AccueilđŸ‡«đŸ‡·Chercher

Digosville

Digosville (prononcĂ© [diÉĄoːvil][1]) est une commune française, situĂ©e dans le dĂ©partement de la Manche en rĂ©gion Normandie, peuplĂ©e de 1 623 habitants[Note 1].

Digosville
Digosville
L'église Notre-Dame et sa façade en porphyre rouge.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Normandie
DĂ©partement Manche
Arrondissement Cherbourg
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Cotentin
Maire
Mandat
Serge Martin
2020-2026
Code postal 50110
Code commune 50162
DĂ©mographie
Gentilé Digosvillais
Population
municipale
1 623 hab. (2020 en augmentation de 7,41 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 175 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 49° 37â€Č 51″ nord, 1° 31â€Č 31″ ouest
Altitude Min. 0 m
Max. 142 m
Superficie 9,27 km2
Type Commune rurale et littorale
Aire d'attraction Cherbourg-en-Cotentin
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Cherbourg-en-Cotentin-5
LĂ©gislatives QuatriĂšme circonscription
Localisation
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Digosville
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Digosville
GĂ©olocalisation sur la carte : Manche
Voir sur la carte topographique de la Manche
Digosville
GĂ©olocalisation sur la carte : Normandie
Voir sur la carte administrative de Normandie
Digosville
Liens
Site web www.digosville.fr

    GĂ©ographie

    La commune est au nord de la pĂ©ninsule du Cotentin. Son bourg est Ă  4,5 km Ă  l'est de Tourlaville, Ă  km Ă  l'est de Cherbourg-Octeville, Ă  12 km Ă  l'ouest de Saint-Pierre-Église et Ă  17 km au nord de Valognes[2].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[5]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[6].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[5]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 10,7 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,2 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 0 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 11,1 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 5] : 1 025 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 14,7 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 8,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[9] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[10] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Gonneville », sur la commune de Gonneville-Le Theil, mise en service en 1959[11] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[12] - [Note 6], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 10,7 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 919,7 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[13].

    Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 7], « Cherbourg – Maupertus », sur la commune de Cherbourg-en-Cotentin, mise en service en 1935 et Ă  km[14], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,4 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[15] Ă  10,7 °C pour 1981-2010[16], puis Ă  11,1 °C pour 1991-2020[17].

    Urbanisme

    Typologie

    Digosville est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 8] - [18] - [19] - [20].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cherbourg-en-Cotentin, dont elle est une commune de la couronne[Note 9]. Cette aire, qui regroupe 77 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 50 000 Ă  moins de 200 000 habitants[21] - [22].

    La commune, bordĂ©e par la Manche, est Ă©galement une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[23]. Des dispositions spĂ©cifiques d’urbanisme s’y appliquent dĂšs lors afin de prĂ©server les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre Ă©cologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilitĂ©, en dehors des espaces urbanisĂ©s, sur la bande littorale des 100 mĂštres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prĂ©voit[24] - [25].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (84 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (86,9 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : prairies (35,7 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (27,8 %), terres arables (20,5 %), zones urbanisĂ©es (10,4 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (4,2 %), forĂȘts (1,4 %)[26].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[27].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Digouvilla en 1198 et Dingouville et Digouville en 1294[28].

    Le toponyme serait issu d'un anthroponyme germanique tel que Dingolfus[28] ou scandinave tel qu'Ingulf[1]. Le deuxiÚme élément est l'ancien français ville dans son sens originel de « domaine rural » issu du latin villa rustica.

    Le gentilé est Digosvillais.

    Histoire

    En 1458 comme rapporté par l'abbé de Fécamp, la paroisse, sise en la vicomté de Valognes, au bailliage du Cotentin était la possession de l'abbaye[29].

    En fut découvert sur le territoire communal, un trésor monétaire, composé de 658 antoniniens, dont l'enfouissement pourrait se situer à la fin de 270 ou début 271[30]. Cette découverte, ainsi que le petit pont gallo-romain, situé sur le ruisseau du Pas vastel, sur l'itinéraire Coriallum-Saint-Vaast, laisse suggérer une activité important à l'époque gallo-romaine[31].

    Il y avait dans la paroisse de Digosville deux fiefs : le fief noble de Digosville, tenu de l'abbaye de FĂ©camp et possession au XVIIe siĂšcle de Julien de Vauborel, et celui de GarenciĂšre, relevant de la baronnie de Bricquebec[32].

    Politique et administration

    Liste des maires
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1793 1795 Thomas Fenard
    1798 Robert Dodeman
    1800 Pierre Picot
    1800 1808 Robert Dodeman
    1808 1812 Anicet Levavasseur d'Hiesville
    1813 1820 Charles Marie Le Pelley de la Houssaierie
    1820 1825 Thomas Fenard
    1826 1827 Anicet Levavasseur d'Hiesville
    1828 1836 Charles Fenard
    1837 1847 Thomas Bourdet
    1848 1874 Jean-Baptiste Lemarquand
    1874 1884 Jean-Charles LemaĂźtre
    1884 1886 Aymar Charles Morice de la Rue
    1886 1900 François BriÚre
    1900 1908 Aymar Charles Morice de la Rue
    1908 1945 Lucien Lepont
    1945 1953 Henri Bigant
    1953 1959 Clément Picot Cultivateur
    1959 1971 Roger Marneffe-Lebrequier Notaire
    1971 1977 Jacques Fribourg Cultivateur
    1977 novembre 2017[33] Michel Lepoittevin[34] UMP
    décembre 2017 En cours Serge Martin Retraité des entreprises publiques
    Une partie des données est issue d'une liste établie par Jean Pouëssel et Jean-Paul Bonami[35].

    Le conseil municipal est composé de dix-neuf membres dont le maire et cinq adjoints[34].

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[37].

    En 2020, la commune comptait 1 623 habitants[Note 10], en augmentation de 7,41 % par rapport Ă  2014 (Manche : −0,97 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    970599838811848814701684652
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    617631589604620612622628589
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    562592589580585573537607550
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    5835696458791 3381 4591 5471 5461 532
    2015 2020 - - - - - - -
    1 5111 623-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[38] puis Insee Ă  partir de 2006[39].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    Le tombeau de la Dame de Vauborel.
    • Église Notre-Dame (XVIIe – XVIIIe siĂšcles)[35], avec sacroix de faĂźtage et coq (XVIIIe). Elle abrite la statue funĂ©raire dite tombeau de la Dame de Vauborel (1634) classĂ©e au titre objet aux monuments historiques[40], une chaire Ă  prĂȘcher (XVIIe)[35].
    L'église est aujourd'hui rattachée à la nouvelle paroisse Saint-Gabriel du doyenné de Cherbourg-Hague[41].
    • ChĂąteau de la GaranciĂšre. Ce chĂąteau du XVIIIe siĂšcle[35] a Ă©tĂ© achevĂ© en 1736. L'ingĂ©nieur Morice de la Rue, chargĂ© vers 1830 de la rĂ©alisation des routes du Cotentin et qui Ă  la mĂȘme Ă©poque construisit le phare de Gatteville, rĂ©sidĂąt au chĂąteau[42].
    • Manoir de Brucan (XVIe – XIXe siĂšcles)[35]. OrnĂ© de trois tourelles, il fut la possession de la famille de Campserveur[43] - [Note 11].
    • Manoir de la CrespiniĂšre ou Crespinerie (XVIe – XVIIe siĂšcles)[35]. Il fut la possession pendant plusieurs gĂ©nĂ©rations de la famille Dodeman[43]. Il possĂ©dait un beau porche et des fenĂȘtres Ă  meneaux[43].
    • Batterie de Bretteville Haut. DĂ©saffectĂ©e, elle a Ă©tĂ© rachetĂ© par la mairie en 2003[35].
    • Ferme du Four, propriĂ©tĂ©s communales[35].
    • Croix de chemin dite croix Perrinot (XVIIIe siĂšcle)[35].
    • Calvaire de la famille Le Pont (XXe siĂšcle) en protestation des persĂ©cutions religieuses[35].
    • Oratoire au hameau Truffert (Vierge du XIVe siĂšcle)[35].
    • Traces d'un ancien chĂąteau fort[44].
    • Motte castrale de la Haye[44]. Monument tumulaire au lieu-dit Planeke-Rerby[35].
    • Émetteurs de tĂ©lĂ©vision.

    Activité et manifestations

    Sports

    Le Football Club de Digosville fait Ă©voluer trois Ă©quipes de football en divisions de district[45].

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Bibliographie

    • RenĂ© Gautier et al. (prĂ©f. Jean-François Le Grand, postface DaniĂšle PolvĂ©-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche : Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Éditions Eurocibles, coll. « InĂ©dits & Introuvables », , 704 p. (ISBN 978-2-35458-036-0), p. 182

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2020.
    2. Il s'agit de la commune déléguée de Gonneville.
    3. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[7].
    4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    5. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[8].
    6. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    7. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    8. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    9. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    11. La famille de Campserveur portait : d'azur Ă  trois fasce d'argent au chevron de gueules brochant sur le tout[43].

    Références

    1. RenĂ© Lepelley, Dictionnaire Ă©tymologique des noms de communes de Normandie, CondĂ©-sur-Noireau, Éd. Charles Corlet, (ISBN 2-905461-80-2), p. 110.
    2. Distances routiĂšres les plus courtes selon Viamichelin.fr.
    3. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
    4. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
    5. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le ).
    6. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
    7. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    8. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    9. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    10. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    11. « Station Météo-France Gonneville - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    12. « Orthodromie entre Digosville et Gonneville-Le Theil », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station Météo-France Gonneville - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    14. « Orthodromie entre Digosville et Cherbourg-en-Cotentin », sur fr.distance.to (consulté le ).
    15. « Station mĂ©tĂ©orologique de Cherbourg – Maupertus - Normales pour la pĂ©riode 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consultĂ© le ).
    16. « Station mĂ©tĂ©orologique de Cherbourg – Maupertus - Normales pour la pĂ©riode 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consultĂ© le ).
    17. « Station mĂ©tĂ©orologique de Cherbourg – Maupertus - Normales pour la pĂ©riode 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consultĂ© le ).
    18. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    20. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    21. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    22. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    23. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
    24. « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
    25. « Loi relative Ă  l’amĂ©nagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consultĂ© le ).
    26. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le ).
    27. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    28. Ernest NÚgre, Toponymie générale de la France, t. 2 : Formations non romanes ; formations dialectales, GenÚve, (lire en ligne), p. 932.
    29. Éric BarrĂ©, « Une extension de la baronnie d'Argences : la baronnie du Petit-FĂ©camp en Cotentin au Moyen-Âge », Revue de la Manche, t. 37, no 148,‎ , p. 8 (ISBN 979-1-0937-0115-8).
    30. Fautrat 2017, p. 147-148.
    31. Fautrat 2017, p. 149-150.
    32. SĂ©bastien Fautrat, Digosville : D'autrefois Ă  nos jours, Valognes, Imprimerie Icl Graphic, , 358 p. (ISBN 979-10-91566-14-8), p. 14.
    33. Michel Lepoittevin a démissionné en pour raison de santé aprÚs quarante ans de mandat tout en restant conseiller municipal
    34. Réélection 2014 : « Digosville (50110) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    35. Gautier 2014, p. 182.
    36. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    37. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    38. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    39. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    40. « Statue funéraire dite tombeau de la Dame de Vauborel : Femme agenouillée devant un pupitre ».
    41. Site du diocĂšse.
    42. Norbert Girard et Maurice LecƓur, TrĂ©sors du Cotentin : Architecture civile & art religieux, Mayenne, Éditions IsoĂšte, , 296 p. (ISBN 978-2-913920-38-5), p. 240.
    43. SĂ©bastien Fautrat, Digosville : D'autrefois Ă  nos jours, Valognes, Imprimerie Icl Graphic, , 358 p. (ISBN 979-10-91566-14-8), p. 4.
    44. Guy Le HallĂ©, ChĂąteaux forts de Basse-Normandie, t. II, Louviers, Ysec Éditions, , 160 p. (ISBN 978-284673-215-4), p. 89.
    45. « Site officiel de la Ligue Basse-Normandie – F.C. Digosville » (consultĂ© le ).
    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplĂ©mentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimĂ©dias.