©but du siĂšcle. Elle se rapprochait de celle de BĂ©gadan, mais avec des proportions moindres. On l'a remplacĂ©e par une abside, romane aussi, mais sans cachet. Le clocher Ă©tait percĂ© de deux baies pour les cloches et consistait en un mur trĂšs Ă©pais regardant Ă  l'ouest, au nord duquel s'accrochait une tourelle contenant l'escalier. En bas, entre deux contreforts carrĂ©s, se trouvait la porte principale, qui fut modifiĂ©e et remplacĂ©e en mĂȘme temps que l'abside. La grande nef Ă©tait voĂ»tĂ©e primitivement; la voĂ»te fut, au commencement du siĂšcle, remplacĂ©e par une charpente en bois. Les bas-cĂŽtĂ©s, qui communiquent avec la grande nef par des arceaux romans, sont plus rĂ©cents. Les piliers des arceaux n'ont ni chapiteaux, ni moulures, ni sculptures comme en ont ordinairement ceux du XIIe siĂšcle. Ils sont carrĂ©s. On ne sait Ă  quelle Ă©poque ils furent construits d'autant plus qu'au-dessus d'eux, ou voit trois fenĂȘtres romanes longues et Ă©troites paraissant fort anciennes et qui donnent Ă  l'Ă©glise une apparence fortifiĂ©e. Lorsque la charpente fut faite, ces fenĂȘtres se trouvĂšrent prises entre la toiture et la voĂ»te en bois des bas-cĂŽtĂ©s. Devenues alors inutiles, elles furent murĂ©es. Elle est inscrite Ă  l'Inventaire gĂ©nĂ©ral du patrimoine culturel[35].

    Chapelle Saint-Roch

    Chapelle Saint-Roch

    Datant du début du XIXe siÚcle et construite en pierre de taille, elle est située à Lescapon[36].

    Patrimoine civil

    • chĂąteau Bernon, domaine viticole de 16 hectares[37]
    • chĂąteau Carcanieux, domaine viticole de 38 hectares[1].
    • chĂąteau Guidon
    • chĂąteau Layauga-Duboscq, domaine viticole de 13 hectares[38]
    • chĂąteau du Mouva

    Personnalités liées à la commune

    • Éric Holder, romancier a rĂ©sidĂ© dans la commune entre 2005 et son dĂ©cĂšs en 2019[39].

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Éditions FĂ©ret, "Bordeaux et ses vins", XVIIe Ă©dition, page 270, (ISBN 2-902416-93-8).
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Vensac David - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Queyrac et Vensac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Vensac David - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Queyrac et Le Temple », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Le Temple - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Le Temple - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    20. « Les risques prÚs de chez moi - commune de Queyrac », sur Géorisques (consulté le )
    21. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
    22. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
    23. « Le risque feux de forĂȘts. », sur www.gironde.gouv.fr (consultĂ© le )
    24. « RĂšglement interdĂ©partemental de protection de la forĂȘt contre les incendies. », sur www.gironde.gouv.fr (consultĂ© le )
    25. « Dossier dĂ©partemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consultĂ© le ), chapitre Feux de forĂȘts.
    26. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    27. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Queyrac », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    28. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Librairie Guénégaud, Paris, 1979.
    29. Albert Dauzat et Charles Rostaing, op. cit.
    30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    34. « Église Saint-Hilaire », notice no IA00024669, base MĂ©rimĂ©e, ministĂšre français de la Culture.
    35. « Eglise paroissiale Saint-Hilaire », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
    36. « Chapelle Saint-Roch », notice no IA00024670, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
    37. Éditions FĂ©ret, "Bordeaux et ses vins", XIXe Ă©dition, page 440, (ISBN 978-2-35156-148-5).
    38. Éditions FĂ©ret, "Bordeaux et ses vins", XIXe Ă©dition, page 439, (ISBN 978-2-35156-148-5).
    39. « L'écrivain Eric Holder s'est éteint cette semaine chez lui à Queyrac dans le Médoc », sur SudOuest.fr (consulté le ).

    Voir aussi

    Bibliographie

    Jacques Baurein, Variétés Bordeloises, t. 1, Bordeaux, , 2e éd. (1re éd. 1786) (lire en ligne), article 1.XIII, pages 116-120.

    Articles connexes

    Liens externes

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