Porrentruy
Porrentruy (prononcĂ© [pÉÊÉÌtÊÉ„i]) (en franc-comtois : PoĂ©rreintru et en allemand : Pruntrut) est une commune suisse situĂ©e dans le canton du Jura dans la rĂ©gion de l'Ajoie. Elle est le chef-lieu du district de Porrentruy. Elle est la troisiĂšme commune du canton du Jura par sa population.
Porrentruy (de) Pruntrut | ||||
Vue depuis une montgolfiĂšre. | ||||
Armoiries |
Logo |
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Administration | ||||
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Pays | Suisse | |||
Canton | Jura | |||
District | Porrentruy | |||
Communes limitrophes | Alle, Bure, CĆuve, Courchavon, Courgenay, Courtedoux, Fontenais | |||
Maire Mandat |
Philippe Eggertswyler 2023-2027 |
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NPA | 2900 | |||
No OFS | 6800 | |||
DĂ©mographie | ||||
Gentilé | Bruntrutain | |||
Population permanente |
6 434 hab. (31 décembre 2020) | |||
Densité | 436 hab./km2 | |||
Langue | Français | |||
GĂ©ographie | ||||
CoordonnĂ©es | 47° 25âČ 02âł nord, 7° 04âČ 34âł est | |||
Altitude | 443 m |
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Superficie | 14,75 km2 | |||
Localisation | ||||
Carte de la commune
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GĂ©olocalisation sur la carte : Suisse
GĂ©olocalisation sur la carte : Suisse
GĂ©olocalisation sur la carte : canton du Jura
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Liens | ||||
Site web | porrentruy.ch | |||
Sources | ||||
Référence population suisse[1] | ||||
Référence superficie suisse[2] | ||||
GĂ©ographie
La commune de Porrentruy se situe Ă l'extrĂȘme nord-ouest de la Suisse, dans le canton du Jura. Elle est le chef-lieu du district de Porrentruy et fait partie du domaine gĂ©ographique de la vallĂ©e de l'Allaine dans la rĂ©gion ajoulote. Elle est traversĂ©e par l'Allaine, une riviĂšre affluente du Doubs.
Le territoire de Porrentruy s'étend sur 14,75 km2[2]. Lors du relevé de 2013-2018, les surfaces d'habitations et d'infrastructures représentaient 24,5 % de sa superficie, les surfaces agricoles 34,5 %, les surfaces boisées 40,2 % et les surfaces improductives 1,1 %[3].
Urbanisme
La commune est desservie par :
- La ligne ferroviaire CFF Bienne - Delémont - Porrentruy - Delle ;
- La ligne de Porrentruy Ă Bonfol des Chemins de fer du Jura (CJ) ;
- L'autoroute A16 Bienne - Delémont - Porrentruy - Belfort, Sortie 4 (Porrentruy-Ouest) direction Courtedoux et Bressaucourt et sortie 5 (Porrentruy-Est) direction Alle et Courgenay.
La gare de Porrentruy est Ă 2 h 30 min de Paris en utilisant le TGV.
Histoire
Appartenances historiques
PrincipautĂ© Ă©piscopale de BĂąle 1283â1397 |
Le site est habité dÚs l'époque romaine (en 1983, un fanum (temple gallo-romain) a été mis au jour, prÚs du cimetiÚre actuel « En Solier »), mais les premiÚres mentions historiques se situent entre 968 et 1148. Les documents révÚlent l'existence d'une petite bourgade, avec une église paroissiale dédiée à saint Germain et, aprÚs 1233, avec une chapelle située sur la colline sud, à l'emplacement de l'actuelle église Saint-Pierre.
En 1283, Porrentruy reçoit sa charte de franchises de lâempereur Rodolphe de Habsbourg. Mais au XIIIe siĂšcle la situation est compliquĂ©e ; engagĂ©e sous condition au comte de MontbĂ©liard en 1236, la ville doit faire retour aux Ferrette, mais ceux-ci ont, entretemps, cĂ©dĂ© leurs droits Ă lâĂ©vĂȘque de BĂąle. Le nouveau comte de MontbĂ©liard, Renaud de Bourgogne (frĂšre dâOthon IV, comte de Bourgogne), ne tient pas Ă accroĂźtre encore la puissance de son voisin. Il entre en guerre ouverte contre lâĂ©vĂȘchĂ© de BĂąle et se saisit du chĂąteau de Porrentruy. La mĂȘme annĂ©e, pour financer sa campagne, Renaud accorde des franchises, immunitĂ©s et privilĂšges semblables aux bourgeois de la citĂ© de MontbĂ©liard, moyennant 1 000 livres estevenantes (monnaie de Besançon). Mais au bout du compte, les princes-Ă©vĂȘques de BĂąle, soutenus par lâEmpereur, auront raison de Renaud de Bourgogne. En 1386, l'Ă©vĂȘque Imier de Ramstein dut vendre toute l'Ajoie, Porrentruy et son chĂąteau, au comte Ătienne de MontbĂ©liard (maison de Montfaucon) pour 11 000 florins. Ă sa mort, en 1397, lâhĂ©ritage tomba dans la corbeille de sa petite-fille, Henriette dâOrbe, qui Ă©pousa 10 ans plus tard Eberhard IV, comte de Wurtemberg.
En 1409, Eberhard IV confirma les franchises de la ville aux bourgeois de Porrentruy (ainsi quâĂ ceux de MontbĂ©liard). Devenue veuve et gouvernant seule le Wurtemberg, la comtesse Henriette rĂ©gnera sur la citĂ© de Porrentruy ; elle devait encore acquĂ©rir de lâĂ©vĂȘque de BĂąle, pour 3 000 florins dâor, la partie occidentale de lâAjoie. Les bourgeois de Porrentruy nâont dâailleurs eu quâĂ se louer de lâadministration des Wurtemberg, qui leur avaient octroyĂ© des privilĂšges et des bienfaits. Les princes wurtembergeois rĂ©gneront encore sur Porrentruy jusquâen 1461, date Ă laquelle ils rĂ©trocĂ©dĂšrent toute lâAjoie Ă l'Ă©vĂȘque Jean de Venningen, moyennant une somme considĂ©rable.
AprĂšs le passage de la ville de BĂąle Ă la RĂ©forme protestante (1528), Porrentruy devint le siĂšge « provisoire » des princes-Ă©vĂȘques de BĂąle et le resta officiellement jusqu'en 1828, date Ă laquelle le siĂšge fut transfĂ©rĂ© Ă Soleure. L'Ă©piscopat de Jacques Christophe Blarer de Wartensee (1575-1608) fut une Ă©poque brillante pour la ville, suivie de la pĂ©riode noire de la guerre de Trente Ans.
Le , la ville fut prise par le général Custine. Porrentruy devint le chef-lieu du département français du Mont-Terrible de 1793 à 1800.
De 1800 à 1815, Porrentruy fut un chef-lieu d'arrondissement du département du Haut-Rhin.
Politique et administration
Organisation
Les autoritĂ©s municipales sont constituĂ©es de deux pouvoirs : le lĂ©gislatif et lâexĂ©cutif.
- Le législatif s'appelle « Conseil de ville ». Il se compose de 41 membres, élus tous les cinq ans, selon le systÚme proportionnel. Il exerce la surveillance de l'ensemble de l'administration communale et prend les mesures nécessaires à cet effet.
Répartition proportionnelle au « Conseil de ville » pour la législature 2013-2017 : PDC : 14 ; PS : 9 ; PLR : 10 ; PCSI : 8 ;
Président(e) : Manuel Godinat (PLR) (2015).
- L'exécutif, appelé « conseil municipal », est composé de six conseillers et du maire, qui en est le président. Le vice-président (adjoint) est élu par le conseil communal, pour une durée d'une année, par rotation. Le maire est élu pour cinq ans selon le systÚme majoritaire à deux tours et les membres du Conseil (« conseillers municipaux ») sont élus selon le systÚme proportionnel pour cinq ans également. L'exécutif exerce dans l'administration tous les pouvoirs qui ne sont pas attribués à un autre organe par des prescriptions de droit fédéral, cantonal ou communal. Il représente la commune municipale envers les tiers.
Répartition des siÚges « Conseil municipal » pour la législature 2013-2017 : PDC : 2 ; PLR : 1 ; PS : 1 ; PCSI : 2.
Liste des maires
Début | Fin | Nom | Parti | Qualité |
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1800 | 1807 | Jean-Georges Quiquerez[4] (1755-1832) |
Notaire ;
Receveur et conseiller des finances du prince-Ă©vĂȘque ; Receveur de l'enregistrement dans le Mont-Terrible. | |
1858 | 1860 | Joseph Trouillat[5] (1815-1863) |
Conservateur ; | Professeur et bibliothécaire au collÚge de Porrentruy ;
Conservateur des archives de l'Ă©vĂȘchĂ© de BĂąle. |
1860 | 1874 | Pierre-François Girardin[6] (?-?) |
NĂ©gociant ;
Député au Grand Conseil bernois (1846-1847 ; 1854-1860). | |
1874 | 1876 | Charles Bodenheimer[7] (?-?) |
Radical | MĂ©decin ;
PrĂ©sident de la Commission de l'Ăcole cantonale de Porrentruy. |
1876 | 1878 | Hyppolyte Paulet[8] (1818-1879) |
Radical | GĂ©omĂštre ;
Député au Grand Conseil bernois (1854-1862) ; Directeur du cadastre et de l'impÎt foncier du Jura bernois (1873-1878) ; Conseiller national (1872-1879) ; Préfet du district de Porrentruy (1878-1879). |
1878 | 1891 | NĂ©pomucĂšne Schmider (1816-1894) |
Radical | |
1891 | 1896 | Ferdinand Kenel[9] (?-1931) |
Radical | HĂŽtelier, puis horloger. |
1896 | 1920 | Joseph Maillat (1854-1923) |
PLR | GĂ©omĂštre ;
Directeur du cadastre du Jura bernois (1884-1923). |
1920 | 1939 | Achille Merguin (1863-1939) |
PLR | |
1940 | 1950 | Paul Billieux[10] (1884-1960) |
PLR | Avocat ;
Président du tribunal du district de La Neuveville (1910-1913) ; Procureur du Jura (1913-1954) ; Conseiller national (1922-1931, 1934-1943). |
1950 | 1972 | Charles Parietti (1912-1981) |
PLR | Exploitant du Moulin des halles de Porrentruy ;
Député au Grand Conseil bernois (1954-1970; 1973-1974). |
1972 | 1984 | Gabriel Theubet[11] (1936-) |
PDC | Instituteur, journaliste ;
Chef de la Trésorerie générale du canton du Jura (1984-1993) ; Conseiller national (1987-1995). |
1985 | 1988 | Robert Salvadé[12] (1936-) |
PDC | Banquier ;
Directeur de la filiale de la Banque cantonale bernoise à Porrentruy (1976-1979) ; Directeur adjoint (1979-1992), puis directeur général de la Banque cantonale du Jura (1992-1997). |
1988 | 1995 | Jean-Marie Voirol[13] (1933-) |
PLR | Instituteur ;
Député au Parlement du canton du Jura (1982-1994). |
1996 | 2004 | Hubert Theurillat (?-) |
PDC | |
2005 | 2012 | GĂ©rard Guenat[14] (1946-) |
PDC | Imprimeur. |
2013 | 2017 | Pierre-Arnauld Fueg (?-) |
PDC | |
2018 | Gabriel Voirol[15] (1961-) |
PLR | Pharmacien ;
Pharmacien cantonal du Jura (1989-2006) ; Député au Parlement du canton du Jura dÚs 2015. |
Jumelage
Porrentruy est jumelée avec Tarascon (France), ou Tarascon-sur-RhÎne, commune française située à l'extrémité ouest du département des Bouches-du-RhÎne et de la région Provence-Alpes-CÎte d'Azur, peuplée de 15 056 habitants en 2015. Le jumelage a été ratifié en 1969[16].
Population et société
Ăvolution de la population
Porrentruy compte 6 434 habitants au 31 dĂ©cembre 2020 pour une densitĂ© de population de 436 hab/km2[1]. Sur la pĂ©riode 2010-2019, sa population a diminuĂ© de â1,9 % (canton : 5,1 % ; Suisse : 9,4 %)[2].
Pyramide des Ăąges
En 2020, le taux de personnes de moins de 30 ans s'Ă©lĂšve Ă 31,4 %, au-dessous de la valeur cantonale (33 %). Le taux de personnes de plus de 60 ans est quant Ă lui de 30,7 %, alors qu'il est de 28,1 % au niveau cantonal[18].
La mĂȘme annĂ©e, la commune compte 3 186 hommes pour 3 248 femmes, soit un taux de 49,5 % d'hommes, similaire Ă celui du canton (49,5 %)[18].
Enseignement supérieur
- Lycée cantonal de Porrentruy et école supérieure de commerce ;
- Haute école spécialisée de Suisse occidentale (HES-SO), école d'ingénieurs Arc partagée avec Saint-Imier, Le Locle (microtechniques, génie mécanique, génie électrique et informatique), HEP haute école pédagogique.
Sports
La ville compte un club de hockey sur glace en Championnat de Suisse de hockey sur glace de national league : le HC Ajoie.
Elle a été ville étape du Tour de France le dimanche , étape remportée par le Français Thibaut Pinot (22 ans) de l'équipe FDJ-Bigmat, le plus jeune coureur de la compétition.
Ăconomie
La ville de Porrentruy est le centre économique de l'Ajoie. De nombreuses entreprises dans le domaine de la construction, de la mécanique et de l'horlogerie y sont installées. Les commerces sont principalement concentrés dans la vieille-ville. Cependant, deux centres commerciaux sont installés en bordure de la vieille-ville, sur la route de Courgenay. Porrentruy abrite aussi les succursales des principales banques du pays. Elle est le siÚge de la Banque cantonale du Jura.
Culture locale et patrimoine
LĂ©gende du sanglier
Le sanglier possĂšde une place particuliĂšre dans la culture bruntrutaine. Encore aujourd'hui, on le rencontre dans les forĂȘts avoisinantes, sur les armoiries et sous la forme d'une statue devant la mairie. La lĂ©gende raconte[19] :
« Un jour dâautrefois, une singuliĂšre bĂȘte, courant ventre Ă terre, queue en lâair et la gueule grande ouverte (un Ă©norme sanglier) franchissait le rempart de dix pieds comme si çâavait Ă©tĂ© une petite clĂŽture de rien du tout.
AprĂšs moult pĂ©ripĂ©ties dont le rĂ©cit fait Ă©tat, la bĂȘte fut frappĂ©e Ă mort par la hache lancĂ©e dâune fenĂȘtre par un courageux bruntrutain ! Elle sâĂ©croula finalement devant le perron de lâHĂŽtel de ville.
Lâaventure fit comprendre à « Messieurs du Conseil » quâen certains endroits le mur de lâenceinte de la ville Ă©tait insuffisamment haut pour sâopposer aux attaques de lâennemi. Il fut donc dĂ©cidĂ© de pousser les remparts Ă une hauteur plus imposante.
Ce sanglier providentiel Ă©tait donc, Ă nâen pas douter, le messager des Puissances protectrices de la cité⊠Le Conseil arrĂȘta, en sĂ©ance solennelle, que, dorĂ©navant, le sanglier deviendrait lâemblĂšme de la louable ville de Porrentruy. Les Ă©tendards de la citĂ© arborĂšrent donc le sanglier de sable sur champ dâargent et les sceaux officiels imprimĂšrent sur tous les documents lâanimal hĂ©raldique, hirsute, bondissant et grognant, qui avait incarnĂ©, Ă un moment mĂ©morable, le bon gĂ©nie de la citĂ©. »
Lieux et monuments
- Le chĂąteau ;
- L'Ă©glise Saint-Pierre ;
- L'Ă©glise Saint-Germain ;
- Le collĂšge Saint-Charles ;
- L'hĂŽtel-Dieu (ancien hĂŽpital) ;
- L'HĂŽtel des halles ;
- L'ancienne Ă©glise des JĂ©suites;
- L'ancien collÚge des Jésuites (lycée cantonal) ;
- L'Ă©cole Juventuti ;
- L'hÎtel de Gléresse ;
- La chapelle de Lorette ;
- L'hĂŽtel de ville ;
- La porte de France ;
- Les trois fontaines historiques : La Samaritaine, le Suisse et la Boule dorée ;
- Le pavillon des remparts ;
- Le POPA.
Arts et culture
Porrentruy possÚde depuis 2016 un musée unique en Europe consacré à l'art optique, le POPA (Porrentruy Optical Art).
Depuis 2017, Porrentruy fait partie de l'association Les plus beaux villages de Suisse[20].
Personnalités liées à la commune
- Pierre-François PĂąris, 1721-1799?, gĂ©omĂštre, architecte des prince-Ă©vĂȘques, directeur des travaux public, prĂ©sident du conseil de rĂ©gence en 1792 ;
- Xavier Stockmar, 1797-1864, homme politique et patriote jurassien, cofondateur de la Société d'émulation du Jura en 1847 ;
- Jules Thurmann, 1804-1855, géologue et botaniste suisse ;
- Jean-Baptiste Jecker (1812-1871), homme d'affaires, né à Porrentruy ;
- Robert Caze (1853-1886), écrivain, exilé par la Commune à Porrentruy ;
- Emil Causé (1867-?), décorateur franco-suisse né dans cette ville ;
- Auguste Viatte (1901-1993), homme de lettres, né à Porrentruy ;
- Maurice Lapaire (1905-1997), peintre suisse né à Porrentruy ;
- Jean-Paul Pellaton (1920-2000), écrivain, né à Porrentruy ;
- François Schaller, économiste, président du conseil de la Banque nationale, né à Porrentruy le .
- Pierre Michel (1924-2009), peintre, né à Porrentruy ;
- Jean-Pierre Schaller, théologien, né à Porrentruy le .
- Alexandre Voisard, écrivain, né à Porrentruy le ;
- MichÚle Bolli (1945-), écrivain vaudoise y est née ;
- Georges Baumgartner, journaliste, né à Porrentruy en 1952 ;
- François Schaller, journaliste et essayiste, né à Porrentruy le .
- Bernard Comment, écrivain, né à Porrentruy en 1960 ;
- Giselle Rufer, cheffe d'entreprise, a grandi Ă Porrentruy ;
- Jean-François Comment, artiste, nĂ© Ă Porrentruy en 1919, mort en 2002 dans la mĂȘme ville ;
- Arnaud Bédat, reporter, né à Porrentruy en 1966, auteur de livres à succÚs sur le pape François.
- Rodolphe Cattin, designer horloger et joailler, né le à Porrentruy.
- Florian Froehlich, artiste contemporain, né en 1959.
Distinctions
- Elle obtient le prix Wakker en 1988 ;
- Elle fait partie depuis 2017 des plus beaux villages de Suisse.
Notes et références
- « Bilan démographique selon le niveau géographique institutionnel », sur Office fédéral de la statistique (consulté le ).
- « Portraits régionaux 2021: chiffres-clés de toutes les communes » [xls], sur Office fédéral de la statistique (consulté le ).
- Office fédéral de la statistique, « Statistique de la superficie standard - Communes selon 4 domaines principaux » [xls], sur www.bfs.admin.ch, (consulté le ).
- André Bandelier, « Quiquerez, Jean-Georges », sur HLS-DHS-DSS.CH (consulté le )
- Dominique Prongué, « Trouillat, Joseph », sur HLS-DHS-DSS.CH (consulté le )
- « DIJU - Dictionnaire du Jura â Girardin, Pierre-François (?-?) », sur www.diju.ch (consultĂ© le )
- « DIJU - Dictionnaire du Jura â Bodenheimer, Charles (?-?) », sur www.diju.ch (consultĂ© le )
- François Kohler, « Paulet, Hippolyte », sur HLS-DHS-DSS.CH (consulté le )
- « DIJU - Dictionnaire du Jura â Kenel, Ferdinand (?-1931) », sur www.diju.ch (consultĂ© le )
- Peter Stettler / LTT, « Billieux, Paul », sur HLS-DHS-DSS.CH (consulté le )
- « DIJU - Dictionnaire du Jura â Theubet, Gabriel (1936-) », sur www.diju.ch (consultĂ© le )
- « DIJU - Dictionnaire du Jura â SalvadĂ©, Robert (1936-) », sur www.diju.ch (consultĂ© le )
- « DIJU - Dictionnaire du Jura â Voirol, Jean-Marie (1933-) », sur www.diju.ch (consultĂ© le )
- « DIJU - Dictionnaire du Jura â Guenat, GĂ©rard (1946-) », sur www.diju.ch (consultĂ© le )
- « DIJU - Dictionnaire du Jura â Voirol, Gabriel (1961-) », sur www.diju.ch (consultĂ© le )
- www.chronologie-jurassienne.ch, Chronologie jurassienne, « Jumelage | Chronologie jurassienne - de l'époque romaine à nos jours », sur www.chronologie-jurassienne.ch (consulté le )
- « Ăvolution de la population des communes 1850-2000 » , sur Office fĂ©dĂ©ral de la statistique, (consultĂ© le ).
- « Population résidante permanente et non permanente selon les niveaux géographiques institutionnels, la nationalité (catégorie), le lieu de naissance, le sexe et la classe d'ùge » , sur Office fédéral de la statistique (consulté le ).
- « Notre Histoire », sur porrentruy.ch (consulté le ).
- « Porrentruy parmi les plus beaux villages de Suisse », sur www.rfj.ch, (consulté le )
Voir aussi
Bibliographie
- Arthur Daucourt, Dictionnaire historique des paroisses de l'ancien Ă©vĂȘchĂ© de BĂąle, GenĂšve, Slatkine, 1896-1915, 2604 p. (ISBN 978-2-05-100142-7 et 2-05-100142-1).
- Louis Vautrey, Histoire du collĂšge de Porrentruy (1590-1865), Nabu Press, (1re Ă©d. 1866), 320 p. (ISBN 978-1-279-98977-7 et 1-279-98977-7).
- Gustave Amweg, Bibliographie du Jura bernois, ancien Ă©vĂȘchĂ© de BĂąle, Le Jura, , 708 p.
- André Bandelier, Porrentruy, sous-préfecture du Haut-Rhin (thÚse de doctorat), Neuchùtel, .
- Auguste Quiquerez, Ville et chùteau de Porrentruy, J. Boéchat, , 267 p. (lire en ligne).
- (mul) « Horloge Richard Mille pour le Québec pour son 400Úme anniversaire », Gérard Guilbaud, Notre patrimoine Horloger
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Ressource relative Ă la musique :
- Notice dans un dictionnaire ou une encyclopédie généraliste :