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Pontaubault

Pontaubault est une commune française, situĂ©e dans le dĂ©partement de la Manche en rĂ©gion Normandie, peuplĂ©e de 576 habitants[Note 1].

Pontaubault
Pontaubault
Le pont Aubaud enjambant la SĂ©lune.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Normandie
DĂ©partement Manche
Arrondissement Avranches
Intercommunalité Communauté d'agglomération Mont-Saint-Michel-Normandie
Maire
Mandat
Michel Perrouault
2020-2026
Code postal 50220
Code commune 50408
DĂ©mographie
Gentilé Pontaubaltais
Population
municipale
576 hab. (2020 en augmentation de 12,06 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 297 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 48° 37â€Č 45″ nord, 1° 21â€Č 03″ ouest
Altitude Min. 7 m
Max. 72 m
Superficie 1,94 km2
Type Commune rurale et littorale
Aire d'attraction Avranches
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Pontorson
LĂ©gislatives DeuxiĂšme circonscription
Localisation
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Pontaubault
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Pontaubault
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Pontaubault
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Pontaubault
Liens
Site web pontaubault.fr

    GĂ©ographie

    La commune est situĂ©e au sud-ouest de l'Avranchin, au fond de la baie du mont Saint-Michel, bordant l'estuaire de la SĂ©lune. Son bourg est Ă  km Ă  l'ouest de Ducey, Ă  6,5 km au sud d'Avranches, Ă  13 km au nord de Saint-James et Ă  15 km au nord-est de Pontorson[1]. Couvrant 194 hectares, le territoire de Pontaubault est le moins Ă©tendu de l'arrondissement d'Avranches[2].

    La gare ferroviaire, qui se situe sur la ligne Lison-Dol de Bretagne, est abandonnée. Elle est le point de bifurcation d'une ancienne ligne (ligne Domfront - Pontaubault) qui est maintenant une voie verte.

    Communes limitrophes de Pontaubault[3]
    La Manche (estuaire de la SĂ©lune)
    CĂ©aux Pontaubault Poilley
    Précey Juilley

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[5]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[6].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[5]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 11,3 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,6 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 0,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 11,8 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 4] : 758 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 13 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 7,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[9] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[10] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Pontorson », sur la commune de Pontorson, mise en service en 1997[11] et qui se trouve Ă  14 km Ă  vol d'oiseau[12] - [Note 5], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 11,8 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 838,6 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[13].

    Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 6], « Granville – pointe du Roc », sur la commune de Granville, mise en service en 1973 et Ă  29 km[14], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11,6 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[15] Ă  11,9 °C pour 1981-2010[16], puis Ă  12,4 °C pour 1991-2020[17].

    Urbanisme

    Typologie

    Pontaubault est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7] - [18] - [19] - [20].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Avranches, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 32 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de moins de 50 000 habitants[21] - [22].

    La commune, bordĂ©e par la Manche, est Ă©galement une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[23]. Des dispositions spĂ©cifiques d’urbanisme s’y appliquent dĂšs lors afin de prĂ©server les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre Ă©cologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilitĂ©, en dehors des espaces urbanisĂ©s, sur la bande littorale des 100 mĂštres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prĂ©voit[24] - [25].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (79,3 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (82,7 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (51,1 %), terres arables (28,2 %), zones urbanisĂ©es (20,4 %), zones humides cĂŽtiĂšres (0,3 %)[26].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[27].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes : de Pontabaudo vers 1140, de Pontalbalto vers 1145, Pontalbalt vers 1150, Pons Aubaudi en 1179[28].

    Le toponyme est issu du latin pons, « pont », et d'un anthroponyme[29], germanique selon Charles Rostaing qui mentionne Ali-bald[30].

    Le gentilé est Pontaubaltais.

    Histoire

    Un Oradour évité

    Dans le village une plaque rappelle l'héroïsme de l'Alsacien François Mutschler qui réussit à sauver la vie de nombreux habitants. On peut lire[31] :

    « Le 3 février 1944 à trois heures du matin, les soldats allemands réveillent la population endormie qui sera dirigée et enfermée dans l'église à la suite des déraillements de trois trains de munitions et de troupes prÚs du pont de la Sélune.

    Les absents seront dĂ©signĂ©s comme suspects. Des otages seront choisis et exĂ©cutĂ©s. Il manque treize personnes. Les habitants doivent leur salut Ă  un soldat allemand qui servait d'interprĂšte. Son cƓur battait français. Il parvient Ă  escamoter les noms. Il bredouille en lisant et annonce finalement qu'il ne manque personne. Les Allemands renoncent. Ils laissent les habitants rentrer chez eux.

    Par son courage, ce soldat sauva plusieurs vies humaines ; celles de gens qui auraient dĂ» ĂȘtre fusillĂ©s sous prĂ©texte que des sabotages venaient du village.

    Dans une lettre datée du , cet humble et courageux soldat écrivait : « Ce que j'ai fait dans votre village était normal puisque j'étais alsacien et enrÎlé de force dans la Wehrmacht, j'ai fait mon possible pour la France tant que j'ai pu car sous l'uniforme vert battait le bleu, le blanc et le rouge ». »

    Le un espace à son nom a été inauguré[32].

    Libération

    Au mois de juillet 1944, à la suite des nombreux bombardements, l'église fut détruite[33].

    Le , à la suite de l'opération Cobra, les troupes américaines aprÚs avoir piétiné pendant des semaines dans le bocage, progressent rapidement vers le sud du Cotentin. Elles atteignent Avranches le et le lendemain, le Brigadier

    General Dager envoie des éléments du Combat Command B de la 4e division blindée américaine sur Pontaubault[34]. Ils découvrent alors que le pont sur la Sélune est endommagé mais utilisable[35]. Ce pont est la voie d'accÚs vers la Bretagne. Ils franchissent le pont et repoussent une attaque allemande de la Kampfgruppe Bacherer[34]. Le général Patton allait prendre officiellement le lendemain le commandement de la 3e armée américaine qui avait débarqué quelques jours plus tÎt en Normandie. Apprenant la nouvelle de la prise du pont, il ordonna au général Middleton de le faire franchir par la 4e et la 6e divisions blindées. Il fera passer dans les jours suivants sur le pont toutes ses troupes disponibles[34]. Plus de huit divisions vont ainsi le franchir en 72 heures.

    Politique et administration

    La mairie.
    Liste des maires
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1986 mars 2001 Joseph Laurent
    mars 2001 En cours Michel Perrouault[36] SE Éducateur technique spĂ©cialisĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.

    Le conseil municipal est composé de quinze membres dont le maire et trois adjoints[36].

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[38].

    En 2020, la commune comptait 576 habitants[Note 9], en augmentation de 12,06 % par rapport Ă  2014 (Manche : −0,97 %, France hors Mayotte : +1,9 %). Pontaubault aurait comptĂ© jusqu'Ă  567 habitants en 1836[39] - [Note 10].

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    303336367330344567367367406
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    389379379374372374396383357
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    330342327306335331334281290
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    375375483473492445469469472
    2015 2020 - - - - - - -
    533576-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[39] puis Insee Ă  partir de 2006[40].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    Le portail de l'ancienne Ă©glise.
    La nouvelle église Saint-André.
    Viaduc en service enjambant la SĂ©lune.
    L'ancien viaduc ferroviaire.

    Personnalités liées à la commune

    • Louis Ravalet (1924 Ă  Pontaubault-2009), coauteur de Pontaubault 1944 : naissance d'une amitiĂ© franco-amĂ©ricaine avec W.H. Turner[41], fondateur de la maison mĂ©dicale de Saint-James.

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2020.
    2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur trente ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[7].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[8].
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    10. Noter qu'il pourrait s'agir d'une erreur de transcription, les valeurs des recensements voisins étant 344 (en 1831) et 367 (1841), une population de 367 habitants serait beaucoup plus cohérente. Dans ce cas, la population maximum serait celle de 1990 (492 habitants).

    Références

    1. Distances routiĂšres les plus courtes selon Viamichelin.fr.
    2. Répertoire géographique des communes.
    3. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
    4. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
    5. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le ).
    6. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
    7. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    8. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    9. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    10. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    11. « Station Météo-France Pontorson - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    12. « Orthodromie entre Pontaubault et Pontorson », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station Météo-France Pontorson - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    14. « Orthodromie entre Pontaubault et Granville », sur fr.distance.to (consulté le ).
    15. « Station mĂ©tĂ©orologique de Granville – pointe du Roc - Normales pour la pĂ©riode 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consultĂ© le )
    16. « Station mĂ©tĂ©orologique de Granville – pointe du Roc - Normales pour la pĂ©riode 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consultĂ© le )
    17. « Station mĂ©tĂ©orologique de Granville – pointe du Roc - Normales pour la pĂ©riode 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consultĂ© le ).
    18. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    20. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    21. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    22. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    23. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
    24. « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
    25. « Loi relative Ă  l’amĂ©nagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consultĂ© le ).
    26. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le ).
    27. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    28. Ernest NÚgre - 1998 - Toponymie générale de la France: Formations dialectales (suite) et françaises - Page 1670.
    29. René Lepelley, Noms de lieux de Normandie et des ßles Anglo-Normandes, Paris, Bonneton, , 223 p. (ISBN 2-86253-247-9), p. 137.
    30. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire Ă©tymologique des noms de lieux en France, Paris, Larousse, .
    31. On trouvera La belle histoire de François Mutschler sur le site officiel de Pontaubault ainsi que sur le site des Malgré-Nous.
    32. « Ouest-france.fr - L'Espace François-Mutschler a été inauguré » (consulté le ).
    33. L'épisode est raconté de façon plus détaillé sur un site consacré aux Malgré-Nous.
    34.  Â« Pontaubault »  dans le Dictionnaire du DĂ©barquement, page 551, sous la direction de Claude QuĂ©tel, Ă©d. Ouest-France, 2011.
    35. D-Day et la bataille de Normandie de Anthony Beevor, page 406, Ă©d. Calmann-Levy, juin 2009
    36. Réélection 2020 : « Pontaubault. Michel Perrouault a été réélu maire », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le )
    37. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    38. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    39. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    40. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    41. CRL de Basse-Normandie « Copie archivée » (version du 24 décembre 2013 sur Internet Archive).

    Voir aussi

    Article connexe

    Liens externes

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