Queyrac
Queyrac est une commune du Sud-Ouest de la France située dans le département de la Gironde (région Nouvelle-Aquitaine).
Queyrac | |||||
Queyrac vue d'avion | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Nouvelle-Aquitaine | ||||
DĂ©partement | Gironde | ||||
Arrondissement | Lesparre-MĂ©doc | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Médoc Atlantique | ||||
Maire Mandat |
VĂ©ronique Chambaud-Berran 2020-2026 |
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Code postal | 33340 | ||||
Code commune | 33348 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Queyracais | ||||
Population municipale |
1 360 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 44 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 45° 21âČ 47âł nord, 0° 58âČ 37âł ouest | ||||
Altitude | Min. 3 m Max. 13 m |
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Superficie | 30,73 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Lesparre-MĂ©doc (commune de la couronne) |
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Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton du Nord-MĂ©doc | ||||
LĂ©gislatives | CinquiĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Gironde
GĂ©olocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Ses habitants sont appelés les Queyracais et les Queyracaises.
GĂ©ographie
Localisation
- Carte dynamique
- Carte Openstreetmap
- Carte topographique
- Carte avec les communes environnantes
SituĂ©e dans le dĂ©partement de la Gironde (rĂ©gion de Nouvelle-Aquitaine), Queyrac est une commune du MĂ©doc en plein cĆur des vignes. La commune s'Ă©tend sur 30,7 km2, dont environ 180 hectares de vignes[1], et compte 1379 habitants en 2009. Queyrac est situĂ© Ă 30 km au sud-est de Royan, la plus grande ville des environs. SituĂ© Ă 10 mĂštres d'altitude, le ruisseau des Douze Pieds est le principal cours d'eau qui traverse la commune.
Communes limitrophes
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GĂ©ologie
Les sols présentent vers l'Est et le Nord un plateau élevé sablo-graveleux et une plaine basse trÚs fertile composée de marais desséchés ; vers l'Ouest, des terrains sablonneux, noirùtres assez fertiles. Le sous-sol est varié : sable, graves, alios et argile vers le Nord ; calcaire au Sud du cÎté de Lescapon[1].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[3].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[6] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[7] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Vensac David », sur la commune de Vensac, mise en service en 1984[8] et qui se trouve Ă 6 km Ă vol d'oiseau[9] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13,2 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 902 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[10]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Le Temple », sur la commune du Temple, mise en service en 1984 et Ă 54 km[11], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de pour 1981-2010[12] Ă pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Queyrac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [14] - [15] - [16].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lesparre-Médoc, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 12 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[17] - [18].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (52 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă 1990 (61,8 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (36,8 %), prairies (31 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (13,4 %), cultures permanentes (7,6 %), zones urbanisĂ©es (6,2 %), milieux Ă vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (2,4 %), zones humides cĂŽtiĂšres (1,9 %), mines, dĂ©charges et chantiers (0,7 %)[19].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Queyrac est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible)[20]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[21].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles dâĂȘtre affectĂ©es par le risque dâinondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment le Petit chenal de Guy. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1999 et 2009[22] - [20].
Queyrac est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. Depuis le , les dĂ©partements de la Gironde, des Landes et de Lot-et-Garonne disposent dâun rĂšglement interdĂ©partemental de protection de la forĂȘt contre les incendies. Ce rĂšglement vise Ă mieux prĂ©venir les incendies de forĂȘt, Ă faciliter les interventions des services et Ă limiter les consĂ©quences, que ce soit par le dĂ©broussaillement, la limitation de lâapport du feu ou la rĂ©glementation des activitĂ©s en forĂȘt[23]. Il dĂ©finit en particulier cinq niveaux de vigilance croissants auxquels sont associĂ©s diffĂ©rentes mesures[24] - [25].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas dâalternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. La totalitĂ© de la commune est en alĂ©a moyen ou fort (67,4 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 858 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 858 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 100 %, Ă comparer aux 84 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[26] - [Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque dâaffaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[27].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2005, 2010 et 2012 et par des mouvements de terrain en 1999[20].
Toponymie
Le nom de la localité remonte à un type toponymique *CARIACU, issu du gaulois *Cariacon, nom de domaine en -acon, suffixe précédé du nom du propriétaire Carios (ou Carius), anthroponyme gaulois[28].
Histoire
L'origine de la commune semble fort ancienne. Non seulement des documents du XIIIe siĂšcle attestent son existence; mais encore des sarcophages du VIe siĂšcle ont Ă©tĂ© dĂ©couverts sur la place du bourg. On rapporte que dans l'ancienne Ă©glise, aujourd'hui disparue, s'Ă©levait une statue de Charlemagne. Au XVIIe siĂšcle, des Flamands entreprennent l'assĂšchement du marais de Queyrac. Jusqu'alors, l'atmosphĂšre de ces terres marĂ©cageuses Ă©tait pestilentielle et les habitants souffraient d'une maladie fort rĂ©pandue dans la rĂ©gion, la « MĂ©doquine » (sans doute une sorte de malaria). Son Ă©glise de construction rĂ©cente, fin XIXe siĂšcle, est venue remplacer une construction romane datant du XIIe siĂšcle qui fut dĂ©molie et dont les pierres ont servi en partie Ă la reconstruction de celle que nous voyons aujourd'hui, sous la direction de l'architecte Bonnore, commencĂ©e en 1896, elle fut inaugurĂ©e en . Sa silhouette caractĂ©ristique domine les vignobles environnants oĂč mĂ»rissent les cĂ©pages nobles du MĂ©doc.
Politique et administration
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[31].
En 2020, la commune comptait 1 360 habitants[Note 7], en diminution de 0,73 % par rapport Ă 2014 (Gironde : +7,23 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Lieux et monuments
Ăglise Saint-Hilaire
L'Ă©glise paroissiale Saint-Hilaire a Ă©tĂ© construite de 1896 Ă 1901 par l'architecte Ădouard Bonnore[34]. L'ancienne Ă©glise de Queyrac, dont le dessin a Ă©tĂ© prĂ©sentĂ© Ă la SociĂ©tĂ© le dernier, est aujourd'hui presque entiĂšrement dĂ©molie. La tradition du pays en attribue la fondation Ă Charlemagne, lorsqu'il allait combattre les Sarrasins. L'abside qui datait du XIIIe siĂšcle, contemporaine du clocher, fut dĂ©truite au dĂ©but du siĂšcle. Elle se rapprochait de celle de BĂ©gadan, mais avec des proportions moindres. On l'a remplacĂ©e par une abside, romane aussi, mais sans cachet. Le clocher Ă©tait percĂ© de deux baies pour les cloches et consistait en un mur trĂšs Ă©pais regardant Ă l'ouest, au nord duquel s'accrochait une tourelle contenant l'escalier. En bas, entre deux contreforts carrĂ©s, se trouvait la porte principale, qui fut modifiĂ©e et remplacĂ©e en mĂȘme temps que l'abside. La grande nef Ă©tait voĂ»tĂ©e primitivement; la voĂ»te fut, au commencement du siĂšcle, remplacĂ©e par une charpente en bois. Les bas-cĂŽtĂ©s, qui communiquent avec la grande nef par des arceaux romans, sont plus rĂ©cents. Les piliers des arceaux n'ont ni chapiteaux, ni moulures, ni sculptures comme en ont ordinairement ceux du XIIe siĂšcle. Ils sont carrĂ©s. On ne sait Ă quelle Ă©poque ils furent construits d'autant plus qu'au-dessus d'eux, ou voit trois fenĂȘtres romanes longues et Ă©troites paraissant fort anciennes et qui donnent Ă l'Ă©glise une apparence fortifiĂ©e. Lorsque la charpente fut faite, ces fenĂȘtres se trouvĂšrent prises entre la toiture et la voĂ»te en bois des bas-cĂŽtĂ©s. Devenues alors inutiles, elles furent murĂ©es. Elle est inscrite Ă l'Inventaire gĂ©nĂ©ral du patrimoine culturel[35].
Personnalités liées à la commune
- Ăric Holder, romancier a rĂ©sidĂ© dans la commune entre 2005 et son dĂ©cĂšs en 2019[39].
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[5].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- Ăditions FĂ©ret, "Bordeaux et ses vins", XVIIe Ă©dition, page 270, (ISBN 2-902416-93-8).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Vensac David - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Queyrac et Vensac », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Vensac David - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Queyrac et Le Temple », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Le Temple - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Le Temple - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
- « Les risques prÚs de chez moi - commune de Queyrac », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Ăvaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
- « Le risque feux de forĂȘts. », sur www.gironde.gouv.fr (consultĂ© le )
- « RĂšglement interdĂ©partemental de protection de la forĂȘt contre les incendies. », sur www.gironde.gouv.fr (consultĂ© le )
- « Dossier dĂ©partemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consultĂ© le ), chapitre Feux de forĂȘts.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Queyrac », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Librairie Guénégaud, Paris, 1979.
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, op. cit.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « Ăglise Saint-Hilaire », notice no IA00024669, base MĂ©rimĂ©e, ministĂšre français de la Culture.
- « Eglise paroissiale Saint-Hilaire », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
- « Chapelle Saint-Roch », notice no IA00024670, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
- Ăditions FĂ©ret, "Bordeaux et ses vins", XIXe Ă©dition, page 440, (ISBN 978-2-35156-148-5).
- Ăditions FĂ©ret, "Bordeaux et ses vins", XIXe Ă©dition, page 439, (ISBN 978-2-35156-148-5).
- « L'écrivain Eric Holder s'est éteint cette semaine chez lui à Queyrac dans le Médoc », sur SudOuest.fr (consulté le ).
Voir aussi
Bibliographie
Jacques Baurein, Variétés Bordeloises, t. 1, Bordeaux, , 2e éd. (1re éd. 1786) (lire en ligne), article 1.XIII, pages 116-120.
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Queyrac sur le site de l'Institut géographique national (archive)
- « Queyrac », base Mérimée, ministÚre français de la Culture