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Saint-Carné

Saint-CarnĂ© [sɛ̃kaʁne] est une commune du dĂ©partement des CĂŽtes-d'Armor, dans la rĂ©gion Bretagne, en France.

Saint-Carné
Saint-Carné
La mairie.
Blason de Saint-Carné
HĂ©raldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Bretagne
DĂ©partement CĂŽtes-d'Armor
Arrondissement Dinan
Intercommunalité Dinan Agglomération
Maire
Mandat
Ronan Trellu
2020-2026
Code postal 22100
Code commune 22280
DĂ©mographie
Gentilé Carnéen, Carnéenne
Population
municipale
1 077 hab. (2020 en augmentation de 10,69 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 129 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 48° 25â€Č 00″ nord, 2° 03â€Č 51″ ouest
Altitude 75 m
Min. 7 m
Max. 118 m
Superficie 8,36 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Dinan
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Lanvallay
LĂ©gislatives DeuxiĂšme circonscription
Localisation
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Saint-Carné
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Saint-Carné

    GĂ©ographie

    Communes limitrophes de Saint-Carné
    Trélivan Léhon Lanvallay
    Bobital Saint-Carné
    Trévron Calorguen

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 11,2 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,2 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 1,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 12,2 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 759 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,4 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 6,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Le Quiou », sur la commune du Quiou, mise en service en 1985[7] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[8] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 11,8 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 714,9 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Dinard », sur la commune de Pleurtuit, dans le dĂ©partement d'Ille-et-Vilaine, mise en service en 1950 et Ă  18 km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11,4 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11] Ă  11,6 °C pour 1981-2010[12], puis Ă  11,9 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-CarnĂ© est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trĂšs peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Dinan, une agglomĂ©ration intra-dĂ©partementale regroupant 7 communes[17] et 27 885 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[18] - [19].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Dinan, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 25 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de moins de 50 000 habitants[20] - [21].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (80,7 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (80,7 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (51,4 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (19,9 %), forĂȘts (13,3 %), prairies (9,4 %), zones urbanisĂ©es (6 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[23].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Seint Karnay en 1291, Sanctus Karnetus vers 1330 et à la fin du XIVe siÚcle, Saint Carne en 1513[24].

    Saint-Carné vient, semble-t-il, du breton Ker Nay (« village de La Haye »)[24].

    Histoire

    La paroisse de Saint-CarnĂ©, enclavĂ©e dans l'Ă©vĂȘchĂ© de Saint-Malo faisait partie du doyennĂ© de Bobital relevant de l'Ă©vĂȘchĂ© de Dol et Ă©tait sous le vocable de saint Pierre.

    Les guerres du XXe siĂšcle

    Le monument aux Morts porte les noms des 45 soldats morts pour la Patrie[25] :

    • 39 sont morts durant la PremiĂšre Guerre mondiale.
    • 6 sont morts durant la Seconde Guerre mondiale.

    NĂ© Ă  Saint-Jacut-de-la-Mer, Louis Hesry est venu s'installer Ă  Saint-CarnĂ© oĂč il exerçait le mĂ©tier d'Ă©lectricien. Son Ă©pouse Ă©tait institutrice en poste Ă  Saint-CarnĂ©. Il a participĂ© Ă  plusieurs parachutages et sabotages de lignes de communication. En , au sein d'un groupe d'une vingtaine de RĂ©sistants de la rĂ©gion de Dinan auquel il appartenait, l'objectif majeur consistait Ă  faire libĂ©rer deux membres importants de la direction FTP d'Ille-et-Vilaine. L'opĂ©ration, pourtant trĂšs risquĂ©e, fut couronnĂ©e de succĂšs dans la nuit du 11 au . Le , il se rendit au CafĂ© Roussel du HinglĂ© en compagnie d'un de ses camarades, Charles Maillard. Dans la soirĂ©e, les gendarmes de Dinan investirent les lieux et les dĂ©sarmĂšrent. Ils furent conduits Ă  la prison de Dinan oĂč ils subirent d'atroces tortures. Une fois de plus, c'est sur dĂ©nonciation que cette arrestation eut lieu[26]. JugĂ© et condamnĂ© Ă  la peine de mort le , il fut fusillĂ© le lendemain , avec 9 autres de ses camarades, dont Charles Maillard, au camp de la MaltiĂšre Ă  Saint-Jacques-de-la-Lande. Il avait 20 ans.

    InstallĂ© Ă  Dinan pour exercer son mĂ©tier de cordonnier, un autre citoyen nĂ© Ă  Saint-CarnĂ©, Henri Laplanche, s'est rapprochĂ© du groupe de la RĂ©sistance locale. Sa proximitĂ© avec les ouvriers carriers du bassin du HinglĂ© dĂ©termina probablement son engagement. C'est ainsi qu'il se retrouva au sein du groupe FTP en charge de mener des actions clandestines dans la rĂ©gion de Dinan. Il participa notamment Ă  l'exfiltration des deux chefs de la RĂ©sistance en Ille-et-Vilaine incarcĂ©rĂ©s Ă  Dinan[27]. Trois jours aprĂšs l'arrestation de Louis Hesry, Henri Laplanche fut Ă  son tour neutralisĂ© par des gendarmes au HinglĂ© et incarcĂ©rĂ© Ă  la prison de Rennes. JugĂ© et condamnĂ© le Ă  la peine de mort, il fut fusillĂ© Ă  6h35 le lendemain au camp de la MaltiĂšre, en mĂȘme temps que ses 9 autres camarades du rĂ©seau. Il avait 26 ans.

    HĂ©raldique

    Blason de Saint-Carné Blason
    D'azur semĂ© de billettes d'argent Ă  la bande brochante du mĂȘme chargĂ©e de quatre mouchetures d'hermine de sable. Armes de la Famille Ferron du Chesne
    DĂ©tails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    avant 1989 aprÚs 1995 Norbert Guitton Artisan menuisier retraité
    mars 2001 2014 Nicole Barbier DVG Secrétaire comptable
    mars 2014 En cours Ronan Trellu SE Fonctionnaire
    Les données manquantes sont à compléter.

    DĂ©mographie


    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[29].

    En 2020, la commune comptait 1 077 habitants[Note 8], en augmentation de 10,69 % par rapport Ă  2014 (CĂŽtes-d'Armor : +1,05 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    674609710677771860805808804
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    809775815787774750744746776
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    822772748640635662600623616
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    652655682747787811900908891
    2015 2020 - - - - - - -
    1 0001 077-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee Ă  partir de 2006[31].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    L'Ă©glise Saint-Pierre.
    • L'Ă©glise paroissiale Saint-Pierre qui fait l'objet d'un projet de restauration par la Fondation du Patrimoine[32]. La tour a Ă©tĂ© Ă©rigĂ©e en 1666 et le corps de l'Ă©difice en 1845.

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Le Quiou - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Saint-Carné et Le Quiou », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Le Quiou - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Saint-Carné et Pleurtuit », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Dinard - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Dinard - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Dinard - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale-dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Unité urbaine 2020 de Dinan », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    18. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    19. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unitĂ©s urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
    20. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    23. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    24. infobretagne.com, « Étymologie et Histoire de Saint-CarnĂ© ».
    25. « MémorialGenWeb Relevé », sur www.memorialgenweb.org (consulté le ).
    26. Prigent Alain et Tilly Serge, "Les fusillés et décapités aprÚs jugement d'un tribunal militaire allemand (CÎtes-du-Nord, 1940-1944)", Les cahiers de la Résistance populaire, mai 2011, page 65..
    27. Prigent Alain et Tilly Serge, "Les fusillés et décapités aprÚs jugement d'un tribunal militaire allemand (CÎtes-du-Nord, 1940-1944)", Les cahiers de la Résistance populaire, mai 2011, page 71..
    28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    32. L'Ă©glise sur le site de la Fondation du Patrimoine.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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