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Marchezais

Marchezais est une commune française située dans le département d'Eure-et-Loir en région Centre-Val de Loire.

Marchezais
Marchezais
La mairie et la bibliothĂšque (1865).
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Centre-Val de Loire
DĂ©partement Eure-et-Loir
Arrondissement Dreux
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays de Dreux
Maire
Mandat
JĂ©rĂŽme Depondt
2020-2026
Code postal 28410
Code commune 28235
DĂ©mographie
Gentilé Marcherois
Marcheroises
Population
municipale
383 hab. (2020 en augmentation de 27,24 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 175 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 48° 46â€Č 23″ nord, 1° 30â€Č 32″ est
Altitude Min. 132 m
Max. 139 m
Superficie 2,19 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton d'Anet
LĂ©gislatives DeuxiĂšme circonscription
Localisation
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Marchezais
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Marchezais
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Marchezais
Liens
Site web http://www.marchezais.fr

    GĂ©ographie

    Localisation

    • Situation gĂ©ographique
    • Marchezais dans son arrondissement.
      Marchezais dans son arrondissement.
    • Carte de la commune de Marchezais, 2012.
      Carte de la commune de Marchezais, 2012.

    La commune fait partie de la région naturelle et agricole du Drouais[1].

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Marchezais
    BĂ» Havelu
    Serville Marchezais Goussainville
    Broué

    Hydrographie

    La commune n'est traversée par aucun cours d'eau ; néanmoins, deux canaux partent de la commune et se rejoignent au niveau du hameau de Orval, sur le territoire de la commune de Goussainville. L'un de ces canaux part de la station d'épuration, à l'est du village, et est utilisé pour le rejet en milieu naturel des eaux usées aprÚs traitement.

    Desserte ferroviaire

    La ligne de Saint-Cyr à Surdon passe sur le territoire communal. La gare ferroviaire la plus proche est la gare de Marchezais - Broué, située sur le territoire de la commune de Broué.

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent aux donnĂ©es mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 10,5 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 2,6 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 3,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,2 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 639 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 10,4 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 7,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[6] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[7] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Bu_sapc », sur la commune de BĂ», mise en service en 1996[8] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[9] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 11,1 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 635,6 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[10]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Chartres », sur la commune de Champhol, mise en service en 1923 et Ă  34 km[11], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,1 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[12] Ă  11 °C pour 1981-2010[13], puis Ă  11,4 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Marchezais est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [15] - [16] - [17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire regroupe 1 929 communes[18] - [19].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (82,6 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (84,8 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (82,6 %), zones urbanisĂ©es (17,4 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Marchezais est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque technologique, le transport de matiĂšres dangereuses[21]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[22].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par dĂ©bordement de cours d'eau et par ruissellement et coulĂ©e de boue, notamment La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1999 et 2016[23] - [21].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Marchezais.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines[24]. L'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[25].

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 18,1 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (52,8 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 144 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 0 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 0 %, Ă  comparer aux 70 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[26] - [Carte 2].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[21].

    Risques technologiques

    Le risque de transport de matiĂšres dangereuses sur la commune est liĂ© Ă  sa traversĂ©e par des infrastructures routiĂšres ou ferroviaires importantes ou la prĂ©sence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bĂąti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matĂ©riau transportĂ©. Des dispositions d’urbanisme peuvent ĂȘtre prĂ©conisĂ©es en consĂ©quence[27].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attestée sous les formes Marchesez vers 1250, Marchesetum vers 1272[28].

    Son nom est issu de l'oïl Marchés, « marais » avec le suffixe diminutif et au pluriel, « petit marais »[28].

    Histoire

    Les premiĂšres traces Ă©crites sur Marchezais remontent en l'an 1020 du fait que Saint Fulbert, Ă©vĂȘque de Chartres, devant reconstruire sa cathĂ©drale Ă  la suite d'un incendie, ne pouvait percevoir sa prĂ©bende sur Marchezais, pillĂ©e par Raoul comte de Bayeux et seigneur d'Ivry-la-Bataille, par Geoffroi vicomte de ChĂąteaudun et du Maine et par Herbert comte du Maine[29].

    L’écusson de la commune reprĂ©sente les roseaux, les silos et le blĂ©, expression de la plaine cĂ©rĂ©aliĂšre.

    Marchezais est un village groupĂ© autour de son Ă©glise dont la voĂ»te peinte a Ă©tĂ© refaite en 1998, elle Ă©tait un lieu de sauvegarde pour les diffĂ©rents voyageurs. Comme dans de nombreux villages français, l'Ă©glise est entourĂ©e du cimetiĂšre oĂč, dans un angle discret, se trouve le monument aux morts. En soi, cela n'a rien de bien extraordinaire, en revanche on peut lire sur la plaque commĂ©morative que certains Marcherois sont tombĂ©s pour la France pendant la guerre de 1914-1919 ! Faute du graveur ou circonstance de l'histoire qui voudrait que la Grande guerre eut Ă©tĂ© plus longue Ă  Marchezais qu'ailleurs[Note 8].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1790 1799 Pierre Guillaume MOHIER
    1800 1809 Nicolas LEFEVRE
    1809 1815 Gabriel MARCHAND
    1815 1826 Honoré Alexandre AULET Conseiller général du canton d'Anet (1833-1837)
    1826 1830 Jean Baptiste BONNET
    1830 1836 Honoré Alexandre AULET Conseiller général du canton d'Anet (1833-1837)
    1837 1840 Hubert Alexis VIMONT
    1841 1843 Honoré Alexandre AULET Conseiller général du canton d'Anet (1833-1837)
    1844 1846 Jean Baptiste BONNET
    1847 1880 Pierre Gabriel MARCHAND
    1880 1884 Pierre Joseph ROGNON
    1884 1891 Pierre Augustin TOUZE
    1892 1899 Pierre Joseph ROGNON
    1900 1919 Louis Clément LEFEVRE
    1920 1934 Gustave Albert GAZIER
    1935 1945 Maurice Albert Désiré LECOQ
    1945 1947 Madeleine Agustine Adrienne RAUX
    1947 1963 René DOX
    1963 1963 Robert Louis LETELLIER
    1963 1971 Claude DOX
    1971 2011 Bernard Julien Georges LETELLIER DVD
    2011 JĂ©rĂŽme DEPONDT DVD Avocat
    mars 2014 En cours JérÎme Depondt[30] - [31] Profession libérale

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[33].

    En 2020, la commune comptait 383 habitants[Note 9], en augmentation de 27,24 % par rapport à 2014 (Eure-et-Loir : −0,53 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1019710090100108113110107
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1049595909486938679
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    837869687982858067
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    514799169221208271289284
    2018 2020 - - - - - - -
    357383-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee Ă  partir de 2006[35].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    À l'origine village purement agricole avec cinq fermes et de nombreux ouvriers agricoles, Marchezais est aujourd'hui essentiellement peuplĂ©e de citadins venus s'installer Ă  la campagne pendant les vingt derniĂšres annĂ©es.

    Cependant, l'activité agricole y demeure intense, tant en raison des terres cultivées que des industries de stockage et de transformation céréaliÚres qui sont présentes sur site. Ainsi, les silos de la coopérative Avibeauce, implantés le long de la ligne de Saint-Cyr à Surdon, bénéficient de cette infrastructure pour acheminer les productions agricoles en grandes quantités et à moindres coûts financier et écologique.

    Concernant le tourisme, le village de Marchezais bĂ©nĂ©ficie d'un gĂźte, d'un poney club et d'une ferme qui peut ĂȘtre visitĂ©e. L'Ă©glise Sainte-Madeleine de Marchezais peut Ă©galement faire l'objet de visites.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Sainte-Madeleine ;
    • BibliothĂšque accessible Ă  tous ;
    • Monument aux morts.
    • Lieux et monuments
    • L'Ă©glise Sainte-Madeleine.
      L'Ă©glise Sainte-Madeleine.
    • Le clocher, la façade ouest et le mur sud.
      Le clocher, la façade ouest et le mur sud.
    • La plaque Ă  la mĂ©moire des morts de 1914-1919.
      La plaque à la mémoire des morts de 1914-1919.
    • La gare de Marchezais - BrouĂ©.

    Blasonnement

    Les armoiries de Marchezais se blasonnent ainsi :

    De gueules Ă  l’épi de blĂ© d’or tigĂ© et feuillĂ© de deux piĂšces de sinople adextrĂ© en chef d’un silo Ă  grain d’argent, au chef d’or chargĂ© de trois roseaux au naturel.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Il n'est pas rare de rencontrer des monuments aux morts avec une mention de fin de guerre l'année 1919 : si l'armistice date du 11 novembre 1918, le traité de Versailles n'est signé le que le 28 juin 1919 et de nombreux soldats ne sont démobilisés qu'en 1919.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Cartes

    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. « Indicateurs de structure et de distribution des revenus en 2010 | Insee », sur www.insee.fr (consulté le ).
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Centre-Val de Loire », sur centre-valdeloire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Bu_sapc - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Marchezais et Bû », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Bu_sapc - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Marchezais et Champhol », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Chartres - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Chartres - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Chartres - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    21. « Les risques prÚs de chez moi - commune de Marchezais », sur Géorisques (consulté le )
    22. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
    23. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
    24. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
    25. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Marchezais », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    26. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    27. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matiÚres dangereuses.
    28. Ernest NÚgre, Toponymie générale de la France, vol. 2, Droz, , p. 1093.
    29. Mémoires archéologiques d'Eure-et-Loir, paru en 1882.
    30. « Résultats des élections municipales 2020 - Maire sortant », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le ).
    31. « RĂ©pertoire national des Ă©lus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des donnĂ©es publiques de l'État (consultĂ© le ).
    32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
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