Digosville
Digosville (prononcĂ© [diÉĄoËvil][1]) est une commune française, situĂ©e dans le dĂ©partement de la Manche en rĂ©gion Normandie, peuplĂ©e de 1 623 habitants[Note 1].
Digosville | |
L'église Notre-Dame et sa façade en porphyre rouge. | |
Administration | |
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Pays | France |
RĂ©gion | Normandie |
DĂ©partement | Manche |
Arrondissement | Cherbourg |
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Cotentin |
Maire Mandat |
Serge Martin 2020-2026 |
Code postal | 50110 |
Code commune | 50162 |
DĂ©mographie | |
Gentilé | Digosvillais |
Population municipale |
1 623 hab. (2020 ) |
Densité | 175 hab./km2 |
GĂ©ographie | |
CoordonnĂ©es | 49° 37âČ 51âł nord, 1° 31âČ 31âł ouest |
Altitude | Min. 0 m Max. 142 m |
Superficie | 9,27 km2 |
Type | Commune rurale et littorale |
Aire d'attraction | Cherbourg-en-Cotentin (commune de la couronne) |
Ălections | |
DĂ©partementales | Canton de Cherbourg-en-Cotentin-5 |
LĂ©gislatives | QuatriĂšme circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | www.digosville.fr |
GĂ©ographie
La commune est au nord de la pĂ©ninsule du Cotentin. Son bourg est Ă 4,5 km Ă l'est de Tourlaville, Ă 7 km Ă l'est de Cherbourg-Octeville, Ă 12 km Ă l'ouest de Saint-Pierre-Ăglise et Ă 17 km au nord de Valognes[2].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[5]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[6].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[9] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[10] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Gonneville », sur la commune de Gonneville-Le Theil, mise en service en 1959[11] et qui se trouve Ă 4 km Ă vol d'oiseau[12] - [Note 6], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 10,7 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 919,7 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[13].
Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 7], « Cherbourg â Maupertus », sur la commune de Cherbourg-en-Cotentin, mise en service en 1935 et Ă 7 km[14], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,4 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[15] Ă 10,7 °C pour 1981-2010[16], puis Ă 11,1 °C pour 1991-2020[17].
Urbanisme
Typologie
Digosville est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 8] - [18] - [19] - [20].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cherbourg-en-Cotentin, dont elle est une commune de la couronne[Note 9]. Cette aire, qui regroupe 77 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[21] - [22].
La commune, bordĂ©e par la Manche, est Ă©galement une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[23]. Des dispositions spĂ©cifiques dâurbanisme sây appliquent dĂšs lors afin de prĂ©server les espaces naturels, les sites, les paysages et lâĂ©quilibre Ă©cologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilitĂ©, en dehors des espaces urbanisĂ©s, sur la bande littorale des 100 mĂštres, ou plus si le plan local dâurbanisme le prĂ©voit[24] - [25].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (84 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă 1990 (86,9 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : prairies (35,7 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (27,8 %), terres arables (20,5 %), zones urbanisĂ©es (10,4 %), milieux Ă vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (4,2 %), forĂȘts (1,4 %)[26].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[27].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Digouvilla en 1198 et Dingouville et Digouville en 1294[28].
Le toponyme serait issu d'un anthroponyme germanique tel que Dingolfus[28] ou scandinave tel qu'Ingulf[1]. Le deuxiÚme élément est l'ancien français ville dans son sens originel de « domaine rural » issu du latin villa rustica.
Le gentilé est Digosvillais.
Histoire
En 1458 comme rapporté par l'abbé de Fécamp, la paroisse, sise en la vicomté de Valognes, au bailliage du Cotentin était la possession de l'abbaye[29].
En fut découvert sur le territoire communal, un trésor monétaire, composé de 658 antoniniens, dont l'enfouissement pourrait se situer à la fin de 270 ou début 271[30]. Cette découverte, ainsi que le petit pont gallo-romain, situé sur le ruisseau du Pas vastel, sur l'itinéraire Coriallum-Saint-Vaast, laisse suggérer une activité important à l'époque gallo-romaine[31].
Il y avait dans la paroisse de Digosville deux fiefs : le fief noble de Digosville, tenu de l'abbaye de FĂ©camp et possession au XVIIe siĂšcle de Julien de Vauborel, et celui de GarenciĂšre, relevant de la baronnie de Bricquebec[32].
Politique et administration
Le conseil municipal est composé de dix-neuf membres dont le maire et cinq adjoints[34].
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[37].
En 2020, la commune comptait 1 623 habitants[Note 10], en augmentation de 7,41 % par rapport Ă 2014 (Manche : â0,97 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Lieux et monuments
- Ăglise Notre-Dame (XVIIeâââXVIIIe siĂšcles)[35], avec sacroix de faĂźtage et coq (XVIIIe). Elle abrite la statue funĂ©raire dite tombeau de la Dame de Vauborel (1634) classĂ©e au titre objet aux monuments historiques[40], une chaire Ă prĂȘcher (XVIIe)[35].
- L'église est aujourd'hui rattachée à la nouvelle paroisse Saint-Gabriel du doyenné de Cherbourg-Hague[41].
- ChĂąteau de la GaranciĂšre. Ce chĂąteau du XVIIIe siĂšcle[35] a Ă©tĂ© achevĂ© en 1736. L'ingĂ©nieur Morice de la Rue, chargĂ© vers 1830 de la rĂ©alisation des routes du Cotentin et qui Ă la mĂȘme Ă©poque construisit le phare de Gatteville, rĂ©sidĂąt au chĂąteau[42].
- Manoir de Brucan (XVIeâââXIXe siĂšcles)[35]. OrnĂ© de trois tourelles, il fut la possession de la famille de Campserveur[43] - [Note 11].
- Manoir de la CrespiniĂšre ou Crespinerie (XVIeâââXVIIe siĂšcles)[35]. Il fut la possession pendant plusieurs gĂ©nĂ©rations de la famille Dodeman[43]. Il possĂ©dait un beau porche et des fenĂȘtres Ă meneaux[43].
- Batterie de Bretteville Haut. Désaffectée, elle a été racheté par la mairie en 2003[35].
- Ferme du Four, propriétés communales[35].
- Croix de chemin dite croix Perrinot (XVIIIe siĂšcle)[35].
- Calvaire de la famille Le Pont (XXe siÚcle) en protestation des persécutions religieuses[35].
- Oratoire au hameau Truffert (Vierge du XIVe siĂšcle)[35].
- Traces d'un ancien chĂąteau fort[44].
- Motte castrale de la Haye[44]. Monument tumulaire au lieu-dit Planeke-Rerby[35].
- Ămetteurs de tĂ©lĂ©vision.
Activité et manifestations
Sports
Le Football Club de Digosville fait Ă©voluer trois Ă©quipes de football en divisions de district[45].
Personnalités liées à la commune
- Guillaume de Campserveur (â v. 1464), seigneur de Brucan (Le Mesnil-au-Val), de GaranciĂšre Ă Digosville, de Digosville, de Gatteville, capitaine du chĂąteau de Cherbourg en 1410[35].
- Charles Trigan (, Querqueville - , Digosville) curé de Digosville pendant plus de quarante ans[35].
- Bon-Henry Onfroy (1777, Houguet (RĂ©ville) - ), curĂ© de Digosville jusqu'en 1824 d'oĂč il part pour fonder un prieurĂ© Ă Bricquebec qui deviendra la Trappe en 1836 et dont il sera le premier abbĂ©[35].
- Charles-Félix Morice de la Rue (1800-1880), ingénieur des Ponts et Chaussées, constructeur des phares de Gatteville et Goury, du port de Saint-Vaast et des grandes routes du Cotentin[35], décédé dans son chùteau de GaranciÚre à Digosville.
Voir aussi
Bibliographie
- RenĂ© Gautier et al. (prĂ©f. Jean-François Le Grand, postface DaniĂšle PolvĂ©-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche : Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Ăditions Eurocibles, coll. « InĂ©dits & Introuvables », , 704 p. (ISBN 978-2-35458-036-0), p. 182
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Résumé statistique de Digosville sur le site de l'Insee
Notes et références
Notes
- Population municipale 2020.
- Il s'agit de la commune déléguée de Gonneville.
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[7].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[8].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- La famille de Campserveur portait : d'azur Ă trois fasce d'argent au chevron de gueules brochant sur le tout[43].
Références
- Altitudes, coordonnées, superficie : répertoire géographique des communes 2013 (site de l'IGN, téléchargement du 19 mars 2014)
- RenĂ© Lepelley, Dictionnaire Ă©tymologique des noms de communes de Normandie, CondĂ©-sur-Noireau, Ăd. Charles Corlet, (ISBN 2-905461-80-2), p. 110.
- Distances routiĂšres les plus courtes selon Viamichelin.fr.
- « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
- « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le ).
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Gonneville - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Digosville et Gonneville-Le Theil », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Gonneville - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Digosville et Cherbourg-en-Cotentin », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station mĂ©tĂ©orologique de Cherbourg â Maupertus - Normales pour la pĂ©riode 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consultĂ© le ).
- « Station mĂ©tĂ©orologique de Cherbourg â Maupertus - Normales pour la pĂ©riode 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consultĂ© le ).
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- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
- « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
- « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
- « Loi relative Ă lâamĂ©nagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consultĂ© le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le ).
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- Ernest NÚgre, Toponymie générale de la France, t. 2 : Formations non romanes ; formations dialectales, GenÚve, (lire en ligne), p. 932.
- Ăric BarrĂ©, « Une extension de la baronnie d'Argences : la baronnie du Petit-FĂ©camp en Cotentin au Moyen-Ăge », Revue de la Manche, t. 37, no 148,â , p. 8 (ISBN 979-1-0937-0115-8).
- Fautrat 2017, p. 147-148.
- Fautrat 2017, p. 149-150.
- SĂ©bastien Fautrat, Digosville : D'autrefois Ă nos jours, Valognes, Imprimerie Icl Graphic, , 358 p. (ISBN 979-10-91566-14-8), p. 14.
- Michel Lepoittevin a démissionné en pour raison de santé aprÚs quarante ans de mandat tout en restant conseiller municipal
- Réélection 2014 : « Digosville (50110) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
- Gautier 2014, p. 182.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « Statue funéraire dite tombeau de la Dame de Vauborel : Femme agenouillée devant un pupitre ».
- Site du diocĂšse.
- Norbert Girard et Maurice LecĆur, TrĂ©sors du Cotentin : Architecture civile & art religieux, Mayenne, Ăditions IsoĂšte, , 296 p. (ISBN 978-2-913920-38-5), p. 240.
- SĂ©bastien Fautrat, Digosville : D'autrefois Ă nos jours, Valognes, Imprimerie Icl Graphic, , 358 p. (ISBN 979-10-91566-14-8), p. 4.
- Guy Le HallĂ©, ChĂąteaux forts de Basse-Normandie, t. II, Louviers, Ysec Ăditions, , 160 p. (ISBN 978-284673-215-4), p. 89.
- « Site officiel de la Ligue Basse-Normandie â F.C. Digosville » (consultĂ© le ).