Peillon
Peillon est une commune française située dans le département des Alpes-Maritimes, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.
Peillon | |||||
Le village de Peillon sur son éperon rocheux au-dessous du Baus Roux et la vallée du ruisseau de la Launa. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Provence-Alpes-Côte d’Azur | ||||
DĂ©partement | Alpes-Maritimes | ||||
Arrondissement | Nice | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du pays des Paillons | ||||
Maire Mandat |
Jean-Marc Rancurel 2020-2026 |
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Code postal | 06440 | ||||
Code commune | 06092 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Peillonnais(e) | ||||
Population municipale |
1 465 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 168 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
Coordonnées | 43° 46′ 43″ nord, 7° 22′ 58″ est | ||||
Altitude | Min. 115 m Max. 720 m |
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Superficie | 8,7 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Nice (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Contes | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Alpes-Maritimes
GĂ©olocalisation sur la carte : Provence-Alpes-CĂ´te d'Azur
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Liens | |||||
Site web | https://www.peillon.fr/ | ||||
Ses habitants sont appelés les Peillonnais.
GĂ©ographie
Localisation
Peillon se trouve dans la vallée du Paillon de l'Escarène, à environ[1] :
- 13 km de Nice,
- 12 km de Peille,
- 10 km de la Gare de Peillon-Sainte-Thècle (route de la Grave).
GĂ©ologie et relief
Peillon est un village perché sur un éperon rocheux, entouré par un ravin abrupt.
Sur les escaliers qui tiennent lieu de rues donnent les marches d'accès aux maisons, que des arcades, jetées sur d'étroites ruelles, relient entre elles.
Sismicité
Commune située dans une zone de sismicité moyenne[2].
Hydrographie et les eaux souterraines
Cours d'eau et eaux souterraines sur la commune ou Ă son aval[3] :
- torrent le Paillon,
- ruisseau de la launa.
- les Sources de Sainte-Thècle.
Peillon dispose de la station d'épuration intercommunale de Drap d'une capacité de 20 000 équivalent-habitants[4].
Climat
Climat classé Csb dans la classification de Köppen et Geiger[5].
Voies routières
Accès par le CD 21 par Borghéas et Châteauvieux.
Transports en commun
- Transport en Provence-Alpes-CĂ´te d'Azur
- RĂ©seau Lignes d'Azur[6].
- Gare de L'Escarène.
Communes limitrophes
Peillon est entourée par Peille à l'est, Blausasc au nord, Drap au sud.
Intercommunalité
Commune membre de la Communauté de communes du Pays des Paillons.
Urbanisme
Typologie
Peillon est une commune rurale[Note 1] - [7]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[8] - [9].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nice, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 100 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[10] - [11].
La commune dispose d'un plan local d'urbanisme.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (82,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (84 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (59,7 %), forêts (22,7 %), zones urbanisées (15,8 %), mines, décharges et chantiers (1,8 %)[12].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[13].
Morphologie urbaine
Le territoire de la commune de Peillon comprend six hameaux : Borghéas, Châteauvieux, Sainte-Thècle (qui est le chef-lieu administratif), le Moulin, les Novaines et Peillon-village.
La mairie de la commune se trouve à Sainte-Thècle ainsi que la poste et la gare ferroviaire.
Toponymie
D'après Albert Dauzat et Charles Rostaing, ce toponyme provient du pré-latin *pel-ia: hauteur, avec le suffixe diminutif provençal -on » ou -oun [14]. La même racine a donné le nom du village de Peille.
Le village a changé plusieurs fois de nom pendant l'histoire. Un Guaucerannus de Pellom apparaît en 1150 comme donateur sur le cartulaire de Nice[15]. Le nom évolue ensuite en castro de Peliom[16] en 1252, et enfin en Villa Pellono en 1388[16].
Le nom officiel jusqu'en 1860 Ă©tait en italien : Peglione.
Son nom en langue d'oc est « Pelhon »[16].
Histoire
Des traces d'enceintes néolithiques sont présentes sur les collines environnantes[16].
Le village de Peillon a été cité pour la première fois en 1150. La paroisse de Peillon était alors rattachée à l'abbaye de Saint-Pons. Le Pape les transfère sous l'autorité des chanoines de Saint-Ruff de Valence en . Peille et Peillon n'ont formé qu'une seule et même entité jusqu'en 1235, date à laquelle elles furent séparées. Cependant elles conservaient la même administration consulaire[16].
À la fin du XIIIe siècle, Bérenger Cays fut coseigneur du Peillon et du Touët[17].
Peillon passa sous l'autorité savoyarde en 1388[16]. Le fief peillonais est partagé entre de nombreux seigneurs jusqu'à la Révolution. Parmi ceux-ci se trouvent les Caïs, les Tonduti, les Borriglione ou encore les Barralis[16] les Roux. En 1792 les révolutionnaires français occupent le village qui se trouve ensuite rattaché à la France. Les Peillonais retrouvent alors, par un vote, leur place au sein de la République naissante[16].
De 1814 à 1860, Peillon redevient brièvement sarde avant qu'elle ne soit rattachée définitivement à l'Empire à cette date[16].
En 1948, le hameau de Sainte-Thècle, au pied de la commune, devint le siège de l'administration du village[16].
Politique et administration
Budget et fiscalité 2017
En 2017, le budget de la commune était constitué ainsi[18] :
- total des produits de fonctionnement : 1 143 000 €, soit 760 € par habitant ;
- total des charges de fonctionnement : 907 000 €, soit 602 € par habitant ;
- total des ressources d'investissement : 706 000 €, soit 509 € par habitant ;
- total des emplois d'investissement : 997 000 €, soit 663 € par habitant ;
- endettement : 596 000 €, soit 392 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants :
- taxe d'habitation : 13,26 % ;
- taxe foncière sur les propriétés bâties : 8,80 % ;
- taxe foncière sur les propriétés non bâties : 27,57 % ;
- taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
- cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2015 : médiane en 2015 du revenu disponible, par unité de consommation : 22 963 €[19].
Liste des maires
Population et société
Évolution démographique
En 1701, la commune comptait 410 habitants et 350 en 1754.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[22].
En 2020, la commune comptait 1 465 habitants[Note 3], en diminution de 2,01 % par rapport Ă 2014 (Alpes-Maritimes : +1,3 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Enseignement
Établissements d'enseignements[25] :
- Écoles maternelles et primaires,
- Collèges à Beausoleil, Contes, L'Escarène,
- Lycées à Drap, Monaco, Menton.
Santé
Professionnels et établissements de santé[26] :
- MĂ©decins Ă Peillon, Peille, La Turbie,
- Pharmacies Ă Blausasc, La Turbie,
- HĂ´pitaux Ă Gorbio, Beausoleil, Cap-d'Ail, Menton.
- Pôle santé & Bien-être Borgheas de Peillon.
Cultes
- Culte catholique, Paroisse de l'Escarène[27], Diocèse de Nice.
Sports
- Le village possède un club d'athlétisme hors-stade : Courir à Peillon de Nissa.
- Haras de Coco[28].
- Escalade et randonnée.
Économie
Agriculture
- Le village pratique la culture de l'olivier et produit de l'huile d'olive.
Commerces
- Restaurants :
- Le Bistrot des sources, Bistrot de pays[31] - [32].
- Le Restaurant Poccanelle[33],
- Le bistrot La Tonnelle « La table d'Augustine »,
- Restaurant l'authentique - L'auberge de la Madone,
- Restaurant les plaisirs.
Moulin Ă huile Guido
Culture et patrimoine
Monuments et lieux civils
- Le village a gardé intégralement son aspect médiéval. Peu de rues : partout des escaliers en calades qui serpentent parmi les maisons fleuries, et de nombreux passages voûtés.
- La fontaine située à l'entrée du village a été inscrite au titre des Monuments historiques en 1941[34]
- Le vieux-Moulin Ă Huile et Ă Farine de Peillon (Quartier Les Moulins)[35].
- L’Ancienne Ecole de Peillon qui abrite la fresque de Charles Rocher de Gérigné, peintre peillonnais.
- Musée du Patrimoine Ferroviaire « Flaminius Raiberti » à Sainte-Thècle.
Monuments religieux
L'église de la Transfiguration. Le maître autel de l'église. Chapelle de la Madone du Rosaire dans l'église. La chapelle des Pénitents blancs. Les fresques de la chapelle des Pénitents blancs. L'église de Sainte-Thècle. Vue d'ensemble église de Sainte-Thècle.
- Église paroissiale de la Transfiguration[36] : elle a été bâtie au XVIIIe siècle sur le site d'un ancien donjon. Elle regroupe une ancienne chapelle romane du XIIe siècle construite au nord du donjon du château. Cette chapelle était normalement orientée est-ouest. Le chœur actuel de l'église se trouve ans cette ancienne chapelle dont on peut voir l'abside en cul-de-four à la droite du maître autel.
Au début du XVIe l'église a été agrandie en intégrant l'ancien emplacement du donjon du château. Cette de l'église comprend deux chapelles où on peut voir un tableau de la Madone du Rosaire peint par Dragus en 1639, à gauche, et de la Mort de saint-Joseph réalisé en 1722, à droite.
L'église est de nouveau agrandie au milieu du XVIe siècle après la démolition du mur du sud. Après cet ajout d'une nouvelle travée vers la place de l'église avec un clocher avec une haute lanterne octogonale et un fronton triangulaire.
Le maître autel est changé de place ce qui modifie l'orientation de la nef qui devient sensiblement nord-sud. Il est surmonté d'un retable décoré d'un tableau du XVIIe siècle représentant la Transfiguration. - Chapelle Notre-Dame-des-Douleurs des Pénitents blancs[37] : l'intérêt de cette chapelle réside dans les fresques de Jean Canavesio, datées de la fin du XVe siècle. Elle est classée au titre des Monuments historiques par arrêté du [38] - [39] - [40]
- Chapelle Saint Roch[41].
- Église Sainte Thècle[42].
- Chapelle Saint Joseph Borghéas[43].
- De nombreux oratoires et calvaires.
HĂ©raldique
Blason | D'or à la croix de gueules cantonnée au 1er d'un dragon contourné de sable crachant des flammes de gueules, au 2e d'une étoile à huit rais de sable, au 3e d'une tête de crosse contournée de sable, au 4e d'une palme de sable[44]. |
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DĂ©tails | ||
Alias | Alias du blason de Peillon |
Personnalités liées à la commune
- Patrick Lanneau (1951-), artiste peintre.
Notes et références
Notes
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Lieux et itinéraires
- Didacticiel de la règlementation parasismique
- L'eau dans la commune
- Description de la station Drap-Vallée du Paillon
- Table climatique
- Lignes 3605 et 304 : Touët-de-l’Escarène, L’Escarène, Blausasc, La Grave de Peille, Peillon
- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Albert Dauzat, Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud,1979 (ISBN 2-85023-076-6), p. 524
- « Projet Collectif de Recherche. La colline du Château à Nice », sur https://www.academia.edu/,
- Trouillot, p. 186
- Venturini, Evolution, t.I, p. 178
- Les comptes de la commune
- Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
- « Affaire Benalla : des élus des Alpes-Maritimes exigent que Macron s'explique », sur france3-regions.francetvinfo.fr, (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Établissements d'enseignements
- Professionnels et établissements de santé
- Paroisse de l'Escarène
- Sports et loisirs
- Syndicat d'initiative de Peillon
- Gîtes de France
- Bistrop de pays
- Fédération nationale des bistrots de pays
- Se restaurer
- « Fontaine publique », notice no PA00080815, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Patrimoine & monuments
- Église Saint Sauveur de la Transfiguration Peillon
- Chapelle des PĂ©nitents Blancs Peillon ou chapelle Notre-Dame-des-Sept-Douleurs
- « Chapelle des Pénitents blancs ou chapelle Notre-Dame-des-Douleurs », notice no PA00080814, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Nice historique : Léo Imbert, Lucéram, Peillon, Sigale, p. 52-53, no 157, 1949
- Nice historique : Gustave-Adolphe Mossa, Fresques Ă Peillon et Ă Coaraze, p. 28-29, no 643, 1912
- Chapelle Saint Roch Peillon
- Église Sainte Thècle Peillon
- Chapelle Saint Joseph Borghéas
- Dominique Cureau, « Pays des Paillons Est : Peillon », sur vexil.prov.free.fr (consulté le ).
- « Nice-matin : Peillon : un blason unique pour les trois hameaux »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?).
- « Peillon », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
Voir aussi
Bibliographie
- Trouillot, Guide historique des 163 communes des Alpes-Maritimes et de Monaco : origine, histoire, curiosités, population, Nice, P. et J. Trouillot, 327 p. (ISBN 978-2-9514405-6-2 et 2-9514405-6-1)
- Collectif (dir.), Le patrimoine des communes des Alpes-Maritimes en deux volumes, vol. I : Cantons d'Antibes à Levens, Paris, Flohic Éditions, coll. « Le Patrimoine des Communes de France », , 504 p. (ISBN 2-84234-071-X)Canton de Levens, Saint-Blaise, pp. 360 à 364
- Peillon sur le site Montagnes niçoises
- Christine Bovari Bertrand, Sophie Lemaigre, Olivier Rocher de Gerigne, Dino Centini, VĂ©ronique Muller, Peillon. Le vieux village et son patrimoine, Serre Ă©diteur, Nice, 2008 ; p. 40
- Peillon, Trésors du patrimoine
- Philippe de Beauchamp, Le haut pays méconnu. Villages & hameaux isolés des Alpes-Maritimes, p. 66-67, Éditions Serre, Nice, 1989 (ISBN 2-86410-131-9) ; p. 159
- Jean-Roger Lorsky, Peillon des Météores, quatre lithographies originales hors texte d'Éliane Thiollier, Éditions Michel Brient, 1955
- Peillon : sites du 18ème de Peille Peillon Drap Blausasc, tumulus présumé sur le site http://www.archeo-alpi-maritimi.com/
- La chapelle des pénitents blancs
- Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet
- Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
- Cavités souterraines naturelles et ouvrages militaires
- Philip Le Roy, Evana 4, Au Diable Vauvert, , 403 p. (ISBN 978-2-84626-182-1 et 2-84626-182-2)
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Peillon sur le site de l'Institut géographique national