Lanvallay
Lanvallay ([lÉÌvalÉ]) est une commune française situĂ©e dans le dĂ©partement des CĂŽtes-d'Armor, en rĂ©gion Bretagne.
Lanvallay | |||||
Quartier de Lanvallay au bord de la Rance, face Ă Dinan. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Bretagne | ||||
DĂ©partement | CĂŽtes-d'Armor | ||||
Arrondissement | Dinan | ||||
Intercommunalité | Dinan Agglomération | ||||
Maire Mandat |
Bruno Ricard 2020-2026 |
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Code postal | 22100 | ||||
Code commune | 22118 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | CÎtissois | ||||
Population municipale |
4 209 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 288 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 48° 27âČ 21âł nord, 2° 01âČ 37âł ouest | ||||
Altitude | 76 m Min. 7 m Max. 87 m |
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Superficie | 14,61 km2 | ||||
Unité urbaine | Dinan (banlieue) |
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Aire d'attraction | Dinan (commune de la couronne) |
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Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Lanvallay (bureau centralisateur) |
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LĂ©gislatives | DeuxiĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : CĂŽtes-d'Armor
GĂ©olocalisation sur la carte : Bretagne
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Liens | |||||
Site web | Site officiel de la mairie de Lanvallay | ||||
Ses habitants se nomment les CĂŽtissois et les CĂŽtissoises. Ils Ă©taient 3 735 au recensement de 2010[1].
GĂ©ographie
Lanvallay est une commune des CÎtes-d'Armor, situé en Bretagne à l'ouest de la France.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[3].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[6] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[7] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Le Quiou », sur la commune du Quiou, mise en service en 1985[8] et qui se trouve Ă 12 km Ă vol d'oiseau[9] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 11,8 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 714,9 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[10]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Dinard », sur la commune de Pleurtuit, dans le dĂ©partement d'Ille-et-Vilaine, mise en service en 1950 et Ă 14 km[11], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11,4 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[12] Ă 11,6 °C pour 1981-2010[13], puis Ă 11,9 °C pour 1991-2020[14].
Urbanisme
Typologie
Lanvallay est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [15] - [16] - [17]. Elle appartient à l'unité urbaine de Dinan, une agglomération intra-départementale regroupant 7 communes[18] et 27 885 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[19] - [20].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Dinan, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 25 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[21] - [22].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (71 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă 1990 (76,6 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (34,6 %), terres arables (30,7 %), zones urbanisĂ©es (14,7 %), forĂȘts (11 %), prairies (5,7 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (1,7 %), eaux continentales[Note 8] (1,5 %)[23].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photographies aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[24].
Origine du gentilé
La source du terme CÎtissois, pour désigner les habitants de Lanvallay, n'est pas connue avec certitude. L'explication la plus crédible est que ce nom viendrait de la digitale, qui poussait sur les bords de Rance, et qui en gallo se nomme cotia ou cotissa[25]. Ce surnom, donné par les Dinannais, apparaßt dÚs 1884[25].
Selon Yves Castel (un historien local), le dimanche, les Dinanais allaient se promener sur les bords de la Rance, notamment sur les prairies de Lanvallay, oĂč les fleurs de digitale poussent en abondance, de mi-juin Ă mi-juillet. En gallo on appelle cette fleur la cĂŽtiĂą ou la cotissouĂą, d'oĂč le surnom de CotiĂąs ou CĂŽtissouĂąs d'LanvallĂą attribuĂ©s par les citadins aux habitants de Lanvallay, qui se dit LanvallĂą en gallo. FrancisĂ© au cours du XIXe siĂšcle, ce sobriquet est devenu CĂŽtissois en français Ă©crit. Ce nom est devenu le gentilĂ© officiel des habitants de la commune en 1961[26].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Lanvalei à la fin du XIIe siÚcle[27], Lanvalay en 1154[28], Lanvallei en 1167[28], Lanvalae en 1201, Parrochia de Lanvalay en 1219, Lanvalae en 1240, Parrochia de Lanvalaio en 1262, Lanvalet en 1262[27], Lanvalay et Lanvaley en 1271[28], Parrochia de Lanvallayo en 1295, Lanvalais vers 1330, Lanvalay à la fin du XIVe siÚcle[27], Lanvaley en 1420[28], Lanvalay en 1453 et en 1516[28] et Lanvallay dÚs 1790[27].
Lanvallay se trouve dans la zone de diffusion de la toponymie brittonique.
Lanvallay semble ĂȘtre un nom en Lan- « territoire, le plus souvent consacrĂ© Ă un saint »[29] (breton lann « ajonc », mais autrefois aussi « lande » et « monastĂšre », mĂȘme mot que le français lande, d'origine gauloise.
Le second Ă©lĂ©ment doit ĂȘtre, comme c'est le plus souvent le cas, un nom de personnage ou de saint. Ici il s'agit probablement de Saint Balay (â en 524), vieux breton Balae (variante Bachla) ou Valay ou Balley ou Biabailus, seigneur de Rosmadec en Bretagne, disciple de saint GuĂ©nolĂ©, moine Ă LandĂ©vennec, puis ermite sur la montagne de Penflour, prĂšs de ChĂąteaulin et Ploermellac ; patron de Ploubalay fĂȘtĂ© le 12 juillet[30].
Il a donné son nom à plusieurs villes ou villages des alentours :
Histoire
L'Antiquité
Deux voies romaines traversaient la commune, l'une empruntait le guĂ© de Taden entre l'Asile des PĂȘcheurs (Taden) et l'embouchure du ruisseau du Pont Josselin pour rejoindre Saint-Piat (voie Corseul-Avranches), la deuxiĂšme aurait traversĂ© la Rance au niveau du pont de LĂ©hon (voie Corseul-Le Mans)[31].
Les fouilles préventives effectuées en 2012 à l'emplacement de la ZAC de Coetquen (site de production des Gavottes en 2018) ont révélé l'existence d'une occupation humaine datant de la période de la TÚne ainsi que la présence d'une riche villa gallo-romaine[31].
La paroisse de Lanvallay faisait partie du doyennĂ© de Dol relevant de l'Ă©vĂȘchĂ© de Dol et Ă©tait sous le vocable de saint MĂ©en.
XVIIIe siĂšcle
En 1790, de paroissial, le territoire est érigé en commune.
XIXe siĂšcle
- 1807 : la commune de Tressaint lui est rattachée.
- 1828 : Tressaint lui est détachée.
Les guerres du XXe siĂšcle
Le monument aux morts porte les noms de 59 soldats morts pour la patrie[32] :
- 49 sont morts durant la PremiĂšre Guerre mondiale ;
- neuf sont morts durant la Seconde Guerre mondiale ;
- un est mort durant la guerre d'Indochine.
L'Administration communale
- : les communes de Tressaint et de Saint-Solen lui sont rattachées pour former le Grand Lanvallay.
LĂ©gende
La lĂ©gende raconte que saint Valay (ou Balay), disciple de saint GuĂ©nolĂ© Ă l'abbaye de LandĂ©vennec, s'Ă©tait Ă©tabli lĂ oĂč se trouve aujourd'hui la ville de Dinan. Poursuivi par des femmes furieuses, il franchit d'un bond la Rance et s'installa sur la rive droite, fondant ainsi Lanvallay[33].
HĂ©raldique
Blasonnement :
D'azur, à sept losanges accolées d'argent, posées 3, 3, 1. |
Politique et administration
Liste des maires
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[41]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[42].
En 2020, la commune comptait 4 209 habitants[Note 9], en augmentation de 5,59 % par rapport Ă 2014 (CĂŽtes-d'Armor : +1,05 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Cultes
FondĂ© en 1976, le prieurĂ© Sainte-Anne, situĂ© avenue de Beauvais, est le premier des prieurĂ©s de la FraternitĂ© sacerdotale Saint-Pie-X crĂ©Ă©s en France. Sa chapelle du SacrĂ©-CĆur est ornĂ©e de vitraux reprĂ©sentant les sept saints fondateurs de la Bretagne ; y sont cĂ©lĂ©brĂ©es les messes selon la forme tridentine du rite romain.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Ăglise Saint-MĂ©en.
- ChĂąteau de Landeboulou, construit au XVIIIe siĂšcle.
Jumelages
- Wangenbourg-Engenthal (France) depuis 1990.
- Walkern (Angleterre) depuis 2015.
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[5].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- « Insee - Populations légales 2010 - 22118-Lanvallay ».
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Le Quiou - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Lanvallay et Le Quiou », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Le Quiou - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Lanvallay et Pleurtuit », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Dinard - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Dinard - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Dinard - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine-dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Dinan », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus dâhabitants dans les unitĂ©s urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le ).
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- « Présentation de Lanvallay », sur www.mairie-lanvallay.com (consulté le ).
- Corentin Le Doujet, « Les tribus bretonnes », Le Télégramme de Brest et de l'Ouest, .
- infobretagne.com, « Ătymologie et Histoire de Lanvallay ».
- Office Public de la Langue Bretonne, « Kerofis ».
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 383a
- Nominis : Saint Balay
- HAMON Anne-Louise, LANVALLAY (22). ZAC de Coëtquen. Occupations rurales protohistorique et antique. rapport de diagnostic (RAP02765.pdf), Rennes, Service régional de l'archéologie de Bretagne, , 84 p. (lire en ligne).
- « MémorialGenWeb Relevé », sur www.memorialgenweb.org (consulté le ).
- Octave-Louis Aubert, LĂ©gendes traditionnelles de la Bretagne, Ăditions Octave-Louis Aubert, 1931, p. 34.
- Site personnel recensant une liste de maires français
- « Lanvallay. M. Adolphe Castel Ă©lu maire », Ouest-France,â
- « Jean-Yves Delarocheaulion confortablement rĂ©Ă©lu maire », Ouest-France,â
- « Jean-Yves Delarocheaulion Ă©trenne sa nouvelle Ă©charpe de maire », Ouest-France,â
- Capucine Gilbert, « LĂ©gislatives. Bruno Ricard (EELV), le visage de lâunion de la gauche dans la 2e circonscription », Ouest-France,â (lire en ligne)
« Bruno Ricard, encartĂ© Europe Ăcologie Les Verts depuis 2021. » - ValĂ©rie Le Moigne, « LĂ©gislatives Ă Dinan : Bruno Ricard, candidat de la Nupes », Le TĂ©lĂ©gramme,â (lire en ligne)
- « Ă Lanvallay, Bruno Ricard dĂ©signĂ© maire par le conseil municipal : Il repart pour un second mandat Ă Lanvallay (CĂŽtes-dâArmor). Ălu par 22 voix contre cinq bulletins blancs, lâhomme sera entourĂ© de huit adjoints pour les six ans Ă venir. », Ouest-France,â (lire en ligne)
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
Voir aussi
Article connexe
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Site officiel de la mairie de Lanvallay.