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Naujac-sur-Mer

Naujac-sur-Mer est une commune du Sud-Ouest de la France, dans le département de la Gironde, dans la région Nouvelle-Aquitaine.

Naujac-sur-Mer
Naujac-sur-Mer
La mairie et l'Ă©glise Ă  droite
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Gironde
Arrondissement Lesparre-MĂ©doc
Intercommunalité Communauté de communes Médoc Atlantique
Maire
Mandat
Yves Barreau
2020-2026
Code postal 33990
Code commune 33300
DĂ©mographie
Population
municipale
1 080 hab. (2020 en augmentation de 7,78 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 11 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 45° 15â€Č 19″ nord, 1° 01â€Č 26″ ouest
Altitude Min. 0 m
Max. 61 m
Superficie 98,55 km2
Type Commune rurale et littorale
Aire d'attraction Lesparre-MĂ©doc
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton du Nord-MĂ©doc
LĂ©gislatives CinquiĂšme circonscription
Localisation
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Naujac-sur-Mer
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Naujac-sur-Mer
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Naujac-sur-Mer
Liens
Site web naujac.com

    GĂ©ographie

    Localisation et accĂšs

    Cartographies interactive et OpenStreetMap
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    1. Carte dynamique
    2. Carte Openstreetmap
    3. Carte topographique
    4. Carte avec les communes environnantes

    Commune situĂ©e dans le MĂ©doc. Elle est baignĂ©e Ă  l'ouest par l'ocĂ©an Atlantique, mais le bourg est Ă  10 km du littoral (plage du Pin Sec).

    Communes limitrophes

    Environnement

    Depuis 2009, une partie des dunes et des marais d'Hourtin ainsi que de Naujac-sur-Mer est classée réserve naturelle nationale[1].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[3].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 13 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 2,4 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 5,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13,4 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 935 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,6 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 6,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[6] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[7] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Lesparre-MĂ©doc », sur la commune de Lesparre-MĂ©doc, mise en service en 1985[8] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[9] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13,2 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 907,4 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[10]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Le Temple », sur la commune du Temple, mise en service en 1984 et Ă  42 km[11], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de pour 1981-2010[12] Ă  pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Naujac-sur-Mer est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [14] - [15] - [16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lesparre-MĂ©doc, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 12 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de moins de 50 000 habitants[17] - [18].

    La commune, bordĂ©e par l'ocĂ©an Atlantique, est Ă©galement une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[19]. Des dispositions spĂ©cifiques d’urbanisme s’y appliquent dĂšs lors afin de prĂ©server les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre Ă©cologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilitĂ©, en dehors des espaces urbanisĂ©s, sur la bande littorale des 100 mĂštres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prĂ©voit[20] - [21].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (89 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (89,4 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (45,4 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (42,8 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (6,3 %), terres arables (2,3 %), zones urbanisĂ©es (1 %), mines, dĂ©charges et chantiers (0,9 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de vĂ©gĂ©tation (0,8 %), zones humides intĂ©rieures (0,4 %), zones humides cĂŽtiĂšres (0,1 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Naujac-sur-Mer est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible)[23]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[24].

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par submersion marine. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1983, 1993, 1999 et 2009[25] - [23].

    Naujac-sur-Mer est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. Depuis le , les dĂ©partements de la Gironde, des Landes et de Lot-et-Garonne disposent d’un rĂšglement interdĂ©partemental de protection de la forĂȘt contre les incendies. Ce rĂšglement vise Ă  mieux prĂ©venir les incendies de forĂȘt, Ă  faciliter les interventions des services et Ă  limiter les consĂ©quences, que ce soit par le dĂ©broussaillement, la limitation de l’apport du feu ou la rĂ©glementation des activitĂ©s en forĂȘt[26]. Il dĂ©finit en particulier cinq niveaux de vigilance croissants auxquels sont associĂ©s diffĂ©rentes mesures[27]. Sur le plan de l'amĂ©nagement du territoire la commune dispose d'un plan de prĂ©vention des risques incendies feux de forĂȘts (PPRIF)[28].

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des avancĂ©es dunaires[29]. La migration dunaire est le mouvement des dunes, vers l’intĂ©rieur des terres. Les actions conjuguĂ©es de la mer et du vent ont pour effet de dĂ©placer les sables et donc de modifier la morphologie du littoral[30].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Naujac-sur-Mer.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 57,4 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (67,4 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 655 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 469 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 72 %, Ă  comparer aux 84 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[31] - [Carte 2].

    Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[32].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[23].

    Toponymie

    Naujac-sur-Mer Ă©tant en MĂ©doc, la plupart des lieux-dits anciens y sont explicables par le gascon, par exemple la Bache, le Hagnot, le Junca, le Pausadey[33]...

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1945 1965 Pierre Charron
    1965 1995 Jean-Louis Hosteing
    1995 2008 Bernard Amouroux
    2008 25/05/2020 Jean Bernard Dufourd UMP-LR Retraité Fonction publique[34]
    25/05/2020 En cours Yves Barreau[35] Officier de la gendarmerie en retraite
    Les données manquantes sont à compléter.

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1866. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[37]. En 2020, la commune comptait 1 080 habitants[Note 7], en augmentation de 7,78 % par rapport Ă  2014 (Gironde : +7,23 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
    Évolution de la population [ modifier ]
    1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
    980936886858914951916914941
    1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968
    1 058797811756672636707780715
    1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010 2015 2020
    6416006506317277258441 0611 080
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[38] puis Insee Ă  partir de 2006[39].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    L'Ă©cole communale, au bourg

    Économie

    SMICOTOM : Le SMICOTOM, Syndicat Mixte de Collecte et de Traitement des Ordures MĂ©nagĂšres.

    Équipements, services et vie locale

    Lieux et monuments

    L'Ă©glise et son clocher

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Décret n° 2009-1567 du 15 décembre 2009 portant création de la réserve naturelle nationale des dunes et marais d'Hourtin (département de la Gironde), JO, 17 décembre 2009
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Lesparre-Médoc - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Naujac-sur-Mer et Lesparre-Médoc », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Lesparre-Médoc - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Naujac-sur-Mer et Le Temple », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Le Temple - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Le Temple - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    19. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
    20. « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
    21. « Loi relative Ă  l’amĂ©nagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consultĂ© le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    23. « Les risques prÚs de chez moi - commune de Naujac-sur-Mer », sur Géorisques (consulté le )
    24. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
    25. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
    26. « Le risque feux de forĂȘts. », sur www.gironde.gouv.fr (consultĂ© le )
    27. « RĂšglement interdĂ©partemental de protection de la forĂȘt contre les incendies. », sur www.gironde.gouv.fr (consultĂ© le )
    28. « Dossier dĂ©partemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consultĂ© le ), chapitre Feux de forĂȘts.
    29. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    30. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risques littoraux.
    31. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    32. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Naujac-sur-Mer », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    33. « LĂČcs / Lieux-dits gascons de Naujac-sur-Mer - Gasconha.com », sur www.gasconha.com (consultĂ© le ).
    34. officier de police judiciaire pendant une trentaine d’annĂ©es Ă  Bordeaux, puis dĂ©tective privĂ© pendant cinq ans, dont deux passĂ©s Ă  Lesparre
    35. « Naujac : l’alternance Ă  huis clos », Sud Ouest,‎ (lire en ligne).
    36. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    37. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    38. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    39. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    40. Notice no IA00135925, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
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