Montrécourt
Montrécourt est une commune française, située dans le département du Nord en région Hauts-de-France.
Montrécourt | |||||
Mairie et salle polyvalente de Montrécourt. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Hauts-de-France | ||||
DĂ©partement | Nord | ||||
Arrondissement | Cambrai | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Pays solesmois | ||||
Maire Mandat |
Marc Guillez 2020-2026 |
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Code postal | 59227 | ||||
Code commune | 59415 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Montrécourtois, Montrécourtoises | ||||
Population municipale |
224 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 63 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 50° 13âČ 59âł nord, 3° 27âČ 07âł est | ||||
Altitude | Min. 47 m Max. 85 m |
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Superficie | 3,56 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Valenciennes (partie française) (commune de la couronne) |
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Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Caudry | ||||
LĂ©gislatives | 12e circonscription du Nord | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Nord
GĂ©olocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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GĂ©ographie
Situation
Montrécourt est située à 6 km au nord-ouest de Solesmes, ancien chef-lieu du canton à partir de 2015, et est traversée par la Selle.
Communes limitrophes
Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il sâagit dâune zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Valenciennes », sur la commune de Valenciennes, mise en service en 1987[7] et qui se trouve Ă 15 km Ă vol d'oiseau[8] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 10,9 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 708 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Lille-Lesquin », sur la commune de Lesquin, mise en service en 1944 et Ă 46 km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,4 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11] Ă 10,8 °C pour 1981-2010[12], puis Ă 11,3 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Montrécourt est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Valenciennes (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 102 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[17] - [18].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (93,8 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă 1990 (96 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (86,7 %), zones urbanisĂ©es (6,2 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (4,7 %), prairies (2,4 %)[19].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[20].
Histoire
Le nom MontrĂ©court, du latin Monasterioli curtis, signifie « ferme du petit monastĂšre ». MontrĂ©court Ă©tait instaurĂ©e en 933 l'une des 12 pairies du CambrĂ©sis, c'Ă©tait la seule Ă ne pas ĂȘtre hĂ©rĂ©ditaire. La premiĂšre mention Ă©crite connue est dans un diplĂŽme de l'empereur Otton le Grand de 965 sous la forme de Mousterolcurt [21].
HĂ©raldique
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Les armes de Montrécourt se blasonnent ainsi : « d'argent à la bande d'azur chargée de trois coquilles d'or » |
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Politique et administration
La commune comptant environ 233 habitants en 2008, le nombre de conseillers municipaux est de 11. Depuis le , réélu à chaque élection municipale sans interruption, le maire est Marc Guillez. Montrécourt est membre de la communauté de communes du Pays solesmois (CCPS), qui comprend 15 communes et 14 822 habitants en 2008.
Liste des maires
Tendances politiques et résultats
Pour les élections européennes de 2019, la liste « Prenez le pouvoir, liste soutenue par Marine Le Pen » (RN) remporte 37,74 % des suffrages à Montrécourt et la liste « Renaissance soutenue par La République en marche, le MoDem et ses partenaires » (LREM) obtient 15,09 %, pour un taux de participation de 58 %. Aucune autre liste n'a obtenu plus de 10 % des voix[23].
Au premier tour de l'Ă©lection prĂ©sidentielle de 2017, les quatre candidats arrivĂ©s en tĂȘte Ă MontrĂ©court sont Marine Le Pen (FN, 34,23 %), François Fillon (Les RĂ©publicains, 18,79 %), Jean-Luc MĂ©lenchon (FI, 17,45 %) et Emmanuel Macron (EM, 12,08 %) avec un taux de participation de 79,27 %. Au second tour Marine Le Pen arrive en tĂȘte avec 60,17 % des voix et un taux de participation de 76,80 %[24].
Au second tour de l'Ă©lection lĂ©gislative de 2012, 52,30 % des Ă©lecteurs de MontrĂ©court ont votĂ© pour Anne-Sophie LĂ©vĂȘque (FN), contre 47,70 % pour Christian Bataille (PS) avec un taux de participation de 59,39 %.
Au premier tour de l'Ă©lection prĂ©sidentielle de 2012, les quatre candidats arrivĂ©s en tĂȘte Ă MontrĂ©court sont Marine Le Pen (FN, 30,67 %), Nicolas Sarkozy (UMP, 25,49 %), François Hollande (PS, 21,36 %) et Jean-Luc MĂ©lenchon (Front de gauche, 20,86 %) avec un taux de participation de 85,28 %. Au second tour Nicolas Sarkozy arrive en tĂȘte avec 55 % des voix et un taux de participation de 84,77 %.
Au premier tour des Ă©lections cantonales de 2011, Georges Flamengt (PS) est arrivĂ© en tĂȘte avec 39,65 % des suffrages exprimĂ©s, face Ă Pascale Havrez (FN, 36,20 %), Samuel Decaux (UMP, 12,93 %) et Bruno Leclercq (PCF, 11,20 %), pour un taux de participation de 61,42 %. Au second tour Georges Flamengt, unique candidat, a obtenu 100 % des voix et un taux de participation de 46,70 %[25].
Au second tour de l'Ă©lection rĂ©gionale de 2010, 42,02 % des Ă©lecteurs ont votĂ© pour la liste de Daniel Percheron (PS, Front de gauche, Europe Ăcologie), 39,50 % pour la liste de Marine Le Pen (FN), et 18,49 % pour la liste de ValĂ©rie LĂ©tard (UMP), pour un taux de participation de 58,93 %[26].
Aux élections européennes de 2009, la liste « Quand l'Europe veut, l'Europe peut » de Dominique Riquet (Majorité présidentielle) a obtenu 26,58 % des suffrages exprimés, la liste « Changer l'Europe » de Gilles Pargneaux (PS) 18,98 % et la liste « Front national » de Marine Le Pen (FN) 12,65 %. Aucune autre liste n'a obtenu plus de 10 % des voix. La taux de participation s'élevait à 40,79 %[27].
Population et société
Ăvolution dĂ©mographique
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[29].
En 2020, la commune comptait 224 habitants[Note 8], en diminution de 4,68 % par rapport Ă 2014 (Nord : +0,16 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des Ăąges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un Ăąge infĂ©rieur Ă 30 ans s'Ă©lĂšve Ă 31,2 %, soit en dessous de la moyenne dĂ©partementale (39,5 %). Ă l'inverse, le taux de personnes d'Ăąge supĂ©rieur Ă 60 ans est de 26,3 % la mĂȘme annĂ©e, alors qu'il est de 22,5 % au niveau dĂ©partemental.
En 2018, la commune comptait 112 hommes pour 112 femmes, soit un taux de 50 % de femmes, légÚrement inférieur au taux départemental (51,77 %).
Les pyramides des ùges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Lieux et monuments
- L'église Saint-André du XVe siÚcle, refaite en 1741. Une association a été créée afin de collecter des fonds pour rénover la structure de l'église.
- Le monument aux morts.
- Le calvaire et des chapelles-oratoires.
- L'église Saint-André.
- Le monument aux morts.
- Chapelle Notre-Dame des Affligés.
- Chapelle Saint-Druon.
Personnalités liées à la commune
- Anne-Sophie Boisseaux, femme politique[34].
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
- « Station Météo-France Valenciennes - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Montrécourt et Valenciennes », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Valenciennes - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Montrécourt et Lesquin », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Valenciennes (partie française) », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- MM. Demeunynck et Devaux (employés à la préfecture), Annuaire statistique du département du Nord, Lille, préfecture du Nord, (lire en ligne), p. 78.
- « Les maires de notre commune », Bulletin municipal de MontrĂ©court, Mairie de MontrĂ©court, no 81 « MontrĂ©court dâhier et dâaujourdâhui »,â , p. 38.
- « Résultat européennes Montrecourt (59227) - Election 2019 », sur election-europeenne.linternaute.com, (consulté le ).
- Source : MinistĂšre de lâIntĂ©rieur.
- « Résultats des élections cantonales de 2011 à Montrécourt », sur www.interieur.gouv.fr (consulté le ).
- « Résultats des élections régionales de 2010 à Montrécourt », sur www.interieur.gouv.fr (consulté le ).
- « Résultats des élections européennes de 2009 à Montrécourt », sur www.interieur.gouv.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Ăvolution et structure de la population en 2018 - Commune de MontrĂ©court (59415) », (consultĂ© le ).
- Insee, « Ăvolution et structure de la population en 2018 - DĂ©partement du Nord (59) », (consultĂ© le ).
- « Anne-Sophie Boisseaux, lâĂ©toffe dâune super-hĂ©roĂŻne », sur La Voix du Nord, (consultĂ© le ).