Montségur-sur-Lauzon
Montségur-sur-Lauzon est une commune française située dans le département de la Drôme, en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Montségur-sur-Lauzon | |||||
Chapelle Saint-FĂ©lix. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Auvergne-RhĂ´ne-Alpes | ||||
DĂ©partement | DrĂ´me | ||||
Arrondissement | Nyons | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Enclave des Papes-Pays de Grignan | ||||
Maire Mandat |
Yves Feydy 2020-2026 |
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Code postal | 26130 | ||||
Code commune | 26211 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Montséguriens, Montséguriennes | ||||
Population municipale |
1 352 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 74 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
Coordonnées | 44° 21′ 41″ nord, 4° 51′ 37″ est | ||||
Altitude | Min. 112 m Max. 297 m |
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Superficie | 18,24 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Pierrelatte (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Grignan | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : DrĂ´me
GĂ©olocalisation sur la carte : Auvergne-RhĂ´ne-Alpes
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GĂ©ographie
Localisation
La commune de Montségur est située dans la vallée du Rhône, à 9 km à l'est de Saint-Paul-Trois-Châteaux (chef-lieu de canton), à 9 km au sud de Grignan et à 17 km à l'est de Pierrelatte.
Chantemerle-lès-Grignan Clansayes |
Chamaret | Chamaret | ||
Clansayes Solérieux |
N | Colonzelle Richerenches (Vaucluse) | ||
O Montségur-sur-Lauzon E | ||||
S | ||||
Solérieux | La Baume-de-Transit | Richerenches (Vaucluse) |
Relief et géologie
Sites particuliers[1] :
- Combe d'Hugues ;
- Serre Blanc (152 m) ;
- Serre Curnier (180 m) ;
- Serreviau ;
- Pierre Rousse.
Hydrographie
La commune est arrosée par les cours d'eau suivant[1] :
- la Coronne est un ruisseau qui a sa source sur les confins de la commune de Saint-Pantaléon, traverse les communes de Valréas et de Richerenches (Vaucluse), et se jette dans le Lez, sur les limites de Montségur (Drôme), après un cours de 3,375 km dans la Drôme. En 1891, il avait une largeur moyenne de 20 m, une pente de 57 m, un débit ordinaire de 0,30 m3, extraordinaire de 25 m3[2] ;
- le Lauzon est un ruisseau affluent du fleuve Rhône. Il a sa source sur la commune. Il traverse les communes de Montségur, de Solérieux et de Saint-Restitut, puis entre dans le département du Vaucluse après un parcours de 7 km dans la Drôme. En 1891, il avait une largeur moyenne de 6,50 m, une pente totale de 67 m, un débit ordinaire de 74 m3. Il est attesté au XVIIIe siècle : Le Louson (carte de Cassini)[3] ;
- le Lez ;
- le ruisseau de Saint-Chande.
Urbanisme
Typologie
Montségur-sur-Lauzon est une commune rurale (car elle fait partie des communes peu ou très peu denses) au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [4] - [5] - [6].
La commune fait partie de l'aire d'attraction de Pierrelatte dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 17 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[7] - [8].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (61 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (61 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (51,4 %), forêts (33,5 %), cultures permanentes (9,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,6 %), zones urbanisées (1,8 %), prairies (0,4 %)[9].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Quartiers, hameaux et lieux-dits
Site GĂ©oportail (carte IGN)[1] :
- Bavou
- Bès
- Brugier
- Chapelle Saint-Claude
- Chapelle Saint-Jean
- Charavan
- Chemin du Lèbre
- Combalou
- Couriol
- Crochet
- Fioc
- Foutrasse
- Fumas
- Gros
- Laboureau
- la Gare
- la Maçonette
- Lauzon
- le Jas
- le Moulin
- les Bas Barquets
- les Chamblas
- les Combes
- les Crozes
- les Daliers
- les Éverunnes
- les Fabrèges
- les Gironnes
- les Hauts Barquets
- les Jardins
- les Paluds
- les Plans
- l'Étang
- Malfanguet
- Meffre
- Mialouze
- Monet
- Montjoie
- Morelle
- Mourmeyras
- Plan Long
- Reboul
- Saint-Amand
- Saint-Chande
- Salomon
- SĂ©rigoux
Voies de communication et transports
La commune est desservie par les routes départementales D 71, D 117 et D 481[1].
Toponymie
Attestations
Dictionnaire topographique du département de la Drôme[10] :
- 1276 : dominus Montisecuri (Bibl. nat., mss. fonds latin, 9239).
- 1357 : de Monte Securo (archives de la DrĂ´me, E 3380).
- 1409 : locus Montis Securi (Long, notaire Ă Grignan).
- 1891 : Montségur, commune du canton de Grignan.
(non daté) : Montségur-sur-Lauzon.
Étymologie
La première partie du toponyme provient du latin mons « montagne, mont, élévation ».
Histoire
Du Moyen Ă‚ge Ă la RĂ©volution
La seigneurie[10] :
- Au point de vue féodal, Montségur était une terre (ou seigneurie) premièrement possédée par les princes d'Orange de la maison de Baux.
- 1253 : elle est hommagée aux comtes de Provence.
- 1297 : elle est hommagée aux papes [d'Avignon].
- La terre fait ensuite partie de la baronnie et comté de Grignan jusqu'à la Révolution.
- Cependant, en 1731, les Villardi de Quinson se qualifient de seigneurs de Montségur.
Les princes d'Orange de la maison des Baux font aveu du château au comte de Provence en 1253, puis au pape en 1297[11].
1728 (démographie) : 146 familles[10].
Avant 1790, Montségur était une des terres adjacentes de Provence, formant une paroisse du diocèse de Saint-Paul-Trois-Châteaux, dont l'église, dédiée à saint Jean l'Évangéliste, dépendait depuis 1510 du chapitre de Grignan qui, en sa qualité de prieur de Saint-Amand (voir ce nom), était collateur et décimateur dans cette paroisse[10].
Saint-Amand
Ancien prieuré de l'ordre de Saint-Benoît, filiation de Cluny, uni au chapitre de Saint-Paul-Trois-Châteaux en 1404, derechef en 1515, et enfin au chapitre de Grignan qui, de ce chef, a été, jusqu'en 1790, collateur et décimateur dans les paroisses drômoises de Clansayes et de Montségur(Drôme), et dans celle vauclusienne de Grillon[12] :.
- 998 : cella Sancti Amandi in Proventia (cartulaire de Cluny, 2466).
- 1323 : domus Sancti Amancii (DĂ©fin. de Cluny, LXXV).
- 1406 : ecclesia Sancti Amancii (archives de Grignan).
- XVIe siècle : prioratus Sancti Amanti Tricastinensis diocesis (pouillé gén.).
- XVIIIe siècle : Saint-Chamand (carte de Cassini).
- 1891 : Saint-Amand, ruines et quartier de la commune de Montségur.
De la RĂ©volution Ă nos jours
En 1790, la commune est comprise dans le canton de Suze-la-Rousse. La réorganisation de l'an VIII (1799-1800) la place dans le canton de Saint-Paul-Trois-Châteaux[10] (depuis 1801[13]).
Politique et administration
Tendance politique et résultats
La liste conduite par Sylvain Guillemat remporte les Ă©lections municipales de 2014 au premier tour avec 63,49 % des voix, battant la liste conduite par le maire sortant, Jean-Jacques Rosier. Le taux de participation Ă©tait de 83,06 %[14].
Administration municipale
La commune comptant 1 352 habitants en 2020 , le nombre de membres au conseil municipal est de quinze. Par ailleurs, le maire et une adjointe sont Ă©lus au conseil communautaire[14].
Au mois de , a eu lieu une crise au sein du conseil municipal, entraînant onze démissions[15] - [16] - [17].
De nouvelles élections ont eu lieu le . La liste conduite par Pascal Rouquette les a remportées avec 65,60 % des voix, battant la liste conduite par le maire sortant Sylvain Guillemat. Le conseil municipal est depuis composé de treize membres issus de la liste « Pour Montségur » conduite par Pascal Rouquette et deux membres issus de la liste « L'intérêt général » conduite par Sylvain Guillemat.
Liste des maires
Rattachements administratifs et Ă©lectoraux
La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Nyons du département de la Drôme.
Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1988 de la troisième circonscription de la Drôme.
Avant mars 2015, elle était dans le Canton de Saint-Paul-Trois-Châteaux. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est désormais rattachée au canton de Grignan[21].
Intercommunalité
La commune était membre du SIVOM du Tricastin, établissement public de coopération intercommunale créé en 1964 et regroupant les dix communes de l'ancien canton de Saint-Paul-Trois-Châteaux.
Montségur-sur-Lauzon a rejoint la communauté de communes du Pays de Grignan le , plus rurale et touristique que les communes de l'actuelle communauté de communes Drôme Sud Provence, formée notamment par les autres communes du SIVOM, majoritairement plus urbaine et bénéficiant de l'activité nucléaire du Tricastin[22].
La communauté de communes du Pays de Grignan a fusionné avec la communauté de communes de l'Enclave des Papes pour former le la communauté de communes Enclave des Papes-Pays de Grignan, dont est désormais membre la commune.
Population et société
DĂ©mographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[24].
En 2020, la commune comptait 1 352 habitants[Note 3], en augmentation de 7,39 % par rapport Ă 2014 (DrĂ´me : +3,72 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Économie
Agriculture
En 1992 : vignes (vins AOC coteaux du Tricastin), vergers, ovins, truffes (capitale de la truffe du Tricastin, syndicat)[26].
- Foire : le jeudi avant ou après le 9 mai[26].
- Marché (truffes) : le jeudi de novembre à avril[26].
La zone de production des vins AOC coteaux du Tricastin a été rebaptisée grignan-les-adhémar en 2010[27].
Industrie
Les Papeteries de Montségur produisent du papier mousseline aux couleurs chatoyantes pour garnir les emballages de prestige des grandes marques comme Dior, Longchamp, Louis Vuitton et Timberland, mais aussi les fleuristes, les domaines de grands vins, les artistes et les écoles d'art.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Vestiges du château et des remparts[26].
- Selon le roman d'Alexandre Mazas[28], repris par le conteur G. Lenotre[29], Lucie de Pracontal y serait morte en 1715 dans une pièce secrète, le jour de son mariage, lors d'une partie de cache-cache qui se serait terminée tragiquement.
- Vieux village ruiné, perché sur un piton[26].
- Le village fortifié a été déserté au XIXe siècle.
- Vestiges d'un monastère clunisien[26].
- Le village possède cinq chapelles :
- Église ruinée du vieux bourg : clocher d'allure mauresque[26] ;
- chapelle Saint-Jean (XIIe siècle) remaniée : pèlerinage[26]. Chaque année, début mai, une procession est organisée en honneur de saint Jean ;
- chapelle Notre-Dame-des-Barquets (XIIe siècle) remaniée[26] ;
- chapelle Saint-FĂ©lix (inscrite au titre des monuments historiques[30]) ;
- chapelle Saint-Claude.
- Église Saint-Jean-devant-la-Porte-Latine de Montségur-sur-Lauzon de style néo-roman (XXe siècle)[26].
- La place Véran-Molinas, l'ancienne mairie et la fontaine ont été restaurées et inaugurées le .
Patrimoine naturel
- Grotte[1].
Personnalités liées à la commune
- Joseph Maugard, (1913-1995) : Compagnon de la Libération, mort à Montségur-sur-Lauzon.
- Michel Rodde (1913-2009) : artiste peintre ayant vécu à Montségur-sur-Lauzon.
HĂ©raldique, logotype et devise
Blason | Parti : au 1er d'or à trois bandes d'azur, au 2d coupé au I de sable à un lion d'or accompagnée au canton dextre du chef de trois mouchetures d'hermine d'argent, au II de sable à la croix d'or cantonnée de quatre roses de gueules, boutonnées d'or et pointées de sinople[31]. |
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Détails | La municipalité utilise sur ses plaques de rue un blason alternatif entourant la partition et l'écu d'une filière de sinople, qui n'a pas cours sur le blason réel. |
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- https://www.geoportail.gouv.fr/
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 112 (La Coronne).
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 192 (Le Louzon).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 234 (Montségur).
- Charles-Laurent SALCH, Dictionnaire des châteaux et des fortifications du Moyen-Âge en France, Strasbourg, PUBLITOTAL, , 1287 p. (ISBN 2-86535-070-3).
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 327 (Saint-Amand).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Résultats des élections municipales de 2014 sur le site du ministère de l'Intérieur.
- « Montsegur-sur-Lauzon : avis de tempête sur le conseil municipal », Le Dauphiné libéré,‎ (lire en ligne, consulté le ) « La cause de ces défections serait liée aux méthodes et aux choix du premier édile de la commune. Ce dernier estime de son côté n'avoir « rien à se reprocher ». ».
- Baptiste Camilleri (avec Gwenola Beaucourt), « Montsegur-sur-Lauzon : la crise au conseil municipal conduit à de nouvelles élections », Le Dauphiné libéré,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- Céline Gonin, « Plainte pour harcèlement moral contre le maire de Montségur-sur-Lauzon », La Tribune - Le Progrès,‎ (lire en ligne, consulté le ) « De déclaration en déclaration, la coupe était pleine pour ces agents dont les arrêts maladie simultanés ne sont pas pour rien dans la démission de onze des quinze conseillers municipaux et l'organisation de nouvelles élections en date du 23 juillet ».
- « Rencontre avec le maire, Sylvain Guillemat », Le Dauphiné libéré,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- « Compte rendu du conseil municipal : Séance du vendredi 28 juillet 2017 » [PDF], Mairie dec Montségur-sur-Lauzon (consulté le ).
- https://programme-candidats.interieur.gouv.fr/elections-departementales-2021/data-pdf-propagandes/1-26-06-1.pdf
- Décret no 2014-191 du 20 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de la Drôme.
- Chambre régionale des comptes Auvergne-Rhône-Alpes, « Commune de Montségur-sur-Lauzon (Drôme) : Rapport d’observations définitives - Exercices 2010 à 2013 », Cour des Comptes, (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Michel de la Torre, Drôme, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), Montségur-sur-Lauzon.
- https://dico-du-vin.com/coteaux-du-tricastin-aoc-rhone/.
- Alexandre Mazas, Le dernier des Rabasteins : livre sixième - affreuse catastrophe au château de Montségur, Paris, Julien, Lanier et Cie, (lire en ligne)
- G. Lenotre, Histoires étranges qui sont arrivées, Paris : J.M. Dent, (lire en ligne), p. 5
- Notice no PA00116998, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « 26211 Montségur-sur-Lauzon (Drôme) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Montségur-sur-Lauzon sur le site de l'Institut géographique national / page archivée depuis 2011.