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La Glacerie

La Glacerie est une ancienne commune française, aujourd'hui commune dĂ©lĂ©guĂ©e, situĂ©e dans le dĂ©partement de la Manche en rĂ©gion Normandie, peuplĂ©e de 5 916 habitants[Note 1]. Elle a Ă©tĂ© crĂ©Ă©e en 1901 par dĂ©membrement du territoire de la commune de Tourlaville.
Les cinq conseils municipaux de Cherbourg-Octeville, Équeurdreville-Hainneville, La Glacerie, Querqueville et Tourlaville ayant voté la fusion de leurs communes respectives, la nouvelle commune prend après cette fusion le , le nom de Cherbourg-en-Cotentin.

La Glacerie
La Glacerie
L'hippodrome.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Normandie
DĂ©partement Manche
Arrondissement Cherbourg
Commune Cherbourg-en-Cotentin
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Cotentin
Statut Commune déléguée
Maire délégué
Mandat
Anne Ambrois
2020-2026
Code postal 50470
Code commune 50203
DĂ©mographie
Gentilé Glacériens
Population 5 916 hab. (2020)
DensitĂ© 316 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 49° 36′ 51″ nord, 1° 36′ 15″ ouest
Altitude Min. 5 m
Max. 178 m
Superficie 18,70 km2
Élections
DĂ©partementales Cherbourg-Octeville-2
Historique
Commune(s) d'intégration Cherbourg-en-Cotentin
Localisation
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La Glacerie
Liens
Site web www.cherbourg.fr

    GĂ©ographie

    La commune est située au sud-est de Cherbourg-Octeville. Traversée par les vallées du Trottebec et de la Divette, la commune est fortement urbanisée aux abords de l'ancien tracé de la RN 13, mais encore rurale autour du village de la Verrerie, anciennement village de l'Église.

    Couvrant 1 870 hectares, le territoire de La Glacerie est le plus Ă©tendu des cinq communes du canton de Tourlaville.

    La commune est desservie par le transport en commun départemental par bus (Manéo) via la ligne 001 : Cherbourg-Octeville - Valognes - Carentan - Saint-Lô.

    Située à 178 mètres d'altitude au-dessus de Cherbourg, le climat y est plus froid que sur la côte et les jours de neige y sont trois fois plus nombreux qu'à Cherbourg, soit environ 15 jours par an.

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Glacerie en 1757[3] et en 1785[4], la Glacerie entre 1825 et 1866[5], La Glacerie en 1901[6].

    Cette localité doit son nom au fait qu’elle abrita une fabrique de miroirs, attestée de 1665 à 1824[7].

    De l'oïl glacerie « lieu où l'on fabrique des glaces à miroir »[7].

    Le gentilé est Glacériens.

    Histoire

    Territoire de la paroisse de Tourlaville, La Glacerie ne naît qu'à l'implantation d'une manufacture de verre au XVIe siècle[8]. La famille de Belleville ouvre vers 1560 la verrerie à Tourlaville, dans la vallée du Trottebec, à la lisière nord de la forêt de Brix, bénéficiant des ressources naturelles de la région (bois de forêts pour le combustible, sable pour le verre, soude de varech ou de fougère qui sert de fondant). En 1655, Richard Lucas de Néhou, propriétaire de cette manufacture, obtient de Colbert, dont il est proche, le privilège d'y produire du verre blanc et de fabriquer « toutes sortes de cristaux, verres à vitre, à lunettes, et tous autres ouvrages de verrerie ». Un village dit des Verriers se forme autour du site de production dans le quartier (aujourd'hui commune) qui porte encore le nom de La Glacerie. Colbert fusionne cette verrerie avec la Manufacture royale de glaces de miroirs en décembre 1670. La Glacerie abandonne la cristallerie et se spécialise dans la confection des glaces soufflées et d'instruments d'optique[9].

    En 1685, la manufacture fournit les miroirs pour la galerie des Glaces du château de Versailles. La fabrication du verre soufflé est réalisée à La Glacerie, les glaces brutes étant envoyées dans les ateliers parisiens de la manufacture royale pour les opérations de finition (doucissage pour rendre les deux faces de la glace planes et parallèles, polissage pour obtenir transparence et brillance et étamage pour obtenir le tain)[10].

    Fermée en 1834, la manufacture est totalement détruite lors des bombardements alliés de 1944, à l'exception de la chapelle, convertie en habitation.

    En 1901, la commune se crée autour du village par démembrement de la commune de Tourlaville. Henri Menut, ancien maire de Tourlaville, prend la tête de la municipalité, et fonde un musée de la verrerie.

    Politique et administration

    Administration municipale

    Mairie annexe de La Glacerie.

    Le conseil municipal est composé de vingt-neuf membres dont le maire et huit adjoints[11].

    Liste des maires

    Liste des maires
    Période Identité Étiquette Qualité
    1901 1919 Henri Menut Ancien maire de Tourlaville
    1919 1933 Eugène Lelaidier
    1933 1940 Victor Martin
    1940 1944 Louis Dupont
    1945 1953 Alexandre Picot
    1953 1977 LĂ©opold Bellamy
    1977 2001 Guy Letouzé DVD Technicien en transmissions Marine
    mars 2001 mars 2014 Christian Lemarchand UMP
    mars 2014[11] décembre 2015 Jean-Marie Lincheneau PS Retraité des sapeurs pompiers
    Les données manquantes sont à compléter.
    Liste des maires délégués
    Période Identité Étiquette Qualité
    janvier 2016[12] juillet 2020 Jean-Marie Lincheneau PS Retraité des sapeurs pompiers
    juillet 2020[13] En cours Anne Ambrois Formatrice

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1901. Ă€ partir du , les populations lĂ©gales des communes sont publiĂ©es annuellement dans le cadre d'un recensement qui repose dĂ©sormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une pĂ©riode de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂŞte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[14]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[15] - [Note 2].

    En 2020, la commune comptait 5 916 habitants, en augmentation de 0,7 % par rapport Ă  2015 (Manche : 0,44 %, France hors Mayotte : 2,49 %).

    Évolution de la population [modifier]
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 0072 2032 1481 8671 8442 0252 0781 8752 166
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    2 9953 8405 1875 8115 5765 4015 1555 4905 897
    2019 2020 - - - - - - -
    5 8675 916-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[16] puis Insee Ă  partir de 2006[17].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Sports

    L'Union sportive de La Glacerie fait évoluer trois équipes de football en divisions de district[18], alors que la section féminine basket-ball évolue en 2018-2019 en Ligue 2, et que la section tennis de table fait jouer cinq équipes en championnat départemental[19].

    La commune héberge l'hippodrome de l'agglomération cherbourgeoise, l'hippodrome de La Glacerie, ainsi que son golf 9 trous inauguré en 1973, le golf des Roches (ou golf de Cherbourg-La Glacerie).

    L'arrivée de la deuxième étape du Tour de France 2016 Saint Lô – Cherbourg-en-Cotentin a été jugée à La Glacerie, au sommet de la côte des Rouges Terres[20].

    Économie

    La principale ressource économique provient des zones commerciales de la Banque à Genêts et des Marettes, autour du centre commercial régional Cotentin et de l'hypermarché Auchan.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Église Notre-Dame.
    • Village de la Verrerie : village historique des verriers. Le , il est la cible de bombardements anglo-amĂ©ricains tuant dix-sept civils[21].
    • MusĂ©e de La Glacerie au hameau Luce, dans une ferme rĂ©novĂ©e du XIXe siècle.
    • Église Notre-Dame de la DĂ©livrande, rue Louis-Lelaidier au village de la Verrerie (XIXe siècle). Elle abrite une Vierge Ă  l'Enfant (XVIIIe), sainte barbe et sa tour (XVIe), tableaux de Marie-Ernestine Cabart-Serret (XIXe), verrière (XXe) de Michel Petit retraçant l'histoire de la manufacture royale.
    • Chapelle Saint-Michel des Rouges Terres, bâtie en 1956 par l'architecte Pierre Pinsard Ă  la suite de l'augmentation constante de la population.
    • Chapelle de la Roche au Chat, route de Vente.
    • Manoir de la Fieffe du XVIIe siècle>, inscrit aux monuments historiques[22].
    • Château de Roches (1871).
    • Manoir de la Roche au Chat.
    • Croix de chemin dite Croix Luce (XVIIe siècle), oratoire du hameau Truffert avec une Vierge Ă  l'Enfant (XVe).
    • Source d'eau minĂ©rale dite « la source aux oiseaux » dont l'exploitation a cessĂ© en 2003.
    • Le domaine du château de Tourlaville est en partie situĂ© sur La Glacerie.

    Autres

    Trois tableaux de la Manufacture, de nos jour dans une collection privée, ont été classés au titre objet aux monuments historiques : Nature morte (XVIIIe)[23], saint Pierre au Mont Thabor (XVIIIe)[24] et l'Annonciation (XVIIe)[25].

    Personnalités liées à la commune

    • Richard Lucas (1624-1675), sieur de NĂ©hou : gentilhomme verrier qui prend en main la petite manufacture de Tourlaville (1655), et la dĂ©veloppe dans le cadre de la Manufacture royale de glaces de miroirs, auquel succĂ©da Guillaume Lucas de Bonval (1675-1721)[26].
    • Henri Menut[27] (Paris, 1841 - Cherbourg, 1924) : premier maire de La Glacerie, de 1901 Ă  1919. Maire de Tourlaville entre 1890 et 1892, il est Ă  l'origine de la crĂ©ation de la commune et du musĂ©e de la Manufacture royale des glaces, ouvert en 1913 et dĂ©truit lors des bombardements de . DĂ©corĂ© de nombreuses fois, il a notamment reçu les insignes de Chevalier de la LĂ©gion d'honneur en 1909. Aujourd'hui, ses mĂ©dailles, ainsi que des vestiges de l'ancien musĂ©e, figurent au musĂ©e de La Glacerie.
    • Maurice Cabart Danneville (1886-1942), mĂ©decin et sĂ©nateur de la Manche de 1930 Ă  1940. Il est enterrĂ© dans le cimetière de La Glacerie.
    • Charles Maurice Cabart Danneville, nĂ© le Ă  Paris et mort dans cette mĂŞme ville le , est un homme politique français. Il est Ă©lu conseiller gĂ©nĂ©ral de Cherbourg, puis l'annĂ©e suivante conseiller municipal de cette mĂŞme ville. Il est ensuite Ă©lu dĂ©putĂ© de Cherbourg en 1889 et rĂ©Ă©lu en 1893, puis sĂ©nateur de la Manche de 1897 jusqu'Ă  sa mort. Il est Ă©galement maire de Tourlaville de 1900 Ă  1901. Il est inhumĂ© dans le cimetière de La Glacerie.
    • Louis-Émile Bertin (Nancy, 1840 - La Glacerie, 1924), ingĂ©nieur gĂ©nĂ©ral du GĂ©nie maritime et savant de renommĂ©e universelle, membre de l'Institut, crĂ©ateur de la marine militaire du Japon et des arsenaux de Kure et de Sasebo, dĂ©cĂ©dĂ© et inhumĂ© Ă  La Glacerie.
    • Charles-Émile Bertin (Cherbourg, 1871 - Versailles, 1959), colonel, fils aĂ®nĂ© de Louis, Émile Bertin, un spĂ©cialiste Ă©minent du Japon Meiji, inhumĂ© Ă  La Glacerie, avec son Ă©pouse Madeleine Rieunier (1879-1956), la fille benjamine de l'amiral Henri Rieunier, ministre de la Marine.
    • Marie-Ernestine Serret est une artiste-peintre française, nĂ©e le Ă  Paris et dĂ©cĂ©dĂ©e en 1884. Elle est inhumĂ©e Ă  La Glacerie.
    • HĂ©lène-RenĂ©e Cabart-Danneville (1891-1974), apprend la peinture Ă  l'AcadĂ©mie Julian. Ses tableaux, peints presque tous en extĂ©rieur, reflètent son profond attachement pour La Glacerie, oĂą elle passa une grande partie de sa jeunesse. Elle Ă©pouse en 1921 le docteur Marcel-Louis Adam, issu lui-mĂŞme d'une vieille famille normande. Elle est inhumĂ©e Ă  La Glacerie.
    • AndrĂ© Lemonnier, amiral français, dĂ©cĂ©dĂ© au domaine de la Fieffe et enterrĂ© au cimetière de La Glacerie.

    HĂ©raldique

    Le blason de la commune est d'azur au chevron d'argent chargé, en chef, d'une rose de gueules, sommé d'une fleur de lys d'or, accompagné, en chef, de deux miroirs d'argent cerclés d'or et, en pointe, d'une trangle de gueules sommée d'un clocheton de chapelle d'argent[28].

    Officiellement créé le , il reprend les emblèmes familiaux des dirigeants successifs de la verrerie : la rose rouge pour Antoine de Caquelay, le chevron d'argent pour Richard Lucas de Néhou, et la trangle de gueules de la famille Oury. L'azur rappelle les attributs de Tourlaville tandis que les deux miroirs et la fleur de lys rappelle que la verrerie fut manufacture royale. Le clocher est celui de la chapelle des Verriers bâtie à la fin du XVIIe siècle[29].

    Voir aussi

    Bibliographie

    • RenĂ© Gautier et al. (prĂ©f. Jean-François Le Grand, postface Danièle PolvĂ©-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche : Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Éditions Eurocibles, coll. « InĂ©dits & Introuvables », , 704 p. (ISBN 978-2-35458-036-0), p. 283.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2020.
    2. Par convention dans WikipĂ©dia, le principe a Ă©tĂ© retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations lĂ©gales postĂ©rieures Ă  1999, que les populations correspondant Ă  une enquĂŞte exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des annĂ©es 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population lĂ©gale publiĂ©e par l’Insee pour l'ensemble des communes.

    Références

    1. « Géoportail (IGN), couche « Limites Administratives » activée ».
    2. « Géoportail (IGN), couche « Limites Administratives » activée ».
    3. L. Brion de la Tour, Recueil des Côtes Maritimes de France, Desnos, Paris, 1757, carte n° 9-15.
    4. Carte de Cassini.
    5. Cartes d’État-Major (relevés de 1825 à 1866, mises à jour jusqu’à 1889).
    6. Bulletin des lois de la République française, Imprimerie Nationale, Paris.
    7. Ernest Nègre - 1996 - Toponymie générale de la France - Volume 2 - Page 1350 - (ISBN 2600001336).
    8. Auparavant, tout n'est que forĂŞt. Vauban Ă©crit Ă  ce propos en 1686 : « le milieu du pays est bossu et couvert de bois fort Ă©pais… lesquelles s'Ă©tendent jusqu'Ă  un quart de lieue de Cherbourg et font une suite de bois qui a 7 Ă  8 lieues de long sur 4 de large ». Seule la route reliant Cherbourg Ă  Brix traverse cette forĂŞt de Brix.
    9. Sabine Melchior-Bonnet, Histoire du miroir, Imago, , p. 40-41.
    10. Maurice Hamon, « La Manufacture royale des glaces et Versailles aux XVIIe et XVIIIe siècles », Versalia. Revue de la Société des Amis de Versailles, no 20,‎ , p. 140.
    11. « Jean-Marie Lincheneau, neuvième maire de la commune », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    12. Premier conseil municipal pour Cherbourg-En-Cotentin.
    13. Cherbourg-en-Cotentin : qui fera quoi dans le nouvel exécutif municipal ?.
    14. L'organisation du recensement, sur le site de l'Insee.
    15. Calendrier départemental des recensements, sur le site de l'Insee.
    16. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    17. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 20062007 2008 2009 2010 20112012201320142015 2016 2017 2018 .
    18. « Site officiel de la Ligue Basse-Normandie – US La Glacerie » (consulté le ).
    19. « Nos équipes », sur Site officiel de l'US La Glacerie Tennis de Table (consulté le ).
    20. « Grand Départ du Tour de France 2016 : la Manche, première ! », sur www.letour.com, (consulté le ).
    21. Il y a 70 ans, le village de la Verrerie était bombardé.
    22. « Manoir de la Fieffe », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    23. « Tableau : Nature morte », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
    24. « Tableau : Saint Pierre au Mont Thabor », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
    25. « Tableau : L'Annonciation, cadre », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
    26. Gautier 2014, p. 283.
    27. Henri Menut sur WM.
    28. « GASO, la banque du blason - La Glacerie » (consulté le ).
    29. Le blason de la commune, ville-laglacerie.fr.
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