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Le PĂȘchereau

Le PĂȘchereau est une commune française situĂ©e dans le dĂ©partement de l'Indre, en rĂ©gion Centre-Val de Loire.

Le PĂȘchereau
Le PĂȘchereau
La mairie en 2009.
Blason de Le PĂȘchereau
Blason
Le PĂȘchereau
Logo
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Centre-Val de Loire
DĂ©partement Indre
Arrondissement ChĂąteauroux
IntercommunalitĂ© CommunautĂ© de communes Éguzon - Argenton - VallĂ©e de la Creuse
Maire
Mandat
Jean-Pierre Nandillon
2020-2026
Code postal 36200
Code commune 36154
DĂ©mographie
Gentilé Pescherelliens
Population
municipale
1 854 hab. (2020 en augmentation de 0,11 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 89 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 46° 34â€Č 44″ nord, 1° 32â€Č 54″ est
Altitude Min. 103 m
Max. 256 m
Superficie 20,94 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Argenton-sur-Creuse
(banlieue)
Aire d'attraction ChĂąteauroux
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton d'Argenton-sur-Creuse
LĂ©gislatives DeuxiĂšme circonscription
Localisation
GĂ©olocalisation sur la carte : France
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Le PĂȘchereau
GĂ©olocalisation sur la carte : France
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Le PĂȘchereau
GĂ©olocalisation sur la carte : Indre
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Le PĂȘchereau
GĂ©olocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
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Le PĂȘchereau
Liens
Site web le-pechereau-mairie.fr

    GĂ©ographie

    Localisation

    La commune est située dans le sud[1] du département, dans la région naturelle du Boischaut Sud.

    Les communes limitrophes[1] sont : Argenton-sur-Creuse (km), Le Menoux (km), Saint-Marcel (km), Chavin (km), Ceaulmont (km), Tendu (km), Mosnay (km) et Malicornay (km).

    Les communes chefs-lieux[1] et prĂ©fectorales sont : Argenton-sur-Creuse (km), ChĂąteauroux (28 km), La ChĂątre (34 km), Le Blanc (38 km) et Issoudun (53 km).

    • Vue gĂ©nĂ©rale de la commune en 2009.
      Vue générale de la commune en 2009.

    Hameaux et lieux-dits

    Les hameaux et lieux-dits de la commune sont : le Vivier, Paumule, les Reizes, le Grand PĂȘchereau, le Bas Vilaine, le Haut Vilaine, le ChĂąteau-Gaillard, les Jolivets, les Thibaults, le Bas Verneuil, le Haut Verneuil, Vilaine-Bouchard et les Neuraux[2].

    GĂ©ologie et hydrographie

    La commune est classée en zone de sismicité 2, correspondant à une sismicité faible[3].

    Le territoire communal est arrosé par la riviÚre Creuse[2].

    Climat

    Normales et records pour la période 1981-2010 à la station météorologique de Chùteauroux - Déols
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 1,3 1,3 3,5 5,3 9,2 12,4 14,4 14,3 11,2 8,5 4,1 1,8 7,3
    Température moyenne (°C) 4,2 4,9 8 10,4 14,4 17,8 20,2 20 16,6 12,8 7,5 4,7 11,8
    Température maximale moyenne (°C) 7,1 8,6 12,6 15,5 19,6 23,1 26 25,6 21,9 17,1 11 7,6 16,3
    Record de froid (°C)
    date du record
    −22,8
    16-01-1985
    −22,8
    14-02-1929
    −10,8
    01-03-2005
    −4,2
    07-04-1929
    −1,4
    11-05-1928
    1,2
    01-06-1936
    4
    10-07-1948
    4,5
    06-08-1967
    0
    30-09-1936
    −5,2
    30-10-1997
    −8,7
    24-11-1998
    −17
    10-12-1967
    −22,8
    16-01-1985
    Température maximale la plus basse (°C)
    date du record
    −14,9
    16-01-1985
    −10,8
    02-03-1956
    −1,9
    05-04-1971
    1,5
    06-04-1911
    6,9
    04-05-1977
    11,1
    09-06-1956
    12,8
    19-07-1966
    13,9
    31-08-2007
    9,5
    29-09-1919
    2,8
    27-10-1931
    −2,9
    22-11-1993
    −10,2
    20-12-1938
    −14,9
    16-01-1985
    Température minimale la plus haute (°C)
    date du record
    12
    02-01-1916
    12,1
    27-02-1960
    14,9
    11-03-1981
    14,5
    28-04-1913
    18
    12-05-1912
    22,3
    28-06-2005
    23
    21-07-1995
    23,3
    06-08-2018
    20,5
    05-09-2017
    18,9
    01-10-2001
    15,1
    07-11-1954
    13,4
    04-12-1961
    23,3
    06-08-2018
    Record de chaleur (°C)
    date du record
    18,5
    05-01-1999
    24
    27-02-2019
    28
    25-03-1955
    31,5
    22-04-1893
    34,5
    29-05-1944
    37,7
    26-06-1947
    40,2
    28-07-1947
    40,5
    02-08-1906
    38
    01-09-1906
    30,3
    07-10-2009
    24,5
    02-11-1899
    20,5
    16-12-1989
    40,5
    02-08-1906
    Ensoleillement (h) 72,1 91,9 155,6 178,5 208,6 210,4 231,7 235,5 189,5 128,3 79,6 59 1 840,7
    ETp Penman (mm) 13,8 23,2 56,1 82,1 112,9 132,8 147,8 131,5 79,5 41,3 15,9 10,2 847,1
    Record de vent (km/h)
    date du record
    105,4
    NC
    132,1
    23-02-2009
    126
    NC
    104,4
    NC
    94,5
    NC
    109,8
    13-06-2002
    104,4
    NC
    115,2
    NC
    104,4
    NC
    97,2
    NC
    100,8
    NC
    126
    NC
    132,1
    NC
    Record de la pression la plus basse (hPa)
    date du record
    973,1
    NC
    965
    NC
    983,7
    NC
    981,8
    NC
    989,6
    NC
    991,6
    NC
    978,2
    NC
    996,9
    NC
    989,9
    NC
    980,1
    NC
    973
    NC
    967,9
    NC
    965
    NC
    Record de la pression la plus haute (hPa)
    date du record
    1 045,1
    NC
    1 043,4
    NC
    1 046,7
    NC
    1 035,7
    NC
    1 033,5
    NC
    1 047,5
    NC
    1 030,6
    NC
    1 030,6
    NC
    1 034,9
    NC
    1 035,6
    NC
    1 040,2
    NC
    1 045,6
    NC
    1 047,5
    NC
    Précipitations (mm) 59,2 48,8 52,1 65,8 73,3 54,9 56,6 56,1 64,3 73,8 64,9 67,3 737,1
    Record de pluie en 24 h (mm)
    date du record
    48,7
    20-01-1910
    29,7
    05-02-1955
    32,4
    29-03-1978
    42,6
    18-04-1964
    54,1
    12-05-1910
    67,6
    04-06-2002
    60,4
    08-07-1919
    66,1
    29-08-1945
    58,6
    17-09-1975
    43
    29-10-1981
    35,2
    05-11-1962
    51,6
    24-12-1995
    67,6
    04-06-2002
    dont nombre de jours avec prĂ©cipitations ≄ 1 mm 4,9 5,3 5 5,8 6,2 7,5 7,4 7,2 8,3 6,4 5,7 5,9 6,3
    Source : Infoclimat.fr
    Diagramme climatique
    JFMAMJJASOND
    7,1
    1,3
    59,2
    8,6
    1,3
    48,8
    12,6
    3,5
    52,1
    15,5
    5,3
    65,8
    19,6
    9,2
    73,3
    23,1
    12,4
    54,9
    26
    14,4
    56,6
    25,6
    14,3
    56,1
    21,9
    11,2
    64,3
    17,1
    8,5
    73,8
    11
    4,1
    64,9
    7,6
    1,8
    67,3
    Moyennes : ‱ Temp. maxi et mini °C ‱ PrĂ©cipitation mm

    Voies de communication et transports

    Le territoire communal est desservi par les routes départementales : 30, 30B, 48, 48A, 48D, 132, 927 et 927E[4].

    La ligne d'Argenton-sur-Creuse Ă  La ChaussĂ©e passait par le territoire communal, une gare desservait la commune. La gare ferroviaire la plus proche est la gare d'Argenton-sur-Creuse[4] (3,4 km), sur la ligne des Aubrais - OrlĂ©ans Ă  Montauban-Ville-Bourbon.

    Le PĂȘchereau est desservie par la ligne J du RĂ©seau de mobilitĂ© interurbaine[5].

    L'aĂ©roport le plus proche est l'aĂ©roport de ChĂąteauroux-Centre[4], Ă  40 km. Elle dispose d'un aĂ©rodrome sur son territoire au lieu-dit la Bourdine.

    Le territoire communal est traversé par le sentier de grande randonnée de pays du Val de Creuse[2] et par la voie verte des Vallées[2]..

    • Deux autogires sur l'aĂ©rodrome de la Bourdine en 2009.
      Deux autogires sur l'aérodrome de la Bourdine en 2009.

    Urbanisme

    Typologie

    Le PĂȘchereau est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densitĂ© intermĂ©diaire, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 1] - [6] - [7] - [8]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine d'Argenton-sur-Creuse, une agglomĂ©ration intra-dĂ©partementale regroupant 3 communes[9] et 8 375 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[10] - [11].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de ChĂąteauroux dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 71 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 50 000 Ă  moins de 200 000 habitants[12] - [13].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (80,5 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă  celle de 1990 (81,7 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (29 %), prairies (28,8 %), terres arables (22,7 %), forĂȘts (10,4 %), zones urbanisĂ©es (7,4 %), espaces verts artificialisĂ©s, non agricoles (1,7 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (0,1 %)[14].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[15].

    Logement

    Le tableau ci-dessous présente le détail du secteur des logements[16] de la commune :

    Date du relevé 2013
    Nombre total de logements 1 000
    RĂ©sidences principales 85,7 %
    RĂ©sidences secondaires 4,7 %
    Logements vacants 9,6 %
    Part des ménages propriétaires de leur résidence principale 74,3 %

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune duPĂȘchereau est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque technologique, la rupture d'un barrage[17]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[18].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment la Creuse. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1990, 1999 et 2008[19] - [17].

    Carte des zones d'alĂ©a retrait-gonflement des sols argileux duPĂȘchereau.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[20].

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 99,5 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (84,7 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 022 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 1003 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 98 %, Ă  comparer aux 86 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[21] - [22].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 1992, 2018 et 2019 et par des mouvements de terrain en 1999[17].

    Risques technologiques

    La commune est en outre situĂ©e en aval du Barrage d'Éguzon, de classe A[Note 3] et faisant l'objet d'un PPI, mis en eau en 1926, d’une hauteur de 58 mĂštres et retenant un volume de 57,3 millions de mĂštres cubes. À ce titre elle est susceptible d’ĂȘtre touchĂ©e par l’onde de submersion consĂ©cutive Ă  la rupture de cet ouvrage[24].

    Toponymie

    Ses habitants sont appelés les Pescherelliens[25].

    Histoire

    Le document le plus ancien conservĂ© aux archives dĂ©partementales de l'Indre, dans lequel il est fait mention de cette commune remonte Ă  1226. À l'Ă©poque, le village s'appelait Podio Cherelli, puis plus tard en 1291, sur un document conservĂ© Ă  la BibliothĂšque nationale, Podium Cherelli Territorium de Podio Chereau. En 1456, le territoire prend le nom de Peuchereau et en 1498, le nom de PĂȘchereau.

    L'origine de ce nom viendrait de Podium, Puy, Pe, mot dĂ©signant un lieu Ă©levĂ©. On retrouverait d'ailleurs une mĂȘme origine dans d'autres noms de lieux de la rĂ©gion comme Puy de l'Ăąge Ă  Celon, Puy d'Auzon Ă  Cluis. Comme Le PĂȘchereau, ces deux territoires correspondent Ă  des lieux Ă©levĂ©s.

    Cette interprĂ©tation est contestĂ©e par certains auteurs, en particulier StĂ©phane Gendron qui pense qu'il s'agit de Puy associĂ© au nom d'une personne, Chereau, qui aurait donnĂ© Puy Ă  Chereau, Puychereau puis PĂȘchereau[26].

    Le , et pour la premiĂšre annĂ©e, la commune du PĂȘchereau avec l’aide de nombreux bĂ©nĂ©voles regroupĂ©s dans l’association culturelle du PĂȘchereau a organisĂ© une grande fĂȘte mĂ©diĂ©vale avec spectacles l'aprĂšs-midi et en soirĂ©e et la prĂ©sence de nombreux stands en rapport avec les mĂ©tiers du Moyen Âge, luthier, vannier, coutelier, tailleur de pierre. En soirĂ©e, un grand feu d'artifice embrasa le chĂąteau-mairie du PĂȘchereau.

    La commune fut aussi rattaché du au à la communauté de communes du pays d'Argenton-sur-Creuse.

    Politique et administration

    La commune dĂ©pend de l'arrondissement de ChĂąteauroux, du canton d'Argenton-sur-Creuse, de la deuxiĂšme circonscription de l'Indre et de la communautĂ© de communes Éguzon - Argenton - VallĂ©e de la Creuse[27].

    Elle dispose d'un bureau de poste[28].

    Le PĂȘchereau est jumelĂ©e depuis 1981, avec la commune de Tokomadji, en Mauritanie.

    Concours des villes et villages fleuris
    Récompenses et prix Années d'obtentions
    Prix RĂ©gional de la
    Mise en Valeur du Patrimoine
    palmarĂšs 2011[29]

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    avant 1995 ? Jean Descout
    mars 2001[30] 2006 René Caltabellotta ? Médecin généraliste
    2006[31] mars 2014 Jean-Claude Andrieux DVD Médecin généraliste
    mars 2014[32] En cours Jean-Pierre Nandillon DVG Retraité
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[34].

    En 2020, la commune comptait 1 854 habitants[Note 4], en augmentation de 0,11 % par rapport Ă  2014 (Indre : −3,3 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    830945874881557928964922991
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 0071 0031 0361 0381 0511 1381 2091 1951 266
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 2381 2471 2171 1091 0411 0181 0161 1041 121
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    1 1771 2391 3351 7261 8871 8841 9882 0021 892
    2017 2020 - - - - - - -
    1 8631 854-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee Ă  partir de 2006[36].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    La commune dépend de la circonscription académique de La Chùtre.

    Manifestations culturelles et festivités

    Chaque annĂ©e a lieu dans la commune, la « fĂȘte mĂ©diĂ©vale du PĂȘchereau » et le petit marchĂ© de NoĂ«l.

    • Le spectacle mĂ©diĂ©val en 2009.
      Le spectacle médiéval en 2009.

    Sports

    Un site de baignade non surveillé[39] (plage Le Vivier) est présent dans la commune.

    MĂ©dias

    La commune est couverte par les mĂ©dias suivants : La Nouvelle RĂ©publique du Centre-Ouest, Le Berry rĂ©publicain, L'Écho - La Marseillaise, La Bouinotte, Le Petit Berrichon, L'Écho du Berry, France 3 Centre-Val de Loire, Berry Issoudun PremiĂšre, Vibration, Forum, France Bleu Berry et RCF en Berry.

    Économie

    La commune se situe dans l'unitĂ© urbaine d’Argenton-sur-Creuse, dans l’aire urbaine d'Argenton-sur-Creuse, dans la zone d’emploi de ChĂąteauroux et dans le bassin de vie d'Argenton-sur-Creuse[27].

    La commune se trouve dans l'aire géographique et dans la zone de production du lait, de fabrication et d'affinage du fromage Valençay[40].

    Culture locale et patrimoine

    ChĂąteau du Haut-du-PĂȘchereau

    Il ne subsiste malheureusement pas grand-chose du chĂąteau haut du PĂȘchereau. Seul un pigeonnier tĂ©moigne de l’anciennetĂ© du site.

    ChĂąteau des Thibauds

    Ce chĂąteau construit pour son usage par l’architecte Henri Dauvergne en 1890. À l’origine, cette terre Ă©tait une mĂ©tairie dĂ©pendant de Prunget. En 1556, Aubert de Montjohan qui la possĂ©dait s’en dĂ©fit au bĂ©nĂ©fice de Claude et François de Montjohan, Ă©cuyers, qui y demeuraient. Elle comprenait, maison, jardin et four Ă  chaux. Elle passa ultĂ©rieurement Ă  Jean de Savary, sieur des Thibauds et de Villerandoux (aveu de 1677) et fut vendue en 1767 par Claude Dupin de Boislarge et son frĂšre Pierre Dupin de Fleuranderie Ă  Etienne PĂ©pin, marchand Ă  Argenton. À ce jour, le rĂ©cent propriĂ©taire, monsieur Olivier Chapus, a entrepris d’importants travaux de rĂ©novation afin de refaire vivre la demeure de Dauvergne[41].

    ChĂąteau de Paumule

    Sur le territoire de Paumule, existait en 1612, une dĂźme appartenant pour partie Ă  Guillaume Couraud, damoiseau, seigneur du Vivier. Cette dĂźme Ă©tait en 1714, une dĂ©pendance de la maison noble de Paumule, dont l’origine ne devait pas ĂȘtre trĂšs ancienne car elle ne figure pas sur la liste des fiefs d’Argenton. Pierre Bien est propriĂ©taire de Paumule en 1666, puis cette terre passe Ă  Charles de Saint-Julien, mariĂ© Ă  Jeanne Bien ; c’est aux descendants de ceux-ci qu’en 1714, Jean Coute, conseiller du roi, racheta la propriĂ©tĂ© pour 9 500 livres tournois. Jean Coute Ă©tait protestant ; lui et sa future se convertirent au moment de leur mariage. UltĂ©rieurement, la famille Coute connut deux branches : celle des Coute de Paumule et celle des Coute du Cluzeau. Le chĂąteau demeura dans cette famille jusqu’en 1950[41].

    ChĂąteau du Courbat

    Le fief du Courbat relevait d'Argenton. Le cĂ©lĂšbre Jean Mauduit, bailli de cette ville, l'ayant acquis en 1614, commença la restauration et l'agrandissement du chĂąteau[42] - [43] qui furent continuĂ©s par son fils au cours du XVIIe siĂšcle. Ce manoir, entourĂ© par l'eau des douves, bien que de dimension relativement modeste forme un ensemble architectural ayant particuliĂšrement fiĂšre allure. La tour, le corps de logis couvert de tuile et le portail prĂ©cĂ©dĂ© autrefois d'un pont-levis, forment un ensemble original et coquet. Au-dessus de la porte d'entrĂ©e, faisant face au midi, on lit en lettres majuscules gravĂ©es dans la pierre, une phrase sentencieuse : « Passant Ă  force de les passer, tu pourois bien demeurer ». Cette inscription pourrait se rapporter Ă  un ancien cadran solaire. Au-dessous de l'inscription, se trouve la date de 1662. Dans les dĂ©pendances du chĂąteau, se trouve une fuye ou colombier oĂč les pigeons trouvaient leur gĂźte dans 840 boulins disposĂ©s sur 14 rangs. L'on voit encore l'Ă©chelle, tournant autour d'un poteau vertical en bois, au moyen de laquelle on pouvait facilement visiter les nids. Ce pivot s'engage Ă  la partie supĂ©rieure dans une poutre horizontale portant la date de construction : « Jean Maudut m'a fait l'an 1625 ». Aujourd'hui, le chĂąteau du Courbat est le siĂšge de la mairie du PĂȘchereau.

    Église

    Jusqu'Ă  la RĂ©volution, la chapelle du PĂȘchereau n'Ă©tait qu'une Ă©glise succursale de la paroisse de Chavin. Ce n'est qu'Ă  cette Ă©poque que Le PĂȘchereau devint commune et paroisse indĂ©pendantes, rĂ©pondant ainsi aux vƓux plusieurs fois rĂ©pĂ©tĂ©s de ses habitants. La premiĂšre chapelle fut fondĂ©e en 1488 par deux frĂšres prĂȘtres, Pierre et Mathurin Marchand. L'un Ă©tait curĂ© de Ceaulmont et l'autre de Bazaiges. Une inscription lapidaire relatant ce fait se lit sur le mur de la nef, Ă  l'intĂ©rieur de l'Ă©glise actuelle : Le premier jour d'avril l'an 1488 fut ceste esglise commancĂ©e et fondĂ©e par deux frĂšres prebtres, nez de ce lieu : Pierre Mathurin Marchans nommĂ©s. De Ceaulmont Bezeages, lors curĂ©s. Et de deulx messes chescune sepmaine le dim... parrochialle avecques... offices et sacremens... et le vendredi aprĂšs so... de la... Ă  l'intention d'iceux. Pour ce pries Dieu pour. En clair, deux curĂ©s de paroisses voisines, nĂ©s au PĂȘchereau, fondĂšrent cette ancienne chapelle, Ă  charge pour la paroisse de dire chaque semaine et Ă  perpĂ©tuitĂ©, deux messes pour le repos de leur Ăąme. Compte tenu de l'Ă©loignement de Chavin, le desservant de la chapelle du PĂȘchereau de l'Ă©poque exerçait les fonctions curiales et tenait les registres des baptĂȘmes, mariages et sĂ©pultures. Mais il n'en Ă©tait pas moins considĂ©rĂ© par le curĂ© de Chavin comme un simple chapelain d'une Ă©glise « annexe et filliole », tandis qu'au contraire, les habitants revendiquaient pour leur territoire toutes les prĂ©rogatives d'une vraie paroisse. Au dĂ©but du XXe siĂšcle, une association « Notre Dame du PĂȘchereau », sous l'impulsion de madame LĂ©opold Chauveau, (trouvant l'Ă©glise trop petite Ă  son goĂ»t) voit le jour avec l'objectif de construire une nouvelle Ă©glise. La famille Devallencienne fait don du terrain, la famille Chauveau assume les frais d'architecte et de construction. Sur les plans d'Henri Dauvergne (fils d'Alfred), la construction dĂ©bute en 1906 sous le curĂ© Ducher et se poursuit de 1907 Ă  1916 avec le curĂ© PĂąquier. La guerre en 1914 ralentit quelque peu les travaux. Le , le cardinal LĂ©on Adolphe Amette, archevĂȘque de Paris, ami de la famille Chauveau, procĂšde Ă  la bĂ©nĂ©diction de l'Ă©glise, « Notre-Dame-de-l'Assomption du PĂȘchereau ». Ni romane, ni gothique, ni flamboyante, elle est le fruit architectural de l'Ă©poque : deux chapelles latĂ©rales, une tribune, une chaire (aujourd'hui supprimĂ©e), cinq statues, sept vitraux rappelant les litanies de la Vierge et huit grands vitraux, dont certains portent les blasons des familles donatrices. La dĂ©coration des fonts baptismaux est due Ă  l'abbĂ© Chaix, curĂ© de 1952 Ă  1957. Il faut noter que la pierre d'Ă©dification de l'ancienne Ă©glise datant de 1488 et la cloche « EugĂ©nie Victorine AurĂ©lie », ont Ă©tĂ© ramenĂ©es dans la nouvelle Ă©glise, le maire de l'Ă©poque, Jean Duris faisant partie de l'association. L'ancienne Ă©glise Ă  laquelle certains habitants Ă©taient trĂšs attachĂ©s ne sera dĂ©saffectĂ©e qu'en 1928. En 1952, le conseil municipal de l'Ă©poque dĂ©cide la dĂ©molition totale de l'Ă©glise, au grand regret de certains habitants de l'Ă©poque.

    • L'Ă©glise en 2009.
      L'Ă©glise en 2009.

    Chapelle de Verneuil

    En 1226, l'existence d'un prieurĂ© de Verneuil est attestĂ©e par le pape Honorius III, sur le territoire de Le PĂȘchereau au lieu-dit Verneuil (di Vernolio, terrage de Puychereau). À l'Ă©poque, Le PĂȘchereau est considĂ©rĂ© comme un village dĂ©pendant de la paroisse Saint-AndrĂ© de Chavin. L'an 1862, le comte d'Autemarre d'Erville, propriĂ©taire du terrain sur lequel subsistaient les ruines du prieurĂ©, dĂ©cide de faire Ă©difier une chapelle dĂ©diĂ©e Ă  saint Fiacre ; la nouvelle construction de 10 m x m conserve un pilier de l'ancien bĂątiment. Une fontaine, en rĂ©alitĂ© un puits avec une margelle de m de haut et de 60 cm de diamĂštre, se trouve sur la route menant Ă  La ChĂątre. Les gens venaient en pĂšlerinage, buvaient l'eau de la fontaine, censĂ©e guĂ©rir les coliques. Aujourd'hui, la chapelle Saint-Fiacre est en trĂšs mauvais Ă©tat et menace ruines.

    Maison Ă  trois carres

    Cette maison[44] - [45], actuellement propriĂ©tĂ© privĂ©e, a Ă©tĂ© construite en 1786 pour Jean Baptiste Brunet, officier de la marĂ©chaussĂ©e d’Argenton-sur-Creuse, alors membre de la loge maçonnique de La FraternitĂ© d’Argenton. Alors qu’il est VĂ©nĂ©rable de son Atelier, ce notable, Jean Baptiste Brunet affirme ainsi son identitĂ© maçonnique, en construisant dans un terrain triangulaire qu’il possĂšde au PĂȘchereau, une maison Ă©galement triangulaire appelĂ©e « La Maison Ă  trois carres », symbole de son appartenance Ă  une obĂ©dience maçonnique. Faite d’un triangle parfait de 16,5 m de cĂŽtĂ©, la face principale d’accĂšs Ă©tant orientĂ©e plein sud, une pointe du triangle Ă©tant Ă  l’est, au soleil levant, l’autre Ă  l’ouest, au soleil couchant, la troisiĂšme Ă©tant au nord. C’est dans ce dernier angle que se trouve le four Ă  pain.

    Prairie de Paumule

    La prairie de Paumule est un lieu de dĂ©tente et de loisirs, amĂ©nagĂ© au bord de la Creuse le long de la route allant d'Argenton-sur-Creuse Ă  Badecon-le-Pin et Gargilesse. TrĂšs frĂ©quentĂ©e les week-ends et pendant les vacances, la prairie de Paumule dispose d'un parcours de santĂ©, d'un lieu de pĂȘche accessible aux personnes handicapĂ©es et d'une zone de jeux pour les enfants. C'est un lieu idĂ©al pour la promenade.

    • La prairie de Paumule en 2008.
      La prairie de Paumule en 2008.

    Personnalités liées à la commune

    HĂ©raldique, logotype et devise

    Blason de Le PĂȘchereau Blason
    De gueules à la tour d'or, ouverte et ajourée du champ, 2,1 et 1, accompagnée en chef de deux étoiles d'or ; au chef cousu d'azur chargé de trois chouettes contournées d'or et perchées sur des branches de sable.
    DĂ©tails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.
    Logotype de la commune du PĂȘchereau jusqu'en 2020.
    Logotype de la commune du PĂȘchereau depuis 2021.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Marinette Baudet-Lamoure, Argenton et son histoire : Le Chemin de fer et la halte du PĂȘchereau, Argenton-sur-Creuse, Cercle d'histoire d'Argenton, , 14e Ă©d..
    • Marinette Baudet-Lamoure, Argenton et son histoire : Le PĂȘchereau et son monument aux morts, Argenton-sur-Creuse, Cercle d'histoire d'Argenton, , 15e Ă©d..
    • Marinette Baudet-Lamoure, Argenton et son histoire : Louis-Émile Galey, Argenton-sur-Creuse, Cercle d'histoire d'Argenton, , 19e Ă©d..
    • Marinette Baudet-Lamoure, Argenton et son histoire : Un Pescherellien talentueux, Louis-Émile Galey, Argenton-sur-Creuse, Cercle d'histoire d'Argenton, , 20e Ă©d..
    • Renaud de Lafforest, Argenton et son histoire : L'Escalier du Courbat, Argenton-sur-Creuse, Cercle d'histoire d'Argenton, , 22e Ă©d..

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Le classement des barrages est fonction de deux paramĂštres : hauteur et volume retenu[23].
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. « Indre », sur le site de Lion 1906, consulté le 3 septembre 2018.
    2. « Le PĂȘchereau » sur GĂ©oportail., consultĂ© le 17 septembre 2018.
    3. « Didacticiel de la rÚglementation parasismique : Indre », sur le site de la Prévention du risque sismique, consulté le 3 septembre 2018.
    4. « Le PĂȘchereau », sur le site de ViaMichelin, consultĂ© le 3 septembre 2018.
    5. « Indre (36) - Fiches horaires », sur le site du Réseau de mobilité interurbaine, consulté le 2 septembre 2018.
    6. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Commune urbaine - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    8. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    9. « Unité urbaine 2020 d'Argenton-sur-Creuse », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    10. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    11. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unitĂ©s urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
    12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
    14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    15. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    16. Site de l'Insee : Le PĂȘchereau, consultĂ© le 6 septembre 2016.
    17. « Les risques prĂšs de chez moi - commune du PĂȘchereau », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
    18. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
    19. « Dossier départemental des risques majeurs dans l'Indre », sur www.indre.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
    20. « Dossier départemental des risques majeurs dans l'Indre », sur www.indre.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
    21. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    22. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
    23. Article R214-112 du code de l’environnement
    24. « Dossier départemental des risques majeurs dans l'Indre », sur www.indre.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
    25. « Nom des habitants des communes françaises, Le PĂȘchereau », sur le site habitants.fr de la SARL Patagos (consultĂ© le ).
    26. StĂ©phane Gendron, Les Noms de Lieux de l’Indre.
    27. « Commune du PĂȘchereau (36154) », sur le site de l'Insee, consultĂ© le 28 octobre 2018.
    28. Site de La Poste : Un bureau de poste, consulté le 22 août 2012.
    29. [PDF] Concours Régional Centre des villes et villages fleuris - PalmarÚs 2011, consulté le 23 septembre 2011.
    30. « Résultats des élections municipales 2001 », sur le site du MinistÚre de l'Intérieur, consulté le 16 avril 2018.
    31. « Résultats des élections municipales 2008 », sur le site du MinistÚre de l'Intérieur, consulté le 16 avril 2018.
    32. « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur le site du MinistÚre de l'Intérieur, consulté le 16 avril 2018.
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    34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    37. « Liste des établissements scolaires de l'Indre - Année scolaire 2018/2019 » [PDF], sur le site de l'Académie d'Orléans-Tours (consulté le ).
    38. « Regroupements pédagogiques intercommunaux (R.P.I.) » [PDF], sur le site de l'Académie d'Orléans-Tours (consulté le ).
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    40. Site de l'Institut national de l'origine et de la qualité : Valençay, consulté le 15 août 2014.
    41. Bulletin municipal d’information du PĂȘchereau – 2009.
    42. Renaud de Lafforest, Argenton et son histoire : Le Courbat et son chef-d'Ɠuvre d'escalier, Argenton-sur-Creuse, Cercle d'histoire d'Argenton, , 22e Ă©d..
    43. Renaud de Lafforest, Argenton et son histoire : Le chĂąteau du Courbat, Argenton-sur-Creuse, Cercle d'histoire d'Argenton, , 25e Ă©d..
    44. Agenda communal, 2008.
    45. Berchon, Argenton et son histoire : La Maison à trois carrés, Argenton-sur-Creuse, Cercle d'histoire d'Argenton, , 20e éd..
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