Lompret (Nord)
Lompret est une commune française située dans le département du Nord, en région Hauts-de-France. Elle fait partie de la Métropole européenne de Lille.
Lompret | |||||
La mairie. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Nord | ||||
Arrondissement | Lille | ||||
Intercommunalité | Métropole européenne de Lille | ||||
Maire Mandat |
Hélène Moeneclaey 2020-2026 |
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Code postal | 59840 | ||||
Code commune | 59356 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Lompretois | ||||
Population municipale |
2 195 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 708 hab./km2 | ||||
Population agglomération |
1 053 636 hab. (2020) | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 40′ 10″ nord, 2° 59′ 24″ est | ||||
Altitude | Min. 22 m Max. 34 m |
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Superficie | 3,1 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Lille (partie française) (banlieue) |
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Aire d'attraction | Lille (partie française) (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Lambersart | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Métropole européenne de Lille
Géolocalisation sur la carte : Nord
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Liens | |||||
Site web | http://www.lompret.fr/ | ||||
Géographie
Situation
La commune est située à quelques kilomètres au nord ouest de Lille.
Communes limitrophes
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Lille-Lesquin », sur la commune de Lesquin, mise en service en 1944[7] et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[8] - [Note 4], où la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[9] à 10,8 °C pour 1981-2010[10], puis à 11,3 °C pour 1991-2020[11].
Urbanisme
Typologie
Lompret est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [12] - [13] - [14]. Elle appartient à l'unité urbaine de Lille (partie française), une agglomération internationale dont la partie française regroupe 60 communes[15] et 1 053 636 habitants en 2020, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Lille (partie française) est la quatrième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon et Marseille-Aix-en-Provence[16] - [17].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lille (partie française) dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 201 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[18] - [19].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (60,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (72,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (54,9 %), zones urbanisées (31 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (8,5 %), zones agricoles hétérogènes (5,6 %)[20].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].
Toponymie
En 1143 on trouve mention de Longo Prato, puis en 1200 de Long Preid. Plusieurs variantes ont été utilisées depuis : Long Prêt, Longpret, Longprez, Lonpré et Lompret.
Histoire
Le long pré est une ancienne possession de la maison des Halluin. À partir de 1296, le domaine est divisé en deux seigneuries, celle de Lassus et celle de La Phalecque. Elles existent jusqu'à la Révolution française. Le château de La Phalecque situé sur la commune continue de témoigner de ce passé.
Le , Michel du Bois, seigneur d'Estiez et de Lassus, bénéficie de lettres d'anoblissement données à Madrid. Natif de Tournai, il est fils de Nicolas, conseiller de la ville de Tournai, et petit-fils de Jacques, prévôt de Tournai. Les lettres d'anoblissement ont été enregistrées le moyennant le versement de 1000 florins[22].
À la fin du XVIIe et au XVIIIe siècle, la seigneurie de Lompret est détenue par les Jacops d'Hailly d'Aigremont. Pierre-Louis Jacops d'Hailly (1669-1738) est le premier d'entre eux. Il achète la seigneurie de Lompret de Philippe du Béron en 1691. Écuyer, il est seigneur d'Hailly, Aigremont (sur Ennevelin), Lompret. Bourgeois de Lille, bourgeois d'Arras, conseiller secrétaire du roi, il est l'auteur de récits de voyages conservés à la Bibliothèque municipale de Lille[23].
Henri-Ambroise-Ernest Jacops d'Aigremont (1709-1764), écuyer, seigneur d'Aigremont, Hailly, Lompret, naît à Lille en mars 1709 (baptisé le ). Fils du second lit de Pierre-Louis Jacops, il passe bourgeois de Lille le après avoir été inscrit au rôle des nobles de Flandre par ordonnance du . Il meurt le . Il épouse à Lille le , sa cousine issue de germain Madeleine-Charlotte Jacops, fille de Jean-Baptiste, écuyer, seigneur de Vertein, et de Marie-Jeanne Cardon[24].
Henri-Louis-Marie Jacops d'Aigremont (1741-1795), fils d'Henri-Ambroise-Ernest, écuyer et seigneur d'Aigremont avant de passer marquis d'Aigremont en 1773, détient Hailly, Lompret et de très nombreux fiefs, naît à Lille en septembre 1741 (baptisé le ), devient chevau-léger de la Garde du roi par certificat du , bourgeois de Lille le . Il émigre pendant la Révolution française, et meurt à Hambourg le . Il épouse par contrat à Hem, le , Marie-Louise-Angélique, comtesse de Gand, fille de Jean-Guillaume-François-Marie, marquis d'Hem, et de Louise-Angélique des Fossés[25].
Au XVIIe siècle, la seigneurie de La Phalecque est détenue par Nicolas Imbert (1598-1688). Il achète le fief en 1606, est anobli deux ans plus tard. Il est donc écuyer, seigneur de La Phalecque, mais ne semble pas avoir résidé sur Lompret. Fils de Nicolas et de Barbe le Mieuvre, il nait en 1598, devient bourgeois de Lille le , puis rewart (chargé de la police), puis mayeur de Lille. Il meurt le , à l'âge de 90 ans. Il est inhumé dans l'église Saint-Maurice de Lille, chapelle de Saint-Nicolas. Il épouse à Lille le Marie de Fourmestraux, fille de Mahieu, bourgeois de Lille et et de Marie Blondel. Elle meurt le , deux mois et demi après son mariage[26].
Vers 1730, Nicolas-Guillaume Imbert, écuyer, est seigneur de Seneschal, la Phalecque, Ennevelin, Planty; il assure les fonctions de rewart (chargé de la police) puis de maïeur (maire) de Lille. Il meurt d'un coup de sang en présidant le magistrat (ancêtre du conseil municipal) de la ville[27].
Christophe-Antoine-Robert Imbert (1735-1810), nait à Lille le . Fils de Nicolas-Guillaume, chevalier, seigneur de la Phalecque, Séneschal, Planty, il succède à son frère Nicolas-Eugène Imbert, chevalier, seigneur de Séneschal, en tant que chevalier d'honneur du bureau des finances de la généralité de Lille le et le demeure jusqu'en 1790 (suppression de ce titre). Il a fait carrière dans les armes : il reçoit le le brevet de capitaine au corps royal d'artillerie au régiment de Grenoble, blessé à la cuisse en Allemagne, fait prisonnier par les Hanovriens et emmené en Angleterre. Depuis sa captivité, a toujours porté une épée aux armes de l'Électeur de Saxe, qui est toujours dans la famille au XIXe siècle.Il meurt à Lille le , à 74 ans. Il a pris pour femme par contrat du Marie-Thérèse-Natalie de Maulde de la Tourelle (1750-1810 Ypres), fille de Martin-Louis, écuyer et de Françoise-Séraphine Hespel[27].
Les descendants de la famille Imbert, seigneurs de la Phalecque vont en porter le nom et s'appeler Imbert de la Phalecque. Le nom existe encore de nos jours[28].
Les Templiers
A Lompret, les Templiers ont laissé leur empreinte dans la mémoire collective[29].
En tournant à droite après avoir remonté la rue de l'église, le nom du hameau de La Citadelle reste une énigme. Ce hameau formait un groupe de maisons et le chemin que l'on empruntait autrefois donnait accès au village avec celui du Vert Touquet et du Vieux Soldat à l'autre extrémité de la commune.
Alors que le nom de citadelle rappelle, pour les gens du Nord, les grandes constructions défensives de Vauban, ici rien, aucun vestige, ni douve. Est-ce la proximité du fort de Lompret et la ferme fortifiée tous deux sur la commune de Verlinghem qui donnèrent ce nom au hameau ? Même Marie-Claude Vervisch, l'historienne de Lompret passionnée d'histoire locale ne peut qu'émettre des hypothèses.
Les Templiers, ordre religieux et militaire créé en 1119 par Hugues de Payns, étaient des moines chevaliers. Ils protégeaient les pèlerins qui partaient en Terre Sainte et possédaient des terres également à Pérenchies et Verlinghem. En 1565, la maison de Pérenchies échut à la commanderie de Haute-Avesnes, le commandeur percevait des droits seigneuriaux dans les villages de Pérenchies et de Verlinghem ainsi que sur plusieurs maisons et héritages à Lompret. La maison du temple de Pérenchies était située sur le territoire de Verlinghem dans le chemin du Temple actuel, une centaine de mètres, à gauche, après le croisement avec le chemin de la Vierge. On trouve d'ailleurs, au bout de ce chemin au lieu-dit Le Funquereau, à Frelinghien, le calvaire du Temple. La grande ferme entourée de douves et qui se trouve à deux pas du hameau n'est autre que l'ancienne ferme Destombes et le nom du hameau de la Citadelle vient peut-être du surnom de cette ferme fortifiée dite à tort ferme des Templiers.
Économie et industrie
- Lompret est une commune rurale. Les activités de la commune comprennent cinq exploitations agricoles et trois pépiniéristes. Les producteurs horticoles proposent des végétaux d'extérieur, mais aussi des plantes d'intérieur. C'est une activité traditionnelle de la commune puisque parmi eux, Les pépinières de Lompret sont tricentenaires. Aussi, le salaire mensuel moyen net de Lompret est élevé à 4 457 euros par mois, soit le 168e village sur 36 717 à payer le plus d'impôts sur le revenu moyen (5 414 euros par an) et par famille imposable (7 433 euros par an) en France.
- Lompret est le siège d'une usine du groupe fabricant de meubles Demeyere[30].
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[39].
En 2020, la commune comptait 2 195 habitants[Note 7], en diminution de 4,98 % par rapport à 2014 (Nord : +0,16 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des âges
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 30,7 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 30,6 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 1 130 hommes pour 1 134 femmes, soit un taux de 50,09 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,77 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Le château de La Phalecque ; le fief de La Phalecque est vendu en 1606 par Les Mortier et Van Grave à Nicolas Imbert anobli deux ans plus tard mais il semble que ce soit seulement au siècle suivant qu’est édifié le château dans sa configuration actuelle. L’architecture s’apparente par sa façade à deux étages et ses motifs sculptés à celle des demeures lilloises de l’époque. Au XIXe siècle, la famille d’Hespel, dont les armes figurent au-dessus de l’entrée principale, acquiert la propriété et double le volume du bâtiment. Depuis 1954, le bâtiment abrite une maison de repos des Associations Familiales de Lille. Jadis entouré d’eau et maintenant niché dans une bouquet d’arbres, le château est précédé d’une drève plantée de tilleuls. À l’intérieur, n’a été gardé qu’un seul dessus de cheminée datant du XVIIIe siècle.
- Le château de Villers ; ancienne propriété de la comtesse de Bucquoy, il n'en reste plus que des ruines.
- La ferme de Petitpas ; ancienne ferme rénovée qui porte le nom d'une très ancienne famille de Lompret.
- L'église Notre-Dame de l'Assomption, construite en 1903 et rénovée en 2010. Le territoire de Lompret est intégré à la paroisse catholique Notre-Dame-des-Sources dont font également partie les communes de Verlinghem, Pérenchies et Prémesques. L'abbé Dominique Lemahieu en est son curé. La paroisse se trouve sur le Doyenné de la Lys et de la Deûle, lui-même faisant partie du Diocèse de Lille.
- La chapelle de la famille Dambricourt, érigée en 1842 et rénovée en 1994.
- Le calvaire érigé en 1891 à la mémoire des pères rédemptoristes.
Personnalités liées à la commune
- Alain Santy (1949 Ã Lompret-), coureur cycliste ;
- Guy Santy (1950 Ã Lompret-), coureur cycliste.
Héraldique
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Les armes de Lompret se blasonnent ainsi : « D'or à trois chevrons de sable ». Il s'agit du blason des seigneurs de la Douve, seigneurs de Lompret du XVe siècle au XVIIIe siècle. |
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Pour approfondir
Articles connexes
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
- « Station météofrance Lille-Lesquin - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Lompret et Lesquin », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lille (partie française) », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 224, lire en ligne.
- Paul (1874-19 ) Auteur du texte Denis Du Péage, Recueil de généalogies lilloises. Tome 2 / par Paul Denis Du Péage,..., 1906-1909 (lire en ligne), p. 547-549.
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- Paul Denis du Péage, « Recueil de généalogies lilloises - tome I », Recueil de la société d'études de la province de Cambrai, vol. 12,‎ 1906-1909, p.254-256 (lire en ligne).
- Éléonore Paul Constant Baron DU CHAMBGE DE LIESSART, Notes historiques relatives aux offices et aux officiers du Bureau des finances de la généralité de Lille, L. Leleu, (lire en ligne), p. 87-90.
- « Familles Imbert De La Phalecque : avis de décès et avis d’obsèques - Libra Memoria », sur www.libramemoria.com (consulté le )
- La Voix du Nord, 2 septembre 2008
- « Nos implantations - Fabrication de meubles », sur demeyeregroup.com (consulté le ).
- Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 274, lire en ligne.
- « Annuaire statistique du département du Nord Année 1807 », p. 138-139 (images 168-169).
- Julien Lécuyer, « Pédopornographie: le maire de Lompret a "démissionné de tous ses mandats" », La Voix du Nord, 9 décembre 2013, consulté le 25 février 2014.
- Préfecture du Nord, « Liste des maires du département du Nord 2008-2014 », consulté le 25 février 2014.
- Jean-Charles Gatineau, « Lompret : Marie-Claude Vervisch, "maire de tous les habitants", mais de courte durée », publié le 25 janvier 2014, consulté le 23 mai 2014.
- Quentin Laurent, « Lompret : Hélène Moeneclaey élue maire avec 47,43 % des voix, l'alternance victorieuse », publié le 31 mars 2014, consulté le 23 mai 2014.
- https://horizonsleparti.fr/comites-municipaux/
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Lompret (59356) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département du Nord (59) », (consulté le ).