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Pinus halepensis

Le pin blanc de Provence ou pin d'Alep (Pinus halepensis) est un conifère de la famille des Pinacées. C'est le botaniste écossais Philip Miller qui lui donna abusivement ce nom scientifique, en 1768. En effet, c'est le Pinus brutia qui pousse principalement dans la région d'Alep. Sa répartition géographique est essentiellement autour des côtes méditerranéennes, et plus particulièrement en Afrique du Nord et en Espagne. Il est parfois appelé pin de Jérusalem.

Pinus halepensis
Description de cette image, également commentée ci-après
Un bosquet de pins d'Alep (Pinus halepensis)

Espèce

Pinus halepensis
Mill., 1768

Répartition géographique

Description de l'image Pinus halepensis range.svg.

Statut de conservation UICN

( LC )
LC : Préoccupation mineure

Description

Pin d'Alep au stade juvénile à Rognes.

Arbre d'environ 10-25 m, souvent penché et peu droit, la cime est assez écrasée, irrégulière et claire, les branches sont assez étalées. Il vit couramment 150 à 200 ans dans une majorité de son aire, et jusqu’à 250 ans au Maghreb.

Les rameaux sont vert clair puis gris clair, assez fins, faisant souvent plusieurs pousses la même année sur les rameaux vigoureux (polycyclisme).

Les bourgeons non résineux sont ovoïdes, aigus, bruns, à écailles libres frangées de blanc.

L'écorce est d'abord lisse et gris argenté, puis crevassée, écailleuse, gris brunâtre.

Les feuilles sont des aiguilles par deux, fines, aiguës souples, de 6 à 10 cm, vert grisâtre, appliquées le long des pousses la première année puis s'en écartant. Elles sont groupées en pinceaux à l'extrémité des rameaux faibles, dont la base est occupée par les fleurs mâles au printemps, mais sont disposées tout au long de la tige sur les rameaux forts. Elles persistent 2 à 4 ans, d'autant moins que les rameaux poussent rapidement.

Les cônes mâles sont jaunes teintés de rouge gorgés de pollen, oblongs, peu serrés ; les fleurs femelles sont pédonculées rose-violacé.

Les cônes femelles sont gros de 6 à 12 cm, à pédoncules épais de 1 à 2 cm, souvent isolés mais pouvant être groupés par 2 à 4. Leur développement se fait sur 3 années: après la floraison, ils verdissent d'abord puis deviennent gris-brun en 2 mois, et arrêtent leur croissance une première fois en début d'été, à une taille de 10 à 15 mm. Au printemps de la 2e année, ils reprennent leur croissance en devenant vert et atteignent leur taille définitive en début d'été. Lors du 3e printemps, ils ne grossissent plus mais mûrissent en jaunissant puis deviennent brun clair, luisants. Les graines sont prêtes à germer à partir de juin. Les cônes vont alors suivre deux voies : soit s'ouvrir au cours de l'été avec la sécheresse, soit rester fermés durant des années pour conserver des graines à l'abri des feux. Ces derniers, dit « sérotineux », ont les écailles collées par une abondante résine. Celle-ci est détruite lors des incendies, qui permettent la libération les graines dans un milieu favorable où les jeunes pins auront peu de concurrence. Ouverts ou fermés, les cônes peuvent rester plusieurs dizaines d'années accrochés aux branches. Cependant, les écureuils s'attaquent aux cônes pour se nourrir des graines en arrachant souvent toutes les écailles et en faisant tomber les cônes. Graines gris-noir légère (poids de 1000 graines = 15 à 20 grammes), de 4 à 7 mm de long, dotée d'une aile de 15 à 25 mm facilitant sa dissémination[1].

  • Comparaison des aires de rĂ©partition de Pinus halepensis et Pinus brutia
    Comparaison des aires de répartition de Pinus halepensis et Pinus brutia
  • Le tronc d'un pin d'Alep Ă  Sète, France.
    Le tronc d'un pin d'Alep à Sète, France.
  • Pinus halepensis - MusĂ©um de Toulouse
    Pinus halepensis - Muséum de Toulouse
  • CĂ´ne
    CĂ´ne

Caractéristiques

  • Organes reproducteurs
    • Type d'« inflorescence » : cĂ´ne
    • RĂ©partition des sexes : monoĂŻque
    • Type de pollinisation : anĂ©mogame
    • PĂ©riode de floraison : avril-mai
  • Graine
    • Type de « fructification » : cĂ´ne
    • Mode de dissĂ©mination : principalement anĂ©mochore (les fourmis stockent les graines pour s'en nourrir et contribuent aussi Ă  la dissĂ©mination locale des graines tombĂ©es au sol).
  • Habitat et rĂ©partition
    • Habitat type : bois mĂ©diterranĂ©ens sempervirens
    • Aire de rĂ©partition : mĂ©diterranĂ©en[2]

RĂ©partition

le Vieux Pin d'Alep Ă  Miramas, France
Un Pin d'Alep mort.

Originaire du Bassin méditerranéen-Macaronésie où il est particulièrement présent sur le littoral du bassin algéro-provençal, il a notamment été introduit en Californie, mais aussi en Afrique du Sud, en Argentine et au Chili où il se montre parfois invasif. En France-métropolitaine, il est essentiellement présent dans le Grand-Midi Méditerranéen, relevant de son biome d'élection : majeure partie de l'Occitanie, vallée méridionale du Rhône (avec pour limite septentrionale le secteur de Valence), majeure partie de Provence-Alpes-Côte d'Azur et Corse. Au nord de cette grande région, il est présent dans les secteurs de France-métropolitaine suivants : Lot-et-Garonne, Saintonge, Aunis, Archipel charentais, Rhône (département), Haute-Savoie, Val de Loire tourangeau, Nord du Berry, Essonne[3]...

ConsidĂ©rĂ© comme espèce envahissante et très vulnĂ©rable aux incendies, le pin d'Alep apparaĂ®t en rĂ©gions semi-dĂ©sertiques, notamment en Libye, oĂą sa tolĂ©rance Ă  la sĂ©cheresse est remarquable (il supporte des moyennes annuelles de prĂ©cipitations de seulement 250 mm). Il craint en revanche les pĂ©riodes prolongĂ©es de gel, notamment pour les provenances du sud de son aire, les grands gels en dessous de -15 °C. Il est en particulier sensible Ă  ces gelĂ©es lorsqu'elles surviennent après une pĂ©riode hivernale chaude qui a provoquĂ© le dĂ©marrage prĂ©coce de croissance. Dans l'absolu, des peuplements ont rĂ©sistĂ© Ă  des tempĂ©ratures de -20 °C. Il est très vulnĂ©rable face aux chutes de neige importantes; ses branches fragiles cassent facilement, l'arbre pouvant mĂŞme ĂŞtre dĂ©racinĂ©. Gel et neige limitent ainsi sa prĂ©sence en France en dessous de 800 m en versants nord, et 1000 m en versants sud, Ă  1500 m au Maghreb. Outre l'avifaune, le pin d'Alep hĂ©berge notamment: le mulot, l'Ă©cureuil, la cigale, la chenille processionnaire du pin et le bombyx du pin.

Le pin d'Alep est une des essences les plus adaptables pour les types de substrats et la qualité des sols : des sols carbonatés argileux sur calcaires ou marnes jusqu'aux sols sableux acides sur grès, gneiss ou granite. Sur sols acides, il est moins présent historiquement, car le pin maritime, à croissance plus rapide et meilleur producteur de résine, lui a été longtemps préféré. Sa croissance en hauteur et sa productivité sont plus liées à la disponibilité en eau dans le site qu'au climat : cette disponibilité dépend entre autres de la topographie, de la profondeur et de la qualité du sol[4]. À climat identique, il peut se contenter de fissures dans des rochers pour survivre et atteindre 1 m de haut en 50 ans, et atteindre 25 m de haut sur des sols profonds de fond de vallée. Il résiste bien aux embruns salés en bord de mer.

C'est « une des espèces forestières qui présentent une forte dynamique spatiale de peuplements, dynamique résultant de son caractère pionnier et de sa capacité à se régénérer dans les zones exposées au risque d'incendie[5] ».

Comportement au feu

Le pin d’Alep est une espèce très inflammable. De plus, certaines de ses caractéristiques morphologiques et physiologiques favorisent la propagation de l’incendie. Ses branches mortes ne s’élaguent pas ; ses cônes s’accumulent dans le houppier qui devient très inflammable ; la faible densité d’aiguille facilite l’apport d’oxygène ce qui attise la combustion ; ses rameaux renferment une forte concentration en éléments chimiques volatiles très inflammables, comme des terpènes…[6]

Cependant après le passage du feu, l’espèce a des atouts pour reconquĂ©rir les sols incendiĂ©s. Comme d’autres conifères, elle produit des cĂ´nes fermĂ©s par la rĂ©sine (comportement de sĂ©rotinie), qui mĂŞme Ă  maturitĂ© persistent sur l'arbre et ne s'ouvrent que sous l'effet de la chaleur intense et brutale de l'incendie. « Une fois libĂ©rĂ©es, les graines de cĂ´nes sĂ©rotineux (40 Ă  80 % des cĂ´nes produits chaque annĂ©e) prĂ©sentent un plus fort taux de germination que les graines issues de cĂ´nes non sĂ©rotineux[7] ». Il s’agit en quelque sorte d’une adaptation au feu. La pluie de graines (60 Ă  80 /m2 en moyenne) en provenance des cĂ´nes ouverts par le feu dĂ©marre quelques heures après le passage du feu et dure environ une semaine avec un pic entre le premier et le troisième jour.

Compte tenu de ses propriĂ©tĂ©s très inflammables, faut-il ou non reboiser en pin d'Alep ? Si l'on souhaite retrouver un paysage similaire Ă  celui d'avant l'incendie, on favorisera le retour du pin d'Alep qui bĂ©nĂ©ficie d'un bon potentiel de rĂ©gĂ©nĂ©ration après les feux. Cependant, si on envisage des peuplements moins vulnĂ©rables au feu, on privilĂ©giera d'autres espèces, comme le pin pignon Ă  l'Ă©corce plus Ă©paisse et Ă  la houppe plus dense, ce qui limite le dĂ©veloppement du sous-bois. On peut aussi amĂ©liorer la rĂ©silience des peuplements en introduisant des feuillus[8]. Des outils d'aide Ă  la dĂ©cision "comme ceux-dĂ©veloppĂ©s dans le cadre du projet de recherche europĂ©en FUME[9] (2009, 2013) - expliquent comment obtenir des peuplements plus rĂ©sistants face au feu, et se rĂ©gĂ©nĂ©rant mieux après le passage du feu".  Les chercheurs ont notamment montrĂ© comment transformer des peuplements de pins en forĂŞts mĂ©langĂ©es pin et chĂŞne blanc pour limiter les risques Ă  long terme.

Écorce d'un pin d'Alep

Propriétés et utilisations

Le bois souple et dur fut utilisé pour l'étayage des mines, la construction navale et la charpenterie. La qualité est moyenne et les nœuds sont fréquents. Il est assez riche en canaux résinifères; peut donc être gemmé car sa résine est appréciée, mais pas assez abondante pour que le gemmage soit encore pratiqué en France (le gemmage consiste à blesser le pin pour en extraire la gemme ou résine).

Pin d'Alep dans la forĂŞt de Fontvieille (13)

Les pêcheurs se sont longtemps servis de son écorce pilée et bouillie, dont les tanins renforçaient et teignaient les filets.

Les Grecs utilisent sa résine pour parfumer la retsina, un vin local. Une autre utilisation typiquement tunisienne est l'Assidat zgougou, préparée à l'occasion du Mouled.

A l'heure actuelle, le bois est surtout utilisé pour l’industrie papetière et le bois-énergie pour les plus petits diamètres, et pour la caisserie, l’emballage, voire la charpente pour les plus gros diamètres.

Ressource mobilisable

En France, en 2010, le pin d’Alep couvrait environ 240 000 ha, dont plus de 200 000 ha en région Provence-Alpes-Côte-d'Azur, représentant 270 000 m3 de bois disponible par an. Cette disponibilité devrait augmenter fortement pour atteindre 450 000 m3 par an en 2040. Cependant, compte tenu des difficultés de mobilisation et d’exploitation, on estime que seule 45 % de cette ressource est, et sera, commercialisée : soit 127 000 m3 en 2010 et 210 000 m3 en 2040. Ces chiffres placent le pin d'Alep comme la première essence en termes de volume disponible dans la région Provence-Alpes-Côte-d'Azur, juste derrière le pin sylvestre[8], mais seulement en troisième position, après le pin noir et le pin sylvestre, concernant la récolte à cause de son faible taux de mobilisation lié à un contexte psychologique, économique, foncier et législatif. Dans les autres pays du bassin méditerranéen, seule l'Espagne consomme des volumes significatifs de pin d'Alep pour la production de sciages (palettes, caisses à fruits)[8].

Sylviculture

Des essais de plantation et de semis de feuillus (chênes, frênes, caroubiers, arbousiers, sorbiers et pistachiers) sous le couvert de pins d'Alep sont mis en œuvre dans la forêt de Saint-Mitre-les-Remparts (13). L'objectif est d'augmenter la résilience et la biodiversité des peuplements forestiers[10].

Il est gĂ©nĂ©ralement plantĂ© en futaie rĂ©gulière pure (c.-Ă -d. avec une seule essence), avec pour objectif prioritaire la production de bois. La productivitĂ© est de 3 Ă  m3/ha/an. Le diamètre d'exploitabilitĂ© (c.-Ă -d. diamètre des arbres au moment de la coupe finale Ă  maturitĂ©) est de 35 Ă  40 cm, Ă  l'âge de 80 Ă  120 ans ; 80 ans en pratiquant des Ă©claircies vigoureuses.

Cependant, bon nombre d'arguments plaident en faveur des peuplements mixtes constitués d’un étage supérieur de pin d’Alep et d’un sous étage de chêne vert et chêne pubescent : augmentation de la biodiversité, amélioration de la vie microbienne des sols, protection contre les maladies dont la propagation est moins rapide dans les peuplements mélangés, rôle paysager de ces peuplements mixtes[11]… D'un point de vue économique, ce type de peuplement permet de fournir du bois de bûche issu du taillis de chêne et des fûts de pin de qualité (rectitude des fûts et élagage naturel favorisés par la présence du sous-étage de chênes)[8].

La régénération naturelle est délicate, car de nombreuses contraintes pèsent sur la disponibilité des semences, l’installation et la survie des plantules : prédation sur l’arbre et surtout au sol où petits rongeurs et fourmis peuvent consommer 70 à 95 % des graines, compétition avec la végétation au sol, litière épaisse qui gêne la germination, lumière disponible[8].

En rĂ©gĂ©nĂ©ration artificielle les plants doivent ĂŞtre âgĂ©s de 1 an en conteneur, la densitĂ© de plantation conseillĂ©e est de 1 000 plants Ă  l'hectare (environ m Ă— m). Le mode de plantation est en plein dĂ©couvert sur terrain propre. La reprise est bonne et la croissance s'accĂ©lère après 3-5 ans.

Les interventions sylvicoles dans les peuplements traitĂ©s en futaie rĂ©gulière sont raisonnĂ©es en fonction de la fertilitĂ© des stations forestières (exposition, microclimat, profondeur du sol…). Elles consistent en des opĂ©rations de dĂ©pressage (rĂ©duction de la densitĂ© dans les peuplements jeunes non commercialisables) quand le peuplement a entre 2,5 et 3 m, d’élagage dès que le diamètre Ă  1,30 m du sol dĂ©passe les 10 Ă  12 cm et d'Ă©claircies fortes ainsi que des rotations de 10 Ă  15 ans, avec un prĂ©lèvement de l'ordre de 30 Ă  40 m3 par hectare.

Productivité et changement climatique

Plusieurs études ont montré que la croissance du pin d’Alep s’est accélérée depuis le début du XXe siècle (+ 40 % sur la hauteur moyenne et + 30 à 50 % en diamètre à 70 ans). Cette amélioration de la productivité est du même ordre de grandeur que celle observée durant la même période pour la majorité des espèces forestières dans toute l’Europe[4] - [12]. "Parmi les causes probables, on peut citer l'augmentation de CO2, l'allongement de la saison de végétation, mais aussi une amélioration progressive du sol après la surexploitation des siècles passés". Cependant, à partir de 1998, les chercheurs d’INRAE ont montré une tendance inverse, avec une baisse sensible de la croissance observée sur le pin d’Alep en France. Avec l'accroissement rapide des températures depuis 1998, la série de sécheresses qu’a connue la région méditerranéenne française entre 2003 et 2007, puis celles de 2016-2017, les chercheurs ont notamment observé une diminution du taux de ramification couplée à un déficit d’aiguilles, une faible fructification et des mortalités accrues. Les effets différés des accidents climatiques répétés notamment sur la surface foliaire auraient durablement affecté la productivité du pin d’Alep, qui en 2018 n’a toujours pas retrouvé des niveaux normaux de croissance[13].

Notes et références

  1. B. Prévosto (coord.) C. Ripert, A. Bousquet et M. Vennetier (visionnage extrait), « Carte d'identité botanique du pin d'Alep », in Le pin d'Alep en France, Editions Quae,‎ , p. 16-22 (présentation en ligne)
  2. « Flore et végétation de la France : CATMINAT, données d'après Julve, P. », (consulté le )
  3. Répartition du pin d'Alep en France-métropolitaine
  4. Vennetier M. et al., « Évaluation de la croissance du pin d’Alep en région méditerranéenne française », Revue Forestière Française,‎ , p. 503-524 (lire en ligne)
  5. Prévosto Bernard, Le pin d'Alep en France, Quae, , p. 69.
  6. (en) Ganteaume A., « Effects of vegetation type and fire regime on flammability of undisturbed litter in Southeastern France », Forest Ecology and Management, vol. 261,‎ , p. 2223-2231 (DOI 10.1016/j.foreco.2010.09.046)
  7. (en) Ne'eman G., « Reproductive traits of Pinus halepensis in the light of fire - a critical review », Plant Ecologt,‎ , p. 69-179 (lire en ligne)
  8. Bernard Prevosto et al. (visionnage extrait), Le pin d’Alep en France, 17 fiches pour gérer,, Paris, Editions Quae, , 159 p. (ISBN 978-2-7592-1972-8, présentation en ligne)
  9. (en) « FUME (Forest fire under climate, social and economic changes) », (consulté le )
  10. « Site expérimental de Saint-Mitre-les-Remparts », sur INRAE centre de recherche Provence-Alpes-Côte d'Azur, (consulté le )
  11. Guillaume d'Hanens, « Les peuplements mixtes de Pin d'Alep et chênes en Provence : Comment pérenniser le mélange des essences? », Forêt méditerranéenne, t. XIX, no 3,‎ , p. 261-266 (lire en ligne).
  12. Vila B. et al., « Les changements globaux ont-ils déjà induit des changements de croissance en forêt méditerranéenne? Le cas du pin d'Alep et du pin sylvestre de la Sainte-Baume », Forêt méditerranéenne, vol. 29, no 2,‎ , p. 161-166
  13. Michel Vennetier, « Forêts et changement climatique - Le constat en région méditerranéenne », Sciences Eaux & Territoires, no 33,‎ , p. 18-24 (DOI 10.14758/SET-REVUE.2020.3.05, lire en ligne)

Voir aussi

Bibliographie

  • PrĂ©vosto Bernard, Le pin d'Alep en France, Quae, , 160 p.

Article connexe

Références externes

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