Paulhac-en-Margeride
Paulhac-en-Margeride est une commune française, située dans le nord du département de la LozÚre en région Occitanie.
Paulhac-en-Margeride | |
Fontaine- abreuvoir au centre du village. | |
Blason |
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Administration | |
---|---|
Pays | France |
RĂ©gion | Occitanie |
DĂ©partement | LozĂšre |
Arrondissement | Mende |
Intercommunalité | Communauté de communes des Terres d'Apcher-Margeride-Aubrac |
Maire Mandat |
Alain Guennou 2020-2026 |
Code postal | 48140 |
Code commune | 48110 |
DĂ©mographie | |
Gentilé | Paulhacois |
Population municipale |
102 hab. (2020 ) |
Densité | 6,5 hab./km2 |
GĂ©ographie | |
CoordonnĂ©es | 44° 56âČ 52âł nord, 3° 22âČ 53âł est |
Altitude | Min. 1 056 m Max. 1 496 m |
Superficie | 15,79 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes |
Ălections | |
DĂ©partementales | Canton de Saint-Alban-sur-Limagnole |
LĂ©gislatives | Circonscription de la LozĂšre |
Localisation | |
ExposĂ©e Ă un climat de montagne, elle est drainĂ©e par la Desges et par divers autres petits cours d'eau. La commune possĂšde un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (la « montagne de la Margeride ») et quatre zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique.
Paulhac-en-Margeride est une commune rurale qui compte 102 habitants en 2020, aprÚs avoir connu un pic de population de 350 habitants en 1881. Ses habitants sont appelés les Paulhacois ou Paulhacoises.
GĂ©ographie
Localisation
Paulhac-en-Margeride est la commune la plus dans le nord du département de la LozÚre. Elle est limitrophe des départements de la Haute-Loire et du Cantal.
Elle est surmontée par le mont Grand, le Montchauvet, le mont Mouchet et est parcourue par la D 989 qui rejoint le Malzieu-Ville en passant par le col de la Croix du Fau à 1 268 mÚtres d'altitude.
Communes limitrophes
Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[2]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Ce type de climat, Il sâagit dâune zone de transition entre le climat ocĂ©anique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© suivant[2].
|
Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. La station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France installĂ©e sur la commune et mise en service en 1998 permet de connaĂźtre en continu l'Ă©volution des indicateurs mĂ©tĂ©orologiques[7]. Le tableau dĂ©taillĂ© pour la pĂ©riode 1981-2010 est prĂ©sentĂ© ci-aprĂšs.
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
TempĂ©rature minimale moyenne (°C) | â3,2 | â3,2 | â1 | 1,7 | 5,4 | 8,7 | 10,1 | 10,2 | 7,4 | 4,9 | 0 | â2,8 | 3,2 |
TempĂ©rature moyenne (°C) | â0,2 | 0,1 | 3,2 | 6,3 | 10,6 | 14,6 | 16,2 | 15,9 | 12,4 | 8,9 | 3 | 0,1 | 7,6 |
Température maximale moyenne (°C) | 2,9 | 3,5 | 7,3 | 10,9 | 15,7 | 20,6 | 22,3 | 21,6 | 17,4 | 12,9 | 6 | 3 | 12,1 |
Record de froid (°C) date du record |
â16,5 19.01.17 |
â18,3 05.02.12 |
â20,5 01.03.05 |
â8,3 08.04.03 |
â3,9 01.05.04 |
â0,9 04.06.01 |
2,8 12.07.00 |
2,9 28.08.11 |
â1,2 27.09.10 |
â10 25.10.03 |
â14 22.11.1998 |
â17,4 16.12.01 |
â20,5 2005 |
Record de chaleur (°C) date du record |
19,3 01.01.22 |
19,8 26.02.19 |
21,1 17.03.04 |
23,8 30.04.05 |
27,3 30.05.01 |
35 28.06.19 |
33,3 31.07.20 |
33,5 12.08.03 |
28,9 03.09.05 |
25,2 01.10.11 |
20 07.11.15 |
16,3 09.12.16 |
35 2019 |
Précipitations (mm) | 62,9 | 59,2 | 57,8 | 92,1 | 109,2 | 86,6 | 73,5 | 80,1 | 98,7 | 110,8 | 87 | 74,7 | 992,6 |
RĂ©seau Natura 2000
Le rĂ©seau Natura 2000 est un rĂ©seau Ă©cologique europĂ©en de sites naturels d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique Ă©laborĂ© Ă partir des directives habitats et oiseaux, constituĂ© de zones spĂ©ciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spĂ©ciale (ZPS)[Note 3]. Un site Natura 2000 a Ă©tĂ© dĂ©fini sur la commune au titre de la directive habitats : la « montagne de la Margeride »[9], d'une superficie de 9 400 ha, une longue colonne granitique au climat montagnard ayant permis le maintien de tourbiĂšres remarquables[10].
Zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique
Lâinventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective dâamĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil dâaide Ă la prise en compte de lâenvironnement dans lâamĂ©nagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 4] sont recensĂ©es sur la commune[11] : le « sud du mont Mouchet, sources de la gourgueyre » (465 ha), couvrant 4 communes dont une dans le Cantal, deux dans la Haute-Loire et une dans la LozĂšre[12], et les « tourbiĂšres de la montagne du LiconĂšs » (319 ha), couvrant 2 communes du dĂ©partement[13] et deux ZNIEFF de type 2[Note 5] - [11] :
- la « Margeride » (37 011 ha), couvrant 35 communes dont 13 dans le Cantal, 16 dans la Haute-Loire et six dans la LozÚre[14] ;
- la « montagne de la Margeride et massif du plateau du Palais du Roi » (29 590 ha), couvrant 20 communes du département[15].
- Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
- Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Paulhac-en-Margeride est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [16] - [I 1] - [17]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 2] - [I 3].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (69,2 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă 1990 (70,8 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (43,3 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (30,8 %), milieux Ă vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (25,9 %)[18].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Paulhac-en-Margeride est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), feux de forĂȘts et sĂ©isme (sismicitĂ© faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă un risque particulier : le risque de radon[19]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[20].
Risques naturels
Paulhac-en-Margeride est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. Un plan dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les incendies (PDPFCI) a Ă©tĂ© approuvĂ© en dĂ©cembre 2014 pour la pĂ©riode 2014-2023[21]. Les mesures individuelles de prĂ©vention contre les incendies sont prĂ©cisĂ©es par divers arrĂȘtĂ©s prĂ©fectoraux et sâappliquent dans les zones exposĂ©es aux incendies de forĂȘt et Ă moins de 200 mĂštres de celles-ci. LâarrĂȘtĂ© du , complĂ©tĂ© par un arrĂȘtĂ© de 2020, rĂ©glemente l'emploi du feu en interdisant notamment dâapporter du feu, de fumer et de jeter des mĂ©gots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrĂȘtĂ© du , abrogeant un arrĂȘtĂ© de 2002, rend le dĂ©broussaillement obligatoire, incombant au propriĂ©taire ou ayant droit[Note 7] - [21] - [22].
Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque dâaffaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[23].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982.
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulĂ© dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative dâexposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du dĂ©partement sont concernĂ©es par le risque radon Ă un niveau plus ou moins Ă©levĂ©. Selon la classification de 2018, la commune de Paulhac-en-Margeride est classĂ©e en zone 3, Ă savoir zone Ă potentiel radon significatif[24].
Histoire
L'actuelle commune de Paulhac est marquée par deux événements majeurs :
- entre 1764 et 1767, elle est une des victimes de la cĂ©lĂšbre bĂȘte du GĂ©vaudan.
- en juin 1944, peu aprĂšs le DĂ©barquement en Normandie, elle subit un massacre presque complet, comparable (en plus petites proportions) Ă ce que connaĂźt au mĂȘme moment Oradour-sur-Glane Une plaque Ă l'entrĂ©e de la commune commĂ©more l'Ă©vĂ©nement.
Les Hospitaliers
Les villages de la commune se situant au pied du Mont Mouchet étaient jusqu'à la Révolution Française, des terres du Domaine de Paulhac dépendant de la Commanderie de Gap-FrancÚs de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem.
HĂ©raldique
Blason | Dâargent, Ă deux bĂȘtes du GĂ©vaudan affrontĂ©es de sable, animĂ©es et armĂ©es de gueules, posĂ©es sur un mont de sinople, et surmontĂ©es en chef dâune croix de Malte de gueules. |
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Détails | Le mont de sinople représente la Margeride, territoire montagneux qui sert de déterminant au nom de la commune.
Les deux bĂȘtes du GĂ©vaudan indiquent que Paulhac-en-Margeride a Ă©tĂ© le lieu oĂč elle a sĂ©vit le plus fortement. Cet animal monstrueux Ă©tait en rĂ©alitĂ© un gros loup, mais la lĂ©gende sâest nourrie des descriptions de lâĂ©poque. Lâune dâelles, celle qui est la plus connue, dĂ©crit la bĂȘte comme ayant la tĂȘte dâun loup, les pattes avant de lâours et le reste du corps du lion. Câest ainsi quâelle est figurĂ©e dans lâĂ©cu. Lâargent et la croix de Malte signalent que Paulhac-en-Margeride a Ă©tĂ© un prieurĂ© qui dĂ©pendait de la Commanderie dâHospitaliers de Saint-Jean de JĂ©rusalem. Les ornements sont deux branches de sapin de sinople, fruitĂ©es d'or, mises en sautoir par la pointe et liĂ©es d'or afin d'indiquer la prĂ©sence de vastes bois propices Ă de grandes randonnĂ©es. La croix de guerre 1939 - 1945 ayant Ă©tĂ© attribuĂ©e Ă la commune avec Ă©toile de bronze pour faits de rĂ©sistance avec citation Ă lâordre de la brigade, elle figure en pointe de lâĂ©cu. Le listel d'argent porte le nom de la commune en lettres majuscules de sable. La couronne de tours dit que lâĂ©cu est celui dâune commune ; elle nâa rien Ă voir avec des fortifications.Le statut officiel du blason reste Ă dĂ©terminer. |
Politique et administration
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[26].
En 2020, la commune comptait 102 habitants[Note 8], en augmentation de 3,03 % par rapport Ă 2014 (LozĂšre : +0,36 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Ăconomie
Emploi
2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 4] | 1,5 % | 3,3 % | 5,3 % |
DĂ©partement[I 5] | 5 % | 6,4 % | 7,1 % |
France entiĂšre[I 6] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population ùgée de 15 à 64 ans s'élÚve à 57 personnes, parmi lesquelles on compte 78,9 % d'actifs (73,7 % ayant un emploi et 5,3 % de chÎmeurs) et 21,1 % d'inactifs[Note 9] - [I 4]. Depuis 2008, le taux de chÎmage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune est hors attraction des villes[Carte 2] - [I 7]. Elle compte 27 emplois en 2018, contre 33 en 2013 et 37 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 42, soit un indicateur de concentration d'emploi de 64,2 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 50 %[I 8].
Sur ces 42 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 26 travaillent dans la commune, soit 62 % des habitants[I 9]. Pour se rendre au travail, 59,5 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 19 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 21,4 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 10].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'ancienne chapelle de Notre-Dame-de-Beaulieu.
- Ăglise Saint-Jean-Baptiste de Paulhac-en-Margeride. L'Ă©difice est rĂ©fĂ©rencĂ© dans la base MĂ©rimĂ©e et Ă l'Inventaire gĂ©nĂ©ral RĂ©gion Occitanie[29].
Langue
Le dialecte de langue occitane encore parlé dans le village est le nord-occitan, comme celui des communes qui le jouxtent au sud[30].
Personnalités liées à la commune
- Marie-Jeanne Vallet (ca 1745 - 1787), a combattu la BĂȘte du GĂ©vaudan.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Dans les sites Natura 2000, les Ătats membres s'engagent Ă maintenir dans un Ă©tat de conservation favorable les types d'habitats et d'espĂšces concernĂ©s, par le biais de mesures rĂ©glementaires, administratives ou contractuelles[8].
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs dâune superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence dâespĂšces, dâassociation dâespĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Le dĂ©broussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mĂštres (selon un principe du droit des assurances, tout propriĂ©taire est tenu dâassurer la protection de ses biens), et de 5 mĂštres de part et dâautre des voies privĂ©es y donnant accĂšs.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élÚves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- Cartes
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
Site de l'Insee
- « Commune rurale - définition » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », (consultĂ© le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Paulhac-en-Margeride » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la LozÚre » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entiÚre » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Paulhac-en-Margeride » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
Autres sources
- Carte IGN sous GĂ©oportail
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- « Fiche du Poste 48110001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- Réseau européen Natura 2000, MinistÚre de la transition écologique et solidaire
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Paulhac-en-Margeride », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « site Natura 2000 FR9101355 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
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- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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- « Les risques prÚs de chez moi - commune de Paulhac-en-Margeride », sur Géorisques (consulté le )
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- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
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