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Magnat-l'Étrange

Magnat-l'Étrange est une commune française située dans le département de la Creuse, en région Nouvelle-Aquitaine.

Magnat-l'Étrange
Magnat-l'Étrange
Panorama du village vers 1910.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Creuse
Arrondissement Aubusson
Intercommunalité Communauté de communes Haute-Corrèze Communauté
Maire
Mandat
Carole Picano
2020-2026
Code postal 23260
Code commune 23115
Démographie
Population
municipale
249 hab. (2020 en augmentation de 12,67 % par rapport à 2014)
Densité 9,6 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 47′ 36″ nord, 2° 16′ 44″ est
Altitude Min. 636 m
Max. 867 ou 868 m
Superficie 25,87 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton d'Auzances
Législatives Circonscription unique
Localisation
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    Géographie

    Généralités

    Paysage à proximité du bourg de Magnat-l'Étrange.

    Incluse dans le parc naturel régional de Millevaches en Limousin, dans le quart sud-est du département de la Creuse, sur la frange du plateau de Millevaches située à l'est de la vallée de la Creuse, la commune de Magnat-l'Étrange s'étend sur 25,87 km2. Elle est arrosée par la Rozeille et plusieurs de ses affluents.

    La géographie de la commune est représentative de celle du sud du département : région de collines dont l'altitude est de l'ordre de 700 à 800 mètres, avec une proportion importante de surfaces boisées.

    L'altitude minimale avec 636 mètres se trouve localisée à l'extrême nord, à proximité du château du Bost, là où la Rozeille quitte la commune et entre sur celle de Saint-Georges-Nigremont. L'altitude maximale avec 867 ou 868 mètres[Note 1] est située dans le sud-ouest, au Puy du Bois du Suc[1].

    À l'intersection des routes départementales (RD) 18, 25, 32 et 90, le bourg de Magnat-l'Étrange est situé, en distances orthodromiques, dix-neuf kilomètres au sud-sud-est d'Aubusson, la sous-préfecture.

    Le territoire communal est également desservi par les RD 23, 28 et 31. Magnat-l'Étrange est limitrophe de sept autres communes, dont Malleret au sud-est, sur moins de 500 mètres.

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat de montagne », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 9,2 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 6,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 15 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 4] : 1 115 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,1 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « La Courtine », sur la commune de La Courtine, mise en service en 1949[8] et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[9] - [Note 5], où la température moyenne annuelle est de 9 °C et la hauteur de précipitations de 1 031,9 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Clermont-Fd », sur la commune de Clermont-Ferrand, dans le département du Puy-de-Dôme, mise en service en 1923 et à 62 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour la période 1971-2000[12], à 11,6 °C pour 1981-2010[13], puis à 12,2 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Magnat-l'Étrange est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [15] - [16] - [17]. La commune est en outre hors attraction des villes[18] - [19].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (61,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (61,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (57,6 %), prairies (23,7 %), zones agricoles hétérogènes (12,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,9 %), zones urbanisées (1,2 %), eaux continentales[Note 7] (0,7 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Magnat-l'Étrange est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage, et à un risque particulier : le risque de radon[21]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[22].

    Risques naturels

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Magnat-l'Étrange.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 39,4 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (33,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 264 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 92 sont en en aléa moyen ou fort, soit 35 %, à comparer aux 25 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[23] - [Carte 2].

    Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[24].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[21].

    Risques technologiques

    La commune est en outre située en aval du barrage de Confolent, un ouvrage sur la Creuse de classe A[Note 8] soumis à PPI, disposant d'une retenue de 4,7 millions de mètres cubes[26]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[27].

    Risque particulier

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Magnat-l'Étrange est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[28].

    Toponymie

    Le nom de la commune ne vient pas de phénomènes surnaturels qui s'y seraient passés, mais du nom des deux familles qui y régnèrent : les Magnat et les de Lestrange.

    En occitan, la commune porte le nom de Manhac.

    Histoire

    L'existence d'un habitat sur le site du village de Magnat ainsi que des hameaux qui l'environnent est sans doute très ancienne, et peut remonter au Néolithique. Un prieuré a été érigé sur le territoire communal au VIIIe siècle[29]. Plusieurs fois démoli puis reconstruit, il a définitivement été détruit à la Révolution française.

    La configuration du village de Magnat, conservée jusqu'à nos jours, est caractéristique de celle d'un village médiéval : situé sur les flancs d'une petite butte, en surplomb de la Rozeille, le village est dominé par un château (de taille modeste et remanié au XIXe siècle[30]) auquel l'église, qui pourrait dater du Xe ou XIe siècle[31], est attenante.

    Sans épisode notable, l'histoire de Magnat a essentiellement été marquée, dans les deux derniers siècles, par la diminution importante de sa population, liée à l'exode rural du tournant des XIXe et XXe siècles ainsi qu'au solde naturel négatif qui a caractérisé la démographie du département dans la deuxième moitié du XXe siècle.

    Le chou de Magnat

    Vers 1760, lors d’un séjour en Russie, le marquis de Lestrange, baron de Magnat, remarque dans les jardins de Saint-Pétersbourg, une variété de choux pommés (ou choux cabus) particulièrement résistante au froid, peu exigeante pour la qualité du terrain et de conservation facile.

    Le marquis de Lestrange se dit probablement que cette plante permettrait à sa région, pauvre, de mieux passer les hivers longs, froids et rigoureux. Il ramena en conséquence des graines et la méthode de culture et de conservation. La réussite dépassa son espérance et dès 1884 la culture de ce chou sera très développée et son « exportation » se fera vers le reste de la Creuse, le Cantal, la Corrèze et le Puy-de-Dôme.

    Au-delà de ces qualités de résistance, ce chou peut mesurer jusqu’à 1,20 m de diamètre, peser 20 kg et se conserve en terre, tête retournée[32].

    Aujourd’hui, Magnat et la commune voisine de Beissat fêtent toujours ce chou. Cette fête, généralement organisée en mai et octobre, animée par l’association éponyme, permet d’acheter des graines, des plants, et d’échanger sur la meilleure façon de soigner ces choux ou de les cuisiner.

    Politique et administration

    La mairie en 2018.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 2014 Lucien Mestat
    mars 2014 mai 2020 Philippe Breuil PS Enseignant
    Conseiller général du canton de La Courtine (2001-2015)
    mai 2020 En cours Carole Picano[33]

    Démographie

    En 2020 en augmentation de 12,67 % par rapport à 2014, la commune de Magnat-l'Étrange comptait 249 habitants. À partir du XXIe siècle, les recensements réels des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans. Les autres chiffres sont des estimations.

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 2001 1081 2201 3901 3731 5301 5711 6041 638
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 5791 5951 6071 7121 8421 6961 8251 5921 652
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 6091 5081 505960954828819703559
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    460462384318245212229231222
    2017 2020 - - - - - - -
    242249-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    La commune comporte plusieurs exploitations agricoles, pratiquant principalement l'élevage bovin.

    Culture locale et patrimoine

    Patrimoine civil

    • La façade sud du château de Magnat après rénovation en 2012.
      La façade sud du château de Magnat après rénovation en 2012.
    • Faîtage du château de Magnat en 2018.
      Faîtage du château de Magnat en 2018.
    • Lucarne du château de Magnat en 2018.
      Lucarne du château de Magnat en 2018.
    • Le monument aux morts.
      Le monument aux morts.
    • Le barrage de la Rozeille.
      Le barrage de la Rozeille.

    Patrimoine religieux

    • Le prieuré de Magnat, construit vers 764, était placé sous le double vocable de saint Pardoux et de l'Assomption de la Vierge. Après sa destruction par les Normands au IXe siècle, il a été reconstruit au XIIIe siècle, à nouveau détruit trois siècles plus tard, et à nouveau rebâti avant d'être définitivement détruit[29] à la Révolution française.
    • L'église de l'Assomption-de-la-Très-Sainte-Vierge, romane datée du XIIe siècle et remaniée aux XVIe et XVIIe siècles, a été consacrée en 1523, comme le précise l'inscription (devenue presque illisible avec le temps) sous une fenêtre[39]. Classée en 1943 au titre des monuments historiques[40] - [31], l'église se caractérise par deux clochers-murs qui sont placés perpendiculairement, l’un formant la façade occidentale de l’édifice, l’autre étant dans le prolongement du mur Nord de la nef.
    Ce double clocher fait l’objet d’une légende :

    « Avant de partir en croisade, le seigneur de Magnat promit au curé de la paroisse, s’il revenait vivant de son périple, de payer un clocher pour l’église. Mais son absence se prolongea et sa femme prit un amant. Désirant l’épouser, elle acheta l’accord du curé en payant le clocher promis par son mari. Mais malchance pour elle, son mari revint d’Orient quelque temps après. Il tua la femme et l’amant mais, ayant promis le clocher à un homme d’église, le fit construire malgré tout, ce qui explique la présence des deux clochers. »

    À l'intérieur, le maître-autel est composé d'un remarquable ensemble autel-tabernacle[41]-retable[42] du XVIIe siècle inscrit en 1987 au titre des monuments historiques[43]. Il est agrémenté de statues de la même époque représentant saint Martial[44] et saint Roch[45] et quatre anges, toutes les six inscrites au titre des monuments historiques, ainsi que la Vierge de l'Assomption, classée en 1988[46]. L'église et le retable ont fait l'objet d'une restauration par les monuments historiques en 2016-2017. Les vitraux sont l'œuvre de Charles Lagaye en 1879[47] - [48] et 1887[49] - [50] et de Charles Borie vers 1929[51] - [52] - [53] - [54].
    • L'église.
      L'église.
    • Le double clocher-mur.
      Le double clocher-mur.
    • Le double clocher-mur.
      Le double clocher-mur.
    • Modillons et chapiteau sculpté.
      Modillons et chapiteau sculpté.
    • La nef.
      La nef.
    • Le retable.
      Le retable.
    • Statue de lion du XIIIe ou XIVe siècle.
      Statue de lion du XIIIe ou XIVe siècle.

    Magnat-l'Étrange dans la littérature

    Magnat-l'Étrange est citée dans le poème d’Aragon, Le conscrit des cent villages, écrit comme acte de résistance intellectuelle de manière clandestine au printemps 1943, pendant la Seconde Guerre mondiale[58]. La commune est également le lieu de l'intrigue de la bande-dessinée Intrus à l'Étrange de Simon Hureau.

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Deux valeurs différentes pour l'IGN, 867 mètres sur la carte et 868 sur son ancien site.
    2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    8. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[25].
    9. Manhac, ancien fief qui se trouvait sur la commune de Magnat-L'Étrange (de Vaivre 2000, p. 123).
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. « Puy du Bois du Suc » sur Géoportail (consulté le 16 novembre 2019)..
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France La Courtine - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Magnat-l'Étrange et La Courtine », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France La Courtine - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Magnat-l'Étrange et Clermont-Ferrand », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Clermont-Fd - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Clermont-Fd - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Clermont-Fd - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. « Les risques près de chez moi - commune de Magnat-l'Étrange », sur Géorisques (consulté le )
    22. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    23. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    24. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Magnat-l'Étrange », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    25. Article R214-112 du code de l’environnement
    26. « barrage de Confolent », sur www.barrages-cfbr.eu (consulté le )
    27. « Dossier départemental des risques majeurs de la Creuse », sur www.creuse.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
    28. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le )
    29. Inventaire général du patrimoine culturel, « Prieuré de l'Assomption-de-la-Vierge, Saint-Pardoux », notice no IA00030666, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 16 novembre 2019.
    30. « Restes du château », notice no PA00100101, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 16 novembre 2019.
    31. Inventaire général du patrimoine culturel, « Eglise paroissiale de l'Assomption-de-la-Vierge », notice no IA00030665, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 16 novembre 2019.
    32. Reportage de Télé Millevaches sur le chou de Magnat.
    33. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
    34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    36. Inventaire général du patrimoine culturel, « Château », notice no IA00030667, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 16 novembre 2019.
    37. Inventaire général du patrimoine culturel, « Château », notice no IA00030673, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 16 novembre 2019.
    38. Inventaire général du patrimoine culturel, « moulins », notice no IA23000427, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 16 novembre 2019.
    39. Inventaire général du patrimoine culturel, « plaque commémorative de la consécration de l'église », notice no IM23000596, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 16 novembre 2019.
    40. « Eglise de l'Assomption-de-la-Très-Sainte-Vierge », notice no PA00100102, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 16 novembre 2019.
    41. Inventaire général du patrimoine culturel, « autel, tabernacle (autel tombeau, tabernacle à ailes) », notice no IM23000582, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 16 novembre 2019.
    42. Inventaire général du patrimoine culturel, « retable (retable architecturé)) », notice no IM23000581, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 16 novembre 2019.
    43. « autel tombeau, gradin d'autel, tabernacle à ailes, exposition, retable architecturé, 6 statues : saint Martial, saint Roch, quatre anges (maître-autel) », notice no PM23000696, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 16 novembre 2019.
    44. Inventaire général du patrimoine culturel, « statue (grandeur nature) : saint Martial », notice no IM23000584, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 16 novembre 2019.
    45. Inventaire général du patrimoine culturel, « statue (grandeur nature) : saint Roch », notice no IM23000585, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 16 novembre 2019.
    46. « statue : Vierge de l'Assomption », notice no PM23000116, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 16 novembre 2019.
    47. Inventaire général du patrimoine culturel, « verrière figurée : Vierge à l'Enfant », notice no IM23000580, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 16 novembre 2019.
    48. Inventaire général du patrimoine culturel, « verrière figurée : Sacré-Cœur », notice no IM23000577, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 16 novembre 2019.
    49. Inventaire général du patrimoine culturel, « verrière figurée : saint Joseph et l'Enfant Jésus », notice no IM23000579, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 16 novembre 2019.
    50. Inventaire général du patrimoine culturel, « verrière figurée : saint Michel terrassant le démon », notice no IM23000578, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 16 novembre 2019.
    51. Inventaire général du patrimoine culturel, « verrière : le calvaire », notice no IM23000576, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 16 novembre 2019.
    52. Inventaire général du patrimoine culturel, « verrière : la Remise des clefs à saint Pierre », notice no IM23000575, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 16 novembre 2019.
    53. Inventaire général du patrimoine culturel, « verrière : Jésus bénissant les enfants », notice no IM23000574, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 16 novembre 2019.
    54. Inventaire général du patrimoine culturel, « verrière : la Nativité », notice no IM23000573, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 16 novembre 2019.
    55. Inventaire général du patrimoine culturel, « Croix monumentales », notice no IA00030664, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 16 novembre 2019.
    56. Inventaire général du patrimoine culturel, « Croix de cimetière », notice no IA00030669, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 16 novembre 2019.
    57. Inventaire général du patrimoine culturel, « Fontaine de dévotion Saint-Roch », notice no IA00030671, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 16 novembre 2019.
    58. Louis Aragon, « Le Conscrit des cent villages », publié initialement dans La Diane française, consulté dans Pierre Seghers, La Résistance et ses poètes : France, 1940-1945, Paris : Seghers, 2004 (2e édition). (ISBN 2-232-12242-5), p. 373-375.
    59. Jean-Bernard de Vaivre, « La forteresse de Kolóssi en Chypre », Monuments et mémoires de la fondation Eugène Piot, vol. 79,‎ , p. 122-123, 127 (lire en ligne).
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