Martinvast
Martinvast [maʁtɛ̃va] est une commune française située dans le département de la Manche en région Normandie, peuplée de 1 325 habitants[Note 1].
Martinvast | |
Le chevet de l'église Notre-Dame. | |
Administration | |
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Pays | France |
Région | Normandie |
Département | Manche |
Arrondissement | Cherbourg |
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Cotentin |
Maire Mandat |
Jacky Marie 2020-2026 |
Code postal | 50690 |
Code commune | 50294 |
Démographie | |
Gentilé | Martinvastais |
Population municipale |
1 325 hab. (2020 ) |
Densité | 129 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 49° 35′ 45″ nord, 1° 39′ 50″ ouest |
Altitude | Min. 17 m Max. 155 m |
Superficie | 10,31 km2 |
Type | Commune rurale |
Unité urbaine | Cherbourg-en-Cotentin (banlieue) |
Aire d'attraction | Cherbourg-en-Cotentin (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Cherbourg-en-Cotentin-3 |
Législatives | Quatrième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | www.martinvast.fr |
Géographie
La commune est au nord de la péninsule du Cotentin. Son bourg est à 7 km au sud-ouest de Cherbourg-Octeville, à 15 km au nord-est des Pieux, à 18 km au sud-est de Beaumont-Hague et à 20 km au nord-ouest de Valognes[1].
Le paysage est constitué de prairies bordées de haies (Lande Cadeau, le mont Polidor, les Mines, les Trigants, Plateau de l'Arabie, les Quatre Barrières). Il y a un bois à l'est du territoire : la Sapinière.
Martinvast est dans le bassin de la Divette qui délimite le territoire de l'ouest au nord. Trois de ses affluents parcourent le territoire communal dont le Nardouet qui marque au nord-est et le Bisard. Un point d'eau : la fontaine aux Bœufs.
Le point culminant (155 m) se situe en limite est, sur la « chasse » des Mines (D 352). Le point le plus bas (17 m) correspond à la sortie de la Divette du territoire, au nord. La commune est bocagère.
La commune se compose d'un bourg principal (Martinvast) et de plusieurs écarts[2] : Carneville (avec son manoir, son école d'équitation), Mélingue, Belle Feuille, Hameau Léger, Beuzeville, le Pont Blondel, les Roches de Sideville, la Vallée, l'Alleu (avec son haras), la Bihellerie, la Danetterie, les Rosées, le Château (et son parc : les Bœufs, le Capelier), Hameau Virel, la Bourbonnerie, la Couvillerie, la Fournellerie, le Bas de la Couaille, le Clos Giot, le Pont, la Mare Aubert, la Couespellerie, le Pont Cosnard, la Bellefeuille, la Roche au Chat, les Ingoufs, l'Arabie, Croix Goupil, le Caillou, la Duquesnerie, les Telliers, le Bosquet, l'Orangerie, Hameau Dubost, le Vigny, l'Oraille le Haut, l'Oraille, Tabarin.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[5]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[6].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[9] complétée par des études régionales[10] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Cherbourg – Maupertus », sur la commune de Cherbourg-en-Cotentin, mise en service en 1935 et qui se trouve à 6 km[11] - [Note 5], où la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[12] à 10,7 °C pour 1981-2010[13], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[14].
Urbanisme
Typologie
Martinvast est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [15] - [16] - [17].
Elle appartient à l'unité urbaine de Cherbourg-en-Cotentin, une agglomération intra-départementale regroupant trois communes[18] et 81 989 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[19] - [20].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cherbourg-en-Cotentin dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 77 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[21] - [22].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (84,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (88,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (61,3 %), zones agricoles hétérogènes (12,2 %), terres arables (10,7 %), zones urbanisées (8 %), forêts (3,5 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (2,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,7 %)[23].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[24].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Martinvast vers 1150 et vers 1180[25], Martinwast en 1172[26], Martin Wasto vers 1210 (ou en 1150[27])[25], de Martini Wasto en 1283[28].
Il s'agit d'une formation toponymique médiévale en -vast[25], anciennement -wast. L'appellatif vast signifie « terre inculte, gâtée » et constitue également le radical du verbe gâter (anciennement gaster), la forme waster étant caractéristique des dialectes d'oïl septentrionaux. Il est fréquent dans le Cotentin, mais plus rare ailleurs en Normandie. Le premier élément est Martin[25], anthroponyme devenu par la suite le plus fréquent en France comme patronyme. Il se rencontre parfois dans la toponymie normande, par exemple dans Martintot (à Siouville-Hague, en composition avec l'ancien norrois topt, toft), situé à 18 km, ou dans les plus répandus Martainville. Albert Dauzat et René Lepelley parlent respectivement de nom de personne latin ou roman Martinus[26] - [29], ce qui n'est pas nécessaire, le toponyme étant à la fois une formation médiévale et populaire, la désinence -us avait disparu depuis longtemps sans laisser de trace dans ce cas.
Les autres toponymes du Cotentin en -vast sont tous composés avec des noms de personnes scandinaves[30], tels que Soti / Sote dans Sottevast (anciennement Sotevast); Tolir dans Tollevast (anciennement Toberwast, lire *Tolerwast); Barni dans Barnavast; Sigfridr dans Chiffrevast, sauf Hardinvast (anciennement Herdinvast) sur l'anthroponyme anglo-saxon ou plus généralement germanique Hardinc[25]. Il existait également un Beroldwast (XIe siècle, AG NLM) et un Fredevast (1238, Charte Lessay)[25]. Ces formations remontent donc à l'implantation scandinave et ce Martin est vraisemblablement un colon anglo-scandinave qui a reçu un nom chrétien lors de son baptême, tout comme son homonyme dans Martintot.
L'appellatif toponymique vast se retrouve dans d'autres toponymes normands employé de manière autonome ou comme déterminant complémentaire dans Le Vast, mais aussi sous sa forme française Le Gast, Saint-Denis-le-Gast, etc..
Le gentilé est Martinvastais.
Microtoponymie
Les Roches de Sideville tiennent leur nom de la commune voisine : Sideville.
Le hameau Alleu vient de l'ancien français, il signifie « fonds de terres possédé en pleine propriété, exempt de droits féodaux »[31].
Le hameau Carneville, à l'origine Kerinon-villa, était « la ferme de Kerinon » (nom germain)[27].
Le hameau Beuzeville, à l'origine Bozo-villa, était « la ferme de Bozo » (nom germain)[27].
Le hameau Vigny prend son origine dans Viniacum « le domaine de Vinius » (ferme gallo-romaine).
Les hameaux en Y-ère/-erie sont des habitats ultérieurs, résultant du développement démographique de la Normandie. Ils désignaient la ferme de la famille Y, fondée sur les nouvelles terres obtenues par les grands défrichements des XIe – XIIIe siècles. Les essarts prennent le nom des familles qui s'y installent, suivi du suffixe -erie ou -ière. Les autres hameaux en Hôtel / Le / Clos / Pont / Maison...Y sont des constructions encore plus tardives, ils désignent le bien d'une famille Y.
Histoire
Le bourg date du Xe siècle, époque des premiers défrichements de l'immense forêt du Clos du Cotentin (cf. forêt de Brix). André Davy signale la présence d'un dolmen à Martinvast[32].
Au XIIe siècle, la paroisse relevait de l'honneur de La Haye[33].
En 1466, Robert, seigneur de Martinvast est décapité sur ordre de Louis XI pour avoir soutenu dans la ligue du Bien public, Charles, duc de Berry et de Normandie, et François II, duc de Bretagne[34].
Sous l'Ancien Régime, la paroisse dépend de la généralité de Caen, de l'élection de Valognes et de la sergenterie de Tollevast.
À la création des cantons, Martinvast est chef-lieu de canton. Ce canton est supprimé lors du redécoupage cantonal de l'an IX (1801)[35].
L'affaire criminelle Louis-Jean Guéret, coupable de l'homicide d'un baron, s'est déroulée au château de Martinvast en 1906. Elle fut jugée par la cour d'assises de la Manche, le [36].
Héraldique
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Les armes de la commune de Martinvast se blasonnent ainsi : Ce sont celles de la famille (protestante) Le Fort qui a tenu dans cette paroisse le fief de Carneville depuis la fin du XVe siècle. |
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Politique et administration
Administration municipale
Le conseil municipal est composé de quinze membres dont le maire et quatre adjoints[39].
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[40]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[41].
En 2020, la commune comptait 1 325 habitants[Note 8], en augmentation de 7,03 % par rapport à 2014 (Manche : −0,97 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Économie
- Filature de laine (fermée).
- Les Vergers de la Passion : produits régionaux.
Lieux et monuments
- Château du domaine de Beaurepaire[34] (XVIe et XIXe siècles), inscrit, ainsi que son parc de 100 hectares, aux monuments historiques[43].
- L'église Notre-Dame du XIIe siècle[34], classée monument historique[44]. Elle est aujourd'hui rattachée à la nouvelle paroisse Sainte-Bernadette du doyenné de Cherbourg-Hague[45]. Un tableau L'Enfant Jésus adoré par la Vierge, une Vierge à l'Enfant et des bas-reliefs sont classés au titre objet[46].
- Manoir de Carneville[34] (XVe – XVIe siècles, avec école d'équitation.
- Ferme-manoir de Beuzeville (XVIe – XVIIe siècles)[34]. Sur le pignon du logis, on peut voir une dalle sculptée insérée sur laquelle figure les armes de la famille Foubert, d'argent à la fasce d'azur chargée d'un léopard d'or[47]. On retrouve ses armes au-dessus de la cheminée de la cuisine figurée sur un blason échancré « à l'allemande »[48].
- Un guillaume Foubert, demeurant en la paroisse de Martinvast, écuyer, sieur de Beuzeville, était procureur du Roi en la maîtrise de Valognes. Selon Frédéric Scuvée, l'élection du manoir de Beuzeville « comme siège de la seigneurie de Martinvast est à peu près certaine, au moins avant 1429[48]. ».
- Pont de Carneville. Sur le mur bordant la Divette, on peut voir les armes de Jean-René Le Fort, d'argent au croissant de gueules mis en cœur, accompagné de trois merlettes de sable, 2 en chef et 1 en pointe et celle de son épouse (1753), Marguerite d'Ozouville[Note 9], de gueules à une pile d'argent (ou lame d'épée) accompagnée de six losanges de même, rangées en pal 3 et 3 avec à gauche la date de 1769[49].
- La Roche à Trois Pieds, site naturel.
- Croix de chemin de Carneville (XVIe siècle)[34], en souvenir de Michel de Ravalet, curé de Breuville, assassiné à cet endroit en 1579 par Nicolas Lefort de Carneville, curé de Sideville[34].
- Le clocher en bâtière de l'église Notre-Dame.
- La Vierge à l'Enfant.
- Bas-reliefs.
Activité et manifestations
L'Association sportive de Martinvast fait évoluer deux équipes de football en divisions de district[50].
Les vallons de Martinvast, course pédestre créée en 2007, sont organisés en septembre par l'association Cap Martinvast[51].
Personnalités liées à la commune
- Alexandre du Moncel (1784-1861), général, pair de France, maire de Martinvast.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Martinvast sur le site de la communauté de communes
- Site du château de Martinvast
- Résumé statistique de Martinvast sur le site de l'Insee
Notes et références
Notes
- Population municipale 2020.
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[7].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[8].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- La famille d'Ozouville était originaire de Sainte-Croix-Hague.
Références
- Altitudes, coordonnées, superficie : répertoire géographique des communes 2014 (site de l'IGN, téléchargement du 1er mars 2015)
- Distances routières les plus courtes selon Viamichelin.fr.
- http://www.geoportail.fr/?c=-1.6636,49.5958&l=Scan%2850%29,Admin&z=7
- « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
- « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Orthodromie entre Martinvast et Cherbourg-en-Cotentin », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Cherbourg – Maupertus - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Cherbourg – Maupertus - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Cherbourg – Maupertus - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Cherbourg-en-Cotentin », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- François de Beaurepaire (préf. Yves Nédélec), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Manche, Paris, A. et J. Picard, , 253 p. (ISBN 2-7084-0299-4, OCLC 15314425), p. 38 / 39 - 150.
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Larousse, .
- Toponymie générale de la France, Volume 2 par Ernest Nègre
- Carole Hough et Daria Izdebska, Names and Their Environment Proceedings of the 25th International Congress of Onomastic Sciences, vol. 2, t. Toponomastics II, Glasgow, University of Glasgow Glasgow 2016, coll. « ICOS 2014 », 25-29 august 2014 (ISBN 978-0-85261-947-6, lire en ligne), p. 11.
- René Lepelley, Noms de lieux de Normandie et des îles Anglo-Normandes, Paris, Bonneton, , 223 p. (ISBN 2-86253-247-9), p. 145.
- Jean Renaud, Vikings et noms de lieux de Normandie. Dictionnaire des toponymes d'origine scandinave en Normandie, éditions OREP, 2009 (ISBN 978-2-915762-89-1), p. 82.
- Toponymie générale de la France, Volume 1 par Ernest Nègre
- André Davy, Les barons du Cotentin, Condé-sur-Noireau, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits et introuvables du patrimoine Normand », , 319 p. (ISBN 978-2-91454-196-1), p. 8.
- Florence Delacampagne, « Seigneurs, fiefs et mottes du Cotentin (Xe – XIIe siècle) : Étude historique et topographique », dans Archéologie médiévale, t. 12, (lire en ligne sur Persée.), p. 185.
- René Gautier et al. (préf. Jean-François Le Grand, postface Danièle Polvé-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche : Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits & Introuvables », , 704 p. (ISBN 978-2-35458-036-0), p. 393.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Jean-François Miniac, Les Nouvelles Affaires criminelles de la Manche, de Borée, Paris, 2012.
- « 50 294 - Martinvast (Manche) », sur L'Armorial des villes et villages de France (consulté le ).
- « Municipales à Martinvast. Jacky Marie vers un troisième mandat ? », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
- Réélection 2020 : « Municipales à Martinvast. Jacky Marie élu pour un quatrième mandat de maire », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « Domaine de Beaurepaire (également sur commune de Hardinvast) », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Église », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Site du diocèse.
- « Œuvres mobilières à Martinvast », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- Collectif, Blasons armoriés du Clos du Cotentin, Condé-sur-Noireau, Éditions Charles Corlet, , 214 p. (ISBN 2-85480-543-7), p. 85.
- Blasons du Clos du Cotentin, 1996, p. 85.
- Blasons du Clos du Cotentin, 1996, p. 87.
- « Site officiel de la Ligue Basse-Normandie – AS Martinvast » (consulté le ).
- « La Manche libre - Les Vallons de Martinvast ce samedi » (consulté le ).